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https://www.mining-technology.com/news/ ... t/?cf-viewChilean officials unanimously dismiss $3bn Dominga iron project
The project has faced more than a decade of legal and regulatory scrutiny, culminating in the ministerial committee's decision.
January 9, 2025
Chilean officials have unanimously rejected the $3bn (3trn pesos) Dominga iron ore and copper project, a significant development in the ongoing debate over environmental protection versus economic growth.
This project has faced more than a decade of legal and regulatory scrutiny, culminating in the ministerial committee’s decision on Wednesday, according to a report by Bloomberg.
The committee, comprised of undersecretaries, voted against the project following an environmental court’s annulment of a 2023 determination by ministers to reject it.
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https://www.lefigaro.fr/societes/sncf-r ... 0six%20ans.SNCF Réseau signe un méga contrat d’un milliard d'euros pour des rails en acier recyclé
Ces rails, produits à l’usine Saarstahl Rail d’Hayange à partir d’anciens rails de la SNCF et de ferraille, couvriront les besoins pour six ans.
Par Le Figaro avec AFP Publié le 24 janvier
Le gestionnaire des infrastructures ferroviaires SNCF Réseau a passé ce vendredi 24 janvier une commande d'un milliard d'euros pour des rails produits à l'usine Saarstahl Rail d'Hayange, avec de l'acier recyclé provenant de l'usine Ascoval à Saint-Saulve (Nord), également propriété du groupe Saarstahl. Cette commande porte sur l'achat de 170.000 tonnes de rails par an pendant six ans, ce qui couvrira 80% des besoins de SNCF Réseau sur la période et assurera la pérennité de près de 800 emplois sur les sites d'Hayange et de Saint-Saulve.
«Ce contrat est symbolique du travail qu'ont mené les gouvernements successifs pour faire en sorte de construire une filière d'acier qui soit à la fois décarbonée et qui soit solide, compétitive», a salué la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher, présente lors de la cérémonie de signature. Elle a rappelé l'histoire de l'usine d'Ascoval, menacée de fermeture en 2018, faute de repreneur. «Six jours après ma nomination au gouvernement en 2018, on m'avait envoyé annoncer aux salariés d'Ascoval qu'il n'y avait plus d'avenir pour leur site» à Saint-Saulve, s'est-elle souvenue. Le sidérurgiste allemand Saarstahl avait finalement repris les sites d'Hayange et Saint-Saulve à l'été 2021.
Émissions de CO2 réduites de 70%
Le contrat signé prévoit la fourniture de rails produits à partir d'acier recyclé dans des fours à arc électrique. L'acier utilisé vient à 65% de ferraille et 35% d'anciens rails de la SNCF. D'après la PDG de Saarstahl Rail, Nadine Artelt, cela permet de «réduire les émissions CO2 de 70%» lors de la fabrication des rails. «Saarstahl Rail est le seul laminoir d'Europe à proposer des rails à émissions réduites», a souligné le président du groupe Saarstahl, Stefan Rauber. «C'est la transition écologique qui a sauvé ces deux sites industriels», a assuré Agnès Pannier-Runacher.
L'usage d'acier recyclé et la production de blooms, de grandes barres d'acier de section carrée dans lesquels sont fabriqués les rails, étaient un processus inconnu d'Ascoval. La France est dépendante «à 99,7%» de l'étranger pour la fourniture de métal, selon Agnès Pannier-Runacher. «Les ressources sont en train de devenir plus rares», a-t-elle ajouté pour souligner l'importance de développer une filière de recyclage de l'acier.
https://www.mining-technology.com/news/ ... re-output/Vale reports highest iron ore output since 2018
Iron ore production rose by 2% to nearly 328mt in 2024.
January 29, 2025
Brazilian mining company Vale has announced its highest annual iron ore production since 2018, despite a decrease in fourth-quarter (Q4) output due to a strategic focus on higher-margin products.
The company’s production of the steel-making ingredient reached nearly 328 million tonnes (mt) in 2024, a 2% increase from the previous year. Vale forecasts production of between 325mt and 335mt of iron ore in 2025.
“Vale’s performance in 2024 was marked by greater operational stability and the start-up of key projects,” the miner stated.
However, in Q4, iron ore production saw a 4.6% drop from the same period a year earlier, totalling 85.3mt. This decline was attributed to Vale’s decision to prioritise the output of higher-margin iron ore products, impacting production from its Southern System operations in Brazil, known for lower ferrous content.
Iron ore sales also experienced a decline, falling approximately 10.1% in Q4 from a year earlier to 81.2mt. The decline was attributed to Vale’s strategy to reduce sales of high-silica products during this period to improve all-in pricing premiums.
The average realised price for Vale’s iron ore fines was around $93 per tonne (t) in the quarter, a 21% decrease year-on-year, but an increase of nearly 3% from Q3.
In addition to iron ore, Vale’s copper production grew nearly 3% year-on-year to 101,800t in Q4, bolstered by operations in Brazil’s Salobo, Canada’s Sudbury and the ramp-up of underground mines in Voisey’s Bay in Canada.
Copper sales witnessed a 1.5% rise to 99,000t in the same period. The company aims to invest $3.3bn (19.33bn reais) to increase copper and nickel production capacities in Brazil and Canada. It plans to increase copper production capacity to around 500,000t by 2028.
The company reported production of 45,500t of nickel in Q4, around a 1% increase from the previous year, driven by stronger performances at its Onca Puma, Sudbury and Voisey’s Bay operations.
However, nickel sales dropped by nearly 2% to 47,100t from the same period a year earlier.
https://www.usinenouvelle.com/article/a ... 5.N2227056ArcelorMittal s'attend à une augmentation de la demande d'acier en 2025
ArcelorMittal a déclaré jeudi s'attendre à ce que la demande d'acier augmente pour l'exercice 2025, ajoutant que ses dépenses en capital seraient similaires à celles de l'année dernière.
REUTERS 06 février 2025
Le groupe sidérurgique a par ailleurs fait état d'une hausse de 13% de son Ebitda (bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement), qui s'élève à 1,65 milliard de dollars (1,59 milliard d'euros), dépassant de près de 7,8% l'estimation consensuelle de 1,53 milliard de dollars fournie par l'entreprise.
La société prévoit d'investir entre 4,5 milliards de dollars et 5 milliards de dollars cette année, conformément à ses projets pour 2024. Les investissements se concentreraient principalement au Brésil, en Inde et aux États-Unis.
ArcelorMittal prévoit une croissance de la demande mondiale d'acier comprise entre 2,5% et 3,5% en 2025, hors Chine, premier consommateur et producteur mondial de ce métal.
L'entreprise a aussi déclaré qu'elle prévoyait de construire une nouvelle usine de fabrication avancée à Calvert, en Alabama, afin d'augmenter sa capacité de production d'acier aux États-Unis.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 45e5a24d46ArcelorMittal investit massivement aux Etats-Unis plutôt qu'en Europe
AFP •06/02/2025
Après avoir suspendu son projet d'acier décarboné à Dunkerque en France fin 2024, le géant de la sidérurgie ArcelorMittal a choisi les Etats-Unis pour investir près d'un milliard de dollars dans une nouvelle usine destinée à accompagner l'électrification du monde.
Le groupe a officialisé jeudi un projet de construction d'un nouveau site de production à Calvert (Alabama), où il est déjà implanté, qui devrait entrer en production fin 2027 afin de "soutenir la production automobile et la mobilité" et "la production d'électricité renouvelable".
La nouvelle usine produira de l'acier "à grains non orientés (NOES)", un type d'acier avec des propriétés magnétiques élevées, utilisé surtout dans les équipements électriques du type générateurs, transformateurs, alternateurs et les moteurs. On le trouve aussi dans les éoliennes.
Cet investissement de 900 millions de dollars intervient tout juste deux mois après la mise sur pause d'un autre projet d'investissement massif d'ArcelorMittal sur la décarbonation de l'acier en France.
Pour le projet français de 1,8 milliard d'euros, qui est donc retardé, le sidérurgiste doit mettre près d'un milliard d'euros sur la table, l'Etat s'étant engagé à verser à son côté une aide allant jusqu'à 850 millions d'euros.
A Dunkerque, l'un des plus gros sites de production d'acier d'Europe occidentale avec ses hauts fourneaux emblématiques, le groupe prévoit de construire deux fours électriques et une unité de réduction directe du fer avec du gaz ou de l'hydrogène (sans charbon), étapes décisives pour produire l'acier décarboné.
- "Insuffisants" -
"Les investissements dans la décarbonation en Europe progressent à une vitesse plus lente que ce qui était prévu initialement", a insisté ArcelorMittal dans un communiqué jeudi, publié à l'occasion de ses résultats annuels.
Le sidérurgiste estime "insuffisants" les efforts de la Commission pour protéger l'acier décarboné sur le Vieux continent face à la concurrence à bas prix venue d'Asie, dans un contexte de surproduction mondiale d'acier, et de prix de l'énergie très élevés en Europe.
Avant d'éventuellement débloquer les investissements en France, Aditya Mittal, le directeur général du groupe ArcelorMittal, demande à l'Europe un "soutien d'urgence" en 2025 afin de "créer un contexte politique qui incite les investissements nécessaires à l'accélération de la décarbonation en Europe".
Il souhaite des améliorations du mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (MACF) destiné à protéger l'acier décarboné européen de la concurrence. Il espère aussi "une révision des clauses de sauvegarde" qui limitent les volumes d'importation.
Un "plan acier" est attendu à Bruxelles fin mars.
ArcelorMittal s'affirme néanmoins "totalement déterminé à la décarbonation" en Europe. Il a maintenu ses investissements en Espagne, notamment à Gijon où il construit un four à arc électrique pour recycler l'acier, et à Sestao où les volumes d'acier recyclé, moins émetteur de CO2, augmentent.
"Les perspectives à long terme pour la sidérurgie sont positives et notre présence mondiale nous permet de donner la priorité aux investissements sur les marchés les plus propices à la croissance", ajoute M. Mittal qui vise "le Brésil, l'Inde et les Etats-Unis".
https://www.agenceecofin.com/actualites ... ou-en-2027La Guinée vise 120 millions de tonnes de minerai de fer produites à Simandou en 2027
Agence Ecofin 06 fev 2025
Le gouvernement guinéen presse les différents acteurs impliqués dans le projet Simandou pour que les premières tonnes de minerai de fer soient extraites d’ici fin 2025. Cela permettrait d’atteindre la production maximale du gisement dans les deux années suivantes.
Les deux mines de fer prévues sur les quatre blocs du gisement Simandou en Guinée peuvent livrer respectivement 60 millions de tonnes de minerai de fer dès la deuxième année d’exploitation. Avec une entrée en production du gisement prévue fin 2025, Simandou devrait donc produire jusqu’à 120 millions de tonnes de minerai en 2027, selon le ministre guinéen des Mines Bouna Sylla.
Interrogé par Bloomberg en marge de la conférence Mining Indaba qui s’achève ce jeudi 6 février au Cap (Afrique du Sud), le dirigeant a estimé que le plus grand gisement de minerai de fer inexploité au monde devrait livrer 60 millions de tonnes au cours de la première année, soit 30 millions de tonnes par mine. Il faudra attendre la deuxième année d’exploitation pour que Simandou atteigne sa production maximale, a ajouté M. Sylla.
Le développement de Simandou s’est accéléré depuis 2021 et l’arrivée au pouvoir du militaire Mamadi Doumbouya. Après un coup d’État ayant renversé Alpha Condé, l’actuel président de la Guinée a fait de la mise en service du gisement Simandou, attendue depuis des décennies, une de ses priorités. Les différents acteurs engagés dans ce projet, notamment les entreprises chinoises China Baowu Steel Group, Winning Consortium Simandou, et l’australien Rio Tinto, devraient investir 15 milliards $ dans les infrastructures portuaires et ferroviaires.
Ces infrastructures comprennent un chemin de fer de plus de 600 km à travers la Guinée pour le transport du minerai vers le port en eau profonde de Morébaya. La Compagnie du Transguinéen (CTG) en charge de l’exploitation du chemin de fer est contrôlée à 15 % par le gouvernement qui a pour ambition d’utiliser l’infrastructure pour désenclaver le pays, en permettant notamment le transport de produits agricoles. Selon le FMI, la mise en service de Simandou en 2025 peut augmenter de 26 % le PIB guinéen d’ici 2030, par rapport à un scénario sans le projet.
La question de la transformation locale du minerai de fer est néanmoins encore peu évoquée en Guinée, là où le gouvernement presse les producteurs de bauxite pour qu’ils construisent des raffineries. Alors que le plus grand sidérurgiste au monde, le chinois Baowu, a déjà noué des accords pour acquérir une partie de la production de Simandou, Conakry est vivement attendu sur ce chantier essentiel pour maximiser les retombées économiques du projet.
https://www.agenceecofin.com/actualites ... -pour-juinLes premières exportations de fer de Grand Zambi au Cameroun annoncées pour juin
Agence Ecofin 2 fevrier 2025
La construction future d’un terminal minéralier au port autonome de Kribi d’où doivent partir les exportations du minerai de fer de Grand Zambi, en renforcera les capacités et la marge opérationnelle.
Les premières exportations de minerai de fer du projet Grand Zambi dans la région du Sud du Cameroun sont prévues pour juin 2025 selon une délégation de la direction générale du Port autonome de Kribi en visite sur le site il y a 2 semaines. Selon elle, 500 000 m³ de minerai brut sont déjà disponibles.
La plateforme portuaire qui doit servir de relais à ces cargaisons ne dispose néanmoins actuellement pas de terminal minéralier. Son DG assure toutefois, d’après Investir au Cameroun, que son terminal polyvalent est prêt à jouer ce rôle. Les 2 parties se sont entendues sur des navettes de 3 à 4 bateaux par mois.
Pour rappel, la mine de fer de Grand Zambi est exploitée par G-Stones Resources S.A, entreprise camerounaise filiale du Groupe Bocom et créée en 2010. G-Stones Resources y dispose d’un permis d’exploitation de 14 ans sur une superficie de 47 km².
https://www.mining.com/web/vale-confirm ... ough-2030/Vale to raise Carajas iron ore output with $12 billion investment
Reuters | February 14, 2025
Brazilian miner Vale said on Friday it expects to raise iron ore production in its main complex Carajas, in northern Brazil, by nearly 13% through 2030 as part of a 70 billion real ($12.26 billion) investment plan in the region.
Brazil’s presidential palace announced the investment on Wednesday, and Vale unveiled details on Friday at an event attended by Brazil’s President Luiz Inacio Lula da Silva.
Vale is among the world’s largest iron ore producers. Carajas, in Brazil’s Para state, is the miner’s main output complex for the steelmaking ingredient.
In Carajas, Vale produced 177.5 million metric tons of iron ore last year, more than half its total output of the commodity in the period.
Vale said on Friday it expects iron ore production in the complex to reach 200 million tons per year by 2030, with the boost coming from moves such as the expansion of its Serra Sul mine.
At the event, Lula said the election of Gustavo Pimenta as Vale’s chief executive last year was an opportunity to realign Vale’s interests with Brazil’s interests.
He and his cabinet members had complained in the past about Vale’s lack of investment in Brazil and delays in repair after a 2015 dam collapse. An agreement was ultimately sealed in October.
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https://www.mining-technology.com/news/ ... t/?cf-viewMitsui acquires 40% stake in Australia’s Rhodes Ridge project for $5.34bn
The transaction is expected to bolster Mitsui's iron ore production capacity and long-term earnings base.
February 20, 2025
Japan-based trading company Mitsui & Co. has signed agreements to acquire a 40% interest in the Rio Tinto-operated Rhodes Ridge iron ore project in Western Australia for $5.34bn (Y800.51bn).
The deal is expected to bolster Mitsui’s iron ore production capacity and long-term earnings base.
Wright Prospecting’s former 50% interest in the Rhodes Ridge Joint Venture (RRJV) has been restructured and separated into two newly formed entities separately controlled by its shareholders, VOC and AMB.
VOC Group holds a 25% interest in the RRJV through an entity named Rhodes Ridge Mining (No 2) and AMB Holdings holds its 25% interest through Rhodes Ridge Mining (No 1).
Mitsui will purchase VOC Group’s entire 25% stake in the RRJV for $3.34bn, with completion anticipated by the financial year ending March 2026, subject to regulatory approvals.
The second transaction involves a heads of agreement with AMB Holdings to acquire a 15% interest in the RRJV for $2bn, pending due diligence and definitive agreement.
Following these transactions, Rio Tinto will own 50% of the project, Mitsui 40% and AMB 10%.
Rhodes Ridge, situated in the resource-rich Pilbara region, is one of the largest undeveloped iron ore deposits globally, with an estimated 6.8 billion tonnes of mineral resources.
Production is scheduled to commence by 2030, with Mitsui’s annual equity share of production initially expected to be around 16 million tonnes (mt), potentially exceeding 40mt post-expansion.
Mitsui president and CEO Kenichi Hori said: “This investment, which exceeds Y800bn, represents the largest single investment in our company’s history. Rhodes Ridge is located in Western Australia, a region where we have been engaged in mining development since the 1960s, and where we hold the most expertise in relation to the iron ore business.
“This investment will boost the strength of our business foundation, which we have built up over the years. We are very familiar with this area of business, the location and the partners. Given these factors, our Board of Directors has unanimously decided that we should make this investment.”
This acquisition aligns with Mitsui’s strategic focus on Industrial Business Solutions, identified as one of the key strategic initiatives under its Medium-term Management Plan 2026.
https://www.mining-technology.com/news/ ... roduction/Bolivia’s China-funded steel plant to begin production, meeting 50% of domestic demand
The plant is set to be inaugurated on 24 February near the Brazilian border.
February 14, 2025
A China-funded steel plant in Bolivia, long in planning, is set to commence production this month, covering half of Bolivia’s steel needs.
The $546m (3.97bn yuan) Mutun plant, funded by the Export-Import Bank of China, will be operated by Sinosteel Engineering and Technology for its first year, reported Reuters.
The plant, set to be inaugurated on 24 February near the Brazilian border, is expected to produce 200,000 tonnes (t) of steel annually, including rebar and wire mesh, with a value of $260m.
The Mutun plant will process 66,000t of raw materials per month, sourced from the Cerro Mutun deposit, which is estimated to contain one of the world’s largest reserves at 40 billion tonnes.
“We are entering an era of industrialisation,” said Alejandro Santos Laura, Mining Minister, during a press conference.
The project faced more than five decades of delays, including disputes with the initially contracted builder, Jindal Steel & Power from India.
President Luis Arce’s government aims to revive the economy as declining gas exports affect foreign reserves and local currency.
Officials are considering a second plant once domestic needs are met, although no timeline is provided, the report said.
“When we pass 100%… we are going to build another plant, much better than the current one. We will have no choice but to export the surplus abroad,” Santos Laura stated.
The plant is expected to create 700 jobs during its initial operations, and up to 1,000 during the life of the plant.
The world's largest iron ore deposit, known since 1848, but not yet worked on a significant scale because of its remoteness from industrial centers.
El Mutún (Serrania Mutún) is a range of hills (covering an area of 75 km2) up to 845 m elevation, rising 600 m out of a swampy plain, composed of silica-rich Fe oxides, a typical banded iron formation (BIF). The deposit extends across the border into Brazil, where it is called the Serrania de Jacadigo.
Estimated reserves are about 40.205 billion tons of iron ore of 50% iron, mainly in the form hematite and magnetite.
https://www.mining.com/web/rio-tinto-to ... n-pilbara/Rio Tinto to invest $1.8 billion to develop Brockman iron ore mine in Pilbara
Reuters | March 6, 2025
The plant at the Brockman 4 mine in the Pilbara region of Western Australia. (Reference image by Calistemon, Wikimedia Commons.)
Rio Tinto said on Thursday it will invest $1.8 billion to develop its Brockman Syncline 1 iron ore project in the Pilbara region of Western Australia.
The world’s largest iron ore producer said the project has obtained the required approvals from both state and federal governments, and is now on track to begin producing its first ore by 2027, a year ahead of the initial schedule.
The investment underpins Rio Tinto’s continued commitment to iron ore in the Pilbara region, which generates a large portion of its profit, even as the company shifts focus towards copper – a metal crucial for renewable energy transition.
“Brockman 4 produced 43 million tons of iron ore in 2024. Securing this project extends the life of the Brockman hub,” Rio Tinto Iron Ore chief executive Simon Trott said.
Brockman Syncline 1 (BS1) includes Brockman 4 and Greater Nammuldi with a total annual capacity of approximately 130 million tons per annum, according to Rio Tinto.
