Quand on dénonce les malversations des grosses banques, on se retrouve au rsa. C'est bien de dénoncer
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Fear that new internet technologies are doing more to waste time and brainpower than to increase productivity has already provoked a backlash in China, where officials recently criticized online gaming as “electronic heroin.”
Les créanciers et les spéculateurs qui ont parié sur eux vont plutôt s'asseoir sur leurs actions!Peakoilbarrel a écrit : ↑11 mars 2018, 13:54De grandes entreprises comme Claire's, Toys R Us ou la Grande Recré sont en train de faire faillite. Qui va éponger leurs dettes?
https://www.les-crises.fr/le-prochain-k ... eez-ahmed/
Le prochain krach financier est imminent, et il pourrait avoir pour déclencheur la crise des ressources en Chine. Par Nafeez Ahmed
Le ralentissement économique de la Chine pourrait être l’un des principaux déclencheurs de la crise financière mondiale à venir. Cependant, l’un de ses principaux facteurs – la diminution de la production intérieure chinoise d’énergie peu coûteuse – est mal compris des économistes orthodoxes.
Lire le reste.Préparez-vous à la crise mondiale, lancée par la Chine... et par l’énergie
Mark Newton est un ancien de Wall Street, ancien analyste technique en chef du fonds spéculatif de plusieurs milliards de dollars Greywolf Capital, et auparavant stratège technique de Morgan Stanley. Newton pronostique que le marché boursier étasunien est sur le point d’atteindre un pic qui sera suivi d’une chute massive de 40 à 50 % à partir du printemps 2019 ou au plus tard en 2020...
Les prévisions de Newton sont similaires à celles de l’économiste étasunien Robert Aliber, professeur à la Booth School of Business de l’Université de Chicago. Plus tôt cette année, Insurge Intelligence (le site animé par l’auteur de cette tribune, NDLR) a rendu compte en exclusivité de la prévision par Aliber d’un krach boursier (40-50 % en 2018 ou peu après), sur le fondement des analyses des crises bancaires précédentes...
Cela pourrait bien conduire à un scénario de krach financier mondial bien pire que celui qui a commencé en 2008...
L’équipe a tenté d’affiner le calcul du TRE, notant que les calculs standard de ce rendement se fondent sur l’énergie produite au niveau du puits rapportée à celle utilisée pour l’extraire, alors qu’une mesure plus précise prendrait en compte l’énergie disponible au « point de consommation » (après non seulement extraction, mais aussi transformation et transport jusqu’au point d’utilisation concrète). En utilisant cette approche du TRE, l’étude constate que, sur une période d’environ trois décennies (entre 1987 et 2012), le rendement de l’extraction des combustibles fossiles domestiques de la Chine a diminué de plus de moitié, passant de 11 pour 1 à 5 pour 1...
« En 1987, les secteurs de production d’énergie consommaient en moyenne 1 tonne d’équivalent charbon standard (TEC) d’énergie pour produire 10,01 TEC d’énergie nette. Mais en 2012, ce rapport est tombé à 4,25. »...
Mais la Chine n’est pas la seule à connaître un déclin de son TRE. Il s’agit d’un phénomène mondial, qui a récemment été noté dans un rapport scientifique aux Nations unies...
On a aussi un son de cloche beaucoup plus pessimiste, évoquant que la crise est déjà installée et un nombre important de signes qui laissent entendre que le plus grave est à venir:"Cette récession semble être la plus attendue de l'histoire, on voit bien que tout le monde en parle", note Nicolas Forest.
"Quand vous regardez les différents signaux sur les marchés financiers, et notamment l'évolution de la courbe des taux aux Etats-Unis, on voit que les agents pensent même que la Fed devrait baisser les taux. Cela veut dire qu'une récession est largement anticipée et intégrée par les marchés, or il n'est pas du tout dit qu'elle va arriver", s'empresse-t-il d'ajouter.
http://www.leparisien.fr/economie/georg ... 039421.php«La finance va vivre un tsunami d’ici fin 2020», selon l’ex-n°2 de Wall Street
Delphine Denuit et Matthieu Pelloli| 25 mars 2019,
Ancien vice-président de la Bourse de New York, Georges Ugeux tire la sonnette d’alarme sur le niveau de surendettement explosif des pays industrialisés.
L’ancien numéro deux de la Bourse de New York est formel. Il faut se préparer à vivre une crise financière mondiale sans précédent avant la fin 2020. À 74 ans, l’actuel président et patron belge de la société de conseil Galileo Global Advisors, Georges Ugeux, tire la sonnette d’alarme et en décrypte les ressorts dans son dernier ouvrage « la Descente aux enfers de la finance »*.
Plus dévastatrice encore que celle qui a secoué la planète en 2008, cette crise serait cette fois non plus causée par les mauvais placements des banques mais par le niveau extrêmement élevé de l’endettement des États. Il nous explique ce qui lui fait craindre le pire.
Dix ans après la crise de 2008, qu’est-ce qui vous fait dire qu’on va dans le mur ?
GEORGES UGEUX. Depuis des années, les États ont pu s’endetter dans des conditions excessivement favorables et ne s’en sont pas privés. À tel point que des pays comme l’Italie, la France, les États-Unis et le Japon sont arrivés à niveau d’endettement qui n’est plus soutenable. Le montant de la dette publique mondiale s’élève désormais à 63 000 milliards de dollars (55 000 milliards d’euros) dont 10 000 milliards de dollars (8 800 milliards d’euros) émanant de l’Europe, 10 000 milliards de dollars du Japon et 22 000 milliards de dollars (19 000 milliards d’euros) des États-Unis… Au fur et à mesure que les taux d’intérêt augmentent -comme c’est déjà le cas-, les déficits budgétaires augmentent et menacent la notation de ces pays et leur capacité à se refinancer sans exploser. C’est arithmétique. C’est ce qui me fait dire que d’ici à fin 2020, nous allons vivre un tsunami financier. Ce qui est arrivé à Lehman Brothers, c’est lilliputien à côté de ce qui nous attend !
Quelle serait l’étincelle ?
Je ne connais pas l’élément déclencheur… Les banques centrales et les gouvernements vont peut-être la déclencher par leur action. En se rendant compte de la dangerosité et du niveau de leurs emprunts d’État, certains de ces acteurs risquent de commencer à les vendre et lancer la spirale qui va faire grimper les taux d’intérêt et on connaît la suite.
Quelles solutions préconisez-vous ?
Il faut sortir du déni. Les banques centrales doivent absolument arrêter progressivement d’emprunter de l’argent facile. Les gouvernements doivent avoir une meilleure discipline budgétaire. Et il faut tester la hausse graduelle des taux d’intérêt comme l’ont fait les États-Unis pour sortir d’urgence des taux négatifs. Je suis convaincu que lorsqu’on a des taux extrêmement bas, le fait de les bouger dans un sens ou un autre n’a aucun impact sur la décision d’un chef d’entreprise ou d’un ménage d’investir.
La France est secouée par la crise des Gilets jaunes, comment l’interprétez-vous ?
Nous vivons une perversion du capitalisme où les entreprises parviennent à faire faire aux États à peu près ce qu’elles veulent alors qu’elles contribuent peu aux besoins de l’État. Typiquement, un dispositif, le CICE (Crédit d’impôt compétitivité emploi), mis en place sous la présidence de François Hollande, a permis d’octroyer 40 milliards d’euros aux entreprises. Et alors qu’on avait demandé au Medef de s’engager sur la création d’un million d’emplois, rien n’a été fait…
Le gouvernement a pourtant mis sur la table 11 milliards d’euros, était-ce une erreur ?
Ce qui s’est passé sur les Champs-Élysées n’est pas un problème d’argent. Le problème, c’est qu’une classe moyenne entière se sent complètement déconnectée, que son vote ne sert à rien, que le président, élu théoriquement d’un gouvernement de gauche, mène une politique de droite. Emmanuel Macron a joué avec le feu. Ce qui pèche, c’est davantage la séquence des mesures lancées par Emmanuel Macron que les mesures elles-mêmes…
Que voulez-vous dire ? Il ne fallait pas supprimer l’Impôt sur la fortune (ISF) ?
Si, bien sûr. L’ISF est une aberration fiscale non parce qu’elle taxe les riches mais parce qu’elle taxe le stock de richesses qu’on appauvrit, ce qui ne sert à rien. Il aurait fallu le remplacer par une tranche d’impôt supplémentaire, une cinquième tranche imposée à 55 % à partir de 1 million d’euros de revenus par exemple. Si le citoyen a le sentiment que le système fiscal est inéquitable, il devient désespéré et c’est ce à quoi on assiste avec la crise des Gilets jaunes.
Votre discours dénote de la part d’un banquier… Seriez-vous un banquier de gauche ?
Non, d’ailleurs je ne suis plus tout à fait un banquier mais un financier. J’ai vu la finance évoluer et j’ai vécu mon chemin de Damas en 2008 en voyant à quel point les banques avaient agi de manière irresponsable et mon regard critique s’est acéré. Parce que, soyons clairs, on ment aux citoyens.
*La Descente aux enfers de la finance, préfacé par Jean-Claude Trichet, éditions Odile Jacob, 336 pages, 23,90 euros.
https://www.marketwatch.com/story/sp-50 ... 2019-03-22Stock investors should heed the warning emanating from the bond market, says at least one hedge-fund manager, as the yield curve staged a stunning inversion Friday.
“I think people are going to be surprised where the S&P 500 is trading at the end of the year. We’re going at least for a 40% decline from the S&P’s top,” Otavio Costa, a macro analyst at Crescat Capital, a hedge fund that oversees $52 million, told MarketWatch in an interview.
The analyst of the investment firm, says the inversion of the yield curve, where short-dated yields rise above their longer-dated peers, signals an ignominious end to a 10-year bull run for the S&P 500 index, which bottomed in March of 2009 but has mounted a record-long rally, by some measures, since that point.