http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=111131
La construction des porte-avions britanniques remise en cause ?
Modérateurs : Rod, Modérateurs
La construction des porte-avions britanniques remise en cause ?
Ils n'ont pas compris qu'un investissement public, s'il n'y a que peu ou pas d'importation, ne coûte rien à la collectivitéenergy_isere a écrit :Menaces sur le financement du programme de 2 porte avion en Grande Bretagne ..... alors que certains elements du programme sont déjà lancés !
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La construction des porte-avions britanniques remise en cause ?
et puis ils seraient préts aussi à réduire le programme de remplacement des sous-marins nucléaires si les autres nations le font aussi, avec en vue des ....grosses économies :energy_isere a écrit :Menaces sur le financement du programme de 2 porte avion en Grande Bretagne ..... alors que certains elements du programme sont déjà lancés !
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http://www.google.com/hostednews/afp/ar ... qenLsAe8uw....
Le plan de réduction des projets de construction de sous-marins devrait réduire de plusieurs milliards de livres le budget de la Défense au cours des dix prochaines années, au moment où le gouvernement Brown cherche à réduire la dette publique alors que la Grande-Bretagne subit la pire récession depuis des décennies.
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AJH a écrit :Ils n'ont pas compris qu'un investissement public, s'il n'y a que peu ou pas d'importation, ne coûte rien à la collectivitéenergy_isere a écrit :Menaces sur le financement du programme de 2 porte avion en Grande Bretagne ..... alors que certains elements du programme sont déjà lancés !
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La construction des porte-avions britanniques remise en cause ?
http://wiki.societal.org/tiki-index.php ... ent+Public
easy bourse a écrit :
PLUS EUROPE: La Banque d'Angleterre sur la mauvaise voie
La décision de la Banque d'Angleterre d'accroître de 25 milliards de livres sterling le montant de son programme d'assouplissement quantitatif n'aidera pas à restaurer sa crédibilité vacillante. Elle pourrait même à long terme porter véritablement préjudice à l'économie britannique.
L'argumentation en faveur d'une extension de la politique d'assouplissement quantitatif a été particulièrement faible, même selon les critères récents de la banque centrale. L'inflation est restée supérieure à ses prévisions, la livre sterling a poursuivi sa chute, et les prix des matières premières ont augmenté. Il est vrai que les statistiques officielles ont fait état d'une contraction inattendue de 0,4% du produit intérieur brut au troisième trimestre, mais peu d'économistes attachent de l'importance à ce résultat, en total décalage avec les autres indicateurs récemment publiés. Par ailleurs, l'argument de l'écart de production que continue d'utiliser la Banque d'Angleterre pour justifier le faible niveau d'inflation qu'elle anticipe ne semble plus très convaincant.
Mais surtout, la décision d'étendre les mesures d'assouplissement quantitatif ne fait pas du tout passer le bon message au gouvernement britannique, dont le refus de mettre sur pied un plan crédible pour redresser la situation budgétaire désastreuse du Royaume-Uni constitue la plus grave menace pesant sur la stabilité financière et la santé économique du pays. Il devient de plus en plus difficile de ne pas suspecter que la Banque d'Angleterre soit délibérément en train d'aider l'Etat à emprunter, au nom de la stabilité financière. Dans une vision à court terme, cela se défend. Mais à plus long terme, c'est un système économique digne d'une république bananière.
Cette nouvelle extension du programme de rachat d'obligations d'Etat de la Banque d'Angleterre va porter son montant total à 200 milliards de livres, soit assez pour couvrir 91% des émissions de gilts cette année. La dette publique du Royaume-Uni est en voie d'atteindre 100% du PIB d'ici quelques années, ce qui met en péril la note de crédit AAA du pays. Malgré cela, le gouvernement britannique envisage de nouvelles mesures de relance budgétaire à l'occasion de son point sur les finances publiques ce mois-ci - bien que la théorie économique suggère que ces mesures n'auront pas d'impact sur la croissance, car les contribuables vont ignorer ces nouvelles dépenses et se préparer plutôt à un alourdissement futur des impôts.
La Banque d'Angleterre aurait dû prouver son indépendance en marquant une pause dans son programme d'assouplissement quantitatif, ou au moins en achetant des actifs illiquides du secteur privé plutôt que des gilts surévalués. Evidemment, elle aurait ainsi risqué d'ébranler un peu les marchés, mais ce ne serait pas une si mauvaise chose si cela pouvait contraindre le gouvernement à s'occuper de la dette publique. Il y a d'ores et déjà des signes indiquant que le surendettement des Etats préoccupe les investisseurs. Le coût d'assurance de la dette souveraine japonaise a pratiquement doublé en trois mois, alors même que le Japon, contrairement au Royaume-Uni, peut financer sa dette grâce à l'épargne nationale.
Si la Banque d'Angleterre n'est pas satisfaite du taux auquel les marchés sont disposés à prêter à l'Etat britannique, elle devrait recommander au Trésor de moins emprunter, au lieu de lui signer un autre chèque.
-Simon Nixon, Dow Jones Newswires
Le PIB britannique en recul de 0,3% au 3e trimestre :
Reuters le 25/11/2009
LONDRES (Reuters) - L'économie britannique s'est contractée moins que prévu au troisième trimestre, la plupart des prévisionnistes tablant désormais sur un retour à la croissance à la fin de l'année.
Le produit intérieur brut (PIB) britannique a reculé de 0,3% au troisième trimestre, selon les chiffres publiés par l'Office national de la statistique (ONS) alors qu'il avait d'abord été annoncé en contraction de 0,4%.
Cette révision à la hausse était attendue par le marché qui avait été surpris par le premier chiffre annoncé alors qu'une sortie de récession était attendue.
Sur un an, le PIB accuse un recul de 5,1% contre une première estimation de baisse de 5,2%.
Cela fait désormais six trimestres consécutifs que l'économie britannique est en contraction. Il s'agit de la plus longue série de recul du PIB depuis que le début de cette série statistique en 1955.
Nouvel article dans mer et marine , avenir incertain de ce programme :energy_isere a écrit :Menaces sur le financement du programme de 2 porte avion en Grande Bretagne ..... alors que certains elements du programme sont déjà lancés !
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=111131
La construction des porte-avions britanniques remise en cause ?
Royal Navy : Le programme CVF peut-il vraiment être arrêté ?
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=112177Près de 400 millions d'euros de contrats pour les futurs porte-avions britanniques
Comme une réponse aux détracteurs des futurs porte-avions de la Royal Navy, le ministère de la Défense britannique vient de notifier de nouveaux contrats à l'Aircraft Carrier Alliance (Thales UK, BAE Systems, Bobcock), chargée du programme. Il y en a, cette fois, pour 333 millions de Livres, soit près de 400 millions d'euros. Depuis la signature du contrat global, en juillet 2008, plus de 1.25 milliards d'euros ont été engagés dans le programme Carrier Vessel Future (CVF), qui verra la réalisation des HMS Queen Elizabeth et HMS Prince of Wales (pour un coût total d'environ 5 milliards d'euros). « Ces nouvelles devraient rassurer ceux qui doutent de l'engagement du gouvernement dans le programme. Ces contrats vont assurer des milliers d'emplois au travers de la chaine d'approvisionnement, en plus des milliers d'emplois nécessaires au principal chantier de construction chargé de réaliser les navires. La phase de production du programme des porte-avions est maintenant bien engagée. Les premiers éléments sont déjà arrivés à Rosyth, où ces navires, qui seront la pierre angulaire de la future Royal Navy, seront assemblés », a déclaré Quentin Davies, secrétaire d'Etat à la Défense pour l'équipement et le soutien.
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http://www.boursorama.com/infos/actuali ... c89028f7ddL'économie britannique sort timidement de la récession :
LONDRES (Reuters) - L'économie britannique est sortie de justesse de la récession au quatrième trimestre grâce à une petite hausse de l'activité dans l'industrie et les services, mais sa croissance a été très inférieure aux attentes.
La récession a été nettement plus grave que celles du début des années 1980 et 1990 et le gouvernement travailliste compte beaucoup sur la reprise pour faire remonter sa cote dans les sondages, à 100 jours environ des élections législatives.
Selon les chiffres de l'Office national de la statistique (ONS) publiés mardi, le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a augmenté de 0,1% sur la période octobre-décembre par rapport au trimestre précédent.
Les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne une croissance de 0,4% après 18 mois de récession qui ont vu l'économie se contracter de 6%.
Il s'agit de la première croissance du PIB en rythme trimestriel enregistrée depuis le premier trimestre 2008.
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Dans ce genre de situation, on peut même avoir des doutes sur la véracité du cheveu.energy_isere a écrit :les stats font ressortir une variation de PIB positive au T4, mais alors c' est vraiment d' un cheveu :
bréve de contre info de ce jour.Des privilèges de la souveraineté : la Grande Bretagne a monétisé (racheté avec de la monnaie créée pour l’occasion) sa dette à hauteur de 10% du PIB (FT alphaville)
source de contreinfo : http://ftalphaville.ft.com/blog/2010/02 ... -of-gilts/.....Which means a significant portion of the UK’s £178bn deficit is being funded by the Bank of England’s own gilt-purchases.....