Le Cuivre

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Copper price surpasses $11,000 as tariff fears drive rally

Staff Writer | March 20, 2025

Copper prices scored another high on Thursday, surpassing the $11,000-a-tonne mark in New York, amid global trade dislocations triggered by US President Donald Trump’s push for tariffs.


Trump last month ordered his Commerce Department to investigate the nation’s imports of copper as a likely precursor to imposing duties. Since then, US prices have spiked and traders have rushed to send metal to America ahead of any tariffs, in turn reducing availability in the rest of the world.

Copper futures on the COMEX rose 0.3% to trade at about $11,270 per tonne by 1 p.m. ET. This represents a premium of almost 13% over trading on the London Metal Exchange, where the metal just crossed the $10,000 mark.



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https://www.mining.com/web/copper-price ... iff-fears/

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Nouveau prospect de Cuivre dans le nord du Chili : Valeriano par ATEX Resources

Atex stock rises on best copper-gold porphyry assay yet at Valeriano project in Chile

Blair McBride - The Northern Miner | March 18, 2025


The Valeriano Project is located in the Huasco Province of the Atacama Region of northern Chile. Credit: Atex Resources

Drilling at ATEX Resources’ (TSXV: ATX) Valeriano copper-gold project in northern Chile returned results as high as 2.21% copper – the company’s highest-grade intersection yet in mineralized porphyry at the site. Shares jumped.


Hole ATXD25A cut 30 metres grading 2.21% copper, 3.17 grams gold per tonne, 15.1 grams silver and 3 grams molybdenum from 1,892 metres depth, the company reported Tuesday. The hole also pierced 16 metres at 3.04% copper, 4.82 grams gold, 21.1 grams silver and 5 grams molybdenum from 1,896 metres depth.

“Valeriano keeps getting better with every hole in the (stage five) program to date intersecting significant high-grade mineralization and setting new records for the project,” Atex president and CEO Ben Pullinger said in a release.

Hole ATXD25A extended the high-grade porphyry trend by about 1,000 metres, where it remains open, Pullinger added.

Upcoming resource

BMO Capital Markets analyst Rene Cartier wrote in a note on Tuesday that Atex’ stage five program continues to deliver, and supports the company’s upcoming resource estimate, expected to be released in the second half of the year. That update is to convert inferred resources to indicated, Atex said.

Valeriano hosts 1.4 billion inferred tonnes grading 0.49% copper, 0.21 gram gold, 0.99 gram silver and 62.4 grams molybdenum, according to a resource released in 2023. Contained metals total about 7 million tonnes copper, 9.5 million oz. gold, 46.1 million oz. silver and 90,100 tonnes molybdenum.

Atex shares rose 7.8% to C$2.34 apiece on Tuesday morning in Toronto, giving the company a market capitalization of about C$647 million. In the past year, the stock has traded between C$1.13 and C$2.40.

Agnico investment
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https://www.mining.com/atex-rises-on-be ... valeriano/

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Pourquoi les Américains se précipitent sur le cuivre et font exploser les cours

Article de Pauline Guillaume 29 mars 2025

Alors que l'or continue de battre des records, le cuivre s'impose aussi comme une valeur phare sur les marchés financiers. Jeudi dernier, son cours a dépassé les 10.000 dollars la tonne à New York, enregistrant une progression de près de 30% ces derniers jours par rapport à son niveau de début d’année.

Cette envolée des prix s’explique en grande partie par l’incertitude entourant les décisions politiques américaines, qui alimentent la spéculation et bouleversent les échanges internationaux.

Pour cause, le 16 février 2025, le président des États-Unis Donald Trump a signé un décret ordonnant au département du Commerce d’ouvrir une enquête pour "étudier les importations de cuivre"; souhaitant mettre fin à un "commerce déloyal" qui, selon lui, priverait les Américains d’emploi. Cette enquête, devait aboutir à une décision dans un délais initialement prévu de 270 jours.

Selon Bloomberg, citant une source proche du dossier, celle-ci devrait finalement paraître dans les semaines à venir. L’annonce, faite dans le cadre du Trade Expansion Act, constitue un préliminaire qui pourrait déboucher sur l’imposition de droits de douane dès le 2 avril, a précisé Trump devant le Congrès Américain début mars.

"Un véritable stress sur le marché"

L’incertitude autour des droits de douane "génère un véritable stress sur le marché", comme l’explique Olivier Lechevalier, cofondateur de DeftHedge, une plateforme financière spécialisée dans les matières premières. Les industriels américains se prémunissent contre un risque de hausse subite des prix à l’achat sur ce métal précieux pour leurs productions : "Avec les menaces tarifaires, aux ֤États-Unis, on stocke !", explique Pierre-Alexis Dumont, invité à l’antenne de BFM Bourse.

Sur les quatre dernières semaines, les importations de cuivre vers les États-Unis ont bondi, atteignant un niveau inédit de 500.000 tonnes, soit près de sept fois leur volume mensuel habituel. Les États-Unis dépendent à environ 45% de ces importations pour leur consommation, le Chili étant le plus important fournisseur, représentant 41% des importations, suivi par le Canada à 27%. Une raison de plus pour les Américains d’anticiper les possibles taxes.

Outre les menaces douanières de Donald Trump, la faiblesse du dollar peut expliquer l’augmentation de la demande et la hausse des prix. Etant libellé dans cette devise, le cuivre devient moins coûteux pour les investisseurs dont la devise de référence n’est pas le dollar, quand le billet vert est bas. Depuis la mi-janvier, la devise américaine s’est affaiblie, par rapport aux autres grandes monnaies du groupe G10, le dollar index (DXY) évolue en baisse de 4%.

La Chine, assurant la moitié du raffinement mondial avec 12,3 millions de tonnes de cuivre raffinées en 2023, a fixé un objectif de croissance du PIB de 5% pour 2025 lors de son rapport annuel sur le travail gouvernement. Ce rapport, cité par Pepperstone, met en avant un renforcement des mesures de relance budgétaire ainsi qu’un engagement à stabiliser le secteur immobilier, et souligne aussi le soutien à la consommation, aux technologies et aux ajustements des politiques démographiques.

En tant que métal industriel clé et indicateur économique, le cuivre a bénéficié de l’optimisme suscité par ces perspectives de croissance, renforcé par les investissements liés à l’intelligence artificielle.

Par ailleurs, le cuivre est nécessaire pour la construction d’éoliennes, de panneaux solaires ou de batteries. Cinq fois plus présent dans une voiture électrique que thermique, le fil rouge est réputé pour être le métal phare de la transition énergétique.

Des écarts inédits entre Londres et New York

Cette ruée vers le métal rouge a bouleversé l’équilibre du marché mondial. Par conséquent, la principale bourse des métaux de Londres, le London Metal Exchange (LME), a vu ses stocks fortement diminuer. De leur côté, ceux du marché Américain des matières premières à New York, le COMEX (Commodity Exchange), ont considérablement augmenté.

Aux États-Unis, les prix du cuivre ont augmenté de 30% depuis le début de l’année, soit 16 points de plus que ceux à Londres (14%) ; creusant un écart record de 1600 dollars la tonne entre les deux marchés.

Entre autres, cette différence s’explique par : la demande explosive aux États-Unis, des tensions logistiques, ainsi qu’un réseau d’entrepôts plus restreints côté Américain, par rapport à Londres, qui bénéficie d’une couverture mondiale, d’après l’analyse d’Olivier Lechevalier.

Cet écart croissant est aussi le reflet des mouvements de traders et des fonds spéculatifs. Face aux incertitudes entourant le marché du cuivre, de nombreux investisseurs parient sur une envolée des cours, augmentant ainsi la pression sur les marchés. Les fonds spéculatifs profitent des opportunités d’arbitrage, achetant du cuivre là où il est le moins cher pour le revendre plus cher sur le marché Américain.

Des conséquences pour l’industrie mondiale

Donald Trump appliquera-t-il ces droits de douane? Selon Ole Hansen, analyste chez Saxo Bank, cité par l’AFP, si la Maison Blanche décidait de ne pas imposer de taxes sur le cuivre, le cours du métal "pourrait être bouleversé de 10 à 12% en quelque secondes". En revanche, si les droits de douane entraient en vigueur, les prix continueraient probablement de grimper avant de se stabiliser une fois la taxe de 25% appliquée.

Olivier Lechevalier estime cependant que Donald Trump appliquera bel et bien ces droits de douane : "Il ira au bout de ses idées." Une décision qui pourrait entraîner des répercussions bien au-delà des États-Unis, affectant aussi les marchés européens et mondiaux. En augmentant le coût du cuivre importé aux États-Unis, ces mesures pourraient provoquer un redéploiement des flux commerciaux, entraînant une plus grande disponibilité du métal sur d'autres marchés, mais aussi une pression sur les prix et les stratégies d'approvisionnement des industriels.

À long terme, les entreprises américaines devront arbitrer entre acheter localement à un prix plus élevé ou continuer à s’approvisionner à l’étranger, en assumant le coût des taxes, selon Oliver Lechevalier. "Il y aura un effet de hausse dans un premier temps, quoi qu’il arrive", précise l’analyste. Toutefois, l’évolution des prix dépendra aussi des grands producteurs comme le Chili et le Pérou.

Ces pays devront maintenir des tarifs suffisamment élevés pour assurer la rentabilité des mines, notamment en couvrant les coûts énergétiques, les investissements et la recherche. Il s’agira alors de trouver un équilibre entre la compétitivité du marché et la viabilité du secteur.

https://www.msn.com/fr-fr/finance/econo ... 156d&ei=57

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Buenaventura seeks to unlock $2.7 billion Peru project with water deal

Reuters | March 25, 2025

Buenaventura, one of Peru’s largest mining firms, signed a water concession with the government on Tuesday in a bid to unlock the development of a major copper project at a time when the country’s production of the red metal is flagging.


Investment in the Algarrobo project, including both the mine and water infrastructure in Peru’s northwest Piura region, could reach $2.77 billion over 10 years, said Proinversion, the state-run agency that signed the contract with Buenaventura.

The project is contingent on an agreement between the company and neighboring communities, which would ensure the Tambogrande district is supplied with water, often a scarce resource in the high-altitude Andean regions.

Local opposition to mining concessions in Peru often causes years-long delays. It could be three years before Buenaventura initiates the studies necessary for its Algarrobo project, the company said.

“The first step is to build a solid social agreement with communities and authorities. This will lay the groundwork for a consolidated underground copper mining project,” said Aldo Masa, Buenaventura’s vice president of business development and marketing.

Peru is promoting copper project development as its production has stagnated due to a lack of investment and declining ore grades at major mines, according to analysts and industry data.

Peru has fallen to third place in global copper production, surpassed by Democratic Republic of Congo. The world’s top producer remains Chile by some distance.

Buenaventura, which owns several gold and silver mines in Peru, also owns 19.58% of the Cerro Verde copper deposit, the country’s largest copper mine, operated by Freeport McMoRan.

https://www.mining.com/web/buenaventura ... ater-deal/

la mine serait souterraine et est polymétallique avec Cuivre, Zinc et Argent :

Peru’s government entrusts Compañía de Minas Buenaventura with the $2.753 billion El Algarrobo mining project in Tambogrande, Piura, a region rich in agricultural promise.

This underground operation targets copper, zinc, and silver, projecting 5,000 tons daily, expanding to 15,000 later.

https://www.riotimesonline.com/perus-el ... ion-clash/

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Le projet de cuivre Hope & Gorob peut soutenir la diversification minière en Namibie

Agence Ecofin 04 avril 2025

L’industrie minière namibienne est principalement dominée par les filières diamants et uranium. Elle connaît néanmoins une diversification progressive ces dernières années, grâce à l’or et les minéraux essentiels pour la transition énergétique.

Le mercredi 2 avril, Bezant Resources a annoncé avoir reçu l’approbation d’un certificat d’autorisation environnementale (ECC) par le ministère namibien de l’Environnement et du Tourisme pour son projet de cuivre Hope & Gorob. Cette étape préalable à l’octroi du permis d’exploitation minière constitue une avancée majeure, car elle permettra de passer à la finalisation du financement pour le début de construction de la mine.

Mais elle survient aussi dans un contexte plus large de diversification de l’industrie minière namibienne. Hope & Gorob renferme selon les estimations actuelles 15 millions de tonnes de cuivre titrant 1,2%, pour un total de 190 000 tonnes de cuivre contenu. Son développement effectif pourrait ainsi renforcer la capacité de production cuprifère du pays, aux côtés des mines Kombat (Trigon Metals) et Tsumeb (Dundee Precious Metals).

De quoi soutenir la diversification du secteur minier local, largement dominé par l’exploitation des diamants et de l’uranium. Selon la chambre des Mines de la Namibie, ces deux minerais ont été les principaux contributeurs de cette industrie en 2023, même si l’or s’est également illustré grâce à une croissance de 31% de la production aurifère enregistrée cette année-là.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... en-namibie

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Après son succès sur le cuivre en RDC, Ivanhoe se tourne vers la Zambie

Agence Ecofin 03 avril 2025

Arrivée sur le projet Kamoa-Kakula à la fin du 20e siècle, Ivanhoe Mines en a fait la plus grande mine africaine de cuivre, contribuant à la hausse de la production de la RDC, leader du secteur sur le continent. La compagnie veut poursuivre cette success-story en Zambie, 2e producteur africain de cuivre.

Après avoir fait de Kamoa-Kakula (RDC) la plus grande mine africaine de cuivre, Ivanhoe Mines s’intéresse désormais à la Zambie, deuxième producteur africain de cuivre. La compagnie basée au Canada a annoncé mercredi 2 avril l’obtention d’un ensemble de licences d’exploration couvrant 7757 km² dans la province zambienne du Nord-Ouest.

Ivanhoe nommera des consultants environnementaux au cours du deuxième trimestre 2025 pour élaborer un Plan de gestion environnementale (EMP) en vue de son approbation par l'Agence de gestion environnementale de Zambie (ZEMA). Parallèlement à ces travaux, la compagnie analysera les données géophysiques aéroportées de la concession, en prélude au lancement d’un programme de forage Air Core et à la tarière. Ce travail permettra à l'équipe de géologues d'Ivanhoe de cartographier en détail la vaste zone de licence, dans le but de définir des cibles pour les futurs forages au diamant.

Notons que la concession nouvellement acquise en Zambie est située à 230 km au nord-est du projet congolais Western Forelands de la compagnie. Ivanhoe indique que cette concession présente des similitudes géologiques avec les découvertes de cuivre réalisées en RDC, notamment à Kamoa-Kakula. La compagnie mise ainsi sur l’extension de la ceinture cuprifère commune entre la RDC et la Zambie.

« Notre entrée en Zambie marque un nouveau chapitre passionnant dans l'engagement d'Ivanhoe Mines à étendre notre empreinte d'exploration et à tester l'étendue de la ceinture cuprifère d'Afrique centrale... qui est déjà la plus grande et la plus riche ceinture cuprifère sédimentaire au monde », explique Robert Friedland (photo), président exécutif de la compagnie.

La question est désormais de savoir si Ivanhoe pourra reproduire en Zambie un succès similaire à celui obtenu en RDC. À Kamoa-Kakula, la compagnie dispose actuellement d’une capacité de production annuelle d’environ 600 000 tonnes de cuivre, qu’elle veut porter à plus de 800 000 tonnes à terme. À défaut d’atteindre de tels chiffres, un succès en Zambie permettrait à la compagnie de diversifier sa production de cuivre, qui dépend exclusivement de la RDC pour le moment.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... -la-zambie

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Codelco strikes copper deal with Adani amid tariff threat

Cecilia Jamasmie | April 2, 2025

Chile’s state-owned Codelco, the world’s top copper producer, has agreed to supply metal concentrate to India’s Adani Group for its $1.2-billion smelter, expanding its market reach as the US considers a 25% tariff on copper imports.

Shipments will begin this year, Codelco announced following a meeting between its chairman, Máximo Pacheco, and Adani Group’s Gautam Adani at the conglomerate’s headquarters in the western Indian state of Gujarat.

Adani’s Kutch Copper smelter — the world’s largest single-location plant of its kind — has struggled with its ramp-up since launching last year, as the global copper market faces its worst concentrate shortage in decades.

India’s copper imports have soared since the 2018 closure of Vedanta ‘s Sterlite smelter, which had a capacity of 400,000 tonnes. The country’s only domestic producers are Hindalco Industries, part of the Aditya Birla Group, and state-run Hindustan Copper.

With copper smelters worldwide grappling with ore shortages, Adani’s plant is among a wave of new facilities straining global supply. Smelting fees — payments to processors for refining concentrate into metal — have dropped below zero, according to Fastmarkets data.

The Kutch smelter, which has a capacity of 500,000 tonnes per annum (ktpa) and the potential to expand to 1 million tpa, entered a joint venture last month to produce wires and cables, increasing its exposure to the downstream copper supply chain.

“Given the persistent tightness in the concentrate market, we expect more smelters to focus on securing their medium- and long-term concentrate supply,” BMO Capital Markets said in a note on Wednesday.

Codelco also signed a memorandum of understanding with state-owned Hindustan Copper Ltd. to collaborate on exploration and processing, further deepening its ties with India’s mining sector.

https://www.mining.com/codelco-strikes- ... ff-threat/

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Codelco regains title as world’s top copper producer

Agustín de Vicente / April 1, 2025

Chile’s Codelco has regained title as the world’s largest copper producer, narrowly beating BHP by 10,000 tonnes, according to an internal report from the company on Friday.

Codelco posted total annual production of 1.44 million tonnes. According to Bloomberg Intelligence estimates, Melbourne-based BHP Billiton’s 2024 copper production should be 1.43 million tonnes.

Chief Executive Officer Ruben Alvarado of Codelco said the company is overhauling everything from geological modelling, to mining technology, to beneficiation processes. These key projects are unlocking the hidden value of older mines. Codelco is struggling to recover and catch up from delays and missteps in its projects, after the state-run giant experienced decades of underinvestment.

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https://www.miningreporters.com/noticia ... r-producer

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Le cuivre secoué

11 avril 2025

La semaine a été très agitée sur le marché des métaux non-ferreux, leurs cours ont fortement réagi aux évolutions des droits de douane de Donald Trump.

Le cuivre s'est affiché au plus bas depuis novembre 2023 à la Bourse des métaux de Londres (LME) lundi, à 8.732 dollars la tonne, avant de remonter fortement, notamment avec la suspension de nombreux droits de douane dits "réciproques" par Donald Trump mercredi.

Si le cuivre est pour l'instant épargné par les surtaxes de la Maison Blanche, ce métal rouge, très utilisé dans l'industrie, est très sensible à l'activité des grands pays consommateurs de métaux. Il est souvent considéré comme un reflet de l'état de santé de l'économie mondiale.

Or, l'offensive protectionniste de Donald Trump a rehaussé les craintes d'un ralentissement majeur de l'économie, voire d'une récession aux Etats-Unis.

Le "marché reste prudent car le président Trump a indiqué qu'il prévoyait d'introduire des droits de douane spécifiques au cuivre dans les semaines à venir", rappelle Alan Bush, analyste chez ADM Investors Services.

L'embellie en fin de semaine pourrait être liée à la reprise d'achats pour constituer des réserves avant l'arrivée de ces possibles droits de douane.

Sur le LME, une tonne de cuivre coûtait 9.138,50 dollars vendredi, contre 8.780 dollars sept jours plus tôt à la clôture.

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 7627f7120e

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Barrick Mining, plus qu'un changement de nom pour le 2e producteur mondial d'or

Agence Ecofin 07 avril 2025

Barrick Gold a produit 3,9 millions d’onces en 2024 et 195 000 tonnes de cuivre. Deuxième producteur mondial d’or, la compagnie veut doubler sa production de cuivre d’ici 2031 et envisage de changer de nom pour refléter ce repositionnement stratégique.

Le canadien Barrick Gold Corporation veut changer de nom et devenir Barrick Mining Corporation. Plus qu’un changement d’identité, cette proposition annoncée vendredi 4 avril traduit l’ambition du deuxième producteur mondial d’or de renforcer son empreinte sur un autre métal, le cuivre. Ce repositionnement en cours pourrait aussi s’accompagner d’un rôle encore plus important pour l’Afrique, qui représente déjà 34 % de la production d’or du groupe.

Barrick a annoncé en 2023 une stratégie lui permettant de doubler sa production de cuivre à l’horizon 2031, avec un volume annuel attendu alors à 1 milliard de livres ou 450 000 tonnes. Cette stratégie repose sur l’augmentation de la production de cuivre à la mine Lumwana en Zambie, grâce à un investissement de 2 milliards $ visant à livrer annuellement 240 000 tonnes de cuivre.

A cela s’ajoute la production attendue à la mine de cuivre Reko Diq au Pakistan, dont la construction devrait s’achever en 2029. Barrick détient 50 % d’intérêts dans le projet et prévoit une production de 200 000 tonnes de concentré de cuivre par an, ainsi que 250 000 onces d’or. Cet objectif devrait être atteint grâce à un investissement initial de 5,5 milliards $, suivi d’un investissement supplémentaire de 3,5 milliards $ permettant de doubler la production.

« La société sera bientôt un important producteur de cuivre : Reko Diq est l'un des plus grands gisements de cuivre et d'or non exploités, tandis que Lumwana deviendra l'une des principales mines de cuivre au monde. Nous vous proposons donc de changer notre nom » indique donc John Thornton, président de Barrick, dans sa lettre annuelle aux actionnaires.

Si les ambitions de Barrick dans le cuivre en Afrique reposent en ce moment sur la Zambie, la compagnie canadienne envisage aussi d’étendre sa présence sur le continent, en misant sur le potentiel de la RDC. Ces derniers mois, son PDG Mark Bristow a évoqué à plusieurs reprises cette possibilité, indiquant que la société capitalisera sur son succès dans l’exploitation de la mine d’or Kibali, la plus grande de RDC et l’une des plus grandes d’Afrique. Alors que la RDC recherche de nouveaux partenaires afin de réduire l’influence chinoise dans son secteur minier, le moment pourrait être idéal pour Barrick, afin de sécuriser des projets d’exploration cuprifère.

Rappelons que ce repositionnement s’explique par le rôle essentiel du cuivre dans la transition énergétique mondiale, avec une hausse de jusqu’à 70 % de la demande mondiale d’ici 2050, selon BHP. Cependant, jusqu’ici, aucune avancée concrète n’est encore enregistrée en ce qui concerne les ambitions de Barrick dans le cuivre en Afrique. Développer de nouveaux projets en RDC ou même en Zambie pourrait prendre plusieurs années.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... ondial-dor

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RDC : Ivanhoe importe l’énergie pour lancer la plus grande fonderie de cuivre d’Afrique

Agence Ecofin 08 avril 2025

Ivanhoe Mines exploite en RDC la plus grande mine africaine de cuivre. La compagnie a lancé sur le site la construction de la plus grande fonderie de cuivre du continent, d’une capacité annuelle de 500 000 tonnes d’anodes, afin de raffiner localement une partie de la production de sa mine.

Ivanhoe Mines prévoit pour juillet 2025 la première production d’anodes de cuivre à la fonderie de Kamoa-Kakula en RDC. C’est l’annonce faite lundi 7 avril par la compagnie minière canadienne qui indique qu’elle a sécurisé l’approvisionnement électrique nécessaire pour démarrer l’exploitation de la plus grande fonderie de cuivre d’Afrique.

En mars 2025, la compagnie a signé un accord pour porter cette capacité de 50 MW à 70 MW, soit une hausse de 40 %. Cette électricité provient du Mozambique, via le réseau du Southern Africa Power Pool (SAPP), et transite par l’interconnexion électrique avec la Zambie pour atteindre les installations de Kamoa-Kakula. Une nouvelle augmentation à 100 MW est attendue dans les prochains jours.

Depuis plusieurs mois, Ivanhoe fait face en effet à des difficultés pour garantir un approvisionnement électrique stable, indispensable à ses activités. La compagnie a pris les devants pour assurer le lancement de la fonderie, prévue pour consommer 45 MW au démarrage et atteindre 70 MW à pleine capacité. Avec la mine Kamoa-Kakula qui nécessite une puissance moyenne de 130 à 140 MW (estimation de mars 2025), Ivanhoe a donc besoin de plus de 200 MW pour assurer l’ensemble de ses activités sur le site.

Pour atteindre cet objectif, la compagnie peut s’appuyer non seulement sur l’électricité importée, mais aussi sur une alimentation locale de 50 MW fournie par le réseau électrique congolais. En cas de défaillance, le site dispose également d’une capacité de secours de 160 MW en diesel. De plus, à partir du dernier trimestre 2025, Ivanhoe bénéficiera de 50 MW supplémentaires grâce à la mise en service de la turbine 5 d’Inga II, avec un potentiel maximal de 178 MW en 2026.

Pour rappel, la fonderie de Kamoa-Kakula s’approvisionnera en concentré de cuivre sur la mine de cuivre éponyme, la plus grande de RDC et d’Afrique. L’installation dispose d’une capacité de production annuelle de 500 000 tonnes d’anodes à 99,7 % de pureté.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... -d-afrique

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suite de ce post du 26 janvier 2025 viewtopic.php?p=2405975#p2405975

Reko Diq JV approves updated feasibility study and appoints Fluor for EPCM
The project remains on track for first production by the end of 2028.

April 9, 2025

Canadian miner Barrick Gold has announced that shareholders in the Reko Diq joint venture (JV) in Pakistan have approved an updated feasibility study for the Reko Diq copper-gold project and conditionally approved its related phase one development capital.

This approval is contingent on securing up to $3bn (C$4.26bn) in limited recourse project financing, paving the way for major works to commence in 2025.

The Reko Diq project is 50% owned by Barrick Gold, 25% by three federal state-owned enterprises and 25% by the Government of Balochistan.

Operated by Barrick, the project is located in the Balochistan Province of Pakistan and considered to be one of the world’s largest untapped copper-gold resources.

Barrick president and CEO Mark Bristow highlighted this milestone during the Pakistan Minerals Investment Forum in Islamabad, noting strong support from the governments of Balochistan and Pakistan.

The Reko Diq project remains on track for first production by the end of 2028.

Additionally, Fluor has been chosen as the lead engineering, procurement and construction management (EPCM) partner for the project.

The company will collaborate closely with the Barrick Owner’s Team on the detailed design and construction phases.

Bristow said: “The selection of Fluor as our EPCM partner strengthens our ability to execute the Reko Diq project with the technical rigor, operational discipline and socio-environmental responsibility that are hallmarks of both companies.

“We look forward to working closely with Fluor to ensure that Reko Diq delivers lasting value to all our stakeholders, particularly the people of Balochistan and Pakistan.”

Fluor’s involvement will be bolstered by a consortium of engineering consultancies including Knight Piesold, PRDW and Vecturis, which have contributed to the feasibility study.

Metso, Weir and Komatsu have also been selected as key partners, supplying the majority of the processing and mining equipment necessary for the project.

Weir secured a $68.94m contract to supply energy-efficient solutions to the Reko Diq project in August 2024.

Bristow said: “These engineering and supply partnerships bring extensive global experience in delivering large copper concentrate projects in challenging jurisdictions, including high-altitude, remote and logistically complex environments. This expertise aligns strongly with Barrick’s own track record of successfully developing and operating major projects in challenging jurisdictions around the world.”

Earlier this month, Capital signed a material mining services contract for the Reko Diq project.

https://www.mining-technology.com/news/ ... v/?cf-view

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suite de ce post du 12 nov 2023 viewtopic.php?p=2380031#p2380031

Aurubis to ramp up new US copper recycling facility

Reuters | April 9, 2025

Aurubis will be ramping up its copper recycling smelter in the US this year, the German company’s CEO Toralf Haag told Reuters on Wednesday, adding Aurubis sees more potential for investment in future years.


Aurubis has invested $800 million building the project, which took four years. Haag said it will process 180,000 metric tons of complex copper scrap and produce 70,000 tons of refined metal annually.

“North America is an attractive market. There is no large recycling facility in North America up to now, the majority of the scrap is exported,” Haag said in an interview on the sidelines of the CESCO and CRU copper conferences.

The US exported nearly 960,000 tons of copper scrap last year, according to information provider Trade Data Monitor (TDM), of which 41% was shipped to China, 11% to Canada and 10% to Thailand.

US President Donald Trump has ordered an investigation on the potential for import tariffs on copper including scrap, aiming to encourage more local production of the metal used in the power and construction industries.

“The decision to invest in a recycling operation could play an even more important role now, having a facility in the US is beneficial for us,” Haag said, adding that the site in Richmond was Aurubis’ only operation in the US.

Aurubis could invest in further recycling capacity in the US. “Currently Aurubis focuses on delivering on the Richmond project,” Haag said.

Sources of copper scrap include the auto industry and cables from telecoms companies. Aurubis expects data centres to be a source of scrap in the future.

“Copper in data centres lasts three to five years, then it needs to be replaced because the technology is moving so fast.”

Data centres for artificial intelligence are expected to be a major source of future copper demand.

https://www.mining.com/web/aurubis-to-r ... -facility/

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suite de ce post du 22 mars 2025 viewtopic.php?p=2408674#p2408674

First Quantum va renforcer sa présence dans le cuivre zambien avec le projet Mumbezhi

Agence Ecofin 16 avril 2025

La Zambie est au cœur du portefeuille d’actifs cuprifères de First Quantum Minerals. La société, qui exploite les mines Kansanshi et Sentinel, a produit dans le pays 402 000 tonnes de cuivre en 2024, soit 93% de sa production totale de ce métal pour l’année.

Dans une note publiée le mardi 15 avril, Prospect Resources a annoncé avoir conclu un accord avec First Quantum Minerals pour lever 15,2 millions de dollars australiens (environ 9,5 millions USD) destinés à son projet cuprifère Mumbezhi en Zambie. En échange de cet investissement, First Quantum va acquérir une participation de 15% dans cet actif, consolidant ainsi sa présence dans le pays d’Afrique australe.

Cette compagnie minière basée à Toronto est de fait un acteur clé du secteur minier zambien. Ses deux principales mines locales, Kansanshi et Sentinel, ont produit 402 000 tonnes de cuivre en 2024, soit presque la moitié de la production cuprifère nationale qui s’est établie à 829 670 tonnes.

La transaction survient aussi dans un contexte où la Zambie prend une place de plus en plus stratégique dans le portefeuille de First Quantum. Depuis la suspension des opérations à sa mine Cobre Panamá (Panama) fin 2023, Kansanshi et Sentinel ont représenté 93% de sa production de cuivre en 2024, contre seulement 49% un an plus tôt.

Avec Mumbezhi, First Quantum s’appuie sur un actif en plein développement pour soutenir ses opérations dans le pays. Dans une première estimation des ressources du projet, Prospect a mis en évidence un potentiel de 107 millions de tonnes en minerais à une teneur de 0,5% de cuivre pour cet actif. L’étude prenait alors en compte les gisements de Nyungu Central et Kabikupa. Une deuxième phase d’exploration devrait débuter d’ici juin, avec pour objectif de renforcer les ressources du projet.

Il faut néanmoins souligner que si un succès de ces travaux exploratoires en confirmera le potentiel, la découverte de nouvelles ressources cuprifères ne garantit pas forcément la construction d’une mine sur le site. Cela nécessiterait en effet que la viabilité économique d’une telle décision soit justifiée dans le cadre d’études dédiées. Une étape déterminante pour le projet, mais aussi pour les parties prenantes, dont First Quantum.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... t-mumbezhi

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suite de ce post du 22 nov 2020 : viewtopic.php?p=2312486#p2312486

Russia invests $13.4bn in Baimskaya copper mine
The mine development will create approximately 6,000 jobs and generate over Rbs3tn in tax revenue.

April 21, 2025

Russian state bank VEB will invest more than Rbs1.1tn ($13.4bn) into the development of the Baimskaya copper mine in the Chukotka region, reported Reuters.

The Baimskaya project includes a mine, processing plant, and key infrastructure such as a port and 428km road to enable year-round exports.

The annual ore processing capacity is projected at 70 million tonnes (mt), with average yearly copper output of 300,000 tonnes (t) during the first ten full years.

The Baimskaya copper mine development is set to create approximately 6,000 jobs and generate more than Rbs3tn in tax revenue.

The mine’s operation is expected to increase Russia’s copper production by 25% and gold production by 4%.

Chukotka, a mountainous area situated in the far east of Russia, with about half its territory above the Arctic Circle, is poised to experience economic growth from this venture.

Baimskaya Management Company general director Georgy Fotin said: “We continue to build not just a mining and processing plant, but a powerful and technologically-advanced industrial complex that will strengthen Russia’s position in the global market and become a new point of growth in the Arctic.”

President Vladimir Putin has highlighted the Arctic as a strategic economic zone for Russia, with increased commercial activity along the Northern Sea Route (NSR) as the country pivots trade towards Asia amid Western sanctions.

The development of the Baimskaya deposit is projected to raise annual cargo traffic on the NSR by 2mt.

The project forms part of the Social and Economic Development Strategy for the Far East and Baikal Region through 2025, and for the Chukotka Autonomous Region through 2030.

https://www.mining-technology.com/news/ ... t/?cf-view


Baimskaya copper-gold project boasts 9.5mt of copper and 16moz of gold. Image: Kaz Minerals

https://www.mining.com/web/russias-veb- ... -far-east/