L'économie mondiale
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- kercoz
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L'économie mondiale
dans notre réservoir on met , a l'insu de notre plein grès , combien de craburant végetal , ...3% ...5 % .. ?....aucun rapport (direct) avec la "corne de l'Afrique" ...carrément aucun , c'est juste pas de bol , on ne va pas gacher nos vacances pour ça ...etc ...
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)
- energy_isere
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Re: Filiére bois - energie
pour 2010, et en moyenne pour l' Union Européenne c' est 4.7 %.kercoz a écrit :dans notre réservoir on met , a l'insu de notre plein grès , combien de craburant végetal , ...3% ...5 % .. ?....aucun rapport (direct) avec la "corne de l'Afrique" ...carrément aucun , c'est juste pas de bol , on ne va pas gacher nos vacances pour ça ...etc ...
voir ce post : viewtopic.php?p=298611#p298611
- Raminagrobis
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Re: Filiére bois - energie
AZucun rapport effectivmeent, vu qu'on n'importe pas d'oléagineux de cette région.kercoz a écrit :dans notre réservoir on met , a l'insu de notre plein grès , combien de craburant végetal , ...3% ...5 % .. ?....aucun rapport (direct) avec la "corne de l'Afrique" ...carrément aucun , c'est juste pas de bol , on ne va pas gacher nos vacances pour ça ...etc ...
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- kercoz
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Re: Filiére bois - energie
Pas un peu facile comme réponse ? le prix de la nourriture dépend d'un marché mondial .....ils crevent de soif ..pas de notre faute , on ne remplit pas nos piscines avec LEUR eau ..le producteur de riz ou de blé préfère vendre au prix du petrole pour que NOUS puissions rouler ...il faut qd meme etre lucide sur notre "propre" implication ds cette saloperie ...dire qu'il est difficile de ne pas y participer , c'est une chose , dire que nous ne sommes pas impliqués c'est une autre chose...autre chose déja plus insidieuse .Raminagrobis a écrit :AZucun rapport effectivmeent, vu qu'on n'importe pas d'oléagineux de cette région.kercoz a écrit :dans notre réservoir on met , a l'insu de notre plein grès , combien de craburant végetal , ...3% ...5 % .. ?....aucun rapport (direct) avec la "corne de l'Afrique" ...carrément aucun , c'est juste pas de bol , on ne va pas gacher nos vacances pour ça ...etc ...
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- Raminagrobis
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Re: Filiére bois - energie
Ouais mais justement ce marché mondial, tu es contre, tu dénonce inlassablement (hm) ce "centralisme"... C'est donc une posture un peu illogique : plutôt que de produre du carburant, nos agriculteurs feraient mieux de nourir l'afrique via un marché mondial, qui en outre ne devrait pas exister.kercoz a écrit :Pas un peu facile comme réponse ? le prix de la nourriture dépend d'un marché mondial .....ils crevent de soif ..pas de notre faute , on ne remplit pas nos piscines avec LEUR eau ..le producteur de riz ou de blé préfère vendre au prix du petrole pour que NOUS puissions rouler ...il faut qd meme etre lucide sur notre "propre" implication ds cette saloperie ...dire qu'il est difficile de ne pas y participer , c'est une chose , dire que nous ne sommes pas impliqués c'est une autre chose...autre chose déja plus insidieuse .Raminagrobis a écrit :AZucun rapport effectivmeent, vu qu'on n'importe pas d'oléagineux de cette région.kercoz a écrit :dans notre réservoir on met , a l'insu de notre plein grès , combien de craburant végetal , ...3% ...5 % .. ?....aucun rapport (direct) avec la "corne de l'Afrique" ...carrément aucun , c'est juste pas de bol , on ne va pas gacher nos vacances pour ça ...etc ...
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Re: Filiére bois - energie
Je ne comprends pas trop ....Si je dis que nous sommes responsable des dégats de la globalisation, c'est parce que (volontairement ou non), nous bénéficions de ses cotés positifs (modernité-technologie -prix bas etc ...) .nous devrions intégralement compenser ces dégats pour que ce choix soit a "somme nulle".Raminagrobis a écrit :
Ouais mais justement ce marché mondial, tu es contre, tu dénonce inlassablement (hm) ce "centralisme"... C'est donc une posture un peu illogique : plutôt que de produre du carburant, nos agriculteurs feraient mieux de nourir l'afrique via un marché mondial, qui en outre ne devrait pas exister.
Cette inéquité et la dynamique déviante qu'elle induit est la principale raison de mon "inlassable" (ad nauséum diraient d'autres) argumentaire sur la perversité du modèle centralisé au regard du modèle parcellisé .
En passant a des modèles de groupes plus grands , nous "élaguons" des interactions et rétroactions ingérables parce que trop nombreuses , alors que ce sont celles qui donnent au petits groupes leur stabilité.
Ces gens là ne produisent pas d'huile , mais s'ils produisaient de l'uranium leur problème serait identique .
Entendons nous bien , ma démarche n'est pas d'entamer un Nième dé&bat politique ou idéologique ....ce qui m'interesse c'est le modèle mathématique de l'outil de gestion des groupe ...le fait que l'aspect structurel prime sur tous les choix idéologiques et le fait que les "civilisations" semblent etre des déviances (regardées comme positives) fortement entropiques .
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- mahiahi
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Re: L'économie mondiale
Pour donner une idée de la difficulté d'en sortir, tous les membres de ce forum participent au fonctionnement 24/7 de milliers de serveurs dans des salles climatisées : Internet fait partie de ce système
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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- rico
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Re: L'économie mondiale
Et plus on est nombreux à participer plus vite le système va s'écrouler : rejoignez nous vite!!!!
- mahiahi
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Re: L'économie mondiale
Rejoignez-nous, mais sur Internet? ](./images/smilies/eusa_wall.gif)
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C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
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Re: L'économie mondiale
Et oui...
Crise: l'occasion ratée de 2008
extrait
Ces chiffres sont le produit d'un dérèglement du système monétaire, depuis l'abandon de l'étalon or le 15 août 1971. Quarante ans après, presque jour pour jour, nous pouvons mesurer les effets d'un système, ayant largué tout repère avec l'économie réelle, où la création monétaire a été abandonnée aux mains de la finance privée, déchargée de tout contrôle des Etats. L'Europe, en la matière, a poussé l'orthodoxie au rang de beaux-arts, en désignant une banque centrale privée de la capacité d'être prêteur en dernier ressort, c'est-à-dire de pouvoir acheter directement la dette émise par les Etats.
Libres de toutes entraves, les banques s'en sont donné à cœur joie pour créer sans cesse plus d'argent, plus de dettes, sans rapport avec le réel. La finance est devenue un objet en soi.
La responsabilité des banques centrales dans ce dérèglement est immense. Elles n'ont pas assumé leur responsabilité de gardien du temple de la monnaie et du système financier. Pire: elles ont entretenu le crime et le vice, à partir du 26 octobre 1987 précisément. Pour éviter les conséquences récessives du krach financier intervenu ce jour-là, le tout nouveau président de la FED (la réserve fédérale américaine), Alan Greenspan, encensé par la presse comme le génie de la finance, déversa des tombereaux de liquidités à taux zéro. A chaque menace de ralentissement, de coup de blues du monde financier, la même politique a été relancée: il fallait à tout prix éviter le moindre ralentissement de la machine. Des milliards de dollars à coût nul ont été déversés dans le système, alimentant la création de la dette.
Tandis que nos si vigilants banquiers centraux surveillaient à la loupe la moindre augmentation salariale, signe d'une dangereuse dérive inflationniste, ils n'ont vu ni la bulle internet, ni les bulles immobilières, ni les bulles des actifs (les rachats en LBO en sont la meilleure illustration), ni la création monétaire produite par les méga fusions-acquisitions, payées en papier – ce qui revenait à autoriser des entreprises privées à frapper monnaie. Tout cela était si euphorisant, le système était si parfait, que, dans les débuts des années 2000, la FED décida de ne plus tenir compte de l'indicateur M3 –celui de la création monétaire– dans sa surveillance. Tout cela était dépassé. Et puis, les banquiers privés, qui avaient en main le système, ne pouvaient pas mal faire.
La formidable performance des entreprises, des fameuses croissances annuelles à 15% dans une économie réelle mondiale qui ne progresse que de 3% par an, vient de là: d'un dopage généralisé par un excès monétaire et un excès de crédit. Les gouvernements en étaient-ils conscients? En tout cas, ils ont fermé les yeux. Le crédit, soit directement aux agents privés comme aux Etats-Unis, avec comme illustration ultime le scandale des subprimes, soit par transfert par les Etats et les systèmes sociaux comme en Europe, a permis de masquer le gigantesque transfert de production vers la Chine et les autres pays émergents, organisé au nom d'un profit immédiat, dans le cadre de la «mondialisation heureuse».
La confusion a atteint son comble avec l'effondrement de Lehman Brothers en septembre 2008. Les engagements pris par la banque étaient si complexes et si obscurs, le système financier était si interconnecté que tout faillit s'écrouler. L'argent ne circulait plus, le monde financier et l'économie étaient à deux doigts de l'infarctus.
En urgence, les banques centrales ont redonné toutes les liquidités voulues et plus encore pour éviter l'écroulement. Les gouvernements se sont portés au secours de tous leurs établissements bancaires et ont cherché à sauver l'économie. Si les Etats se trouvent aujourd'hui en situation limite, c'est pour avoir joué leur bilan pour sauver le monde financier. Depuis 2008, l'endettement des Etats-Unis a augmenté de 2.000 milliards de dollars, celui de l'Italie de 300 milliards d'euros, celui de la France de 900 milliards – selon la version gouvernementale – ou 300 milliards – selon la version de la Cour des comptes –, rien que par les effets de la crise et des moyens mis en œuvre pour éviter l'effondrement du système financier.
...
En contrepartie? Rien. Pas un droit de regard, pas un compte à rendre, même pas une action. Les fameux actionnaires, censés assumer les risques, n'ont pas été sollicités à un seul moment. Seule la Grande-Bretagne, qui a sans doute plus de compréhension du système financier, a nationalisé ses principales banques. La France, à l'inverse, est allée en la matière jusqu'à la caricature, confiant à Michel Pébereau, PDG de BNP Paribas, l'écriture du plan de sauvetage bancaire français.
...
Mais même les mesures annoncées dans la panique lors des sommets du G-20 fin 2008-début 2009 n'ont pas été appliquées. Souvenez-vous: «Les paradis fiscaux, c'est fini! Les agences de notation, c'est fini! La spéculation, c'est fini!»
Les paradis fiscaux prospèrent comme jamais, après la mascarade du retour dans le rang, couverte par l'OCDE. Les agences de notation, vouées à nouveau aux gémonies après la dégradation des Etats-Unis, n'ont pas été inquiétées une seconde. Elles sont toujours autant irresponsables. L'Europe n'a même pas créé sa propre agence, comme elle l'avait promis.
http://www.mediapart.fr/journal/economi ... ee-de-2008
Crise: l'occasion ratée de 2008
extrait
Ces chiffres sont le produit d'un dérèglement du système monétaire, depuis l'abandon de l'étalon or le 15 août 1971. Quarante ans après, presque jour pour jour, nous pouvons mesurer les effets d'un système, ayant largué tout repère avec l'économie réelle, où la création monétaire a été abandonnée aux mains de la finance privée, déchargée de tout contrôle des Etats. L'Europe, en la matière, a poussé l'orthodoxie au rang de beaux-arts, en désignant une banque centrale privée de la capacité d'être prêteur en dernier ressort, c'est-à-dire de pouvoir acheter directement la dette émise par les Etats.
Libres de toutes entraves, les banques s'en sont donné à cœur joie pour créer sans cesse plus d'argent, plus de dettes, sans rapport avec le réel. La finance est devenue un objet en soi.
La responsabilité des banques centrales dans ce dérèglement est immense. Elles n'ont pas assumé leur responsabilité de gardien du temple de la monnaie et du système financier. Pire: elles ont entretenu le crime et le vice, à partir du 26 octobre 1987 précisément. Pour éviter les conséquences récessives du krach financier intervenu ce jour-là, le tout nouveau président de la FED (la réserve fédérale américaine), Alan Greenspan, encensé par la presse comme le génie de la finance, déversa des tombereaux de liquidités à taux zéro. A chaque menace de ralentissement, de coup de blues du monde financier, la même politique a été relancée: il fallait à tout prix éviter le moindre ralentissement de la machine. Des milliards de dollars à coût nul ont été déversés dans le système, alimentant la création de la dette.
Tandis que nos si vigilants banquiers centraux surveillaient à la loupe la moindre augmentation salariale, signe d'une dangereuse dérive inflationniste, ils n'ont vu ni la bulle internet, ni les bulles immobilières, ni les bulles des actifs (les rachats en LBO en sont la meilleure illustration), ni la création monétaire produite par les méga fusions-acquisitions, payées en papier – ce qui revenait à autoriser des entreprises privées à frapper monnaie. Tout cela était si euphorisant, le système était si parfait, que, dans les débuts des années 2000, la FED décida de ne plus tenir compte de l'indicateur M3 –celui de la création monétaire– dans sa surveillance. Tout cela était dépassé. Et puis, les banquiers privés, qui avaient en main le système, ne pouvaient pas mal faire.
La formidable performance des entreprises, des fameuses croissances annuelles à 15% dans une économie réelle mondiale qui ne progresse que de 3% par an, vient de là: d'un dopage généralisé par un excès monétaire et un excès de crédit. Les gouvernements en étaient-ils conscients? En tout cas, ils ont fermé les yeux. Le crédit, soit directement aux agents privés comme aux Etats-Unis, avec comme illustration ultime le scandale des subprimes, soit par transfert par les Etats et les systèmes sociaux comme en Europe, a permis de masquer le gigantesque transfert de production vers la Chine et les autres pays émergents, organisé au nom d'un profit immédiat, dans le cadre de la «mondialisation heureuse».
La confusion a atteint son comble avec l'effondrement de Lehman Brothers en septembre 2008. Les engagements pris par la banque étaient si complexes et si obscurs, le système financier était si interconnecté que tout faillit s'écrouler. L'argent ne circulait plus, le monde financier et l'économie étaient à deux doigts de l'infarctus.
En urgence, les banques centrales ont redonné toutes les liquidités voulues et plus encore pour éviter l'écroulement. Les gouvernements se sont portés au secours de tous leurs établissements bancaires et ont cherché à sauver l'économie. Si les Etats se trouvent aujourd'hui en situation limite, c'est pour avoir joué leur bilan pour sauver le monde financier. Depuis 2008, l'endettement des Etats-Unis a augmenté de 2.000 milliards de dollars, celui de l'Italie de 300 milliards d'euros, celui de la France de 900 milliards – selon la version gouvernementale – ou 300 milliards – selon la version de la Cour des comptes –, rien que par les effets de la crise et des moyens mis en œuvre pour éviter l'effondrement du système financier.
...
En contrepartie? Rien. Pas un droit de regard, pas un compte à rendre, même pas une action. Les fameux actionnaires, censés assumer les risques, n'ont pas été sollicités à un seul moment. Seule la Grande-Bretagne, qui a sans doute plus de compréhension du système financier, a nationalisé ses principales banques. La France, à l'inverse, est allée en la matière jusqu'à la caricature, confiant à Michel Pébereau, PDG de BNP Paribas, l'écriture du plan de sauvetage bancaire français.
...
Mais même les mesures annoncées dans la panique lors des sommets du G-20 fin 2008-début 2009 n'ont pas été appliquées. Souvenez-vous: «Les paradis fiscaux, c'est fini! Les agences de notation, c'est fini! La spéculation, c'est fini!»
Les paradis fiscaux prospèrent comme jamais, après la mascarade du retour dans le rang, couverte par l'OCDE. Les agences de notation, vouées à nouveau aux gémonies après la dégradation des Etats-Unis, n'ont pas été inquiétées une seconde. Elles sont toujours autant irresponsables. L'Europe n'a même pas créé sa propre agence, comme elle l'avait promis.
http://www.mediapart.fr/journal/economi ... ee-de-2008
Daniel Pennac (La fée Carabine)
"Le bonheur individuel se doit de produire des retombées collectives, faute de quoi la société n'est qu'un rêve de prédateur."
http://www.le-message.org/
"Le bonheur individuel se doit de produire des retombées collectives, faute de quoi la société n'est qu'un rêve de prédateur."
http://www.le-message.org/
- mahiahi
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Re: L'économie mondiale
L'Europe, gardienne du Temple de la Mondialisation Libérale, va durer encore combien de temps à votre avis?
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
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- kercoz
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Divers Economie
allez un peu d'anglais :
http://www.telegraph.co.uk/news/politic ... right.html
//////////////
By Charles Moore
8:13PM BST 22 Jul 2011
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It has taken me more than 30 years as a journalist to ask myself this question, but this week I find that I must: is the Left right after all? You see, one of the great arguments of the Left is that what the Right calls “the free market” is actually a set-up.
The rich run a global system that allows them to accumulate capital and pay the lowest possible price for labour. The freedom that results applies only to them. The many simply have to work harder, in conditions that grow ever more insecure, to enrich the few. Democratic politics, which purports to enrich the many, is actually in the pocket of those bankers, media barons and other moguls who run and own everything.
///////////////
Le "telegraph " est pourtant tres a droite !
http://www.telegraph.co.uk/news/politic ... right.html
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By Charles Moore
8:13PM BST 22 Jul 2011
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It has taken me more than 30 years as a journalist to ask myself this question, but this week I find that I must: is the Left right after all? You see, one of the great arguments of the Left is that what the Right calls “the free market” is actually a set-up.
The rich run a global system that allows them to accumulate capital and pay the lowest possible price for labour. The freedom that results applies only to them. The many simply have to work harder, in conditions that grow ever more insecure, to enrich the few. Democratic politics, which purports to enrich the many, is actually in the pocket of those bankers, media barons and other moguls who run and own everything.
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Re: L'économie mondiale
Hier au soir sur TF1 , DSK a évoqué indirectement ( après l' histoire de ses péripéties ) la sortie du dollar comme monnaie de référence des échanges internationaux . C' est la première fois que , sur une chaine à grande audience , et à une heure de grande écoute , la chose fut évoqué .
- kercoz
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Re: L'économie mondiale
300 millions de $ sont investis pour mettre en place un cable entre londres et NY.....pour que la bourse gagne 6 milli secondes !
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- Tovi
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Re: L'économie mondiale
Ca prouve bien que la finance crée de l'emploi, de temps en temps 

Si vous ne faites pas partie de la solution, alors vous faites partie du problème.
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