[Finance] Taux d'interets en France / taux de la BCE

Discussions traitant de l'impact du pic pétrolier sur l'économie.

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[Finance] Taux d'interets en France / taux de la BCE

Message par energy_isere » 10 nov. 2005, 22:00

Nous avons une rubrique bulle immobiliére, or nous savons que les achats des particuliers sont trés influencés par les taux d'interét.

Ce qui est à l'origine des taux d'interét des banque en France est le taux directeur Européen.
Il est donc utile de toujours savoir ou il en est.

je crée donc ce sujet afin de ne pas le diluer dans les 10 ou 20 pages du sujet bulle immobiliére.


Merci pour vos contributions et commentaires. :)
Dernière modification par energy_isere le 29 mars 2006, 17:55, modifié 1 fois.

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Re: Taux d'interets en France

Message par energy_isere » 10 nov. 2005, 22:05

premiere contribution :

j'ai lancé ce sujet car j'avais entendu parler d'une hausse des taux justement.

Les taux de la FED ont augmenté aux USA, mais qu'en est il en Europe ?

une réponse la dessous :

source http://www.professionpolitique.info/article16586.html
Taux d’intérêt : spéculations autour d’une hausse [mercredi 2 novembre 2005]
La poussée de l’inflation entretient les rumeurs, non démenties, d’un relèvement des taux d’intérêt par la BCE.
Les marchés financiers sont à l’affût. Plusieurs responsables de la BCE ont récemment laissé entendre que l’institut monétaire pourrait suivre les pas de la Réserve fédérale, son homologue américaine, et augmenter les taux d’intérêt si la poussée inflationniste devenait trop forte. Une perspective qui rompt avec la politique monétaire de la banque centrale de ces deux dernières années.
Depuis juin 2003, le principal taux de refinancement de la BCE est resté inchangé à 2 %. .Mais la Banque centrale veut absolument éviter que le coût croissant de l’énergie n’entraîne des hausses des prix et des salaires dans la zone euro, provoquant une baisse des marchés obligataires. Tout le monde attend maintenant que son président, Jean-Claude TRICHET, envoie un signal en ce sens cette semaine. L’annonce officielle d’une hausse des taux ne devrait cependant pas tomber avant le mois de décembre. À moins que tout cela ne soit qu’une tactique pour contrôler les pressions sur l’inflation sans avoir besoin de faire quoi que ce soit au final. La BCE a déjà joué à ce jeu-là l’an dernier... avec succès, mais si cela devient systématique, elle risque de ne plus être prise au sérieux.
Dernière modification par energy_isere le 10 nov. 2005, 22:23, modifié 1 fois.

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Re: Taux d'interets en France

Message par energy_isere » 10 nov. 2005, 22:09

et dans les echos , pas de hausse des taux en Europe pour le moment

http://www.lesechos.fr/info/rew_inter/4339722.htm
Taux d'intérêt : partie remise [ 08/11/05 ]

En conservant inchangé depuis vingt-neuf mois son taux directeur à 2 %, la Banque centrale européenne a pris, la semaine dernière, le parti du « réglage fin » et opportuniste. Le poids des arguments, en effet, se partageait à peu près également entre les recommandations de hausse et de maintien du taux européen. Ceux pour la hausse, les plus nombreux, se fondent sur les batteries d'indicateurs porteurs de tensions inflationnistes : des hausses supérieures aux normes pour la masse monétaire M3 de la zone euro, pour les prêts au secteur privé, les dépôts à vue et à court terme, les instruments monétaires. Ils concourent tous, selon les experts, à une création monétaire dite « nouvelle » et trahissent une aversion prolongée des investisseurs pour les marchés en actions. Combinés au contexte pétrolier, ils font craindre une menace sur les prix. Que ceux-ci évoluent un peu au-dessus de la norme (2,5 % au lieu de 2 %) ne serait pas alarmant à ce niveau si cela n'inspirait une pression croissante des syndicats allemands sur le nouveau gouvernement d'Angela Merkel, qu'ils savent affaibli dès le départ. De là sans doute l'hommage appuyé du président de la BCE à la « politique salariale modérée » observée jusqu'ici, qui a un goût prononcé d'exorcisme. Enfin l'exemple de la Banque fédérale américaine, qui vient de relever pour la douzième fois consécutive ses propres taux, à 4 %, inspire les commentateurs. Qu'elle les porte bientôt à 5 %, ce qui est probable, et l'écart avec notre zone pourrait provoquer une baisse sensible de l'euro, avec ses conséquences sur le prix du pétrole et des matières premières importées.


Or tous ces bons arguments pour hausser les taux n'ont pas convaincu de le faire. Il y faut des raisons bien puissantes. L'une, technique, est qu'à l'intérieur de l'indice des prix, l'inflation « sous-jacente » (hors alimentation et énergie) reste modérée, de l'ordre de 1 %. Mais la plus forte et la plus fondamentale tient à la modicité et à la fragilité de la croissance européenne, devenues structurelles. Malgré quelques signes positifs en Allemagne dans les anticipations des entreprises et les exportations, ou dans la consommation des ménages en France et en Espagne, les prévisions de croissance européenne à 2 ou 2,5 % pour 2006 sont toujours hypothéquées par la concurrence extérieure, la lourdeur des structures intérieures des « vieux pays », la menace de revendications salariales, l'absence criante de gouvernement économique commun. Obligée de composer avec ce lourd attelage, la BCE est ainsi contrainte d'adopter des trajectoires précautionneuses. Elle peut paraître pataude en comparaison de son homologue américaine, mais celle-ci opère dans une économie spécialement réactive, dopée aux investissements internationaux et peu encombrée de garanties sociales. Pour les taux européens, ce n'est que partie remise, à la fin de 2005 ou au début de 2006.

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Message par MadMax » 10 nov. 2005, 22:13

Il y a eu des discussions entre des représentants de la BCE et des syndicats pour éviter des revendications salariales susceptibles d'emballer l'inflation, nécessitant une hausse des taux en réaction. L'argument, c'était que la hausse des taux "casserait" la croissance et donc l'emploi... ou ce qu'il en reste.

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Message par energy_isere » 13 nov. 2005, 00:09

repris d'un autre sujet :
idefix a écrit :Les taux remontent de fçon très net, va voir sur le site de MeilleursTaux.com pour l'analyse

http://www.meilleurtaux.com/savoir/taux ... /index.php
vu, (merci idefix)

je note surtout la fin :
On devrait donc continuer d'observer des taux de crédits immobiliers extrêmement bas jusqu'en fin d'année 2005 (sans doute moins de 3,50 % pour le taux fixe à 15 ans) et le milieu de l'année 2006 (sans doute 3,80 %). Les taux d'intérêt devraient rester extrêmement favorables aux emprunteurs pendant les prochains mois.

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Message par energy_isere » 01 déc. 2005, 18:41

Ca y est la BCE remonte son taux de 2.0 % à 2.25 %.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=3105063
La BCE relève ses taux mais promet de la modération
par Krista Hughes

FRANCFORT (Reuters) - La Banque centrale européenne a relevé ses taux d'intérêt pour la première fois en cinq ans, mais son président Jean-Claude Trichet a assuré que tout resserrement futur serait modéré.

Résistant aux appels des dirigeants politiques et des milieux d'affaires en faveur d'un statu quo pour soutenir la croissance dans la zone euro, la BCE a, comme elle l'avait clairement laissé entendre en novembre, relevé son taux de refinancement d'un quart de point à 2,25%.

La dernière modification des taux directeurs dans la zone euro remontait au 5 juin 2003. La BCE les avaient alors abaissés d'un demi-point, ramenant le taux "refi" à un plus bas historique de 2%.


Lors de sa conférence de presse mensuelle, Trichet a expliqué que l'institution restait préoccupée par les risques inflationnistes dans la zone euro, en conséquence notamment de l'envolée des prix des produits pétroliers.

Les dernières données disponibles confirment le scénario de la poursuite de la reprise économique au deuxième semestre, même si des risques demeurent, a-t-il ajouté.

Il a présenté à cette occasion les dernières projections de la BCE en matière de croissance et d'inflation, relevées dans les deux cas pour 2005 et 2006.

Pour autant, Trichet a assuré que la BCE ne s'embarquait pas dans un cycle agressif de resserrement monétaire comme l'a fait la Réserve fédérale américaine en procédant à 12 hausses de taux depuis la mi-2004.

"Il n'y a pas eu de décision prise ex-ante, avant la réunion d'aujourd'hui du conseil des gouverneurs, de nous engager dans une série de hausses de taux", a-t-il dit, expliquant que la banque centrale "continuerait de suivre de près tout ce qui se passera en matière de risques pour la stabilité des prix".

Ces propos, qui donnent à penser que la BCE adoptera désormais une approche au coup par coup, relevant ses taux à un rythme modéré en fonction de l'évolution de l'inflation et de la croissance, ont propulsé le future sur le Bund à un plus haut de cinq semaines tandis que l'euro reculait face au dollar.

Les marchés avaient intégré le scénario de deux hausses de taux supplémentaires en 2006.

"C'est la hausse de taux la moins assumée que j'aie jamais connue", affirme Kevin Gaynor, économiste chez Royal Bank of Scotland. "Fondamentalement, la BCE nous dit aujourd'hui qu'il n'y aura pas d'autres (hausses de taux). Nous allons sans doute devoir attendre un trimestre supplémentaire avant qu'elle ne fasse quoi que ce soit d'autre".

"DEBAT PROFOND" MAIS VOTE UNANIME

Trichet a noté que différents points de vue coexistaient au sein du conseil des gouverneurs mais que les 18 banquiers centraux s'étaient prononcés à l'unanimité sur la hausse de taux, après un débat "profond".

Les taux, a-t-il souligné, restent à un bas niveau, contribuant ainsi à la croissance et à l'emploi dans la zone euro.

A ses détracteurs qui estimaient qu'une hausse de taux risquait de faire dérailler la reprise, il a répondu que "311 millions de personnes dans la zone euro" attendaient de la BCE qu'elle respecte son mandat de préservation de la stabilité des prix. "Parce que nous respectons notre mandat, nous sommes à même de renforcer la confiance de ces 311 millions de personnes, cela nous a permis de mettre en place des taux plus bas que les plus bas de notre prédécesseur le plus crédible", a-t-il ajouté en faisant allusion à la Bundesbank.

Les ministres des Finances qui avaient multiplié les appels contre une hausse de taux ont réagi avec résignation ou dépit.

Thierry Breton, le ministre français, a estimé que la hausse des taux de la BCE coûterait "environ 250 millions d'euros l'an prochain à nos finances publiques", via l'alourdissement de la charge de la dette.

"Je note que la BCE a indiqué que ce mouvement des taux ne préfigurait pas une série de hausses", a-t-il dit au Sénat. "Je n'ai donc pas de raison de changer mon pronostic favorable sur l'évolution de notre économie dans les 12 prochains mois".

A Berlin, son homologue allemand Peer Steinbrück a aussi estimé que son pays pouvait faire face à condition que ce relèvement ne marque pas le début d'une série. "Je ne pense pas que cela aura un gros impact négatif", a-t-il dit.

Le ministre autrichien Karl-Heinz Grasser, en déplacement à Rome, a affirmé que la hausse de taux "n'aiderait ni la lutte contre l'inflation ni la croissance économique en Europe".

Du côté des entreprises, Ernest-Antoine Seillière, président de la fédération patronale européenne Unice, a critiqué la BCE. "Ce n'est pas la bonne décision et nous espérons qu'il n'y aura pas d'impact négatif", a-t-il dit.

La BCE a revu en hausse sa projection de croissance pour 2005, à 1,4% contre 1,3% prévu en septembre, et celle pour 2006 a été rehaussée à 1,9% contre 1,8%.

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Re: Taux d'interets en France

Message par Sylvain » 02 déc. 2005, 09:40

energy_isere a écrit :Ce qui est à l'origine des taux d'interét des banque en France est le taux directeur Européen.
Dans quelle mesure le taux directeur européen influe-t-il sur celui des prêts accordés par les banques ?
Cela signifie-t-il que, si le taux directeur européen augmente de X (comme cela vient de se produire), tous les prêts accordés à partir d'aujourd'hui par les banques auront un taux augmenté de X ? Image

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Re: Taux d'interets en France

Message par energy_isere » 02 déc. 2005, 12:25

je pense que oui. C'est ce que j'ai lu ce matin dans l' édition papier de Les Echos.

sur internet La Tribune donne ce matin :
Comme attendu, la Banque centrale européenne a relevé hier son taux directeur d'un quart de point, mettant fin à trente mois d'immobilisme. Sa décision repose sur les risques identifiés de dérapage des prix.

La Banque centrale européenne a relevé son taux directeur d'un quart de point, à 2,25 %, malgré les protestations des milieux politiques qui l'accusent de s'arc-bouter sur son objectif d'inflation. Cette hausse mesurée, qui maintient le loyer de l'argent dans la zone euro à un niveau historiquement bas, ne serait pas le prélude à une série de durcissements monétaires, a martelé Jean-Claude Trichet. Le ton inhabituellement accommodant du président de la BCE laisse anticiper une période de répit sur le front des taux qui devrait durer au moins jusqu'au printemps. Au-delà, la BCE pourrait reprendre le processus de normalisation des taux.

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Message par coronado » 03 déc. 2005, 14:07

On peut sous entendre aussi une hausse des interets des livrets d'epargne?

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Message par mahiahi » 04 déc. 2005, 08:49

Peut-être (mais pas vite : les banques montent tout de suite les taux de leurs emprunts pour ne pas perdre d'argent, mais ils ne se pressent pas pour monter ceux des épargnes, ce qui leur en ferait gagner moins), mais l'Etat décourage l'épargne par des mesures fiscales : il faut CON-SOM-MER!
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux

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Message par energy_isere » 04 déc. 2005, 15:21

mahiahi a écrit :Peut-être (mais pas vite : les banques montent tout de suite les taux de leurs emprunts pour ne pas perdre d'argent, mais ils ne se pressent pas pour monter ceux des épargnes, ce qui leur en ferait gagner moins), mais l'Etat décourage l'épargne par des mesures fiscales : il faut CON-SOM-MER!
en ce qui concerne le livret A de l'Ecureuil, il me semble que c'est l' état qui le réglemente.
Pour les autres livret c'est du ressort des banques.

fabinoo

Message par fabinoo » 04 déc. 2005, 15:29

En général, l'état a des dates fétiches pour toucher aux taux d'épargne. 1er juillet par exemple. On peut espérer que si la BCE augmente encore son taux directeur d'ici là, on ait un coup de pouce à cette date. Mais c'est aussi une décision politique. Difficile de prévoir.

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Message par energy_isere » 06 déc. 2005, 12:22

Conséquence du relevement à 2.25 % du taux de la BCE.

cela commence à se faire sentir sur l' Euribor 1 an :
il est passé de 2.35 % en début 2005 à 2.7 % actuellement voir sur Boursorama : http://www.boursorama.com/graphiques/gr ... le=1xEUR7Y


http://www.guideducredit.com/HTMcorps/F ... uribor.htm
L'EURIBOR (Euro Interbank Offered Rate) est le taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone Euro. Il sert la plupart du temps d'index aux crédits à taux révisables.

Comment le calcule-t-on ?

Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro.
Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11heures le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution.

La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

fabinoo

Message par fabinoo » 06 déc. 2005, 13:23

Dans ce cas, c'est plutôt l'Euribor qui est monté le premier. Il a commencé sa hausse dès septembre.
C'est clair, les taux sont en hausse rapide, et la hausse actuelle n'a pas encore été répercutée dans sa totalité dans les prêts aux particuliers.

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Message par energy_isere » 06 déc. 2005, 14:37

fabinoo a écrit :Dans ce cas, c'est plutôt l'Euribor qui est monté le premier. Il a commencé sa hausse dès septembre.
C'est clair, les taux sont en hausse rapide, et la hausse actuelle n'a pas encore été répercutée dans sa totalité dans les prêts aux particuliers.
Effectivement, l' Euribor à anticipé la BCE !

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