Encore une fois on touche à la nature humaine. L'argent n'est qu'une composante du pouvoir et l'homme dominant est avide de pouvoir. Les politiques qui changent les règles en leur faveur ou en faveur des leurs pour augmenter leur pouvoir ne font pas autre chose.nemo a écrit :Tout dépend ce qu'on appelle "complot". A partir du moment ou les règles sont faites par des technocrates payé par des banquiers (les autres composantes de la société étant soit complice, soit impuissante) il est pas très surprenant au final que les règles leur soient favorables.
La seule chose qui ait changé avec "la crise" c'est que les financiers gagnent la guerre du pouvoir par rapport aux politiques. Les discours des politiques par rapport à cet état de fait est d'ailleurs assez pathétique : Ils essaient péniblement de prouver qu'ils sont encore des leaders mais leurs gesticulations stériles peinent à masquer leur douloureuse impuissance face à la finance. Et ils ont perdu cette guerre pour être resté ancrés au concept de nation pendant que la finance s'organisait au niveau mondial. Plus les financiers jouent des divisions des politiques, plus la partie est facile pour eux.