oleocene.org

phyvette a écrit :En France avec juste 100 € on a du mal a remplir un caddy de supermarché
Aux pays de la surconsommation avec 100 $ on peut s'acheter tout le centre commercial.

http://finance.yahoo.com/news/pittsburg ... RzZWMDc3I-

mobar a écrit :Michel Collon analyse Trump et la nouvelle politique américaine
https://youtu.be/aLX26tAMN0U

GillesH38 a écrit :

mobar a écrit :Michel Collon analyse Trump et la nouvelle politique américaine
https://youtu.be/aLX26tAMN0U

bonne illustration d'une certaine "gauche" qui a force de sophismes finit par conclure que Trump vaut mieux qu'Obama, Poutine vaut mieux que Hollande, ou Bachar El Assad vaut mieux que Nethanyaou.

GillesH38 a écrit :

mobar a écrit :Michel Collon analyse Trump et la nouvelle politique américaine
https://youtu.be/aLX26tAMN0U

bonne illustration d'une certaine "gauche" qui a force de sophismes finit par conclure que Trump vaut mieux qu'Obama, Poutine vaut mieux que Hollande, ou Bachar El Assad vaut mieux que Nethanyaou.

Remundo a écrit :Collon fait partie des souverainistes et des anti-impérialistes (surtout anti-américain, mais pas que)

ce courant de pensée est découplé du traditionnel découpage "droite gauche" qu'on adore en France. Il réalise même le tour de force de pouvoir réunir certains "extrêmes" du Parti de Gauche de Mélenchon jusqu'à la droite nationaliste pour illustrer dans notre microcosme politique français.

D'ailleurs au sein même du PS et de l'UMP, vous avez des schismes "aile gauche - aile droite". Face à la complexité du monde et à la diversité des réels sujets à traiter, le concept droite-gauche est complètement binaire et indéfini, juste bon à faire baratiner les journaleux, blablater les politicards, et animer les conversations des braillards du café du commerce.

nemo a écrit :
C'est un gros réac surtout. Son souverainisme peut plaire à certain à gauche ça en fait pas un progressiste pour autant.

mobar a écrit :

nemo a écrit :
C'est un gros réac surtout. Son souverainisme peut plaire à certain à gauche ça en fait pas un progressiste pour autant.

Personnellement je me fous de ce qu'on dit qu'il est, ce qui m'intéresse ce sont les analyses, la critique des média et les commentaires qu'ils viennent de lui ou d'autres

Je pars du principe que personne n'est infaillible, que tout le monde peut raconter des conneries et que ce qui est important ce sont les vérités d'où qu'elles viennent

Ces vérités n'appartiennent à personne et appartiennent à tous.
S'en saisir est essentiel pour sortir du dogme et de la manipulation rampante et consolider ou faire son opinion

Les plus gros réac sont dans les églises penchés sur leur livre saint ou en train de préparer la der des der ou ils vont t'envoyer se faire étriper pour défendre ta liberté de penser comme te le suggèrent leurs TV et leurs journaux

Remundo a écrit :faut pas vous z'énerver, Trump se fout de nous 3 (Nemo, Mobar et moi).

Il applique une politique souverainiste, qui semble même autoritaire, très marquée à droite, mais avec le souci affiché de se retirer militairement des endroits que vous connaissez. C'est probablement ce qui plait à Collon.

En attendant de voir, on prendra un café, avec des croissants...

USA: Trump sonne l'hallali de la régulation bancaire

AFP le 03/02/2017

Donald Trump va signer vendredi deux décrets sonnant l'hallali de la réglementation financière mise en place après la crise financière de 2008, fidèle à sa promesse de déréguler l'économie américaine.

Le président américain doit parapher dans la journée deux décrets demandant au Trésor et au département du Travail de se pencher sur les moyens de réformer les mesures de la loi dite "Dodd-Frank" et de la "règle Volcker" établissant des règles prudentielles destinées à éviter les excès qui avaient conduit à la crise financière, a indiqué un responsable de son administration.

Promulguée en 2010 par Barack Obama, la loi Dodd-Frank porte le nom de deux élus démocrates qui l'avaient échafaudée. Ses dispositions sont très complexes et toutes ne sont pas encore entrées en application. Mais elle était dans le collimateur à la fois des républicains et du secteur financier qui la dénonçaient comme un carcan, nuisible tant pour les banques que les consommateurs.

La loi a notamment créé l'agence de protection des consommateurs (CFPB) et imposait aux banques de se soumettre chaque année à un test de résistance évaluant leur solidité en cas de crise.

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Etats-Unis: la hausse du déficit commercial offre des munitions à Trump

AFP le 07/02/2017

Le déficit commercial des Etats-Unis a atteint l'année dernière son plus haut niveau depuis 2012 sur fond de déséquilibres persistants avec la Chine et l'Europe, offrant des munitions à Donald Trump qui menace d'élever des barrières douanières.

Chroniquement déficitaire, le solde des échanges des Etats-Unis avec le reste du monde s'est établi à 502,2 milliards de dollars, marquant une hausse de 0,4% par rapport à 2015, selon les données publiées mardi par le département du Commerce.

Au niveau comptable, ce déséquilibre pèse 2,7% du produit intérieur brut américain et grève la croissance américaine. Mais c'est surtout au niveau politique que son impact promet d'être le plus retentissant.

Donald Trump a bâti sa conquête de la Maison Blanche en promettant de corriger les déséquilibres de la balance commerciale américaine et ces nouvelles données lui donnent du grain à moudre.

Sur les seuls échanges de marchandises, c'est ainsi de loin avec la Chine que le déficit américain est resté le plus imposant en 2016 à 347,0 milliards de dollars, même si ce chiffre est en recul par rapport à 2015 (-5,4%).

Accusé de pratiques commerciales déloyales, Pékin fait partie des cibles privilégiées du président Trump qui menace de frapper les importations chinoises de droits de douane de 45% et veut freiner les délocalisations vers le pays.

La Chine est responsable du "plus grand vol d'emplois dans l'histoire" des Etats-Unis, avait déclaré en juin 2016 M. Trump.

- Déficit aggravé avec le Mexique -

Selon les données officielles, le déficit américain sur les échanges de biens est également resté important en 2016 avec l'Union européenne, à 146,3 milliards de dollars, même s'il est en repli par rapport à 2015.

Le déséquilibre est notamment marquant avec l'Allemagne (64,9 milliards), récemment prise pour cible par l'administration américaine.

Proche conseiller de M. Trump et dirigeant du tout nouveau Conseil du commerce à la Maison Blanche, Peter Navarro a récemment accusé Berlin "d'exploiter" les Etats-Unis avec un euro qui serait "grossièrement sous-évalué" et permettrait ainsi de rendre ses exportations plus compétitives.

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