Le prix à partir duquel il y a un ralentissement de l'économie évolue au fil du temps de même que le contenu énergétique du PIB, si aujourd'hui le seuil est à 135$/bbl, on peut parier que ce seuil évoluera à la hausse (en cas de tensions faibles et d'ajustements réussis) ou à la baisse (encas de tensions fortes et de chaos généralisé).phyvette a écrit :Un peu comme dans l'idée de Matthieu Auzanneau qui considère qu'a 135$/bbl, la facture pétrolière atteint 4.5% du pib mondial et que c'est le point de craquement de l'économie mondiale.
1- Dés que le baril atteint le seuil insupportable par l'économie, celle ci ralenti
2- Le prix du baril baisse un peu du fait d'une moindre demande
3- Les industriels et les ménages mettent en place des moyens de substitution qui font baisser la demande de pétrole
4- L'économie repart un peu, la demande redémarre et le prix du baril remonte lorsque la demande exède l'offre
5- Retour en 1
Le seuil de basculement en question semble être une question de débit "instantané" disponible sur les marchés qui va agir sur le prix plutot qu'un invariant absolu lié à des facteurs purement psychologiques, mathématiques ou spéculatifs
Il y a peut être un peu de tout ça à la fois