rico a écrit :Tu es trop optimiste : la question ne se posera plus si cancer foudroyant avant fin 2016. Aller, 2017 si le malade s'obstine....
Gaffe Rico, 2017 est un nombre premier. Tu risques de ne pas y survivre à cette prochaine année.
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rico a écrit :Tu es trop optimiste : la question ne se posera plus si cancer foudroyant avant fin 2016. Aller, 2017 si le malade s'obstine....
faut quand même soustraire tout tes dépôts sur des livrets publics puisqu'ils sont comptés dans la dette ... à part ça plein de gens sont endettés pour bien plus que ça pour leur logement, ça ne leur pose pas de souci particulier.alga a écrit :Ce qui correspond pour chaque citoyens Français, jeune ou vieux, fou ou pas, libre ou pas, à 30600 euros de dette.
Donc maintenant, il faut payer, envoyez-moi la monnaie SVP!
Sauf que les gens endettés pour leur logement sont censés (pouvoir) rembourser de leur vivant. J'ai pas fini de payer ma maison et en théorie je peux finir de la payer. Par contre le montant de la dette publique trop élevé n'est plus remboursable c'est là toute la différence. M'enfin une différence seulement théorique car le chaos économique étant proche, en pratique personne ne remboursera en totalité ce qu'il doit.à part ça plein de gens sont endettés pour bien plus que ça pour leur logement, ça ne leur pose pas de souci particulier.
Cela n'engage que moi, mais je crois que la "dette" (Française ou autre), c'est du pipi de chat comparé à la montée croissante de certaines "bulles négatives" (?). Elle est principalement un indicateur sur notre bonne gestion ou pas de l'argent public, alors que ces bulles sont de véritables catastrophes. Sans la mise en œuvre du "QE" et autres "Taux négatifs", je me demande s'il existerait encore un compte bancaire positif sur cette planète !GillesH38 a écrit : faut quand même soustraire tout tes dépôts sur des livrets publics puisqu'ils sont comptés dans la dette ...
http://www.boursorama.com/actualites/le ... 56ddbb22a4Le taux à 10 ans français s'approche du territoire négatif
Boursorama le 04/07/2016
La France va-t-elle bientôt suivre le parcours de l’Allemagne et emprunter à taux négatifs pour toute échéance de 10 ans ou moins ? Ce scénario, qui semblait encore lointain il y a quelques semaines, se précise désormais très sérieusement.
Les taux à leur plus bas historique suite au « Brexit »
Le taux à 10 ans français, qui était déjà proche de son plus bas historique à 0,45% juste avant l’annonce du « Brexit », n’a cessé de chuter depuis le 24 juin, atteignant un nouveau plus bas historique à 0,15% vendredi 1er juillet. Lundi 4 juillet, le taux remontait marginalement à 0,17% selon Bloomberg.
Les finances publiques françaises bénéficieront largement de cette situation lors des prochaines émissions de dettes, qui pourront se faire à des taux proches de 0% pour une échéance de 10 ans. Pour les échéances plus courtes, l’Etat français empreinte déjà à taux négatifs depuis de nombreux mois.
Le taux à 10 ans allemand, pour sa part, est déjà passé en territoire négatif le 14 juin dernier et, malgré un éphémère rebond en territoire positif, est repassé en territoire négatif suite à l’annonce du « Brexit ». Lundi 4 juillet, le Bund s’échangeait au taux de -0,12% en cours de séance.
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ça tombe bien, puisque personne ne demande aux états d'avoir tout remboursé, à aucun moment !rico a écrit :Sauf que les gens endettés pour leur logement sont censés (pouvoir) rembourser de leur vivant. J'ai pas fini de payer ma maison et en théorie je peux finir de la payer. Par contre le montant de la dette publique trop élevé n'est plus remboursable c'est là toute la différence.à part ça plein de gens sont endettés pour bien plus que ça pour leur logement, ça ne leur pose pas de souci particulier.
ça n'a pas l'air d'inquiéter grand monde. Même ici.Un Corps Bancaire qui tombe malade sans traitement et ce sera la fin.
http://www.lesechos.fr/economie-france/ ... 014045.phpFMI : la croissance française revue à la baisse en raison du Brexit
Richard Hiault |e 12/07/2016 Les Echos
Le Fonds Monétaire International (FMI) a été obligé de revoir la copie de son rapport annuel sur la France. Issu d'une mission effectuée en mai, le Brexit est passé par là depuis. Et la sortie programmée du Royaume-Uni de l'Union européenne va coûter, l'an prochain un quart de point de croissance en moins. C'est ce qu'a indiqué ce mardi Christian Mumssen, directeur adjoint du département Europe du FMI lors d'un point presse pour commenter la publication du document.
« Nous maintenons notre prévision de croissance de 1,5 % pour cette année. Mais au regard de l'incertitude liée au Brexit qui affectera les dépenses d'investissement en France sans oublier la moindre croissance du Royaume-Uni qui se répercutera sur ses partenaires commerciaux, la hausse du Produit Intérieur Brut (PIB) en France ne sera plus que de 1,25% », a-t-il indiqué.