Pas du tout "en douce", ni sur le point technique mais plutôt sur la soi-disant "infestation" de la SNCF par les syndicats ... pas loin de la rhétorique produite par les nazis concernant les juifs la veille de la nuit de Cristal!

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Pas du tout "en douce", ni sur le point technique mais plutôt sur la soi-disant "infestation" de la SNCF par les syndicats ... pas loin de la rhétorique produite par les nazis concernant les juifs la veille de la nuit de Cristal!
Ca montre bien pour ceux qui ne le savent pas encore que Mobar est un troll de première catégorie.
lire : https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 32546.htmlINNOVATION. Qu'est-ce que le revêtement "bas carbone" expérimenté sur l'autoroute A6 ?
Publié le 15/03/2023 par François Latour
Le réseau d'autoroutes APRR renouvelle ses revêtements de chaussée sur parkings et aires, et a décidé d'expérimenter ces matériaux sur un tronçon de l'autoroute A6 près d'Auxerre.
Les autoroutes APRR innovent avec le groupe Eiffage Route pour effectuer la réfection de chaussées avec des matériaux au bilan carbone neutre.
Un enrobé, c'est quoi ?
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https://www.boursorama.com/actualite-ec ... b741e36b63Les péages d'autoroute pour les poids lourds seront plus coûteux selon leurs émissions de CO2 d'ici 2030
BOURSORAMA AVEC MEDIA SERVICES•02/01/2024
Un nouveau décret paru dimanche 31 décembre prévoit une modulation des tarifs des péages des camions et des cars en fonction de leur niveau de pollution.
Ce texte transpose une directive européenne obligatoire prise en 2022, destinée à encourager l'utilisation de véhicules moins polluants. Cette transposition devait être réalisée avant mars 2024.
La mesure sera applicable aux véhicules de transport de marchandises et de personnes dont le poids total en charge autorisé est supérieur à 3,5 tonnes.
Les péages " sont modulés en fonction de la classe des émissions de dioxyde de carbone du véhicule. L'amplitude de cette modulation est fixée par le cahier des charges annexé au contrat de concession ", indique le décret paru au Journal officiel. Un arrêté ministériel fixera les classes d'émissions et l'amplitude de la modulation pour chacune d'elles.
Une mesure qui s'appliquera uniqument "sur les futurs contrats d'autoroutes"
Ces péages seront en outre majorés d'une "redevance pour coûts externes liée à la pollution atmosphérique due au trafic". Un arrêté en précisera les valeurs de référence, selon la performance environnementale du véhicule, ses caractéristiques techniques et le caractère suburbain ou interurbain de la route empruntée.
Dans les faits, la mesure ne concerne pas les contrats de concession en cours d'exécution. Elle ne "s'applique que sur les futurs contrats d'autoroutes", indique le ministère des Transports.
Les principales concessions actuelles, couvrant plus de 90% des autoroutes concédées, doivent arriver à terme entre 2031 et 2036. Les transports constituent le premier poste d'émissions de gaz à effet de serre en France, les véhicules lourds (y compris bus et cars) pesant environ un quart de ce poste, selon des chiffres officiels.
D'un autre coté, le 38 tonnes il apporte probablement plus de services à la collectivité que milles bagnoles individuelles!supert a écrit : ↑03 janv. 2024, 13:36On veut faire croire que le niveau de pollution peut se mesurer avec un chiffre précis, c'est trop pratique ! L'Ennemi est nommé: Sus au CO2 !!!
Pendant ce temps, un 38 tonnes qui doit plus défoncer la route que mille bagnoles, ne paye pas mille fois le prix du péage.
Ca existe toujours le porc breton qui va faire 1500 km pour se faire tuer à plus de 1000m d'altitude pour revenir se faire découper en bretagne et s'appeler " produit en montagne" ?
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 9579ec6045Le transport routier est en grave difficulté, selon les patrons
AFP •30/08/2024
Le secteur du transport routier affronte une vague inédite de faillites d'entreprises, liée au ralentissement de l'économie, a alerté vendredi l'Union des entreprises de transport et de logistique de France (Union TLF).
L'Union "tire la sonnette d’alarme" car "les trésoreries des transporteurs se sont tendues et les défaillances du secteur sont désormais historiquement élevées".
"Depuis plus d’un an et demi, le transport routier de marchandises connaît des difficultés persistantes. La conjoncture sectorielle est particulièrement dégradée, faute de demande, alors que les coûts d'exploitation augmentent toujours fortement", explique l'Union TLF dans un communiqué.
Au total, 603 entreprises de transports de marchandises ont fait l'objet d’une procédure collective au 2e trimestre 2024, soit une hausse de 45% sur un an et de 73% sur deux ans, selon la société Ellisphere et le magazine L'Officiel des Transporteurs.
Cette vague "excède largement le rattrapage post-Covid", analyse l'Union TLF.
Faute de demande, le climat des affaires se situe sous sa moyenne de longue période depuis 21 mois consécutifs dans le secteur du transport routier, explique l'Union.
Parallèlement, les coûts de production des transporteurs restent en forte progression: +5,4% sur un an en juillet 2024 hors gazole, selon le Comité National Routier. "A cela s'ajoutent des crises régulières qui frappent durement le secteur: mouvements des retraites, crise des agriculteurs, intempéries, blocages des ports", soulignent les patrons.
"Nous sommes frappés par le décalage entre le débat politique de cette rentrée et la réalité de nos entreprises", a souligné Eric Hémar, président du géant ID Logistics et de l'Union TLF, cité dans le communiqué.
"Une crise économique frappe de plein fouet notre secteur depuis plus d'un an maintenant. Cette situation met en péril de nombreuses entreprises, notamment les plus petites et, avec elles, l'emploi et la vitalité de nos territoires. L'Union TLF appelle à un sursaut qui donne priorité à la défense de la compétitivité de nos entreprises et du plein-emploi", a souligné M. Hémar.
L'Union TLF demande à ce que le projet de loi de finances intègre une baisse de la fiscalité pour les entreprises de transport, une suppression du bonus-malus de l'assurance-chômage, et le maintien du soutien public au verdissement des flottes de camions.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... e78d1d57e3"Couloir à camions", l'Alsace vote sur une taxe poids lourds
AFP •21/10/2024
Fiscalité collective ou punitive ? Les élus de la Collectivité européenne d'Alsace (CEA) votent lundi pour ou contre l'instauration d'une taxe poids lourds qui vise à diminuer la pollution et le trafic autoroutier mais qui hérisse les acteurs économiques régionaux.
La CEA, né en 2021 de la fusion des conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, et qui a récupéré à cette occasion la gestion des routes et autoroutes non concédées sur son territoire, veut imposer à partir de 2027 une taxe, baptisée "R-Pass", de 0,15 euro par kilomètre pour les camions de plus de 3,5 tonnes circulant sur l'axe nord-sud (A35 et A36) et sur deux autres routes reliant cet axe à l'Allemagne.
La collectivité cherche ainsi à améliorer "la fluidité et la sécurité" de la circulation, à réduire "la pollution atmosphérique et sonore", à limiter la dégradation des routes et à "rééquilibrer le trafic de transit entre l'Allemagne et la France".
Car de l'autre côté du Rhin, les autorités allemandes ont mis en place dès 2005 une taxe, portée à 0,34 euro/kilomètre en janvier 2024, créant ainsi, côté français, "un appel d'air naturel pour le trafic de transit" et déversant chaque jour des centaines de camions supplémentaires sur un réseau "pourtant déjà saturé", selon la CEA.
"Je suis sur l'A35 tous les jours, c'est infernal. Et je regarde les immatriculations, cinq véhicules sur six ont des plaques étrangères. C'est devenu un vrai couloir à camions", a souligné en conférence de presse le président de la CEA, Frédéric Bierry, qui espère, avec cette taxe, faire contribuer aux coûts d'entretien des routes les opérateurs de transports étrangers.
- Risques sur l'emploi -
Mais pour bon nombre d'acteurs économiques alsaciens, cette taxe pourrait porter un coup fatal à certaines entreprises du territoire.
"L'économie alsacienne est déjà impactée par les crises successives que nous venons de traverser, sans compter la dégradation de l'économie allemande, à laquelle nous sommes très liés. Nous ne comprenons pas pourquoi la CEA fait peser un nouveau risque sur nos entreprises et l'emploi avec cette taxe", s'inquiètent, dans un communiqué commun, les trois présidents des chambres de Commerce, d'Agriculture et des Métiers d'Alsace, Jean-Luc Heimburger, Denis Nass et Jean-Luc Hoffmann.
Citant l'étude d'impact du cabinet Deloitte commandée par la CEA, ils avancent que cette taxe aboutirait à "prélever 64 millions d'euros par an sur l'économie", et pourrait entraîner la destruction de 1.500 emplois en Alsace dans le secteur des transports, tout en renchérissant les prix pour les consommateurs.
Adressant un "faire-part de décès de la Compétitivité de l'économie alsacienne" ayant "succombé sous le poids du projet de taxe Bierry", un collectif d'entreprises a appelé à manifester lundi devant le siège de la CEA, à Colmar, pour dénoncer un "passage en force". Les agriculteurs de la FDSEA ont également prévu de participer à la contestation.
- "On ne reculera pas" -
Certains acteurs, dont la Fédération des Travaux publics d'Alsace, ont cependant exprimé leur soutien au projet, soulignant que les recettes seraient réaffectées à l'économie locale, comme l'a promis Frédéric Bierry.
La taxe doit notamment permettre de financer le passage à deux fois trois voies de la route reliant Colmar à Sélestat, un chantier de 150 à 200 millions d'euros.
"On ne reculera pas sur le principe", a prévenu Frédéric Bierry vendredi, tout en assurant que la concertation avec les milieux économiques allait "se poursuivre" après le vote et promettant d'"aider plus ceux qui seront le plus affectés".
De leur côté, au sein de la Collectivité européenne d'Alsace, les élus d'opposition du groupe Alsace Écologiste, Citoyenne et Solidaire appellent, eux, à aller plus loin. Ils veulent amender le projet pour une mise en application dès 2026 sur un réseau routier plus large et avec un niveau de taxe aligné "sur ce qui se fait outre-Rhin".