Il n'y a jamais d'interaction entre la zone VIP et le reste du navire. Les autres passagers ne se rendent même pas compte que cet espace existe », explique Pierfrancesco Vago.
C'est vrai faut pas mélanger les milliardaires et les millionaires

Modérateurs : Rod, Modérateurs
Il n'y a jamais d'interaction entre la zone VIP et le reste du navire. Les autres passagers ne se rendent même pas compte que cet espace existe », explique Pierfrancesco Vago.
Oui j'ai entendu ça aussi, il dit aussi que dans le cas du NGV pour la Corse par ex, on est plus près de l'avion que du train, mais plus près ça veut dire moins, alors qu'en fait la réalité est plus ?Yves a écrit :Je ne pense pas, il précise (de mémoire, il faudrait vérifier) qu'il calcul le coût du passager marginal. Ca a surement son importance pour expliquer la différence.
Comme je n'ai pas réellement suivi ce fil, je ne sais pas quel est le graphe en question.Alturiak a écrit :Je ne comprends pas.
Peut-être que c'est le terme "passager marginal" que j'ai du mal à concevoir.
En tous cas je ne dirais pas non à quelques explications, AJH. Merci.
Je pensais que ce graphe de Janco évaluait en gros la quantité de CO2 rejetée par kg transporté sur un km.
Principe n°3 : Les gens rationnels pensent en termes marginaux De nombreuses décisions de la vie courante impliquent des petits ajustements à la marge d’un plan d’action préexistant. Les économistes appellent ces ajustements des changements marginaux. La plupart du temps, les meilleures décisions sont prises en raisonnant en termes marginaux.Imaginons qu’un de vos amis vous demande votre avis sur le nombre d’années d’études à faire. Si vous comparez les styles de vie d’un élève d’une grande école et d’un apprenti, votre ami vous fera remarquer à juste titre que votre comparaison ne lui est pas d’un grand secours. La question que se pose votre ami, qui adéjà consacré quelques années à ses études, est de savoir s’il y consacre une année ou deux ou pas. Pour prendre cette décision, il doit comparer les bénéfices additionnels qu’il retirera d’une année d’étude supplémentaire aux coûts additionnels engendrés par cette année. En comparant le bénéfice marginal au coût marginal, il pourra décider si cela vaut la peine de faire une année d’étude supplémentaire. Voici un autre exemple qui démontre l’intérêt du raisonnement à la marge. Mettons-nous dans la peau d’une compagnie aérienne qui se demande combien facturer un passager qui n’a pas encore acheté son billet. Supposons que faire traverser le pays à un avion de 200 places coûte à la compagnie 100 000 dollars. Dans ces conditions, le coût moyen d’un siège est de 500 dollars (soit 100 000/200). On pourrait en conclure que lacompagnie aérienne ne devrait jamais vendre un billet à moins de 500 dollars. Pourtant, la compagnie peut augmenter son profit en raisonnant à la marge. Imaginons que l’avion se prépare à décoller avec 10 sièges vacants. Un passager non enregistré attend à la porte d’embarquement, et se déclare prêt à payer son billet 300 dollars. La compagnie aérienne doit-elle lui vendre un billet à ce prix-là ? Evi-demment oui. Si l’avion décolle avec des sièges inoccupés, le coût de transport d’un passager supplémentaire est minuscule. Si le coût moyen de transport d’un passager est de 500 dollars, le coût marginal est réduit au coût du paquet de cacahuètes et du verre de soda que le passager supplémentaire consommera pendant son vol (AJH: le carburant en plus) . Tant que le passager de dernière minute paye un tarif supérieur au coût marginal, la compagnie a intérêt à lui vendre un billet. Comme l’ont démontré ces exemples, les individus comme les entreprises prennent de meilleures décisions en raisonnant à la marge. Un décideur rationnel n’engage une action que si, et seulement si, le bénéfice marginal de celle-ci est supérieur à son coût marginal
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=110130Boulogne - Douvres : Le Norman Arrow prêt à partir d'Australie
C'est samedi 2 Mai que le Norman Arrow doit quitter l'Australie pour rejoindre le Pas-de-Calais, où il sera exploité à compter de la fin mai sur la liaison Boulogne-Douvres de LD Lines. Le catamaran perce-vague. Flambant neuf, le navire, construit par les chantiers Incat (Tasmanie), appareillera de Hobart. Il fera escale à Fremantle puis aux Seychelles pour faire le plein en combustible, avant de mettre le cap sur la mer Rouge, via le golfe d'Aden. Des mesures de précaution sont bien évidemment prises pour ce transit en zone de piraterie mais, compte tenu de sa vitesse de pointe (40 noeuds), le Norman Arrow est logiquement à l'abri des attaques. Une fois franchi le canal de Suez, il fera escale à Malte avant de rejoindre Boulogne, normalement entre le 21 et le 25 mai.
Long de 112.6 mètres pour une largeur de 30.5 mètres, ce catamaran pourra embarquer, selon les configurations, 417 voitures, ou réserver 567 mètres linéaire de parkings aux poids lourds (une quarantaine) et embarquer 195 automobiles. Ses équipements permettent d'accueillir jusqu'à 1200 passagers. Assurant la traversée du détroit en une heure, le Norman Arrow réalisera quatre allers-retours par jour. Ces rotations s'ajouteront, en semaine, aux deux réalisée par LD Lines avec un ferry conventionnel, le temps de transit entre Boulogne et Douvres étant, dans ce cas, de 1H45.
La vraie question a se poser est la pertinence de l'externalisation des produits amenés vers l'ile .DMA a écrit :mais également des camions E.Leclercq pour livrer les magasins de l'île. Ça devrait rentrer dans le calcul, ce transport de marchandise permet de rentabiliser le trajet.