source : enerzine le 05 Dec 2006Le Gaz naturel pour voiture se répand en allemagne
Dans les deux années à venir, E.ON Ruhrgas prévoit d'ouvrir environ 150 stations services pour des véhicules à gaz naturel (GNV) sur les autoroutes allemandes.
Actuellement, le gaz naturel comme carburant moteur est disponible dans 750 stations d'essence sur le territoire national. À cette fin, E.ON Ruhrgas a créé une nouvelle filiale connue sous le nom de gaz Mobil E.ON. Elle établira les nouvelles stations en collaboration avec les principales compagnies pétrolières en Allemagne.
En 2007 et pour commencer, 60 à 70 nouvelles stations d'essence devront être mises en service. Entre 60 à 70 stations suivront en 2008. E.ON Ruhrgas va dépenser un total de 36 millions d'euros pour la couverture supplémentaire de ces stations d'essence GNV.
« Le gaz naturel a beaucoup de potentiel comme carburant moteur. Il est non seulement meilleur marché que l'essence et le diesel, mais il est également très favorable pour l'environnement, » a dit Dr. Bernhard Reutersberg, membre du conseil de E.ON Ruhrgas AG de la gestion et du Président du conseil de surveillance de E.ON gaz Mobil.
« En créant la structure E.ON gaz Mobil nous envoyons un signal clair pour le développement ultérieur de ce marché. En même temps nous continuons à coopérer avec les fabricants allemands de voiture offrant des modèles attrayants. »
Les avantages environnementaux du gaz naturel comme carburant moteur doivent être augmentés dans le futur par l'utilisation du bio gaz naturel. Ce dernier est obtenu par le traitement de ressources dit renouvelables.
Dans une démarche volontaire, l'industrie du gaz s'est engager à additionner jusqu'à 10 % du bio gaz naturel aux volumes de gaz naturel existants sur le marché des carburants moteur jusqu'en 2010. Elle apporte de ce fait une contribution significative vers la réduction d'émissions de CO2 provoquées par le trafic routier.
Le bio gaz naturel convient comme carburant moteur pour GNV sans aucune restriction.
Les voitures et véhicules au Gaz naturel
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On oublie que le GPL existe ici et maintenant, et qu'il provient pour moitié environ de gaz naturel...
On comprend donc assez mal pourquoi il est marginalisé chez nous, alors que c'est beaucoup plus accessible que le GNV (pression beaucoup plus faible, plein plus rapide, autonomie double, voire triple, et surtout disponibilité à la pompe et de réseau d'installateurs) sans rejeter beaucoup plus de CO2 du puit à la roue.
On comprend donc assez mal pourquoi il est marginalisé chez nous, alors que c'est beaucoup plus accessible que le GNV (pression beaucoup plus faible, plein plus rapide, autonomie double, voire triple, et surtout disponibilité à la pompe et de réseau d'installateurs) sans rejeter beaucoup plus de CO2 du puit à la roue.
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on peut relire l' article de moteurnature sur les voitures à Gaz naturel dans leur article du 5 Mai 2006, ici : http://www.moteurnature.com/actu/2006/g ... osteur.php
Le gaz naturel carburant bio ? Non, appellation usurpée. Mais, pas de beaucoup.
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La première station à gaz naturel du Jura
La première station à gaz naturel du Jura inaugurée publiquement
Source : RFJ
Date : 14/04/2007
Source : RFJ
Date : 14/04/2007
Allez, on y croit tous très très très fort... "La voiture, c'est bien, s'en séparer, ça craint".Depuis son inauguration politique en février, 6 voitures à gaz ont été immatriculées dans le Jura et cinq sont en commande.
Energie du Jura SA s'est fixé un objectif de 300 véhicules à gaz dans la République et canton d'ici 2012-2013. La société offre encore environ 10 primes de 1500 francs aux personnes intéressées par le gaz naturel.
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voiture au gaz naturel
je n'ai pas trouvé de fil dédié sur la voiture au GNV ( qui n'est pas le gpl) la voiture au GNV ( methane), est bien moins polluante qu'une voiture diesel ou essence.
La filière biogaz presente un bilan environnementale bien meilleur que les filiere diester ou ethanol.
La méthanisation exploite toute la plante et pas seulement l'amidon ou les lipide.
La methanisation evite la couteuse ( energetiquement) etape de distillation.
Par exemple, l'energie nette produite par hectare de mais est 5 fois plus importante qu'avec une filiere ethanol.
La methanisation ne rejette pas de polluant type NOX ou dioxine.
Bref d'un point de vue environnemental elle n'a que des avantage.
A technologie equivalente l'interet pour l'ethanol s'explique a mon sens par deux mauvaise raison:
La premiere qui doit jouer un peu, c'est l'image d'un pourrissement qui fait moins glamour que l'ethanol.
(On prefere encore le vert au marron...)
La seconde plus serieuse est du a une vision à court terme:
On prefere une reaction intense en energie ( distillation) qui permet une forte utilisation du capital (on produit beaucoup par kilo d'installation...), à une reaction a basse energie ( methanisation) qui produit beaucoup par unité de matiere entrante.
le cout des matiere premiere agricole s'acroissant plus vite que celui du capital il arrive un point ou le rendement energetique deviendra la clee de la rentabilité d'une filiere. ( ce qui n'est pas le cas aujourd'hui).
Les filiere HVP, pile a combustible ou autre, aucune n'a l'interet à long terme de la filiere biogaz avec culture dediée...
La filière biogaz presente un bilan environnementale bien meilleur que les filiere diester ou ethanol.
La méthanisation exploite toute la plante et pas seulement l'amidon ou les lipide.
La methanisation evite la couteuse ( energetiquement) etape de distillation.
Par exemple, l'energie nette produite par hectare de mais est 5 fois plus importante qu'avec une filiere ethanol.
La methanisation ne rejette pas de polluant type NOX ou dioxine.
Bref d'un point de vue environnemental elle n'a que des avantage.
A technologie equivalente l'interet pour l'ethanol s'explique a mon sens par deux mauvaise raison:
La premiere qui doit jouer un peu, c'est l'image d'un pourrissement qui fait moins glamour que l'ethanol.
(On prefere encore le vert au marron...)
La seconde plus serieuse est du a une vision à court terme:
On prefere une reaction intense en energie ( distillation) qui permet une forte utilisation du capital (on produit beaucoup par kilo d'installation...), à une reaction a basse energie ( methanisation) qui produit beaucoup par unité de matiere entrante.
le cout des matiere premiere agricole s'acroissant plus vite que celui du capital il arrive un point ou le rendement energetique deviendra la clee de la rentabilité d'une filiere. ( ce qui n'est pas le cas aujourd'hui).
Les filiere HVP, pile a combustible ou autre, aucune n'a l'interet à long terme de la filiere biogaz avec culture dediée...
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Re: voiture au gaz naturel
Mais si ! yaka demander au modo de service.peaknik a écrit :je n'ai pas trouvé de fil dédié sur la voiture au GNV ( qui n'est pas le gpl) la voiture au GNV ( methane), est bien moins polluante qu'une voiture diesel ou essence..
Voila, regroupé.
- GillesH38
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GillesH38 a écrit :juste un petit truc, les fuites de méthane sont elles bien controlées? parce que le méthane etant 20 fois plus efficace pour l'effet de serre que le CO2, quelques % de fuites annulent le gain en CO2..
Est ce vraiment plus difficile à traiter que le probléme du gaz de la gaziniére dans la cuisine ?

- GillesH38
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La question des perte par fuite tout au long d'une filiere de transport et d'exploitation est specifique de l'hydrogène. Une molecule de methane (cH4) est tres largement plus grosse qu'une molecule de dihydrogene et se confine facilement ( meme avec passage a la pompe tout les jours)...
L'expansion d'une filiere biogaz justifie l'exploitation de vegetaux ou de dejection dont une bonne partie aurait été de toute manière méthanisé dans la nature... l'un dans l'autre meme avec fuite je doute que la filiere soit globalement negative du point de vue des GES.
( de surcroit le methane a beau etre 23 fois plus generateur d'effet de serre que le C02 il a une durée de vie dans l'atmosphere 20 fois plus courte)
Avec les equipement moderne on obtient en moyenne 0.6 M3 par kilo de matiere organique traité ( ca depend du substrat: lipide superieur au sucre superieur au proteine etc...)
Un equipement efficace produit 4,5 M3 de biogaz par metre cube d'installation et par jour.
L'expansion d'une filiere biogaz justifie l'exploitation de vegetaux ou de dejection dont une bonne partie aurait été de toute manière méthanisé dans la nature... l'un dans l'autre meme avec fuite je doute que la filiere soit globalement negative du point de vue des GES.
( de surcroit le methane a beau etre 23 fois plus generateur d'effet de serre que le C02 il a une durée de vie dans l'atmosphere 20 fois plus courte)
Avec les equipement moderne on obtient en moyenne 0.6 M3 par kilo de matiere organique traité ( ca depend du substrat: lipide superieur au sucre superieur au proteine etc...)
Un equipement efficace produit 4,5 M3 de biogaz par metre cube d'installation et par jour.
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Du gaz naturel dans les moteurs toulousains
Vendredi, la ville de Toulouse a inauguré en grande pompe la première station-service délivrant du gaz naturel pour véhicules (GNV) à destination du grand public.
Le Gaz naturel pour véhicule n'est pas du GPL (gaz de pétrole liquéfié). Il s'agit bien de gaz naturel, ou gaz de ville, le même que l'on retrouve dans la moitié des foyers français. La seule différence est la pression fournie en station-service : entre 200 et 250 bars.
GDF affirme d'ailleurs pouvoir installer des pompes directement chez les particuliers disposant d'un pavillon.
Vendredi, le prix affiché par le magasin Carrefour, était de 0,889 le kilo, équivalent à un litre d'essence. Un prix garanti pendant un mois.
Henri Ducret, Directeur général de la branche énergie France de GDF affiche l'ambition de "fournir 10% du marché français de l'automobile".
La France dispose à l'heure actuelle d'une vingtaine de pompes à GNV sur son territoire, et d'un parc de 10 000 véhicules à "bicarburation" alimentés à la fois au gaz naturel et à l'essence. Dont un tiers d'autobus de ligne.
En Allemagne, ce sont 800 stations qui proposent du GNV, 450 en Italie. Carrefour prévoit l'installation de 300 pompes à l'horizon 2010, en partenariat avec Total.
Enerzine
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Moi je suis contre les voitures GNV.
Il est plus important de préserver la capacité des ménages modestes à pouvoir se chauffer.
Or si déjà que les prix flambent, si on y ajoute une demande en carburant auto bientôt le gaz sera une denrée réservée aux riches.
Donc c'est exactement la même problématique que celle des biocarburants en concurrence avec l'alimentaire.
Surtout on a déjà la filière GPL largement sous-exploitée, et dont une bonne partie de la production mondiale est encore gaspillée dans les torchères.
Commençons par utiliser le GPL existant, ce serait déjà pas mal.
On aurait de quoi faire rouler 7 % du parc actuel, contre moins de 0,5 % actuellement.
Mais on ne le fait pas car cela ne fait pas les affaires des constructeurs, qui ont tout misé sur le gazole.
Rappelons que le GPL provient pour moitié de gaz naturel.
Il est plus important de préserver la capacité des ménages modestes à pouvoir se chauffer.
Or si déjà que les prix flambent, si on y ajoute une demande en carburant auto bientôt le gaz sera une denrée réservée aux riches.
Donc c'est exactement la même problématique que celle des biocarburants en concurrence avec l'alimentaire.
Surtout on a déjà la filière GPL largement sous-exploitée, et dont une bonne partie de la production mondiale est encore gaspillée dans les torchères.
Commençons par utiliser le GPL existant, ce serait déjà pas mal.
On aurait de quoi faire rouler 7 % du parc actuel, contre moins de 0,5 % actuellement.
Mais on ne le fait pas car cela ne fait pas les affaires des constructeurs, qui ont tout misé sur le gazole.
Rappelons que le GPL provient pour moitié de gaz naturel.
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Je crois que c'est une erreur : les torchères brulent le méthane (gaz naturel) produit en plus du pétrole dans les zones ou il n'y a pas de gazoduc pour évacuer ce méthane. Le GPL (mélange principalement de butane et propane) est récupéré car très facilement valorisable.Blackdress a écrit : Surtout on a déjà la filière GPL largement sous-exploitée, et dont une bonne partie de la production mondiale est encore gaspillée dans les torchères.
Rappelons que le GPL provient pour moitié de gaz naturel.
Le GPL va s'épuiser au même rythme que le pétrole, alors que le méthane peut être produit sous forme de biogaz issu, par exemple, de déchets ménagers et agricoles. Ou encore d'algues qui actuellement polluent nos côtes.
Cela ne remplacera jamais la totalité de l'essence, gasole et GPL consommés mais cette filière est meilleure que les agrocarburants qui empiètent sur les meilleures terres agricoles.
De plus, les réserves en gaz naturel sont supérieures à celles de pétrole.
Il est donc plus intelligent de développer les véhicules au GNV. A moyen terme ils remplaceront les véhicules au pétrole pour une question de prix. Et, à long terme, ils rouleront (en nombre réduit certes) au biogaz. Quand tous les véhicules au pétrole seront à l'arrêt.