Re: les cybercars : véhicules électriques urbains sans pilote.
Publié : 16 juil. 2008, 18:02
Je suis sceptique :
- La technologie utilisée me semble trop compter sur le tout automatique, sans avoir la simplicité, disons par exemple, d'une télécabine. Ca me fait penser un peu à Jurassik Park comme situation technique. Bon c'est juste une impression, mais je pense que y aura beaucoup de grains de sables potentiels sans que l'automatisme puisse réagir correctement. Que se passe-t-il par exemple si une borne de rechargement est techniquement opérationnelle, mais a été rendue inopérente (par ex, colmatage au chewin-gomme ...)
- Je ne connais pas le coup d'un Velib, ce doit être élevé, mais certainement moins que la voiture équivalente. Si cela se fait, ce sera parqu'une boite espère en retirer financièrement quelquechose ... Quel devrait être comparativement le coup du transport pour compenser "l'usure" (dégradation volontaire généralement ...) comparé au système Velib ? A-ton réellement la possibilité d'un retour sur investissement qui soit attractif pour le consommateur (sachant que la perte de la "liberté automobile" doit également être compensée, au moins les premières années)
- pour finir, je dirais, en accentuant le coté pessimiste : le seuil psychologique à atteindre avant que ce type d'infrastructure se généralise (et remplace par exemple au moins 20% de nos automobiles actueles, ou alors existe dans toutes les villes de plus de 100 000 h) est si lointain dans la "descente économique" qu'à ce moment là, il sera trop tard pour que cela se fasse (financièrement parlant, personne ne prendra le pari de l'infrastructure)
Et pour conclure une question : comparons ce système à un autre système identique quant aux performances des véhicules et aux déssertes, mais avec chauffeur humain. N'est-ce pas plus "plausible" ?
- La technologie utilisée me semble trop compter sur le tout automatique, sans avoir la simplicité, disons par exemple, d'une télécabine. Ca me fait penser un peu à Jurassik Park comme situation technique. Bon c'est juste une impression, mais je pense que y aura beaucoup de grains de sables potentiels sans que l'automatisme puisse réagir correctement. Que se passe-t-il par exemple si une borne de rechargement est techniquement opérationnelle, mais a été rendue inopérente (par ex, colmatage au chewin-gomme ...)
- Je ne connais pas le coup d'un Velib, ce doit être élevé, mais certainement moins que la voiture équivalente. Si cela se fait, ce sera parqu'une boite espère en retirer financièrement quelquechose ... Quel devrait être comparativement le coup du transport pour compenser "l'usure" (dégradation volontaire généralement ...) comparé au système Velib ? A-ton réellement la possibilité d'un retour sur investissement qui soit attractif pour le consommateur (sachant que la perte de la "liberté automobile" doit également être compensée, au moins les premières années)
- pour finir, je dirais, en accentuant le coté pessimiste : le seuil psychologique à atteindre avant que ce type d'infrastructure se généralise (et remplace par exemple au moins 20% de nos automobiles actueles, ou alors existe dans toutes les villes de plus de 100 000 h) est si lointain dans la "descente économique" qu'à ce moment là, il sera trop tard pour que cela se fasse (financièrement parlant, personne ne prendra le pari de l'infrastructure)
Et pour conclure une question : comparons ce système à un autre système identique quant aux performances des véhicules et aux déssertes, mais avec chauffeur humain. N'est-ce pas plus "plausible" ?