https://www.connaissancedesenergies.org ... res-191127
où il est dit en résumé qu'il n'y a pas de problème . Nous voilà rassurés. Pourquoi pas, si un simple calcul d'ordre de grandeur nous montre qu'on est largement bon en quantité de ressources pour les décennies à venir (au contraire du pétrole)
Pas de problème même pour l'éolien en mer, plus gros consommateur d'aimant permanent (mais qui ne consomme qu'une petite part du néodyme) .
Il y a besoin de 650tonnes/GW d'éolien en mer d'aimant permanent , on parle de centaines de GW d'éolien en mer à installer dans les prochaines années...
Donc il s'agirait de trouver quelques dizaines de milliers de tonnes de certains métaux (qui ne serait pas si rares, suivant https://www.connaissancedesenergies.org ... sont-rares) de la croute terrestre, ça devrait pouvoir se trouver.
Pas de problème pour le photovoltaïque qui n'en consomme même pas mais
(les technologies à couches mines, encore largement minoritaires, utilisent en revanche « des métaux qui peuvent être critiques, comme le tellure, le cadmium, l’indium »).
Enfin pour les batteries :
En ce qui concerne le stockage, l’Ademe indique que « les terres rares n’entrent pas, ou qu’en très faibles quantités (éventuellement comme additif) » dans la composition de la plupart des batteries (à l’exception des batteries nickel-hydrure métallique(12) dont l’utilisation « restera très marginale » selon l’Agence). L’Ademe souligne ainsi que « l’utilisation de métaux critiques ou stratégiques (tels le cobalt dans les batteries lithium-ion) apparaît nettement plus problématique que celle des terres rares » pour le stockage d’électricité.