Publié : 22 juin 2006, 16:24
Je parlais des infrastructures à développer.
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
http://www.oleocene.org/phpBB3/
Elles seraient réduite au minimun et surtout seraient réalisée dans le cadre des financement classique.Tiennel a écrit :Je parlais des infrastructures à développer.
Tu devrais te documenter un peu plus sur les "financements classiques" : ils sont tous sur fonds publics et l'usager ne paie qu'une part réduite du coût total du transport.Elles seraient réduite au minimun et surtout seraient réalisée dans le cadre des financement classique.
On fait un crédit et les usager payent en utilisant les transports...
L'état ne subventionne pas...!!
Les montants à investir et la rentabilité de l'investissement sont également très différents (et plus attractifs que) d'un système de transport.Le service public des "stations services" d'essence voire des "boulageries" fonctionne très bien même le Dimanche et l'état n'intervient pas ou très peu la dedans...
Tiennel a écrit :Tu devrais te documenter un peu plus sur les "financements classiques" : ils sont tous sur fonds publics et l'usager ne paie qu'une part réduite du coût total du transport.Elles seraient réduite au minimun et surtout seraient réalisée dans le cadre des financement classique.
On fait un crédit et les usager payent en utilisant les transports...
L'état ne subventionne pas...!!Les montants à investir et la rentabilité de l'investissement sont également très différents (et plus attractifs que) d'un système de transport.Le service public des "stations services" d'essence voire des "boulageries" fonctionne très bien même le Dimanche et l'état n'intervient pas ou très peu la dedans...
L'attractivité de rentabilité n'a rien à voir avec la "petitesse" ou "grosseur"...Tiennel a écrit :Tu devrais te documenter un peu plus sur les "financements classiques" : ils sont tous sur fonds publics et l'usager ne paie qu'une part réduite du coût total du transport.Elles seraient réduite au minimun et surtout seraient réalisée dans le cadre des financement classique.
On fait un crédit et les usager payent en utilisant les transports...
L'état ne subventionne pas...!!Les montants à investir et la rentabilité de l'investissement sont également très différents (et plus attractifs que) d'un système de transport.Le service public des "stations services" d'essence voire des "boulageries" fonctionne très bien même le Dimanche et l'état n'intervient pas ou très peu la dedans...
Il faut impérativement que les navettes puissent continuer à circuler si certaines s'arretent...Krom a écrit :Cette idée kill sa race, je trouve. Même si c'est difficile d'imaginer mettre en place un système comme ça à grande échelle, ça vaudrait la peine d'être testé.
Genre, l'avantage, c'est que t'as pas besoin de t'arrêter aux arrêts des autres. Avec un espacement suffisant entre les capsules, on peut très bien imaginer des sorties sans perte de débis, l'avantage total.
Mais franchement, pour les gares, je sais pas si ça prendra vraiment moins de place.
Et l'accélération, pour arriver à des vitesses de 200-300kmh, pour que ce soit supportable pour tout le monde (question d'habitude en même temps, je suppose...) faut quand-même prévoir la distance.
Cela reste un moyen de transport collectif...Krom a écrit :Ouais, je pense bien que t'as déjà réfléchi à tout ça. Je pensais à haute voix en fait.
Mais ça prend pas trop de place au final, les voies de sortie, les parkings (qui doivent être reliés) et tout?
Pis surtout, tu comptes que les capsules soient privées ou qu'il y ait un lot disponible à chaque parking que n'importe qui peut prendre?
(La deuxième solution me semble plus simple, mais en même temps, largement moins confortable et compatible avec les gouts de la plupart des gens...)
Inutile d'aller dans l'aviation : le transport ferroviaire développe déjà ces logiciels depuis des décennies. C'est grâce à eux que les métros et les TGV peuvent circuler à pleine vitesse sans canton de séparation (ceux qui ont joué au train électrique dans leur jeunesse comprendront)La sécurité de ce type de transport peut aussi être très importante. . Mais l'informatique genre aviation (logiciel "rustique" mais ultra sécurisés) peu apporter la solution.
Je me doute que cela doit déjà exister...Tiennel a écrit :Inutile d'aller dans l'aviation : le transport ferroviaire développe déjà ces logiciels depuis des décennies. C'est grâce à eux que les métros et les TGV peuvent circuler à pleine vitesse sans canton de séparation (ceux qui ont joué au train électrique dans leur jeunesse comprendront)La sécurité de ce type de transport peut aussi être très importante. . Mais l'informatique genre aviation (logiciel "rustique" mais ultra sécurisés) peu apporter la solution.
Il faudra hachement les nettoyer avant... LOLLL !!!AJH a écrit :Tiens, j'ai une idée
On pourrait utiliser les pipelines qui ne serviront bientot plus à rien pour faire circuler tes "obus" ...
Eco-marathon Shell : 1209 km avec un litre d'essence
Mesdames et Messieurs, démarrez vos moteurs à haut rendement énergétique !" C'est en ces termes que fut lancé l'éco-marathon Shell des Amériques 2008, et c'est ce qu'on fait
mardi plus de 300 étudiants en provenance du Canada, du Mexique et des Etats-Unis.
L'école secondaire Mater Dei d'Evansville, en Indiana, a établi un nouveau record lors de l'éco-marathon Shell des Amériques 2008, un défi consistant à concevoir, à construire et à tester des prototypes de véhicules écoénergétiques pouvant parcourir la plus grande distance avec le moins de carburant possible.
Le véhicule doté d'un moteur à combustion de l'équipe a donné un résultat étonnant de 4576 km avec un gallon d'essence, soit 1 208,6 kilomètres au litre.
Malgré un vent puissant et les problèmes mécaniques subis par diverses équipes, la compétition a été féroce cette année, relatent les organisateurs.
Trois équipes ont en effet éclipsé le record établi en 2007 par Cal Poly, San Luis Obispo.
"Quand nous sommes arrivés, je n'étais pas certain qu'une petite école secondaire comme Mater Dei pouvait se mesurer à tous ces collèges d'élite, a déclaré Justin Stute, capitaine de l'équipe de l'école secondaire Mater Dei. Nous avons toutefois fracassé le record dès la première course, puis notre deuxième prototype a obtenu des résultats encore meilleurs. Voilà qui a
réellement motivé nos deux équipes à aller jusqu'au bout."
Selon Mark Singer, chef de projet mondial de l'éco-marathon de Shell, les étudiants qui participent à cette compétition sont les cerveaux de l'avenir.
Ils repoussent les limites de l'économie de carburant et trouvent des solutions au défi énergétique mondial. Tout au long de la compétition de deux jours, les équipes améliorent constamment leurs véhicules en échangeant des idées et en s'inspirant les uns les autres pour prêter attention à leur empreinte énergétique."
L'éco-marathon Shell des Amériques 2008 a accueilli 32 équipes provenant de quatre écoles secondaires et de 23 universités du Canada, du Mexique et des Etats-Unis. Les prototypes inscrits à la compétition comprenaient 25 véhicules mus par des moteurs à combustion, quatre propulsés à l'aide de la technologie de la pile à combustible et de l'hydrogène, un utilisant du diesel, un alimenté par des gaz de pétrole liquéfiés (GPL) et deux par l'énergie solaire.
Gagnants par catégorie de l'éco-marathon Shell des Amériques 2008 :
Grand prix
Ayant obtenu un résultat de 2 843,4 milles au gallon (1 208,6 kilomètres au litre) l'équipe Supermileage de l'école secondaire Mater Dei à Evansville, en Indiana, a remporté le grand prix de 10 000 $ avec son véhicule, le 6th Gen.
Moteur à combustion
Le véhicule 6th Gen de l'école secondaire Mater Dei High à Evansville, en Indiana, a remporté la première place dans cette catégorie grâce à sa consommation de 2 843,4 milles au gallon (1 208,6 kilomètres au litre).
Pile à combustible/hydrogène
L'équipe Penn State HFV de l'université Park, en Pennsylvanie, a atteint 1 668,3 milles au gallon (709,1 kilomètres au litre) dans son véhicule Blood, Sweat and Gears.
Energie solaire
L'équipe Purdue Solar Racing de West Lafayette, en Indiana, a remporté la première place avec son véhicule alimenté à l'énergie solaire Pulsar, qui a parcouru 2 861,8 milles au gallon (1 216,4 kilomètres au litre).
Les conditions météorologiques ont entraîné des difficultés pour les étudiants et une équipe a dû remplacer son pilote par une personne plus lourde, ce qui l'a forcée à revoir la conception du véhicule.
"Nous avions conçu le véhicule pour une personne en particulier, mais quand nous sommes arrivés sur la piste, nous avons dû changer de pilote, a expliqué Eugenio Martin, un étudiant de la Universidad Nacional Autonoma De Mexico (UNAM). Une fois l'auto modifiée pour l'autre pilote, nous avons connu des problèmes de transmission. Nous avons réparé la transmission en une heure et demie et c'est la plus grande réussite et la plus grande fierté pour nous."
Pendant que l'équipe du Mexique travaillait à résoudre ses problèmes techniques, l'équipe de l'Université Laval, comptant 17 membres, a dû attendre pendant deux jours le dédouanement de son véhicule aux frontières américaines.
Alors qu'il ne restait plus qu'une journée de compétition, l'équipe canadienne a travaillé tard dans la nuit afin d'assembler l'auto et de réussir l'inspection en 12 heures. A la première tentative, l'équipe du Québec a remporté la cinquième place.
"Nous étions heureux d'obtenir enfin l'auto, a relaté Raphael Desiletes-Aubé. Nous avons profité du temps libre pour songer à la façon la plus rapide de réassembler le véhicule. Quand il est arrivé ici, cela a vraiment motivé les membres de mon équipe à travailler plus fort pour le
mettre en piste."
Expérience en situation réelle
L'événement a aussi permis aux étudiants d'acquérir de l'expérience pratique en appliquant les notions enseignées en classe. Bien que la conception et le financement du véhicule soient faits avant que les étudiants arrivent sur la piste, les équipes apportent constamment des modifications pour améliorer le rendement de leur véhicule.
Des étudiants comme Shane Stoterau, de la Northern Arizona University, ont déclaré que dans cet établissement, ils ne bénéficient pas de beaucoup de pratique en ingénierie qui leur permet de passer des plans sur papier à la mise en oeuvre. Il est donc vraiment intéressant de passer de la conception à la fabrication et à l'utilisation.
Hillary Ropponen, étudiante à l'école technique Grand Rapids est d'accord. "C'est génial que Shell organise cet événement. D'une part, il favorise l'apprentissage de l'ingénierie chez des étudiants du niveau secondaire, comme nous, et, d'autre part, il met en valeur des facteurs écologiques auxquels les gens accordent une haute importance de nos jours."
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