oleocene.org

Troti a écrit :Sans vouloir faire trop de mauvais esprit, Palexpo et l'aéroport, c'est limite contigu ... pas besoin de bus. Ils n'ont vraiment pas confiance dans l'autonomie du bouzin.

energy_isere a écrit :

Troti a écrit :Sans vouloir faire trop de mauvais esprit, Palexpo et l'aéroport, c'est limite contigu ... pas besoin de bus. Ils n'ont vraiment pas confiance dans l'autonomie du bouzin.

L' autonomie de ce systéme, dans sa définition méme, n'est ....... juste que celle nécessaire entre deux stations.

Ce qui permet de n' embarquer qu' un minimum de poids de batterie.

Une première ligne fonctionnera grâce à ce système en mai 2013 sur la ligne 5, entre Palexpo et l’aéroport, à l’occasion du Congrès mondial de l’Union internationale des transports publics qui se tiendra à Genève. Coût de cette ligne-test? Cinq millions, études comprises. Puis, si l’essai est concluant, le «biberonnage» sera étendu au reste du réseau. «Notamment sur les nouvelles lignes», explique Philippe Anhorn, porte-parole des TPG. Objectif? Oter des câbles plutôt disgracieux, sans forcément dépenser plus d’argent qu’auparavant: créer des lignes de contact et les entretenir génère effectivement des frais importants. «Ce ne sera pas plus coûteux qu’actuellement», relève Jean-Luc Favre.

Théotrace2 a écrit :...... batteries et des supercondensateurs dopés au graphène.

energy_isere a écrit :

Troti a écrit :Sans vouloir faire trop de mauvais esprit, Palexpo et l'aéroport, c'est limite contigu ... pas besoin de bus. Ils n'ont vraiment pas confiance dans l'autonomie du bouzin.

L' autonomie de ce systéme, dans sa définition méme, n'est ....... juste que celle nécessaire entre deux stations.

Ce qui permet de n' embarquer qu' un minimum de poids de batterie.

Maxity Renault Trucks : deux camions électriques à toulouse

15 Juillet 2013

Destinés à une activité de distribution dans le centre-ville de Toulouse et sur des sites industriels, les transports Rives-Dicostanzo viennent de recevoir 2 Maxity Électriques, des véhicules 100 % électrique de Renault Trucks.

Ces deux Maxity utilisent un moteur électrique asynchrone de 400 Volts et 47 kilowatts et disposent d'une autonomie de 100 kilomètres.

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Bombardier installe sa première station de charge par induction pour bus électriques

Usine Nouvelle le 12 septembre 2013

Bombardier Transport a inauguré sa première station de charge à haute puissance et à induction à Braunschweig, en Allemagne. Elle "biberonnera" bientôt les bus électriques qui remplaceront les bus diesel en centre-ville.

Paré au "biberonnage", Bombardier Transport a inauguré, mardi 10 septembre, la première station de recharge du projet de Braunschweig, en Allemagne. Sa spécificité ? Elle fonctionne par induction, donc sans contact, et affiche une puissance record de 200 kilowatts (kW). Son rôle consistera à "biberonner" les bus électriques que l’opérateur local Braunschweiger Verkehrs-AG devrait mettre en service à partir de décembre prochain.

Le biberonnage, c’est la recharge partielle mais fréquente de la batterie d’un véhicule électrique. Il suffira ainsi au futur bus électrique de 12 mètres de long de la ligne M19, dans le centre-ville de Braunschweig, de stationner pendant 10 minutes au terminus, sans aucune prise à brancher, pour recharger ses batteries et boucler son circuit de 12 km. Plus énergivores, les plus gros bus de 18 mètres que fournira le fabricant Solaris se rechargeront en outre quelques secondes à deux arrêts de bus intermédiaires. Dans tous les cas, les batteries feront un plein complet la nuit au dépôt.

Casse-tête de l’autonomie pour les bus

Le biberonnage est la réponse au casse-tête de l’autonomie des batteries, quasi insoluble pour les bus : "Un bus de 12 mètres parcourant environ 300 kilomètres par jour en ville exigerait une batterie de plus de 3 tonnes", calculait au printemps dernier, pour L’Usine Nouvelle, Jérémie Desjardins, à la tête de l’activité de Bombardier Transport dédiée à l’alimentation par induction (Primove). Et d’estimer la perte en capacité de transport : "30 passagers en moins !"

Pour des bus plus longs ou des trajets plus importants, il n’y aurait pratiquement plus de place pour les passagers... Avec sa solution de biberonnage, Bombardier affirme pouvoir diviser par 5 la taille de la batterie. Une réduction d’encombrement, de poids mais aussi de coût vu le prix de la technologie Lithium-ion. Et le moyen, selon Bombardier, de remplacer enfin les bus diesel par des électriques.

D’autres contrats signés

Le constructeur ferroviaire développe sa solution Primove depuis 2009 (initialement pour les tramways). Elle présente l’avantage de combiner l’induction à la haute puissance, deux atouts de taille pour les courtes et fréquentes recharges nécessaires au biberonnage. Au système de recharge, Bombardier a ajouté des batteries et une propulsion électrique.

Le projet de Braunschweig, soutenu par le ministère des transports allemand, est le premier projet commercial décroché par Bombardier pour Primove, au printemps 2012. Le constructeur revendique d’autres contrats, à Bruges en Belgique et Mannheim en Allemagne. Et il compte bien convertir de nombreuses lignes de bus au biberonnage.

GillesH38 a écrit :quel avantage par rapport à un tram ?

energy_isere a écrit :

GillesH38 a écrit :quel avantage par rapport à un tram ?

Hi Hi, et c' est un presque Grenoblois qui dit ça ? Tu n' a pas du passer par le chantier du Tramway ligne E ces derniers temps.
Tram = Rails + cable aérien electrifié = gros travaux.

Renault Trucks incorpore une mini-benne 100% électrique à son Maxity

Après le lancement commercial du Maxity Électrique, le constructeur Renault Trucks présente un modèle équipé d'une mini-benne à ordures ménagères (BOM) carrossé par Provence Benne Environnement (PBE), elle aussi 100 % électrique.

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Des autobus électriques à Londres

20/12/2013 moteurnature.com

Mise en service sur 2 lignes.



Après la mise en service de bus à piles à combustibles à l'hydrogène, Londres s'engage aujourd'hui en faveur de l'autobus électrique sur batterie. C'est à l'aide de BYD, le fabricant chinois déjà retenu par Amsterdam, dont l'aéroport a commandé 35 véhicules.

La capitale anglaise a été plus modeste, elle n'a retenu le bus électrique de BYD que pour 2 lignes (507 et 521). Avec une autonomie supérieure à 250 km, ce bus est pourtant apte à remplacer bien des thermiques. Surtout avec des batteries qui tiennent selon le constructeur plus de 4000 cycles. Sa consommation est aussi raisonnable à 130 kWh/100 km et il se recharge en 4/5 heures. Quand en Ile de France, 950 autobus sont encore des diesels sans FAP (chiffre officiel du STIF), on rêverait de voir ces autobus à Paris, mais les projets actuels ne prévoient des autobus électriques dans la capitale qu'à l'horizon 2020.