Re: [véhicule électrique] La voiture électrique, une solution ?
Publié : 14 oct. 2017, 08:49
et on parlera bientôt des Teslouilles.... :-) en ajoutant un zéro !
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
http://www.oleocene.org/phpBB3/
C'est pas mieux en France, que ce soit avec des fossiles ou du nuke, les pertes sont du même ordre 70% de l'énergie réchauffe les oiseaux ou les poissons
Une Tesla model 3 avec 2000 miles au compteur est a vendre 150 000 USD soit 3 fois son prix neuf ! https://electrek.co/2017/10/11/tesla-mo ... ed-150000/
Ce n'est pas significatif, pour l'instant, avoir une TM3 c'est détenir un prototype pour collectionneurs fortunés... en plus celui-là semble être le n°1...First ever Tesla Model 3 for sale.
http://www.moteurnature.com/29092-le-su ... lectriquesLe succès et les limites de la Norvège pour les voitures électriques
Dim 15/10/2017 — Economiquement pas durable.
Le mois dernier, la proportion de voitures électriques dans les immatriculations de voitures neuves a établi un nouveau record en Norvège : 20 %. Une voiture neuve sur 5 est électrique ! Ce succès ne doit rien au hasard, il est le fruit d'une politique volontariste pour laquelle on a employé de gros moyens. Les voitures électriques sont ainsi exemptées de TVA en Norvège. Quand en France, avec le bonus, une Volkswagen Golf électrique coûte 10 % de moins qu'une Golf GTI, en Norvège, l'électrique est 40 % moins chère ! Les électriques sont aussi exemptées de péages sur les autoroutes, elles ont droit de rouler dans les voies réservées aux autobus, elles ont droit à centaines de places de parking gratuites, avec la recharge gratuite elle aussi... N'en déplaise à Christina Bu (illustration), la secrétaire générale de l'association norvégienne du véhicule électrique (qui compte 50 000 membres), cela n'est pas très durable.
Pour le droit de circuler sur les voies réservées aux transports en commun, la facilité a déjà été restreinte. Aux heures de pointe, le droit à circuler n'est plus donné qu'aux électriques où le conducteur n'est pas seul à bord. Un second coup de canif, bien plus profond, est venu du ministre des finances, qui propose de revenir, sur l'exemption de TVA pour les voitures électriques qui font plus de 2 tonnes. Il n'y aurait donc pour le moment que les Tesla qui seraient impactées, mais l'idée ne doit pourtant surprendre personne. Dans les textes déjà, l'exemption de TVA n'est supposée aller que jusqu'en 2020.
On rappellera que la Norvège est l'un des pays où les taxes et les impôts sont parmi les plus élevés au monde. La taxe annuelle de circulation aussi, est beaucoup plus faible pour les électriques. Alors à mesure que les ventes d'électriques augmentent, les recettes fiscales diminuent, et le moment où un ajustement sera nécessaire se rapproche. La Norvège étant en avance, il est normal qu'elle soit la première à ouvrir la réflexion. La France devra faire de même dans... Quelques 5 ans ?
http://www.moteurnature.com/29078-la-ni ... -en-europeLa Nissan Leaf II est en Europe
Jeu 05/10/2017 — Disponible à la commande.
On le savait déjà, la seconde édition de la Nissan Leaf progresse très nettement dans les chiffres. La puissance du moteur est accrue de 37 %, la capacité de la batterie augmente de 33 %, le volume du coffre gagne 17 %. Mais le plus important n'est pas là. C'est le design qui change tout. La première Leaf avait un grand atout : une face avant à nulle autre pareille. Malheureusement, cette esthétique originale n'avait jamais fait l'unanimité. Il était difficile de la trouver belle. On ne peut plus dire cela de la seconde génération, dont lors de la présentation européenne (après la première au Japon), face à 300 journalistes facilement critiques, nous n'en avons trouvé aucun à ne pas être séduit par ce nouveau design, simple, sobre et élégant. On prend déjà le pari que la Leaf convaincra plus de clients rien qu'avec sa nouvelle ligne.
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https://www.la-croix.com/Economie/Entre ... 1200896911Peugeot prépare l’essor des voitures électriques
Alain Guillemoles , le 04/12/2017
Le groupe PSA s’allie avec un fabriquant japonais pour devenir numéro 1 de la production de moteurs électriques pour l’automobile. D’ici à 2030, la moitié des véhicules vendus dans le monde devraient être hybrides ou électriques.
Au moment où tous les grands constructeurs mettent le cap sur la voiture électrique, PSA se positionne pour devenir fabricant de moteurs pour ses besoins propres, mais aussi pour servir toute l’industrie. Le groupe français a en effet annoncé le 4 décembre une alliance avec le Japonais Nidec, numéro un mondial du secteur – il a fabriqué plus de 6 milliards de moteurs électriques l’an dernier – pour mettre sur pied une coentreprise. PSA et Nidec vont concevoir ensemble, puis fabriquer et vendre des moteurs pour voitures électriques.
Il s’agira à la fois de petits moteurs de traction pour les véhicules hybrides légers, ou de plus gros, à destination de véhicules 100 % électriques. « D’ici à 2023, 80 % de nos modèles seront proposés en version électrifiée », a expliqué Patrice Lucas, vice-président de PSA. Ces moteurs seront susceptibles d’aller sur des véhicules Peugeot, Citroën, DS, Opel ou Vauxhall, soit toutes les marques du groupe.
À l’horizon 2022
Les équipes de Nidec et PSA vont donc travailler ensemble dans un centre de recherches et développement basé à Poissy, au sein de l’usine PSA, pour mettre au point cette nouvelle gamme de moteurs. Ces derniers seront produits à Tremery, en Moselle, où PSA dispose déjà d’une usine de moteurs thermiques.
La coentreprise devrait voir le jour début 2018 et les moteurs être montés sur des véhicules à partir de 2022. PSA et Nidec vont investir ensemble 220 millions d’euros et créer une centaine d’emplois d’ingénieurs, puis 400 pour la chaîne de production. Mais difficile de dire s’il s’agit de créations nettes, ou bien des transferts de postes.
Les deux entreprises prévoient un volume de 900 000 moteurs à produire en 2022 pour les besoins de PSA. Mais leur ambition ne se limite pas à cela. PSA et Nidec veulent aussi fournir des moteurs à d’autres constructeurs, et donner le jour à « un champion mondial de la production de moteurs de traction pour l’industrie automobile ».
Nidec, un géant mondial
Alors que le marché a mis le cap sur les 100 millions de véhicules produits par an dans le monde, on estime que d’ici à 2030, près d’un véhicule vendu sur deux devrait être soit hybride, soit 100 % électriques. C’est donc une cinquantaine de millions de moteurs qui seront nécessaires à cette échéance, un marché évalué à 45 milliards d’euros par an. En mettant en commun les compétences d’un grand fabriquant automobile et d’un spécialiste des moteurs électriques, l’alliance Nidec-PSA espère en produire une part significative.
Nidec est déjà un géant mondial qui emploie plus de 100 000 salariés pour fabriquer toutes sortes de moteurs, de toutes tailles. Le groupe japonais est présent dans l’automobile à travers des moteurs de direction assistée ou des pompes à huile. Nidec a racheté en février dernier Leroy-Somer, plus gros fabriquant français de moteurs électriques dont le siège est à Angoulême, qui fait principalement des moteurs d’ascenseurs et réalise aussi les moteurs de traction des Bluecar Bolloré.
Mais en se lançant dans la production pour l’automobile, Leroy-Somer va devoir repenser ses produits pour qu’ils deviennent plus puissants et moins chers. Et c’est bien le premier objectif visé par cette alliance, qui peut tabler sur le marché captif de PSA pour se lancer en ayant l’assurance de pouvoir fabriquer, d’emblée, de gros volumes.
https://www.sciencesetavenir.fr/nature- ... que_118888GB: Les "black cabs" londoniens se mettent au tout électrique
Par AFP le 05.12.2017
Les premiers taxis noirs roulant à l'électricité ont commencé mardi à arpenter les rues de Londres, avec un nouveau look plus massif, dans le cadre d'une nouvelle réglementation visant à réduire la pollution dans la capitale britannique.
Le premier taxi londonien roulant à l'électricité, baptisé TX eCity, le 5 décembre 2017 près de Buckingham Palace. -AFP/Daniel LEAL-OLIVAS
Ces "black cabs" électriques remplacent des véhicules diesel au terme de la réglementation voulant que tout nouveau taxi roulant à Londres à partir de 2018 émette de très faibles quantités de gaz polluants.
Quelque 9.000 d'entre eux doivent être déployés d'ici 2021, soit environ la moitié de la flotte actuelle.
Baptisé TX eCity, "ce véhicule est totalement nouveau et offre une bien meilleure expérience au conducteur comme aux passagers", a assuré à l'AFP Chris Gubbey, directeur du London Electric Vehicle Company (ex-London Taxi Company), son fabricant. "Il est très silencieux et la conduite est bien meilleure", a-t-il ajouté.
Placé en 2013 sous administration judiciaire, le fabricant du seul véhicule au monde construit pour servir de taxi avait été racheté par le constructeur automobile chinois Geely, propriétaire de Volvo.
Les taxis sont construits depuis près de 70 ans à Coventry, dans le centre de l'Angleterre.
- Dix fois moins de CO2 -
Les nouveaux exemplaires sont plus grands et peuvent transporter jusqu'à six passagers, sous un toit transparent. Ils sont équipés de l'internet sans fil (wi-fi), de chargeurs USB, d'une prise de courant et d'un lecteur de carte bancaire sans contact à l'arrière.
Chris Gubbey, directeur du London Electric Vehicle Company (ex-London Taxi Company), fabricant du TX eCity, premier taxi londonien électrique, le 5 décembre 2017 à Londres.-AFP/Daniel LEAL-OLIVAS
"La qualité de conduite est incroyable. Les clients vont adorer", a commenté Peter Powell, 61 ans, un chauffeur de taxi qui teste les nouveaux véhicules depuis deux mois. Il reconnaît toutefois que "de nombreux anciens n'aiment pas le changement", préoccupés notamment par des bornes de recharge en nombre insuffisant.
Le TX eCity coûte 55.000 livres (environ 62.000 euros), soit 10.000 livres de plus que la dernière version diesel (TX4). Mais son fabricant estime que les chauffeurs peuvent économiser 100 livres (114 euros) par semaine en carburant.
Il émet aussi dix fois moins de CO2 que les TX4 et leurs émissions d'oxyde d'azote sont proches de zéro.
Les chauffeurs de taxi londoniens parcourent en moyenne 120 miles (193 kilomètres) par jour, en incluant les trajets de et vers leur domicile.
Les nouveaux taxis électriques peuvent rouler 80 miles (129 kilomètres) grâce à leur moteur électrique, mais disposent également d'un générateur électrique de réserve (alimenté par un moteur essence) leur permettant de parcourir jusqu'à 377 miles (607 kilomètres).
Avec un générateur amovible, tu as le véhicule tous usages le plus rationnel qui soitLes nouveaux taxis électriques peuvent rouler 80 miles (129 kilomètres) grâce à leur moteur électrique, mais disposent également d'un générateur électrique de réserve (alimenté par un moteur essence) leur permettant de parcourir jusqu'à 377 miles (607 kilomètres).
Vrai, mais dans ce cas-ci il n'est pas amovible mais intégré.Avec un générateur amovible, tu as le véhicule tous usages le plus rationnel qui soit
Moins marketing que Tesla mais surement plus près des préoccupations des vrais gens!
Le rendement mécanique global du système passe de 20% à 25% au prix d'une complexité supplémentaireemmort a écrit : ↑07 déc. 2017, 18:04Vrai, mais dans ce cas-ci il n'est pas amovible mais intégré.Avec un générateur amovible, tu as le véhicule tous usages le plus rationnel qui soit
Moins marketing que Tesla mais surement plus près des préoccupations des vrais gens!
La logique est cependant bonne: un petit moteur essence (600cc, de mémoire) qui tourne au mieux de son rendement pour recharger les batteries. Tournant en permanence au mieux, il ne subit pas les aléas de la circulation et son rendement est "idéal". la puissance produite étant intégrée (au sens mathématique du terme) il ne faut pas de grosse cylindrée.
Tournant à régime constant on peut aussi optimaliser les silent-blocx et l'insonorisation.