[Maritime] Le transport maritime mondial

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21 413 EVP: nouveau record mondial de l’OOCL Hong Kong

Publié le 15/05/2017

Les porte-conteneurs géants se suivent et les records avec. L’armateur de Hong Kong Orient Overseas Container Line (OOCL) partenaire de CMA-GGM dans l’Ocean Alliance a baptisé dans le chantier coréen de Samsung l’OOCL Hong Hong Kong, premier d’une série de six navires identiques affichant une capacité de 21 413 conteneurs équivalent vingt pieds (EVP).


L’OOCL Hong Kong va être exploité sur une boucle de 77 jours entre l’Asie et l’Europe du Nord. (Photo : DR)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -hong-kong

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Le Havre : Mol Triumph, le plus grand porte-conteneurs du monde à Port 2000

LE HAVRE (Normandie) - Avec une capacité de 21 170 boîtes, iI est à ce jour le plus grand porte-conteneurs à faire escale au Havre. Annoncé initialement dimanche, son arrivée a été reportée à lundi. Dans le cadre de son voyage inaugural, le géant des mers s’est présenté devant les digues peu avant 17 h ce lundi pour s’amarrer à Port 2 000 assisté par trois remorqueurs.


Mol Triumph croise le MSC Sindy aux abords de Port 2000

http://www.paris-normandie.fr/breves/no ... -KC9765941

Pour les grosses banques on dit qu' elles sont Too big to fail, mais la Too big to sink ca pourra arriver quand méme !
D'ailleurs pour MOL on se souvient trés bien de :



Photo fournie le 20 juin 2013 par le ministère indien de la Défense montrant le porte-conteneurs Mol Comfort qui s'est brisé en deux au large du Yémen - © Mod

c'était donc il y a 4 ans.

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La construction d’une unité Ecoslops confirmée à La Mède

Publié le 12/06/2017 lemarin.fr

Ecoslops a confirmé le lundi 12 juin la construction d’une unité de régénération de résidus d’hydrocarbures issus du transport maritime sur le site de bioraffinage Total de La Mède (Bouches-du-Rhône). Les deux compagnies ont signé l’accord concrétisant le projet.


Ecoslops et Total ont pris la décision finale d'investissement concernant l'implantation d'une unité Ecoslops sur le site Total de La Mède. (Photo : Total)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... ee-la-mede

Spécialisée dans la production de carburant et de bitume léger à partir de résidus d'hydrocarbures, la société technologique Ecoslops, basée à Paris, a signé un accord avec Total pour implanter sur le site de sa raffinerie à La Mède (Bouches-du-Rhône) une unité de régénération de résidus d’hydrocarbures issus du transport maritime. Ecoslops construira et opérera l'unité de micro-raffinage et Total fournira des prestations de services et mettra à disposition les utilités nécessaires à son fonctionnement. Les différentes coupes pétrolières produites seront revendues sur le marché local ou international. Sous réserve de l'obtention des permis de construire et autorisations d'exploiter, le démarrage des travaux est prévu au second trimestre 2018 et celui de l'unité fin 2018. L'investissement est évalué à 13 millions d'euros.

http://www.usinenouvelle.com/article/no ... al.N551613

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"Zéro bruit, zéro vague, zéro émission": un Sea Bubbles a "volé" sur la Seine

Le 16.06.2017

Avec "zéro bruit, zéro vague et zéro émission" de carbone, un prototype de Sea Bubbles, le "taxi volant" électrique inventé par le navigateur Alain Thébault, a "volé" vendredi matin sur la Seine en première mondiale, avec la maire de Paris Anne Hidalgo à son bord.



Quatre passagers plus le pilote Anders Bringdal, associé d'Alain Thébault, ont ainsi navigué à une vitesse oscillant entre les 12 et 18 km/h, maximum autorisé sur la Seine pour l'essai, afin de tester le centre de gravité, la stabilité en vol, le décollage ou le passage des bateaux dans son sillage.
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https://www.sciencesetavenir.fr/nature- ... ine_113897

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Le nombre de grands naufrages divisé par deux en dix ans

En 2016, 85 grands navires ont disparu en mer, l’un des meilleurs résultats de l’histoire, selon une étude de la compagnie d’assurances Allianz.

LE MONDE ECONOMIE | 14.06.2017

Ces images, prises début mai, sont impressionnantes. Dans la baie de Suva, la capitale des îles Fidji, une dizaine de conteneurs gris, bleu et rouge sang dérivent à la surface de la mer, encore presque en ligne, comme un énorme serpent en train de se démantibuler. C’est tout ce qui restait visible du Southern-Phoenix, un cargo de 89 mètres de long, après son naufrage le 6 mai. En service depuis trente-trois ans, le bateau immatriculé au Panama transportait des marchandises entre les Fidji, les îles Salomon, Tuvalu et Kiribati. Il chargeait des conteneurs quand il a été déséquilibré, s’est couché, puis s’est enfoncé dans les eaux sombres du port. Depuis, une partie des conteneurs a été repêchée, et le fioul des cuves a été pompé pour éviter une marée noire. Un appel d’offres vient d’être lancé pour récupérer le navire. Heureusement, il n’y a eu ni morts ni blessés.

Des vieux porte-conteneurs qui chavirent, des cargos qui entrent en collision et sombrent, les professionnels en recensent chaque année des dizaines sur toutes les mers du globe. Mais ce type d’accidents se fait plus rare. Alors que les naufrages de migrants à bord d’embarcations de fortune se sont multipliés, surtout en Méditerranée, les grands navires, ceux de plus de 100 tonnes, deviennent au contraire plus sûrs. « Seuls » 85 ont disparu en mer en 2016, un des meilleurs résultats de l’histoire, selon le rapport publié mardi 13 juin par la compagnie d’assurances Allianz.
C’est 16 % de moins qu’en 2015, où 101 grands bâtiments avaient fait naufrage. Surtout, ce recul prolonge la baisse constatée depuis des années. « En dix ans, les pertes de grands navires ont été divisées par deux, et la tendance se poursuit depuis le début de l’année », précise Jean-Pierre Ryckaert, spécialiste des risques maritimes chez Allianz.

« Culture de la sécurité »

L’explication ? Elle tient en partie aux efforts effectués pour éviter les sinistres. « La réglementation n’a cessé...[abonnés]

l' image il a fallu la chercher ailleurs:

Container ship Southern Phoenix capsized and lost dozen of units at Suva harbor in Fiji

Shipping Accidents May 6, 2017

http://www.maritimeherald.com/2017/cont ... r-in-fiji/



The sunken ship, MV Southern Phoenix at the Suva Harbour on May 6, 2017. Photo: Divesh Kumar / Tech360 Fiji.

The 89-metre MV Southern Phoenix is a container/general cargo vessel. It has been operating charter services for Pacific Direct Line between Fiji, Solomon Islands, Tuvalu and Kiribati, according to the Cruz Holdings website.

http://fijisun.com.fj/2017/05/07/marine ... -incident/

[kercoz]

On hésite à placer ça dans "Humour":
http://www.sudouest.fr/2017/06/17/grave ... 4-4803.php
Un des bateau de guerre dernier cri, même pas capable de voir un super tanker par beau temps !

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On hésite à placer ça dans "Humour":
http://www.sudouest.fr/2017/06/17/grave ... 4-4803.php
Un des bateau de guerre dernier cri, même pas capable de voir un super tanker par beau temps !

Le percuté :



Le percuteur :


L’avant bâbord de l’« ACX Crystal », porte-conteneurs battant pavillon philippin, porte les traces de la violente collision. (Photo : DR)

Les causes de l'accident ne sont pas encore connues. L'enquête est en cours. Le relevé Marine Traffic de la route suivie par l'ACX Crystal au moment de l'accident, puis quelques heures après, montre un tracé erratique qui pose question.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... s-disparus


il ne devait pas aller bien vite, sinon les dégats aurait considérablement plus fort de part et d' autre .......

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Ils croient respirer du bon air marin.

Le paquebot « Oceana » pointé pour ses émissions record de particules fines

Publié le 05/07/2017

C’est le genre d’information qui a le don de plomber l’ambiance dans les compagnies de croisière. Une équipe de la chaîne de télévision britannique Channel 4 a mesuré des émissions record de particules ultrafines à bord du paquebot Oceana qui rivaliseraient avec les niveaux atteints dans villes les plus polluées telles que Shanghai ou New Dehli.

Un taux de 84 000 particules par cm3 a été mesuré sur le pont-promenade situé en dessous des cheminées, et jusqu’à 226 000 à proximité immédiate de celles-ci. En plein centre de Londres, Piccadilly Circus passerait même pour une oasis de verdure avec seulement 36 000 particules enregistrées. En 2016, le même type de mesure avait défrayé la chronique en France lors d’une émission de Thalassa sur les paquebots.

Construit en 200 dans le chantier de Monfalcone de Fincantieri, l’Oceana fait partie des quatre des huit paquebots de P&O Cruises à ne pas avoir encore été équipés de scrubbers, ces systèmes de lavage des gaz d’échappement qui piègent le soufre mais aussi les particules fines. À hauteur de 80 % dans le meilleur des cas, et bien plus difficilement quand il s’agit des nanoparticules inférieures à 0,1 micromètre, celles mesurées par l’équipe de Channel 4 et les plus nocives pour les poumons.

P & O Cruises a indiqué que l’Oceana serait équipé de scrubbers lors de son prochain passage en cale sèche prévu à la fin de cette année. La maison mère américaine Carnival a déjà équipé en scrubbers 60 de ses 102 paquebots. Le chiffre doit passer à 85 navires d’ici à 2020.


L’« Oceana » n’a pas encore été équipé en scrubber pour laver ses gaz d’échappement, ce qui en fait une cible de choix des campagnes antipollution. (Photo : DR)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... particules

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CMA CGM pourrait passer commande de neuf navires de 22 000 EVP

Publié le 11/08/2017 lemarin.fr

CMA CGM serait sur le point de passer commande de neuf porte-conteneurs de 22 000 EVP, selon le Lloyd’s List. Une éventualité qui fait causer dans le monde du transport maritime car elle ajouterait de la capacité sur un marché déjà peu porteur.

L’information a été donnée par le Lloyd’s List le 2 août dernier. Le groupe français CMA CGM négocierait un contrat portant sur la commande ferme de six porte-conteneurs, assortie d’une option pour trois autres navires. Leur taille de 22 000 EVP constituerait un nouveau record en matière de porte-conteneurs. Ils pourraient être dotés d’une propulsion dual fuel, fonctionnant soit au gaz naturel liquéfié (GNL), soit au fioul. Ce serait une première pour des navires de cette taille exploités sur des routes transocéaniques.

Toujours selon le Lloyd’s List, la signature du contrat d’un montant de 1,4 milliard de dollars pourrait intervenir en octobre. Deux chantiers resteraient en lice pour construire ces mastodontes, le coréen Hyundai Heavy Industry et le chinois Shanghai Waigaoqiao Shipbuilding.

Commandes taries

Le conditionnel reste de rigueur. Contacté par mail, CMA CGM n’a pas répondu à la demande d’information du marin. Les plus gros navires exploités par CMA CGM sont aujourd'hui des porte-conteneurs approchant les 18 000 EVP. La dernière commande de navires neufs du groupe français remonte à 2015. Il s’agissait de six porte-conteneurs de 14 000 EVP construits chez Hyundai Heavy Industries qui devaient être livrés début 2017.

Le plus gros porte-conteneurs actuellement en service est le OOCL Hong Kong livré en mai 2017, premier d’une série de six navires identiques. Mais les commandes de porte-conteneurs géants de plus de 18 000 EVP sont taries depuis 2015.

A ce jour, les armateurs semblaient observer une discipline collective afin de réduire les surcapacités qui affectent leur rentabilité. Cela peut expliquer la modeste embellie des taux de fret en 2017. Mais CMA CGM peut estimer que le moment est venu d’investir à nouveau dans des navires de très grande taille. Et cela, pour plusieurs raisons.

D’une part, il vient de perdre son rang de numéro 3 mondial avec le rachat de la compagnie du hong kongais OOCL par le chinois Cosco. D’autre part, les prix pratiqués par les chantiers navals asiatiques pourraient être attractifs. En raison du manque de commandes, ils consentent probablement d’importants rabais sur le prix des constructions neuves.

Accord avec Engie

Enfin, et peut-être surtout, CMA CGM a retrouvé la forme financière. Grâce à la hausse des taux de fret et la maîtrise des coûts, le groupe a dégagé d’excellents résultats au premier trimestre 2017 avec une marge opérationnelle de 5,5 %, très au-dessus de celle des concurrents.

CMA CGM travaille depuis longtemps sur des projets de porte-conteneurs fonctionnant au GNL. En octobre 2016, la compagnie a passé un accord de coopération avec Engie pour développer l’utilisation du GNL en alternative au fiouL


Le "CMA CGM Benjamin Franklin" fait partie des plus gros porte-conteneurs exploités par le groupe français avec une capacité de 17 859 EVP. (Photo CMA CGM)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... 22-000-evp

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MSC serait sur le point de commander 11 navires de 22 000 EVP

Publié le 31/08/2017 lemarin.fr

MSC, numéro 2 mondial du transport maritime de conteneurs, serait sur le point de passer commande de onze navires de 22 000 EVP, selon Alphaliner et Tradewinds. Ces navires ULCV (Ultra-large container vessels) seraient construits en Corée.

La compagnie italo-suisse ne confirme pas. Mais Tradewinds précise que six navires seraient construits par Samsung Heavy Industries et cinq autres par Daewoo Shipbuilding & Marine Engineering (DSME) pour un montant total proche de 1,5 milliard de dollars.
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http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... 22-000-evp

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Des paquebots à ....... Bordeaux !

Pierre Hurmic, le président du groupe des élus EELV à la mairie de Bordeaux, a adressé un courrier à Alain Juppé concernant la pollution des navires de croisière.

53 escales de paquebots sont prévues en 2017 à Bordeaux, et 14 rien que pour le mois de septembre. Chaque année, le nombre de navires qui accoste au port de la Lune augmente. De quoi inquiéter les élus écologistes de la mairie de Bordeaux.

Ce vendredi, Pierre Hurmic a adressé une lettre au maire de Bordeaux. Dans ce courrier, le président du groupe des élus Europe-Ecologie Les Verts (EELV) à la mairie de Bordeaux, alerte Alain Juppé sur la pollution des paquebots. "La pollution de l’air provoquée par le fioul lourd et le fioul marin a un impact majeur sur notre santé."

Parce qu’ "aucune étude ciblée sur cette pollution particulière n’a été réalisée par Atmo Nouvelle-Aquitaine (NDLR : l’observatoire régional de la qualité de l’air)", le conseiller municipal Verts de Bordeaux réclame "une campagne de mesures spécifiques".

En 2015 déjà, la Ville de Bordeaux avait lancé une étude pour permettre aux navires de croisière de pouvoir couper leurs moteurs à quai. "Le fioul lourd de ces bateaux possède une teneur en soufre 3 500 fois supérieure à celle qui alimente le diesel des voitures", indiquait en 2015 Pierre Hurmic.

Dans sa lettre, ce dernier s’interroge pour savoir si des solutions plus respectueuses de l’environnement ont émergé.

http://www.sudouest.fr/2017/09/01/escal ... 4-2780.php

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Bientot les navires pilotés à distance :

Wärtsilä réussit la télécommande à distance d’un navire supply

le 01/09/2017 lemarin.fr

Dans le match à distance opposant Wärtsilä à Rolls Royce sur le terrain du futur marché des navires automatisés, le groupe finlandais vient de marquer un point avec la réussite d’un test grandeur nature de télécommande à distance d’un navire de soutien à l’offshore basé en Écosse depuis un centre de commande situé à San Diego, en Californie.

Le navire en question était le Highland Chieftain, un supply tout ce qui a de plus classique de la compagnie britannique Gukfmark Offshore, dont le système de positionnement dynamique de niveau 2 a été contrôlé à distance en utilisant le système de transmission satellitaire du navire.

Construit en 2013 dans le chantier polonais Remontowa, à Gdansk, ce navire de 79 mètres de long était déjà équipé de propulseurs Wärtsilä, qui avait également fourni sa suite de logiciels Nicos Platinium, qui commande le système de navigation et le positionnement dynamique.

Pour cette nouvelle application de télécommande à distance, il n’aura fallu ajouter temporairement qu’un seul logiciel pour faire la connexion avec la liaison satellite. Le test a duré quatre heures durant lesquelles plusieurs manœuvres ont été effectuées à vitesse réduite et élevée.

Wärtsilä va désormais engager d’autres tests pour son projet Smart Marine, dont des manœuvres d’accostage à distance.

Les ports commencent déjà à intégrer cette nouvelle problématique des navires automatisés. À Rotterdam, les autorités s’attendent à voir arriver d’ici trois ans des premiers navires de plus de 100 mètres de long en autonomie partielle ou totale.


Le supply « Highland Chieftain » a effectué durant 4 heures diverses manœuvres au large d’Aberdeen, télécommandées depuis San Diego, à 8 000 kilomètres de distance. (Photo : Wärtsilä)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... dun-navire

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La convention Internationale sur les eaux de ballast entre en vigueur.

Gestion des eaux de ballast – contrôle des espèces aquatiques envahissantes
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​​Les eaux de ballast sont utilisées à bord des navires pour stabiliser ces derniers. Elles peuvent contenir des milliers de microbes marins ou aquatiques, de plantes et d'animaux, lesquels sont ensuite transportés dans le monde entier. Le rejet d'eaux de ballast non traitées dans le lieu de destination du navire pourrait potentiellement introduire de nouvelles espèces marines envahissantes. Des centaines d'invasions de ce type ont d'ores et déjà eu lieu, avec parfois des conséquences désastreuses pour l'écosystème local.

La Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires (Convention BWM) a été adoptée en 2004 afin d'établir des règles mondiales pour contrôler le transfert d'espèces potentiellement envahissantes. Une fois que le traité sera entré en vigueur, les eaux de ballast devront être traitées avant d'être rejetées dans un nouvel emplacement, afin d'éliminer les micro-organismes ou les petites espèces marines.


Statut de la Convention BWM​

La Convention BWM entrera en vigueur​ le 8 septembre 2017.

​Prescriptions de la Convention BWM

En vertu de la Convention, tous les navires effectuant des voyages internationaux seront tenus de gérer leurs eaux de ballast et sédiments en fonction de certaines règles, conformément à un plan de gestion des eaux de ballast qui leur est propre. De même, chaque navire devra avoir à bord un registre des eaux de ballast ainsi qu'un Certificat international de gestion des eaux de ballast (IBWM). Les normes de gestion des eaux de ballast prendront effet progressivement au cours d'une période donnée. À titre de solution temporaire, les navires devraient renouveler les eaux de ballast en haute mer. Toutefois, tous les navires devront à terme disposer d'un système de traitement des eaux de ballast installé à bord.


Approbation des systèmes de gestion des eaux de ballast

La Convention BWM requière que les systèmes de gestion des eaux de ballast utilisés, pour satisfaire aux dispositions de la Convention, soient approuvés par l'Administration, compte tenu des Directives pour l'approbation des systèmes de gestion des eaux de ballast (G8). Cliqu​ez ici pour en savoir plus.

​Renforcement des capacités – GloBallast

Entre 2008 et 2017, l'OMI a mis en œuvre le programme de partenariats GloBallast – un projet à l'initiative commune du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et de l'Organisation maritime internationale (OMI). Le projet avait pour objectif de soutenir la dynamique mondiale visant à résoudre le problème des eaux de ballast et à favoriser la mise en place de partenariats internationaux innovants afin d'élaborer des solutions. Cliquez ici pour consulter le site Internet officiel du projet.

Une nouvelle publication, The GloBallast Story, met en avant les principales réalisations du programme de partenariats GloBallast, fruit d'une collaboration entre l'Organisation maritime internationale (OMI), le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Lancé en 2007 à l'issue d'une phase initiale de quatre ans, le projet a permis d'aider les pays en développement à réduire le transfert d'organismes aquatiques nuisibles et d'agents pathogènes dans les eaux de ballast des navires et à appliquer la Convention sur la gestion des eaux de ballast (BWM) de l'OMI. Le projet est arrivé à terme au mois de juin 2017.
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​La publication, qui propose également des infographies, des schémas et des études de cas détaillées, présente les 10 espèces envahissantes les plus susceptibles d'être transférées par le biais des eaux de ballast des navires.

http://www.imo.org/fr/MediaCentre/HotTo ... fault.aspx

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Singapour : collision mortelle entre deux navires

Publié le 15/09/2017 lemarin.fr

Le navire de dragage JBB de Rong 19 et le transporteur de produits pétroliers Kartika Segara sont entrés en collision le 13 septembre dans le détroit de Singapour, peu avant 1 h. Bilan : deux morts et trois disparus.


Le « JBB De Rong 19 » a chaviré après sa collision le 13 septembre avec le tanker « Kartika Segara » dans le détroit de Singapour. (Photo : Vesselfinder)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... ux-navires

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Le coréen Polaris Shipping ferraille un de ses minéraliers convertis

Publié le 14/09/2017 lemarin.fr

Sous le feu des critiques depuis le naufrage mortel du Stellar Daisy en juin, le n° 1 mondial des navires minéraliers aurait envoyé à la casse un de ses anciens pétroliers reconvertis en minéralier.



Polaris Shipping entend se débarrasser progressivement de ses minéraliers convertis qui représentent aujourd’hui les trois quarts de sa flotte. (Photo : DR)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... ineraliers