[Futur] l' idée non réaliste et utopique de s'en sortir dans l' espace.

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Message par energy_isere » 04 sept. 2017, 14:03

SpaceX finalise les tests au sol de son lanceur lourd Falcon Heavy


Usine Nouvelle le 04/09/2017

Vidéo Le Falcon Heavy se rapproche un peu plus de son premier lancement. SpaceX annonce sur Instagram, samedi 2 septembre, avoir réalisé la première phase de tests au sol concernant l'ensemble des coeurs du premier étage de son lanceur lourd.
..............

Falcon Heavy est la version lourde du lanceur Falcon 9 développé par SpaceX. Cette fusée peut placer une charge utile de 53 tonnes en orbite basse, contre 13,15 tonnes pour le Falcon 9, et de 21,2 tonnes en orbite de transfert géostationnaire, contre 5,3 tonnes. En plus des moteurs contenus dans ses deux étages, Falcon Heavy, contrairement au Falcon 9, dispose de deux propulseurs d'appoints.

http://www.usinenouvelle.com/article/vi ... vy.N582273

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Message par energy_isere » 08 sept. 2017, 19:37

SpaceX réalise un premier lancement pour l'US Air Force

le 08/09/2017

Vidéo Premier succès de SpaceX pour l'US Air Force. Le Falcon 9 a envoyé en orbite, jeudi 7 septembre, une navette spatiale pour l'armée de l'air américaine. Construit par Boeing, le X-37B est un avion spatial, autonome et réutilisable, de l'US Air Force qui ressemble un peu à une "mini-navette" ou un drone.

Deuxième lancement de SpaceX effectué pour l'armée américaine et premier pour le compte de l'US Air Force. Jeudi 7 septembre au matin, la société d'Elon Musk a lancé avec succès la mini-navette spatiale non-habitée X-37B ou Orbital test vehicle 5 (OTV-5). Le lancement a eu lieu avec la fusée Falcon 9 depuis le pas de tir 39A au centre spatial Kennedy en Floride. Ce lancement est donc resté incertain jusqu'au dernier moment puisque l'ouragan Irma s'approchait de la Floride.

Le premier étage du Falcon 9 est revenu se poser en douceur à Cape Canaveral environ 8 minutes après le lancement. Il s'agit du cinquième vol de cette mini-navette spatiale et du premier lancement avec un Falcon 9.

Cet avion spatial militaire fonctionnant sans pilote, effectue de longues missions en orbite avant de retourner sur Terre. L’engin mesure 8,4 mètres de long pour 4,5 mètres de large. Sa masse au lancement est de 5 tonnes.

La navette doit effectuer différentes expériences et mesures, que l'armée américaine ne précise pas, et revenir sur Terre afin que les données soient examinées. L'OTV-5, qui est alimenté en énergie par des panneaux solaires, transporte de petits satellites, dont l'utilité n'a pas été précisée.
http://www.usinenouvelle.com/article/vi ... ce.N584488

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Message par energy_isere » 10 sept. 2017, 12:51

Échantillons martiens : la Nasa veut en ramener sur Terre d'ici 2031

Rémy Decourt 06/09/2017 FUturasciences

Grande priorité de l'exploration de Mars, le retour d'échantillons coûte cher. La Nasa vient de présenter une solution low cost, qui s'appuierait sur les satellites en service autour de Mars, malgré leur âge avancé. Avec l'aide de l'Agence spatiale européenne, la mission serait envisageable pour les fenêtres de tir de 2026 et 2028. Francis Rocard, du Cnes, nous explique les opportunités et les difficultés de ce projet.
...................
http://www.futura-sciences.com/sciences ... 031-37400/

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Message par energy_isere » 11 oct. 2017, 22:54

Moscou et Washington s'allient pour construire une station en orbite lunaire

Publié le 27/09/2017

L'agence spatiale russe Roskosmos et la Nasa se serviront de la Station spatiale internationale (ISS) comme base pour une «exploration plus poussée de l'espace» et pour la création de cette plateforme internationale habitée devant orbiter autour de la Lune.
...................
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... unaire.php

Vivement plus de détails. On en est juste à la déclaration d' intentions.

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Message par energy_isere » 11 oct. 2017, 22:54

Les derniers délires Muskiens pour Mars :

http://www.gurumed.org/2017/09/30/patro ... rsoniques/

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Message par energy_isere » 11 oct. 2017, 22:55

"Quand on dit qu’on sera sur Mars d’ici 10 ou 15 ans, ça me fait plutôt rire"

le 07.10.2017

Ancien spationaute ayant volé à la fois sur Mir et l'ISS, Léopold Eyharts est désormais chargé des activités d'après vol à l'Agence spatiale européenne. Il revient sur son expérience en orbite et sur les réalités du vol habité aujourd'hui.

....................

Elon Musk promet d'envoyer des humains sur Mars vers 2024. Y croyez-vous ?

Non. Les Américains font preuve de beaucoup trop d'optimisme sur ce sujet. L'administration Bush l'envisageait déjà dans son programme Constellation, mais celui-ci a été abandonné par le président Obama car trop coûteux. En outre, aller sur Mars est aujourd'hui techniquement impossible : au-delà de l'orbite basse, les hommes sont exposés à des radiations. On n'en connait pas bien les effets, mais les calculs montrent que l'espérance de vie des astronautes exposés à ces radiations ne dépasserait pas quelques mois. De plus le matériel s'use vite dans l'espace et une mission sur Mars durerait 3 ans. Sans aucun ravitaillement. Il faudrait donc prévoir énormément de pièces de rechange, ce qui augmenterait la masse du vaisseau à lancer. Sans compter que même les pièces de rechange qui ne seront pas utilisées pourront être endommagées à cause des radiations. L'ISS vole depuis 20 ans bientôt, mais elle est réparée et ravitaillée en permanence, alors même qu'elle n'est qu'à 400 km de la Terre.
Sur la station, si on a un problème médical on peut faire revenir les gens en quelques heures. S'il y a un problème de santé durant une mission martienne - ce qui est fortement probable à cause des radiations -, on ne pourra rien faire. Donc quand on dit qu'on sera sur Mars d'ici 10 ou 15 ans, ça me fait plutôt rire. Il faut voir ça comme un objectif lointain qui permet de développer la technologie, les opérations, les moyens humains.
https://www.sciencesetavenir.fr/espace/ ... ire_117163

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Message par Glycogène » 11 oct. 2017, 23:26

Ca fait plaisir de lire ça !
Et quand on en aura marre de faire joujou à 400km, on restera sur Terre.

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Message par energy_isere » 10 nov. 2017, 19:43

Un habitat gonflable pour la Lune dès 2022

Par Sylvie Rouat le 10.11.2017

Dès 2022, les Américains pourraient disposer d’un module gonflable en orbite basse de la Lune. Il servirait d'habitat pour des missions lunaires ou d'entrepôt de stockage pour des voyages vers Mars et au-delà.

Image
....................
https://www.sciencesetavenir.fr/espace/ ... 022_118093

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Message par energy_isere » 19 nov. 2017, 12:55

Le SLS, futur lanceur lourd de la Nasa, embarquera des astronautes dans l’espace en 2023

sciencepost 16 novembre 2017,

Malgré les retards, la Nasa prévoit toujours le premier vol de son futur lanceur lourd, le SLS, en décembre 2019 avec le vaisseau Orion. Un premier vol inhabité avant le deuxième, qui pourrait avoir lieu en 2023.

Le SLS, pour Space Launch System, est le prochain lanceur lourd de l’agence spatiale américaine, la Nasa. L’agence vient de communiquer à ce propos et a déclaré pouvoir maintenir son calendrier des vols annoncé en 2017. Ainsi, le tout premier vol de ce lanceur lourd reste prévu en décembre 2019 avec le vaisseau spatial Orion, mais celui-ci sera inhabité. En effet, la Nasa avait pendant un temps envisagé d’envoyer des astronautes dans l’espace dès le premier vol du SLS, avant de se rétracter.

Pour cette première mission, effectuée avec le vaisseau Orion, il s’agira d’un vol circumlunaire, durant lequel le véhicule ira parcourir plus de 64 000 kilomètres au-delà de notre satellite naturel, avant de revenir sur Terre. L’objectif principal de ce vol inhabité sera alors de tester le bon fonctionnement et les performances de ce futur SLS, ainsi que celles de la capsule et de son module de service, avant d’engager des astronautes.

C’est donc au cours du deuxième vol du Space Launch System que l’on parlera de mission habitée, baptisée Exploration Mission-2 (EM-2). Si celle-ci est prévue en juin 2022, il y a de fortes chances pour qu’elle soit remise en 2023. Il s’agira cette fois-ci d’un vol cislunaire de huit jours avec deux astronautes à bord.

L’agence spatiale américaine a également communiqué sur de nouveaux détails concernant la troisième mission du SLS, laquelle sera appelée Exploration Mission-3. Si rien n’est encore définitif concernant cette mission, et l’on ne connaît d’ailleurs pas le calendrier, les schémas se précisent et il pourrait s’agir d’une mission en orbite NRHO (Near-Rectilinear Halo Orbit) autour de la Lune afin de déployer le premier module d’habitation de l’avant-poste lunaire.
http://sciencepost.fr/2017/11/sls-futur ... pace-2023/

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Message par energy_isere » 02 déc. 2017, 13:32

Falcon Heavy : le premier tir du lanceur lourd encore reporté à 2018

01 Décembre 2017

Attendu pour cette fin d'année après de multiples reports, le premier tir du lanceur lourd Falcon Heavy de SpaceX devrait encore être repoussé à 2018.

Le tir du lanceur lourd Falcon Heavy représente un défi d'importance pour la firme SpaceX puisqu'il permettra d'emporter des charges utiles pouvant potentiellement servir à bâtir des stations spatiales servant de prélude à une colonisation de la Lune et même de Mars.

Dans le même temps, le super lanceur s'annonce comme un projet de haute technicité pour lequel il faudra coordonner pas moins de 27 moteurs Merlin, utilisés sur les lanceurs Falcon 9.

Image

La date du premier tir du lanceur lourd n'a cessé de reculer mais les différents tests au sol menés ces derniers mois semblaient confirmer une tentative pour fin 2017, après un nouveau report lié à l'explosion d'un lanceur Falcon 9 au sol lors de sa phase de remplissage en septembre 2016.

Cependant, la directrice générale de SpaceX, Gwynne Shotwell, a indiqué à la publication Aviation Week qu'un dernier tir statique avec les 27 moteurs Merlin doit être tenté dans les semaines à venir.
https://www.generation-nt.com/spacex-fa ... 48706.html

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Message par energy_isere » 12 déc. 2017, 21:36

Donald Trump veut reconquérir la Lune, Mars et des "mondes au-delà"

le 12 décembre 2017

Donald Trump a annoncé lundi avoir missionné la Nasa pour que les Etats-Unis retournent sur la Lune afin de conquérir Mars et de "nombreux autres mondes".

Barack Obama voulait que les Etats-Unis reconquièrent l'espace et visent Mars. Donald Trump les invitent aujourd'hui à aller vers "de nombreux mondes au-delà". La déclaration lundi du président américain est une nouvelle étape dans la politique spatiale américaine. Celui qui s'est fait élire pour rendre à son pays sa "grandeur" était accompagné pour cette déclaration de Harrison Schmitt, l'un des derniers hommes à avoir posé le pied sur l'astre lunaire avec la mission Apollo 17. C'était en 1972, il y a 45 ans. Car l'aventure lunaire n'a duré que trois ans en réalité (1969-1972). Mais Trump vise au-delà de la première périphérie terrestre.

Trump a demandé au patron de la Nasa de "mener un programme d'exploration spatiale innovant pour envoyer à nouveau des astronautes américains vers la Lune, et éventuellement Mars". "Cette fois, il ne s'agira pas seulement de planter notre drapeau et de laisser notre empreinte", a-t-il souligné, montrant que son aspiration était plus grande que "le petit pas pour l'homme" de 1969. "Nous établirons une base pour une mission ultérieure vers Mars et peut-être un jour vers d'autres mondes au-delà", a-t-il ajouté, signant une directive demandant à la Nasa d'accentuer ses efforts sur les missions habitées vers l'espace lointain, une priorité qui rassemble les élus des deux bords. "C'est enthousiasmant pour notre pays, et il se trouve que c'est aussi synonyme d'emplois. Et nous adorons les emplois!", a-t-il ajouté.

La Lune est à 400.000 km, Mars à 225 millions...

Sauf que tout cela reste bien flou... Première précision à apporter : le coût. Pas une mince affaire quand on se souvient que George W. Bush avait affiché en 2004 sa détermination à faire marcher de nouveau des Américains sur la Lune d'ici 2020, avant de se heurter au problème du budget pharaonique d'une telle ambition. La Lune est à près de 400.000 km de la Terre et y envoyer des hommes et beaucoup de matériels est bien plus compliqué que d'envoyer la même chose vers la station spatiale internationale, située à plus de 300 km du sol.

Pour Mars, l'addition sera encore plus salée. Les experts sont unanimes : atteindre la planète rouge, qui se trouve à une distance moyenne de 225 millions de kilomètres de la Terre, nécessitera une véritable prouesse technique et un budget immense. Et une prouesse encore plus grande si l'on souhaite que les astronautes ayant posé le pied sur Mars reviennent sur Terre. "Nous rêvons grand", a affirmé Donald Trump, promettant que les Etats-Unis resteraient "les leaders" de l'exploration spatiale. Fin mars, Donald Trump avait signé une loi désignant les missions habitées vers l'espace lointain comme l'objectif central de la Nasa. Ce texte, adopté à l'unanimité par le Congrès, appelait l'agence spatiale américaine à travailler vers l'objectif "d'une mission habitée vers Mars au cours de la décennie 2030". La loi insistait sur l'importance du programme Orion, capsule dont l'objectif affiché est de voler plus loin qu'aucun engin spatial jamais construit pour transporter des humains. Orion sera propulsée vers l'espace par une puissante fusée baptisée "Space Launch System" (SLS).

La Chine aussi envoie des hommes sur la Lune

Toutes les administrations successives ont poussé l'idée de partenariats avec le secteur privé pour résoudre les innombrables défis logistiques qui se posent. Parmi ceux-ci, la nécessité de transporter assez de nourriture et d'eau pour des trajets de plusieurs mois, voire plusieurs années. Sur l'objectif Mars, Donald Trump s'inscrit dans la droite ligne de son prédécesseur démocrate Barack Obama. Quelques semaines avant son départ de la Maison Blanche, ce dernier avait énoncé "le prochain chapitre de l'histoire de l'Amérique dans l'espace" : envoyer des humains sur Mars dans la décennie 2030 "et les faire revenir sur Terre en sécurité".

Mais la nouvelle administration marque une inflexion par rapport à la précédente en insistant avec force sur le retour sur la Lune. Le milliardaire Elon Musk, patron de SpaceX, et Jeff Bezos, riche propriétaire d'Amazon, qui a créé la société spatiale Blue Origin, ont rencontré plusieurs fois les conseillers de Donald Trump après son élection à ce sujet. Jeff Bezos avait fait part en janvier, dans un document soumis à la Nasa, de l'intérêt de Blue Origin pour construire un vaisseau et un atterrisseur lunaire capables d'assurer un service de livraison de fret, et des modules d'habitat sur la Lune. Ce projet, expliquait-il, pourrait contribuer à "établir des colonies lunaires". Il estimait alors que le temps était venu pour que l'Amérique retourne sur la Lune pour "cette fois, y rester". Un enjeu stratégique puisque les Chinois veulent aussi poser le pied sur le satellite naturel de la Terre, avec ses Taïkonautes.

"La Nasa est impatiente de mettre en place la directive présidentielle visant à retourner sur la Lune, voyager sur Mars, et, au delà, explorer plus avant le système solaire", a déclaré le bien nommé Robert Lightfoot, administrateur de la Nasa. Buzz Aldrin, deuxième homme à avoir marché sur la Lune après Neil Armstrong et fervent apôtre de missions habitées sur Mars, était également présent lundi à la Maison Blanche. Mais Donald Trump n'a - curieusement - pas relevé sa présence lors de son discours.
http://www.lejdd.fr/international/donal ... la-3518963

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Re: [Futur] l' idée non réaliste de s' en sortir par l' espa

Message par sherpa421 » 13 déc. 2017, 10:00

et il se trouve que c'est aussi synonyme d'emplois. Et nous adorons les emplois!
Casser des cailloux c'est aussi synonyme d'emploi, et en plus c'est plus utile.
Est ce qu'ici quelqu'un n'est pas convaincu qu'un robot dans l'espace est moins cher et plus efficace qu'un homme ?
La guerre tue.
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Re: [Futur] l' idée non réaliste de s' en sortir par l' espace

Message par mobar » 13 déc. 2017, 16:17

Est ce qu'ici quelqu'un n'est pas convaincu qu'un robot dans l'espace est moins cher et plus efficace qu'un homme ?
Pas moi! :wtf:
Moins tu pédales plus vite, plus t'avances moins vite ... et inversement!
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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Message par energy_isere » 19 déc. 2017, 16:19

ArianeGroup lance la production d'Ariane 6

le 19/12/2017

Infographie Le programme Ariane 6 a été jugé assez mature pour commencer la production du premier lanceur Ariane 62.

ArianeGroup a lancé lundi 18 décembre la production d'Ariane 62. Un premier lanceur en prévision du vol d’Ariane 6 prévu en 2020. "La revue a confirmé que la maturité de l'industrialisation d'Ariane 6 est suffisante pour lancer la production du premier lanceur, conformément aux objectifs du programme", indique la coentreprise entre Airbus et Safran dans communiqué.
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Message par energy_isere » 20 déc. 2017, 20:05

[Vidéo] Premier test au roulage réussi pour Stratolaunch

Léna Corot Usine Nouvelle le 20/12/2017

Vidéo Uniquement propulsé par ses six moteurs, l'avion développé par Stratolaunch a roulé à l'aide de ses 28 roues. L'avion hors-norme financé par Paul Allen, le cofondateur du Microsoft, a arpenté la piste située dans le désert du Mojave (Etats-Unis), annonce Stratolaunch lundi 18 décembre.

Image
L'avion hors-norme Stratolaunch a roulé pour la première fois à l'aide de ses six moteurs Pratt & Whitney.

Pour la première fois, l'avion hors-normes Stratolaunch a effectué un test au roulage sur une piste. La société financée par Paul Allen, le cofondateur de Microsoft, a annoncé lundi 18 décembre avoir franchi une nouvelle étape : l'énorme avion a roulé sur la piste dans le désert du Mojave (Etats-Unis) à l'aide de ses six moteurs Pratt & Whitney.

Stratolaunch a testé, avec succès, l'habilité de l'avion à se diriger et s'arrêter. Lors de cette phase d'essai, une équipe au sol a monitoré plusieurs systèmes afin de voir s'ils fonctionnent correctement : le guidage, les freins, le système anti-dérapage et la télémétrie ont fonctionnés comme souhaité. Tous les objectifs de ce test ont été réalisés, annonce la société dans un communiqué. L'avion a même atteint une vitesse de 45 km/h. Prochaine étape ? Une fois que tous les tests à vitesse réduite auront été réalisés, Stratolaunch va progressivement augmenter la vitesse de roulage de l'avion.

Un premier vol d'essai en 2019 pour Stratolaunch

Les tests s'accélèrent autour de Stratolaunch ces derniers mois. Avec une envergure de 117 mètres pour une longueur de plus de 72 mètres, l'avion qui pèse 232 tonnes et repose sur 28 roues est sorti pour la première fois de son hangar dans le désert du Mojave fin juillet. S'est est suivi, en septembre, la première phase d'essai des six moteurs Pratt & Whitney équipant ce mastodonte. La société espère effectuer un premier vol d'essai en 2019.

L'objectif de ce projet, lancé en 2011, est de proposer un accès rapide, fiable et quotidien à l'orbite terrestre basse. Ce lanceur ambitionne d'abord de transporter et lancer en orbite basse une fusée et son satellite mais des passagers pourraient éventuellement prendre place à bord de cet avion géant.
https://www.usinenouvelle.com/article/v ... ch.N630248

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