Re: Les agriculteurs français
Publié : 05 juil. 2013, 08:56
Désolé, j'utilise l'ipad en ce moment et il sélectionne souvent des mots que je n'ai pas choisi... par contre il ne corrige pas les fautes...
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
http://www.oleocene.org/phpBB3/
Avec des amanites phalloïdes, la oui on mange pour sa fin.Remundo a écrit :à sa faim, j'espère plutôttoute la population mange à sa fin.
Le salon de l'agriculture ferme 1 jour avant la date prévue et enregistre la plus mauvaise fréquentation depuis 1975« Je comprends la décision et je l’applique immédiatement, explique son président, Jean-Luc Poulain. Mais cette édition aura été mauvaise pour nous. Nous devrions être en dessous des 500 000 visiteurs. Les trois premiers jours ont été bons, mais suivis par trois jours d’effondrement après l’annonce de cas de coronavirus en Italie. »
Pourquoi les retraites agricoles sont-elles si basses ? « À la fin de la Seconde Guerre mondiale, quand le Conseil national de la résistance a mis en place le régime de protection sociale, l’unique syndicat agricole de l’époque n’a pas souhaité l’intégrer car il ne voulait pas payer de cotisations », explique Véronique Marchesseau, secrétaire générale de la Confédération paysanne. « Le monde agricole disposait alors d’un tissu développé de mutuelles. Elles étaient aux mains d’une bourgeoisie rurale de gros propriétaires et de notables qui voyaient d’un mauvais œil l’arrivée d’un régime social unifié et rejetaient l’influence du communisme », complète André Tissot, agriculteur retraité et membre de la commission des anciens de la Confédération paysanne. Depuis, le régime agricole est resté moins protecteur : « Le taux de cotisation est de 21 % alors qu’il est de 27 % pour les salariés ; les agriculteurs cotisent sur des revenus nets au lieu de revenus bruts ; les retraites sont calculées sur les quarante dernières années des exploitants et non sur les vingt-cinq meilleures... Mécaniquement, les prestations reçues sont moindres. » Certains statuts, comme celui d’aide familial agricole ou de conjoint collaborateur, sont caractérisés par des niveaux de cotisation – et donc de retraites – moindres.