L'Arabie Saoudite

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Saudi Arabia signs PPA for two wind farms with 1.1GW capacity
The Saudi Power Procurement Company will procure electricity from the wind farms for a period of 25 years.

May 23, 2024

The Saudi Power Procurement Company (SPPC) has finalised two power purchase agreements (PPAs) with a consortium led by Marubeni for two wind farms with a combined capacity of 1.1GW.

The agreements relate to the AlGhat and the Wa’ad Alshamal wind farms and are the first in the kingdom to involve a Japanese company.

The levelised cost of energy (LCOE) was $15.65 (€14.35) per megawatt hour (MWh), claimed to be a global record low.

The 600MW AlGhat will be located in Al-Ghat, Riyadh Province. The 500MW Wa’ad Alshamal will be built in Turaif in Northern Borders Province.

Marubeni, alongside its consortium partner Abdulaziz Alajlan Sons for Commercial & Real Estate Investment Company (Ajlan & Bros), will be responsible for the development, construction, operation and maintenance of these facilities.
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https://www.power-technology.com/news/s ... w/?cf-view

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Arabie saoudite: le fonds souverain se lance dans l'industrie spatiale

BOURSORAMA AVEC AFP •27/05/2024

Le très riche fonds souverain de l'Arabie saoudite a annoncé lundi le lancement de la compagnie Neo Space Group (NSG), son premier investissement dans l'industrie spatiale du royaume du Golfe.

Le Fonds d'investissement public (PIF) est connu pour ses investissements massifs dans le sport, les jeux vidéo et les mégaprojets saoudiens comme Neom, une mégapole futuriste de 500 milliards de dollars en cours de construction dans le désert.

"La création du NSG marque une étape importante dans le développement du secteur en pleine croissance des satellites et de l'espace en Arabie Saoudite, et son ambition de devenir un acteur commercial de premier plan dans le monde", a affirmé Omar Al-Madhi, l'un des responsables du fonds, cité dans un communiqué.

Il s'agit du "premier investissement du PIF axé sur l'industrie spatiale", a-t-il souligné.

Selon le communiqué, la compagnie fournira "des solutions satellitaires et spatiales innovantes à l'échelle locale et mondiale", et "investira dans la localisation, la technologie, les start-up et la connaissance".

Présidé par le prince héritier et dirigeant de facto du royaume, Mohammed ben Salmane, le PIF est au coeur de la stratégie de diversification du premier exportateur de brut au monde.

Il détient plus de 700 milliards de dollars d'actifs, avec des investissements dans 90 entreprises en Arabie saoudite et à l'étranger, où il a des participations dans des compagnies mondiales comme Uber, le constructeur de voitures électriques Lucid ou la société de jeux vidéo Activision Blizzard.

Il s'est également fait connaître dans le monde du sport, en rachetant le club de football anglais Newcastle en 2021, et en déboursant des millions de dollars pour attirer des stars du football mondial, comme Cristiano Ronaldo, dans le royaume.

Les investissements nationaux constituent toutefois la grande majorité de son portefeuille.

L'Arabie saoudite a envoyé l'année dernière ses deux premiers astronautes dans l'espace, dont Rayyanah Barnawi, la première femme astronaute du royaume.

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 6cbcb6b62a

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The Line, la « ville intelligente », perd son usine de dessalement : le rêve de l'Arabie saoudite s'évanouit sous les ciseaux de NEOM

le 29/05/2024

Le projet pharaonique de la ville futuriste The Line, fleuron de la stratégie de modernisation de l'Arabie saoudite, connaît un nouveau revers majeur. L'arrêt de la construction de l'usine de dessalement, pièce maîtresse de l'approvisionnement en eau de la cité, remet en question la viabilité même de ce rêve démesuré.


Un projet emblématique en difficulté

The Line, cette mégalopole linéaire de 170 km censée accueillir plus d'un million et demi d'habitants, devait incarner l'avenir du royaume. Mais le projet, porté par le fonds souverain saoudien, accumule les déconvenues. Après avoir revu à la baisse ses ambitions en termes de superficie et de population, c'est désormais l'approvisionnement en eau qui pose problème.

Selon des sources du média dubaïote MEED, la construction de l'usine de dessalement, estimée entre 1,5 et 2 milliards de dollars, a été interrompue sur ordre des autorités saoudiennes. Cette décision soulève de sérieuses inquiétudes quant à la capacité de The Line à subvenir aux besoins vitaux de ses futurs résidents.

Les raisons de cet abandon sont à chercher du côté des difficultés financières rencontrées par le fonds souverain. Les performances décevantes de ses investissements ont contraint les autorités à revoir leurs ambitions à la baisse. La réduction drastique de la longueur de la ville, qui ne devrait atteindre que 2,7 km en 2030, a entraîné une diminution proportionnelle des besoins en eau.

L'usine de dessalement, prévue pour couvrir 30% des besoins de la ville, est devenue superflue. Les ressources en eau disponibles localement, initialement destinées à couvrir les 70% restants, suffiraient désormais à alimenter la cité réduite.

Et si c’était de début de la fin de The Line

Les responsables du projet assurent que cette décision ne signifie pas l'abandon définitif de l'usine de dessalement. Si les travaux de construction de The Line reprennent à un rythme plus soutenu après 2030, le projet pourrait être relancé.

Toutefois, cet épisode met en lumière les défis auxquels est confronté le royaume dans sa quête de modernisation. La démesure des projets, les contraintes financières et les enjeux environnementaux pèsent lourdement sur la réalisation de ces rêves futuristes.

L'eau est une ressource précieuse en Arabie saoudite, pays largement désertique. Les projets de développement, tels que The Line, nécessitent des quantités considérables d'eau pour assurer la viabilité des populations et des activités économiques.

Le dessalement de l'eau de mer est une solution coûteuse, mais indispensable pour répondre à ces besoins croissants. Les autorités saoudiennes ont investi massivement dans cette technologie, mais les défis restent nombreux, notamment en termes de coût énergétique et d'impact environnemental.

Les enjeux environnementaux au cœur des débats

Le projet The Line a suscité de vives critiques de la part des défenseurs de l'environnement. La construction de cette mégalopole en plein désert, avec son impact sur les écosystèmes fragiles et sa consommation d'énergie massive, soulève de sérieuses questions quant à sa durabilité. Surtout au vu de son objectif d’autoproduction énergétique.

L'abandon de l'usine de dessalement, bien que motivé par des raisons économiques, pourrait être perçu comme un signal positif par les défenseurs de l'environnement. Il témoigne d'une prise de conscience des enjeux liés à la consommation d'eau et à l'impact des grands projets sur l'environnement.

L'avenir de The Line reste incertain. Si le projet parvient à surmonter ses difficultés actuelles, il pourrait devenir un modèle de ville intelligente et durable. Mais pour l'heure, le rêve saoudien semble s'éloigner, rattrapé par les réalités économiques et environnementales.

https://www.jeuxvideo.com/news/1888808/ ... e-neom.htm

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L’Arabie saoudite pose la première pierre de son hôtel extravagant dans le désert

31 mai 2024

Le projet d’hôtel de luxe Siranna, en Arabie saoudite, avance : les travaux ont vraisemblablement commencé. Siranna fait partie du grand ensemble Neom, qui doit accueillir la ville dystopique The Line, mais aussi une station de ski au milieu du désert, Trojena.
C’est un bâtiment qui doit ressembler à un mélange entre la Chaussée des Géants et un orgue, prêt à s’élever dans le désert saoudien. Siranna, l’un des nombreux projets extravagants de Neom, a été annoncé en décembre 2023. Les travaux ont officiellement commencé le 29 mai 2024, d’après MEED, un journal économique spécialisé dans les entreprises du Moyen-Orient.

« L’entrepreneur local Mofarreh Al Harbi et le groupe libanais Batco sont conjointement en charge des travaux, qui comprennent la stabilisation des rochers, le déblaiement du site, et d’autres travaux connexes », indique le média. C’est le cabinet d’architecture australien Woods Bagot qui s’occupe de la conception, avec le groupe singapourien Meinhardt, qui supervise également l’infrastructure du projet.


Projection de ce à quoi ressemblera Siranna. // Source : Neom

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https://www.numerama.com/politique/1750 ... esert.html

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Saudi Arabia signs one of the cheapest wind power PPAs in the world

May 31, 2024 evwind

The state-owned Saudi Power Procurement Company will purchase electricity from two planned wind farms in Saudi Arabia (Al Ghat with 600 MW and Wa’ad Al Shamal with 500 MW) through what are supposed to be the world’s cheapest wind PPAs. At least, this is claimed by Prince Abdulaziz bin Salman Al Saud, Saudi Arabia’s Minister of Energy.

The announced prices are exceptionally low:

- Al Ghat at $15.65/MWh
- Wa’ad Al Shamal at $17.01/MWh

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https://www.evwind.es/2024/05/31/saudi- ... orld/98791

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suite de ce post de ce matin : http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 7#p2392187

Aramco, la « vache à lait » de l'Arabie saoudite à un moment charnière...

AFP le 05 juin 2024

La nouvelle offre publique du géant pétrolier Aramco arrive à un moment charnière pour l'Arabie saoudite, qui peine à attirer les investissements nécessaires pour transformer une économie dépendante du pétrole.

Jusqu'à 12 milliards de dollars

La vente de quelque 1,5 milliard d'actions, dont la cotation à la bourse de Ryad devrait débuter la semaine prochaine, pourrait rapporter jusqu'à 12 milliards de dollars.

L'opération reflète la stratégie du prince héritier, Mohammed ben Salmane, le dirigeant de facto du royaume qui veut tirer profit des immenses richesses pétrolières du pays pour financer son vaste programme de réformes, Vision 2030.

Mais elle n'efface pas les doutes sur la faisabilité de certains projets pharaoniques comme Neom, une mégapole futuriste de 500 milliards de dollars en cours de construction dans le désert, soulignent les analystes.

« Un coup de pouce budgétaire »

L'argent qui sera levé "est plus un coup de pouce budgétaire qu'un remède à long terme aux besoins de financement", estime Robert Mogielnicki, du Arab Gulf States Institute à Washington.

Ryad avait annoncé l'année dernière que le calendrier de certains projets serait repoussé au-delà de 2030, et que d'autres projets seraient accélérés.

Le ministre des Finances, Mohammed al-Jadaan, a déclaré en mai que le programme de réforme avait été revu à la lumière des "chocs" subis ces dernières années par l'économie mondiale.

Mais selon Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil en évaluation des risques Verisk Maplecroft, le problème fondamental est que les investisseurs étrangers sont réticents à "s'engager dans des projets majeurs à long terme en Arabie saoudite". "Bien que les flux vers la bourse saoudienne aient augmenté, les efforts visant à stimuler l'investissement direct étranger n'ont pas eu beaucoup de succès".

Subventions gouvernementales

En 2016, le prince Mohammed avait d'abord évoqué la possibilité d'introduire en bourse 5% des actions d'Aramco, plus d'un an avant qu'il ne devienne premier dans l'ordre de succession au trône.

Mais des inquiétudes sur la transparence et la réticence à vendre des ressources nationales à des étrangers ont poussé Ryad à n'introduire en fin de compte que 1,5% d'Aramco à la bourse saoudienne en 2019.

Cela lui a permis de lever 25,6 milliards de dollars, mais "n'a pas eu l'impact transformateur qu'aurait eu une cotation internationale", souligne M. Soltvedt.

Les efforts pour attirer les investissements directs étrangers n'ont pas porté leurs fruits, leur valeur restant bien en deçà de l'objectif de 5,7% du PIB prévu dans la Vision 2030.

"Ce qui motive les investissements étrangers dans des projets non liés à l'énergie en Arabie saoudite, ce sont uniquement les subventions gouvernementales: terrains et énergie gratuits, main d'oeuvre à bas coût, etc.", affirme Ellen Wald, auteure d'un ouvrage sur Aramco.

Quant à l'offre publique du géant pétrolier, elle s'explique par le fait que le fonds souverain du royaume "veut plus d'argent à investir et qu'Aramco est sa vache à lait". "Aramco est une entreprise tellement rentable qu'elle peut le supporter".

« Pas du jour au lendemain »

L'analyste saoudien Mohammed ben Saleh a lui une lecture plus optimiste: Vision 2030 est "sur la bonne voie", affirme-t-il, en soulignant la croissance du PIB non pétrolier de 4,6% en 2023.

"L'Arabie saoudite est engagée dans un énorme projet de transformation nationale, et cela ne se produira pas du jour au lendemain", ajoute-t-il.

C'est particulièrement vrai pour les projets les plus médiatisés, notamment Neom, avec sa station de ski et ses grattes-ciel en miroirs s'étendant sur plus de 170 kilomètres dans le désert.

Des médias ont affirmé récemment que les objectifs de Neom, en termes de taille et de population - avaient été largement revus à la baisse. Les autorités n'ont pas démenti.

D'autres projets progressent, comme celui du Red Sea Global sur la mer Rouge, avec l'ouverture de deux complexes balnéaires l'année dernière et l'inauguration annoncée de 14 autres hôtels d'ici fin 2025.

Les "giga-projets" de Vision 2030 ont " certainement pris du retard", affirme Jim Krane de l'université américaine de Houston, mais "la plupart des observateurs ne sont pas surpris, car les projets sont tellement énormes qu'en terminer 14 simultanément a toujours paru assez improbable".

Alors que les dépenses s'accumulent avec l'organisation d'événements comme l'exposition universelle de 2030 et la Coupe du monde 2034, de nouvelles ventes d'actions d'Aramco pourraient être envisagées, et susciter toujours autant d'intérêt, estiment les analystes.

La compagnie dispose d'énormes actifs et produit le pétrole le moins cher au monde, rappelle M. Krane.

https://www.connaissancedesenergies.org ... ere-240605

[energy_isere]

Les fidèles musulmans entament le grand pèlerinage à La Mecque
AFP •14/06/2024

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 1fad44653f

[supert]

Une info super vieille (une semaine) que je n'avais pas vu :

L'Arabie Saoudite ne renouvelle pas l'accord sur les pétro-dollars (les saoudiens ne devaient vendre leurs pétrole qu'en dollar). Entre ça et tout le reste, et même si les opposants au grand Satan ne sont pas près d'être unis, la chute américaine n'est pas finie. Et quand le dollar ne sera qu'une monnaie parmi d'autres (ce peut être lent, cela peut venir trés vite), comment les Etats-Unis financeront leurs déficit ?

Supert qui hésite, acheter de l'or ou un terrain ?

[LeLama]

Une info super vieille (une semaine) que je n'avais pas vu :

L'Arabie Saoudite ne renouvelle pas l'accord sur les pétro-dollars (les saoudiens ne devaient vendre leurs pétrole qu'en dollar). Entre ça et tout le reste, et même si les opposants au grand Satan ne sont pas près d'être unis, la chute américaine n'est pas finie. Et quand le dollar ne sera qu'une monnaie parmi d'autres (ce peut être lent, cela peut venir trés vite), comment les Etats-Unis financeront leurs déficit ?

Supert qui hésite, acheter de l'or ou un terrain ?

Oui, c'est une nouvelle tres importante. Je crois qu'ils devaient aussi investir dans l'accord de protection qu'une partie des petro-dollars etaient investis dans les bons du tresor (=la dette) US. Je ne connais pas les details techniques sur les bons du tresor. L'Arabie saoudite servait donc de joint important dans le financement de la dette us : le monde achete du dollar pour le petrole, dollars transmis contre du petrole a l'arabie saoudite, qui redonne des dollars aux US contre des bons. C'est un mecanisme ingenieux.

On ne sait pas comment va changer l'arabie en pratique. Ils peuvent eventuellement faire plus ou moins pareil sans accord contraignant, et ca changerait a la marge. Si en revanche, ils changent leur fusil d'epaule, ca va pas mal changer pour les us. Pour racheter ses dollars circulant et payer les dettes, les US devront donner des biens et services plutot que toujours davantage de bons du tresor. Ca voudrait dire un appauvrissement des citoyens US.

[LeLama]

Un tit graphique pour voir que si on dit que la france ne peut pas payer, ca peut etre pire pour les US:

[energy_isere]

Une info super vieille (une semaine) que je n'avais pas vu :

L'Arabie Saoudite ne renouvelle pas l'accord sur les pétro-dollars (les saoudiens ne devaient vendre leurs pétrole qu'en dollar). Entre ça et tout le reste, et même si les opposants au grand Satan ne sont pas près d'être unis, la chute américaine n'est pas finie. Et quand le dollar ne sera qu'une monnaie parmi d'autres (ce peut être lent, cela peut venir trés vite), comment les Etats-Unis financeront leurs déficit ?

Supert qui hésite, acheter de l'or ou un terrain ?

Supert serait un super informateur si il donnait une source.
SVP.

Bon, ayant intégré le BRICS, ca ne devient pas étonnant que l'Arabie Saoudite veuille vendre son pétrole en Yuans au hasard .......

[mobar]

Et on se plaint d'avoir 3 100 milliards d'euros de dette pour une population de 68 millions d'habitants!

D'un montant de plus de 34.600 milliards de dollars (31.800 milliards d'euros), la dette des Etats-Unis commence également à inquiéter. Encore début février, le président de la banque centrale américaine (Fed), Jerome Powell, prenait la parole pour alerter sur l'insoutenabilité de cette dette sur le long terme.

Avec une population qui est 5 fois plus importante, les US ont une dette 10 fois plus élevée!
Quand le dollar va être abandonné comme monnaie internationale, ça va tanguer

[mobar]

Une info super vieille (une semaine) que je n'avais pas vu :

L'Arabie Saoudite ne renouvelle pas l'accord sur les pétro-dollars (les saoudiens ne devaient vendre leurs pétrole qu'en dollar). Entre ça et tout le reste, et même si les opposants au grand Satan ne sont pas près d'être unis, la chute américaine n'est pas finie. Et quand le dollar ne sera qu'une monnaie parmi d'autres (ce peut être lent, cela peut venir trés vite), comment les Etats-Unis financeront leurs déficit ?

Supert qui hésite, acheter de l'or ou un terrain ?

Supert serait un super informateur si il donnait une source.
SVP.

https://www.ege.fr/infoguerre/petroyuan ... illet-vert

[energy_isere]

Une info super vieille (une semaine) que je n'avais pas vu :

L'Arabie Saoudite ne renouvelle pas l'accord sur les pétro-dollars (les saoudiens ne devaient vendre leurs pétrole qu'en dollar). Entre ça et tout le reste, et même si les opposants au grand Satan ne sont pas près d'être unis, la chute américaine n'est pas finie. Et quand le dollar ne sera qu'une monnaie parmi d'autres (ce peut être lent, cela peut venir trés vite), comment les Etats-Unis financeront leurs déficit ?

Supert qui hésite, acheter de l'or ou un terrain ?

Supert serait un super informateur si il donnait une source.
SVP.

https://www.ege.fr/infoguerre/petroyuan ... illet-vert

ca date de dec 2023, ce n'est donc pas l'info nouvelle à laquelle fait allusion Supert.

[energy_isere]

De quoi dégonfler la rumeur lancée par Supert :

Did Saudi Arabia really end petrodollar deal? UBS economist clarifies
Reports of Saudi Arabia ending the petrodollar deal sparked online discussions about the potential decline of the dollar as the world's reserve currency.

Jun 17, 2024 Written By: Sonu Vivek

Reports of Saudi Arabia ending the longstanding petrodollar deal with the US emerged last week, sparking online discussions about the potential decline of the dollar as the world's reserve currency.

However, amid growing speculation about the imminent decline of the US dollar's global dominance, several experts highlighted a critical flaw about the end of the petrodollar deal, pointing out there was never an agreement to begin with.

Paul Donovan, the chief economist at UBS Global Wealth Management, in a blog post said that the story had gained unexpected traction, serving as yet another example of the dangers of “confirmation bias.”

"The story seems to have started in the crypto world. Many crypto speculators desperately want to believe in the dollar’s demise," said Donovan.

Reports emerged that an agreement signed between Saudi Arabia and the US in 1974, being termed as the 'petrodollar deal', was not renewed and expired on June 9, 2024.

The economist explained that the arrangement may have been made due to Saudi Arabia's need to invest the excess revenue from its oil sales.

"The US and Saudi Arabia did establish a Joint Commission for economic cooperation in June 1974. This aim was to help Saudi Arabia spend its sudden glut of dollars on US products. In July of that year, Saudi agreed to invest oil dollars in US Treasuries (this was kept confidential until 2016)," said Donovan in the blog post.

He further added that oil has always traded in non-dollar currencies.

"In January 2023, Saudi indicated it was happy to negotiate oil sales in other currencies. The possibility changes little for financial markets. Saudi Arabia’s riyal remains pegged to the dollar, and its stock of financial assets are dollar focused. The dollar’s reserve status depends on how money is stored, not how transactions are denominated," said Donovan.

The relationship between the US and Saudi Arabia holds strong despite potential bargaining power for large buyers in the kingdom over currency choice.

Riyadh remains Washington's key ally in the Middle East world, particularly crucial for purchasing US arms, which are priced in dollars.

Despite China's substantial dollar reserves compared to Saudi Arabia's, attempts to reduce the dollar's global reserve currency status have had minimal impact.

The dominance of the dollar in global oil trade—from transactions to transport and insurance—is unlikely to change, even if Saudi Arabia were to consider selling oil in yuan.

This preference for dollars simplifies transactions, contrasting with India's experience buying Russian oil in local currency, where surplus accumulation raises concerns for Moscow about investment or lending options.

While Riyadh might explore using oil payments for Chinese exports, this is feasible with dollars as well. The oil industry's reliance on the dollar as the primary trade medium is unlikely to be challenged.

https://www.indiatoday.in/business/stor ... 2024-06-17

Crude propaganda? Rumours abound that Saudi Arabia is set to drop the petrodollar for the Chinese yuan
Saudi Arabia is rumoured to be dropping the US dollar for the Chinese yuan, but are the reports correct?

The New Arab Staff 13 June, 2024

Reports are gushing in about Saudi Arabia planning to drop the petrodollar for the Chinese yuan in an economic pivot toward East Asia and away from the US, but experts have stressed that the story is not as it seems with relations with Washington apparently on the mend.

Back in March, The Wall Street Journal reported that Saudi Arabia is considering to trade some futures with Beijing in the Chinese yuan with almost all oil exports handled in the dollar since 1974.

This was viewed as a boost for the struggling Chinese currency and also a message from Riyadh to Washington that it was unhappy with a lack of security support from the US.

The announcement has sparked a flurry of reports that Saudi Arabia was poised to adopt the yuan for its oil exports, which would be a remarkable economic and political win for Beijing.

BRICS News reported that a 1974 agreement between Washington and Riyadh had now expired with Saudi Arabia preparing to sell its oil in multiple currencies.

"Saudi Arabia's 50-year-old petrodollar agreement with the United States has expired, with no new agreement in place," BRICS News tweeted.

"Saudi Arabia will now sell oil in multiple currencies, including the Chinese RMB, Euros, Yen, and Yuan, instead ofexclusively in US dollars."

Many oil watchers reported this as a major shift in global energy trade and in economic power from the US to emerging countries in the Global South.

"Major blow to USD Hegemony! Saudi Arabia has refused to renew 50-yr Petrodollar agreement with the US," tweeted 'BhikuMhatre (Modi's Family)', an Indian finance professor.

"So now, Saudi is free to sell oil in multiple currencies, incl Euros, Yen, Yuan, Bharatiya Rupee etc. Major Blow to US!"

The problem is that no-such oil pact between Saudi Arabia and the US ever existed, at least not formally.

"As much as I'd like to believe this to be true, this 50-year expiry date on a petrodollar agreement is, as far as I can see and after quite a bit of research, purely made up," pointed out energy watcher Arnaud Bertrand.

While the US and Saudi Arabia did hold talks in 1974 on ending a Riyadh-led oil embargo on allies of Israel, including Washington, there is no evidence that an official pact with a 50-year lifetime exists.

Saudi Arabia has moved closer to China and Russia under Crown Prince Mohammed bin Salman, following bickering with the US over regional security issues, such as the removal of Yemen's Houthis from a terror list shortly after Joe Biden became president.

Riyadh has also made moves to join BRICS, an intergovernmental organisation founded by Brazil, India, China and South Africa supposedly as a counter-weight to US economic hegemony.

Relations between the US and Saudi Arabia, two long-time allies, have improved in recent months with talks on an unprecedented defence treaty with Washington, which will likely hinge on Riyadh normalising ties with Israel.

In a region long-dominated by the US, the Gulf has seen a sharp increase in investments, economic agreements, and even military ties with China, leading to friction with Washington.

https://www.newarab.com/news/saudi-arab ... inese-yuan