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Sans doute n'aura t-il pas a se préoccuper de cela le marché se chargera de faire monter les prix ."Nous n'utiliserions pas le pétrole comme une arme (...), nous avons d'autres moyens à notre disposition pour réagir", a déclaré Ahmadinejad lors d'une conférence de presse organisée à l'issue d'un sommet de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72.
Iran gasoline imports down 50%
TEHRAN, Nov. 18 Gasoline imports in the first seven months of the current Iranian year (started March 21) showed a 50 percent drop when compared to the figure of same period in the previous year, said the deputy head of the Trade Promotion Organization of Iran (TPOI) here on Sunday.
Ali Hushmandi-Manesh added that Iran has imported some 2.241 million tons of the product valued at $1.472 billion in the period, while last year's figure was 4.416 million tons, costing the country $3 billion.
source : http://www.mehrnews.ir/en/NewsDetail.aspx?NewsID=588919
http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=4850418Total veut aller vite à Kashagan et retourner en Iran
L'IRAN TOUJOURS D'ACTUALITÉ
Interrogé sur ses intentions en Iran, où le groupe n'a pas encore finalisé l'accord en vue de la construction d'un terminal d'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) en raison d'un désaccord sur le coût avec les autorités sur place, le directeur général de Total a dit vouloir "continuer" les investissements faits dans le pays.
Téhéran a récemment exhorté à plusieurs reprises le groupe français, ainsi que Royal Dutch Shell, à conclure leurs accords sur South Pars, nom du champ qui alimentera le terminal, d'ici juin 2008, les menaçant de continuer sans eux le cas échéant.
"Quand un pays fait des déclarations disant qu'il veut développer des ressources par lui-même, c'est son choix je n'ai rien à dire. Je dis simplement que nous aimerions bien, un jour en tout cas, reprendre ou continuer les investissements que nous avons fait en Iran", a déclaré Christophe de Margerie.
"Il y a des moments où les choses ne se passent pas exactement comme on le souhaite, ce n'est pas une raison pour dire qu'il n'y a plus de sujet", a-t-il ajouté.
Les projets de Total en Iran représentent plusieurs milliards de dollars. Au début de l'automne, le gouvernement français avait demandé à ses entreprises du secteur énergétique de s'abstenir d'investir en Iran, pointé du doigt en raison de ses ambitions nucléaires.
L'Iran annonce qu'il n'utilise plus le dollar pour ses transactions pétrolières
L'Iran a complètement cessé d'effectuer ses transactions pétrolières en dollars, considérant que sa chute n'en faisait plus une monnaie fiable, a déclaré samedi le ministre du Pétrole, Gholam Hossein Nozari.
"Actuellement, la vente de pétrole en dollars a complètement cessé, conformément à notre politique de vente du brut dans des monnaies autres que le dollar", a dit M. Nozari, selon l'agence officielle Isna.
"Le dollar n'est pas une monnaie fiable, compte tenu de sa dévaluation et des pertes pour les exportateurs de pétrole", a-t-il ajouté.
Quatrième exportateur mondial de brut, l'Iran a pris ses distances avec le dollar au cours de l'année écoulée en raison des pressions américaines sur son système financier et de l'affaiblissement du dollar.
Les Etats-Unis, qui accusent l'Iran de chercher à se doter de l'arme nucléaire et n'ont plus de relations diplomatiques avec l'Iran depuis 1979, ont obtenu de nombreuses grandes banques européennes et asiatiques qu'elles cessent leurs transactions avec l'Iran.
Ils ont également placé plusieurs banques iraniennes sur une liste noire pour sanctionner Téhéran en raison de ses activités nucléaires et de son soutien présumé à divers mouvements terroristes. L'Iran rejette ces accusations.
De son côté, l'Iran a réduit ses actifs dans certains établissements bancaires occidentaux. Téhéran tente par ailleurs de persuader ses partenaires de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) de renoncer aux transactions en dollar et de se tourner vers d'autres monnaies, comme l'euro.
La chute du dollar a considérablement entamé les revenus des pays de l'Opep, la plupart d'entre eux utilisant le billet vert pour coter et vendre leur brut.
Le dollar a perdu environ 15% de sa valeur par rapport à la monnaie européenne depuis un an.
Boursoram^
L'Iran et la Chine signent un contrat pétrolier géant
L'Iran et le pétrolier chinois Sinopec ont signé dimanche un contrat d'environ deux milliards de dollars pour le développement du champ pétrolier iranien de Yadavaran (sud-ouest).
Le contrat a été signé devant la presse par Zhou Baixiu, président de Sinopec international exploration, production and cooperation (Sipc) et le vice-ministre iranien du Pétrole Hossein Noghrehkar Shirazi.
"L'estimation initiale du coût du projet est d'environ deux milliards de dollars et son coût final sera déterminé après la mise en oeuvre des appels d'offre", a dit le ministre iranien du Pétrole, Gholam Hossein Nozari, après la signature.
Le champ de Yadavaran, situé dans le sud-ouest de l'Iran et dont la quantité de pétrole recouvrable est de 3,2 milliards de barils, avait fait l'objet d'un protocole d'accord avec Sinopec remontant à octobre 2004, resté sans suite.
Outre son aspect commercial, le contrat représente une victoire politique pour l'Iran face aux pressions américaines pour dissuader les grandes sociétés étrangères d'investir dans la République islamique.
Aucune compagnie pétrolière d'envergure internationale n'avait signé de contrat final d'investissement en Iran depuis plusieurs années.
M. Nozari a estimé que "la signature (avec Sinopec) montre qu'il n'y a pas de manque d'investissement en Iran et que nous consolidons nos relations économiques avec la Chine".
Le "second message est que si d'autres pays souhaitent investir dans les grands projets pétroliers et gaziers iraniens, ils ne devraient pas laisser passer l'occasion", a-t-il ajouté.
La législation américaine prive les sociétés étrangères investissant en Iran d'accès au marché américain, ce qui semble avoir retenu les grands pétroliers occidentaux de s'engager plus avant en Iran.
Mais la Chine, devenue un des premiers partenaires commerciaux de l'Iran ces dernières années, a ignoré ces appels et émis par ailleurs des réserves sur l'utilité d'accentuer les sanctions de l'ONU contre Téhéran pour le contraindre à suspendre son programme nucléaire.
Le directeur d'exploration de la Compagnie nationale du pétrole iranien (Nioc) Mahmoud Mohades a indiqué à la presse que Yadavaran "contient 18,3 milliards de barils dont la part recouvrable est de 3,2 milliards de barils".
Le contrat conclu avec Sinopec est de type "buyback", ce qui veut dire que Sinopec est considéré comme un prestataire de services, sans droit sur le champ, et dont la rémunération viendra de la vente du pétrole extrait.
M. Nozari a précisé que la partie chinoise aurait droit à un retour sur investissement de 14,98%, et qu'elle serait complètement remboursée après quatre ans, et non huit selon le protocole d'accord de 2004.
Sinopec "sera le seul partenaire principal (de la partie iranienne, ndlr) et investisseur", a précisé M. Mohades, sans apporter d'autres détails.
Le champ contient, outre du pétrole brut, 76 milliards de m3 de gaz associés, et 397 millions de barils de condensats recouvrables, selon ce dernier.
Selon M. Nozari une première phase de développement du champ permettra d'atteindre une production de 85.000 barils par jour après quatre ans, avant qu'une deuxième phase, d'une durée prévue de 36 mois porte la production totale à 185.000 bpj.
Le protocole d'accord de 2004 parlait d'une production de 300.000 bpj pour Yadavaran.
Il prévoyait aussi l'achat par la Chine de 10 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié sur une période de 25 ans à partir de 2009. Ce gaz, qui aurait été tiré du champ, ne fait pas partie du contrat signé dimanche.
"La Chine est prête à acheter du GNL (gaz naturel liquéfié) à l'Iran et nous espérons parler du projet de GNL plus tard", a dit M. Zhou.
L'Iran, qui possède les deuxièmes réserves mondiales de gaz, n'a toujours pas d'installation de liquéfaction et est un importateur net de gaz.
Boursoram^
Disons que Cheney va avoir beaucoup plus de mal à justifier une frappe sur l'Iran.Krom a écrit :Après le rapport des renseignements la semaine passée, c'est vraiment pas de chance pour les faucons américains.
source Reuters : http://uk.reuters.com/article/oilRpt/id ... 1620071210Iran aims to end gasoline rationing by March 2009
TEHRAN (Reuters) - Iran aims to end gasoline rationing by March 2009 through expanding domestic production of fuel and encouraging the use of vehicles powered by natural gas, an Iranian oil official said on Monday.
Iran, the world's fourth-largest crude producer, introduced rationing in June to curb fuel consumption that was far outstripping domestic output and to reduce costly gasoline imports.
"Probably by the end of the coming Iranian year, rationing will end. We are trying to control consumption from one side and increase production from the other side," Deputy Oil Minister Mohammad Reza Nematzadeh told reporters at an energy conference.
The current Iranian year ends in March 2008 and the next one ends in March 2009. Nematzadeh said he was basing the timetable on an announcement by President Mahmoud Ahmadinejad.
As well as expanding Iran's refining capacity, Nematzadeh said the government was seeking to introduce more cars that run on compressed natural gas (CNG) and to set up more stations selling CNG, which car drivers using the fuel complain are now too few.
Nematzadeh said about 24 million litres per day of gasoline had been saved during the past six months. Before rationing began, consumption was around 75 million litres per day or more.
He said consumption could edge up again in the next year but the government was seeking to respond by boosting gasoline production.
He did not give any reasons for any rise in consumption but Oil Minister Gholamhossein Nozari said the government was finalising a plan to increase the monthly fuel quota for private cars to 120 litres from later this month, up from 100 litres.
All gasoline in Iran -- whether produced locally or imported -- is sold at the heavily subsidised price of 1,000 rials (about 5 pence) a litre. This has created a drain on state coffers.
Importing gasoline is also a sensitive issue when the country is facing calls from the United States for more U.N. sanctions over Tehran's disputed nuclear programme.
L'Iran joue la Chine contre les majors pétrolières occidentales
EXPORTATIONS MENACÉES
Dans le pétrole, l'Iran ne remplit pas le quota octroyé par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (manque d'investissement, déplétion des gisements anciens). Pour maintenir une part importante à l'exportation - 2,5 millions des 4 millions de barils produits chaque jour - et ses rentrées de devises, il rationne les produits pétroliers. Au rythme de sa consommation intérieure, l'Iran pourrait cesser toute exportation de pétrole en 2015, prédisait récemment Roger J. Stern, chercheur à l'université Johns Hopkins (Baltimore).
"Ce risque est très sérieux", confirme M. Sarkis. Le monde serait alors privée des ressources d'un des rares pays, avec l'Irak, à disposer d'un potentiel inexploité pour faire face à une demande qui va croître d'au moins 1,3 % par an.
L'Iran, touché par une vague de froid, exporte moins de gaz vers la Turquie
L'Iran, frappé par une vague de froid sans précécent, a réduit au strict minimum ses exportations de gaz vers la Turquie, au moment où de nombreuses villes sont privées de gaz après l'arrêt des livraisons en provenance du Turkménistan.
"Après la forte baisse de la température et l'arrêt des livraisons de gaz par le Turkménistan, les exportations vers la Turquie ont été réduites au minimum", a déclaré un responsable cité par l'agence Fars.
"Nous devons livrer quotidiennement 20 millions de mètres cubes de gaz à la Turquie, mais le volume des livraisons a été ramené à moins de 5 millions de m3", a ajouté ce responsable.
Boursoram^
source : http://www.guardian.co.uk/feedarticle?id=7191244Iran to hit oil output target early, official says
Reuters Wednesday January 2 2008
TEHRAN, Jan 2 (Reuters) - Iran is expected to reach oil output of 4.5 million barrels per day "much earlier" than the planned target year of 2010, an Iranian official was quoted as saying.
Mohammad Javad Asemipour, production affairs head of the National Iranian Oil Company, said crude output would increase to 4.2 million bpd by the end of the Iranian year that runs to March 19, the Tehran Times said on Wednesday.
Output currently stands at 4.15 million bpd, he said.
"According to the fourth five-year development plan, the country needs to increase its crude oil output to 4.5 million barrels per day by 2010, but it seems we will achieve the goal much earlier," he was quoted as saying.
Oil Minister Gholamhossein Nozari said in November that Iran's oil production was 4.145 million bpd and its capacity 4.3 million bpd.
Analysts have said Iran's oil industry needs a big injection of foreign investment to boost output, but that Western firms in particular are wary of investing in Iran after the U.N. imposed sanctions on the country over its nuclear programme.
However, Iran's huge oil and gas reserves still make it a magnet for international energy firms.
On Dec. 9, Iran said China's Sinopec would invest around $2 billion to develop the huge Yadavaran field. (Writing by Fredrik Dahl; Editing by Neil Fullick)
