Non... C'est juste ton interprétation.Remundo a écrit :Tu taperas dans le mille là dedansvoilà ce que je qualifie de "presque déclarer la guerre à Israël"Le 20 avril 2009, le président iranien s'exprimant à la conférence de Durban II, accuse le Conseil de sécurité d'avoir « donné le feu vert aux sionistes pour poursuivre leurs crimes »[54]. Il ajoute que les dirigeants d'Israël sont « les plus cruels et les racistes les plus répressifs » et condamne des « grandes puissances » pour avoir aidé à la création d'Israël « au prétexte de la souffrance juive » après la Shoah. [] Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon condamne les propos du président Ahmadinejad, déclarant qu'il avait incité à la haine, l'objectif inverse de la conférence.
Il doute de la Shoah, qualifie Israël de « tumeur », et demande à l'Allemagne et à l'Autriche de céder une partie de leur territoire pour établir l'État d'Israël, impliquant un transfert massif de la population juive israélienne sur un autre territoire que l'actuel État d'Israël
Lors de la Guerre de Gaza, il soutient le Hamas en lutte contre l'État d'Israël[50].
Il souligne dans cette déclaration 20oct2006 que ceux qui se tiennent aux côtés du régime sioniste s'exposent à la colère du monde[48].
Ahmandinejad a aussi condamné le Conflit israélo-libanais de 2006 en disant que « le régime sioniste se comporte comme Hitler »[45]
Et encore une fois tu fais exprès de ne pas remarquer qu'il parle d'un gouvernement qu'il estime illégitime et qu'il n'appelle pas à l'extermination des habitant d'Israël et encore moins à la guerre.
Il critique Israël et appuie là ou ça fait mal... Et évidement pour les vas-en-guerre qui son à la tête de cet état, la moindre critique va servir d'excuse pour appeler à l'atomisation de Téhéran.
Quelle belle preuve de leur capacité à se remettre en question...
OK... C'est bien ce qui me semblait... Je ne me suis effectivement pas trompé sur ton compte.Mais ça ne veut pas dire que les USA valent beaucoup mieux...
T'espérait que je ne le verrai pas ?...« Règle n° 21. Concédez un point. Recherchez des occasions dans chaque débat télévisé ou interview de concéder un point au journaliste ou à la personne avec laquelle vous débattez. Le point est de ne pas de miner l’une des bases essentielles de la politique étrangère d’Israël. Mais les simples mots “vous avez un bon argument” font merveille auprès d’un public »