Je t'explique : La guerre de Poutine était inévitable, la défense des Ukrainiens est injustifiable.
Le conflit Russo-Ukrainien.
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.

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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Le scandale absolu est bien là. L'agression de Poutine en février 2022 était gentille et délicate. Au nom de quoi les ukrainiens ont-ils eu l'outrecuidance de se défendre ? Ils devaient accueillir à bras ouverts ces gentils russes.
Il faut dire que dans l'Histoire plein de peuples ont osé résister à une agression extérieure. Il serait temps que cela cesse. Après tout, Pol pot, Staline, Hitler, Mao et d'autres sont des bienfaiteurs de l'humanité. Poutine ne fait que suivre leur magnifique exemple.
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
une drone russe tombe en Roumanie : https://twitter.com/GeoConfirmed/status ... 7281509597
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
nouvelle tuerie de masse des russes qui bombardent un marché : https://twitter.com/region776/status/16 ... 6407929208
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Un témoignage d'un Suisse qui est allé combattre en Ukraine. Légalement, c'est interdit de s'engager dans une armée étrangère pour un Suisse. Dans les raisons qui l'ont poussé à "y aller", c'est pas tellement idéologique, mais plutôt parce qu'il... s'ennuie (pas de boulot, pas de projet...). Autre truc, dans le reportage, ça laisse entendre qu'il vit dans la ville à côté de chez moi.
https://www.rts.ch/info/suisse/14295623 ... oigne.htmlMalgré cette expérience, la guerre ne le lâche pas: en dépit des risques, il est retourné en Ukraine cet été. "Je vais repartir parce que je veux faire quelque chose de ma vie. Parce qu'ici, on ne me laisse pas travailler. On ne me laisse pas le choix. Je m'ennuie trop", affirmait-il peu avant son deuxième départ. Dans son casier judiciaire figure une peine pécuniaire avec sursis pour un délit mineur contre le patrimoine.
Jérôme donne l'impression d'avoir peu à perdre. Père de deux adolescents, il vit seul, et de l'aide sociale, avec peu de contacts avec sa famille. Il a grandi dans un foyer.
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 74112bc337Incendie au chantier naval de Sébastopol après une attaque de missile ukrainienne, dit la Russie
REUTERS•13/09/2023
Un incendie s'est déclaré mercredi dans le chantier naval de Sébastopol, en Crimée, après une attaque de missiles lancée par l'Ukraine, a déclaré mercredi le ministère russe de la Défense.
Sept des dix missiles tirés contre Sébastopol ont été abattus par le système russe de défense anti-aérienne, a indiqué le ministère sur Telegram, ajoutant que trois bateaux à moteurs ukrainiens qui tentaient d'attaquer le port ont été détruits.
"Deux bateaux qui étaient en réparation ont été endommagés par des missiles de croisières ennemis", a dit le ministère.
Mikhail Razvojaïev, le gouverneur de la région nommé par la Russie, a déclaré sur Telegram qu'au moins 24 personnes avaient été blessées.
...........
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
30 minutes après l'attaque sur Sevastopol, Starlink était coupé : https://twitter.com/atummundi/status/17 ... 4601376895
ca fait beaucoup parler d'autant plus après les récentes déclarations de Musk sur son aide aux russes l'année dernière... Ca ne m'aurait pas étonné qu'il finisse comme les leaders des Proud Boys
ca fait beaucoup parler d'autant plus après les récentes déclarations de Musk sur son aide aux russes l'année dernière... Ca ne m'aurait pas étonné qu'il finisse comme les leaders des Proud Boys
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
là je comprends pasmarc00 a écrit : ↑13 sept. 2023, 10:0830 minutes après l'attaque sur Sevastopol, Starlink était coupé : https://twitter.com/atummundi/status/17 ... 4601376895
ca fait beaucoup parler d'autant plus après les récentes déclarations de Musk sur son aide aux russes l'année dernière... Ca ne m'aurait pas étonné qu'il finisse comme les leaders des Proud Boys
il a coupé à qui? Aux russes? Aux ukrainiens? au monde entier?
pour favoriser qui?
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
La bataille perdue par les alliés de l’Ukraine
« Le Canard enchaîné » — mercredi 13 septembre 2023 —3
LE CONSTAT DRESSÉ par le président Zelensky, le 8 septembre, est irréfutable : « Si nous ne sommes pas dans le ciel, et que les Russes y sont, ils stoppent notre contre-offensive grâce à leur supériorité aérienne. » L’accusation est brutale. Les Alliés sont jugés collectivement responsables de l’absence d’avions américains F-16 dans le ciel ukrainien. Tant qu’à aider un Etat envahi à combattre son envahisseur, mieux vaudrait éviter de prendre son temps avant de passer à l’acte. Or les amis de l’Ukraine — Américains en tête — ont toujours pris leur temps.
La semaine dernière, certaines informations en ont encore apporté la preuve. Exemple : les 10 premiers chars Leopard venus d’Allemagne, du Danemark et des Pays-Bas sont arrivés en Ukraine, et d’autres vont suivre, si l’on en croit l’armée danoise. En février, ces trois Etats européens avaient considéré comme probable la livraison d’une centaine de chars lourds à Kiev « dans les prochains mois ». Fausse bonne nouvelle...
En revanche, le transfert des 10 premiers chars Abrams américains (sur les 31 promis) sera en principe réalisé à la fin de septembre. Sauf que Zelensky et ses généraux avaient rêvé de 300 chars lourds, et ce n’est pas la livraison déjà effective de Challenger britanniques qui permettra de combler ce cruel manque de blindés. « On ne nous a pas livré les 300 chars lourds et les dizaines d’avions F-16 que nous avons réclamés dès janvier 2023 », s’était déjà plaint Zelensky en août. Autre revendication jusqu’à présent rejetée par Washington mais évoquée désormais comme possible : la fournit ure de roquettes ATACMS, dont la longue portée (300 km) ne peut qu’inquiéter le Pentagone et la Maison- Blanche, soucieux de contenir la guerre « au sein des frontières ukrainiennes ».
Règles dictées à Washington
Quant aux F-16, qui font tant défaut à la contre-offensive, leur rationnement » est toujours de rigueur. Kiev n’en recevra probablement qu’une soixantaine, en 2024 puis en 2025, et il a fallu que Zelensky s’engage à ne jamais les utiliser pour bombarder la Russie.
Explication de ce retard, tel que l’analysent en substance des diplomates : Les Américains considèrent que les Ukrainiens doivent mener leur guerre selon les règles édictées à Washington. ils peuvent la gagner avec les armes qu’on leur fournit, et pas avec celles, avions et missiles à longue portée, que Kiev réclame sans cesse. » Non sans raison, comme le dirait M. de La Palice, car ce n’est pas l’avion qui
représente un danger, mais l’armement qu’il emporte sous ses ailes.
Avant que le très prudent Joe Biden donne son feu vert aux Etats européens disposés à remettre à Kiev un petit nombre de F-16 qu’ils possèdent, un certain désordre régnait au sein des hautes sphères américaines.
Le 17 févier, par exemple: conférence sur la sécurité à Munich. Le général Christopher Cavoli, commandant suprême des forces de l’Otan, y déclare qu’il faut fournir des avions de combat aux Ukrainiens. Le 6 mars : colloque sur les forces aériennes à Aurora (Colorado). Devant un parterre de diplomates, de militaires et d’industriels, le patron de l’aviation US en Europe, le général James Hecker, se dit, lui aussi, favorable à cette livraison, et d’autres chefs militaires partagent son opinion.
En revanche, le chef du Pentagone — le général Lloyd Austin — tient des propos fort différents. Le 14 avril, alors qu’il reçoit le Premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, le message qu’il lui prie de transmettre à Zelensky est lapidaire : D’accord pour que vous livriez des F-16, mais seulement après la guerre. » On est rassuré, le Pentagone peut avoir tort.
Claude Angeli
Le missile dont rêve le Pentagone
LA SEMAINE DERNIERE, « Le Canard » a écrit : « Les Ukrainiens oseront-ils réclamer » aux Américains un missile qui peut « aller chercher l’avion ennemi jusqu’à 3200 km ? » En réalité, il aurait fallu préciser le «futur missile».
Cette portée n’a rien d’extravagant pour le Pentagone, qui prépare le combat aérien dit « de sixième génération » et ne se satisfait pas des missiles existants pour les guerres du futur. La conception et la fabrication de leur grand frère et d’un nouveau programme Amraam ont été confiées par le département de la Défense à quelques vedettes du complexe militaro-industriel, parmi lesquelles General Dvnamics, Lockheed Martin, Boeing, Raytheon, Northrop Grumman, chargées de lui procurer ses « quelque 3 000 km de portée ».
En passant commande d’un tel engin, le Pentagone pense bien sûr à la Russie, mais aussi à la lointaine Chine. Et à quoi pensent les Ukrainiens quand ils rêvent, eux aussi, de s’en équiper ? A l’après-guerre, avec ou sans l’Otan. Et à la nécessité de dissuader les appétits de leur grand voisin russe, qui pourrait avoir envie de remettre ça.
« Le Canard enchaîné » — mercredi 13 septembre 2023 —3
LE CONSTAT DRESSÉ par le président Zelensky, le 8 septembre, est irréfutable : « Si nous ne sommes pas dans le ciel, et que les Russes y sont, ils stoppent notre contre-offensive grâce à leur supériorité aérienne. » L’accusation est brutale. Les Alliés sont jugés collectivement responsables de l’absence d’avions américains F-16 dans le ciel ukrainien. Tant qu’à aider un Etat envahi à combattre son envahisseur, mieux vaudrait éviter de prendre son temps avant de passer à l’acte. Or les amis de l’Ukraine — Américains en tête — ont toujours pris leur temps.
La semaine dernière, certaines informations en ont encore apporté la preuve. Exemple : les 10 premiers chars Leopard venus d’Allemagne, du Danemark et des Pays-Bas sont arrivés en Ukraine, et d’autres vont suivre, si l’on en croit l’armée danoise. En février, ces trois Etats européens avaient considéré comme probable la livraison d’une centaine de chars lourds à Kiev « dans les prochains mois ». Fausse bonne nouvelle...
En revanche, le transfert des 10 premiers chars Abrams américains (sur les 31 promis) sera en principe réalisé à la fin de septembre. Sauf que Zelensky et ses généraux avaient rêvé de 300 chars lourds, et ce n’est pas la livraison déjà effective de Challenger britanniques qui permettra de combler ce cruel manque de blindés. « On ne nous a pas livré les 300 chars lourds et les dizaines d’avions F-16 que nous avons réclamés dès janvier 2023 », s’était déjà plaint Zelensky en août. Autre revendication jusqu’à présent rejetée par Washington mais évoquée désormais comme possible : la fournit ure de roquettes ATACMS, dont la longue portée (300 km) ne peut qu’inquiéter le Pentagone et la Maison- Blanche, soucieux de contenir la guerre « au sein des frontières ukrainiennes ».
Règles dictées à Washington
Quant aux F-16, qui font tant défaut à la contre-offensive, leur rationnement » est toujours de rigueur. Kiev n’en recevra probablement qu’une soixantaine, en 2024 puis en 2025, et il a fallu que Zelensky s’engage à ne jamais les utiliser pour bombarder la Russie.
Explication de ce retard, tel que l’analysent en substance des diplomates : Les Américains considèrent que les Ukrainiens doivent mener leur guerre selon les règles édictées à Washington. ils peuvent la gagner avec les armes qu’on leur fournit, et pas avec celles, avions et missiles à longue portée, que Kiev réclame sans cesse. » Non sans raison, comme le dirait M. de La Palice, car ce n’est pas l’avion qui
représente un danger, mais l’armement qu’il emporte sous ses ailes.
Avant que le très prudent Joe Biden donne son feu vert aux Etats européens disposés à remettre à Kiev un petit nombre de F-16 qu’ils possèdent, un certain désordre régnait au sein des hautes sphères américaines.
Le 17 févier, par exemple: conférence sur la sécurité à Munich. Le général Christopher Cavoli, commandant suprême des forces de l’Otan, y déclare qu’il faut fournir des avions de combat aux Ukrainiens. Le 6 mars : colloque sur les forces aériennes à Aurora (Colorado). Devant un parterre de diplomates, de militaires et d’industriels, le patron de l’aviation US en Europe, le général James Hecker, se dit, lui aussi, favorable à cette livraison, et d’autres chefs militaires partagent son opinion.
En revanche, le chef du Pentagone — le général Lloyd Austin — tient des propos fort différents. Le 14 avril, alors qu’il reçoit le Premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, le message qu’il lui prie de transmettre à Zelensky est lapidaire : D’accord pour que vous livriez des F-16, mais seulement après la guerre. » On est rassuré, le Pentagone peut avoir tort.
Claude Angeli
Le missile dont rêve le Pentagone
LA SEMAINE DERNIERE, « Le Canard » a écrit : « Les Ukrainiens oseront-ils réclamer » aux Américains un missile qui peut « aller chercher l’avion ennemi jusqu’à 3200 km ? » En réalité, il aurait fallu préciser le «futur missile».
Cette portée n’a rien d’extravagant pour le Pentagone, qui prépare le combat aérien dit « de sixième génération » et ne se satisfait pas des missiles existants pour les guerres du futur. La conception et la fabrication de leur grand frère et d’un nouveau programme Amraam ont été confiées par le département de la Défense à quelques vedettes du complexe militaro-industriel, parmi lesquelles General Dvnamics, Lockheed Martin, Boeing, Raytheon, Northrop Grumman, chargées de lui procurer ses « quelque 3 000 km de portée ».
En passant commande d’un tel engin, le Pentagone pense bien sûr à la Russie, mais aussi à la lointaine Chine. Et à quoi pensent les Ukrainiens quand ils rêvent, eux aussi, de s’en équiper ? A l’après-guerre, avec ou sans l’Otan. Et à la nécessité de dissuader les appétits de leur grand voisin russe, qui pourrait avoir envie de remettre ça.
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Livre à paraitre avec la présentation audio sur France Inter ce matin :
https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... 23-2542735
La grand reporter Marion Van Renterghem était l'invitée de Sonia Devillers ce mercredi matin à l'occasion de la parution de son livre "Le piège Nord Stream" (Les Arènes). Elle explique notamment comment Vladimir Poutine a construit sa stratégie pour rendre l'Europe dépendante à la Russie.
Avec
Marion Van Renterghem Grand reporter
Le livre "Le Piège Nord Stream. Le plan de Poutine était presque parfait" (éd Les Arènes), de la grand reporter Marion Van Renterghem, paraît ce jeudi. Elle y explique le piège tendu par le président russe à l'Europe. Nord Stream est un gazoduc composé de deux paires de gigantesques tuyaux qui traversent la mer Baltique et permettent d'alimenter l'Europe en gaz russe. "C'est un monstre marin, un serpent de mer et un cheval de Troie, un piège très savamment pensé", souligne Marion Van Renterghem.
"Poutine a très vite compris ce rapport de force : la Russie est un paradis d'hydrocarbures alors que l'Europe n'a quasiment rien et en a un très grand besoin", explique la journaliste. Le président russe va alors réussir à convaincre les dirigeants européens de ce projet à 20 milliards d'euros, qui créé une dépendance à la Russie.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... 23-2542735
La grand reporter Marion Van Renterghem était l'invitée de Sonia Devillers ce mercredi matin à l'occasion de la parution de son livre "Le piège Nord Stream" (Les Arènes). Elle explique notamment comment Vladimir Poutine a construit sa stratégie pour rendre l'Europe dépendante à la Russie.
Avec
Marion Van Renterghem Grand reporter
Le livre "Le Piège Nord Stream. Le plan de Poutine était presque parfait" (éd Les Arènes), de la grand reporter Marion Van Renterghem, paraît ce jeudi. Elle y explique le piège tendu par le président russe à l'Europe. Nord Stream est un gazoduc composé de deux paires de gigantesques tuyaux qui traversent la mer Baltique et permettent d'alimenter l'Europe en gaz russe. "C'est un monstre marin, un serpent de mer et un cheval de Troie, un piège très savamment pensé", souligne Marion Van Renterghem.
"Poutine a très vite compris ce rapport de force : la Russie est un paradis d'hydrocarbures alors que l'Europe n'a quasiment rien et en a un très grand besoin", explique la journaliste. Le président russe va alors réussir à convaincre les dirigeants européens de ce projet à 20 milliards d'euros, qui créé une dépendance à la Russie.
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
il a coupé l'accès aux ukrainiens : https://www.ukrinform.net/rubric-ato/37 ... raine.htmlJeuf a écrit : ↑13 sept. 2023, 11:19là je comprends pasmarc00 a écrit : ↑13 sept. 2023, 10:0830 minutes après l'attaque sur Sevastopol, Starlink était coupé : https://twitter.com/atummundi/status/17 ... 4601376895
ca fait beaucoup parler d'autant plus après les récentes déclarations de Musk sur son aide aux russes l'année dernière... Ca ne m'aurait pas étonné qu'il finisse comme les leaders des Proud Boys
il a coupé à qui? Aux russes? Aux ukrainiens? au monde entier?
pour favoriser qui?
pour ce qui est de l'attaque de cette nuit, on est sur du très lourd. Le Minsk a l'air complètement détruit (https://twitter.com/Cest__Carre/status/ ... 1572008016). Pour ce qui est du sous marin Rostov sur Don, il est endommagé mais on ne sait pas encore à quel point. Il est possible qu'il y ait un ou deux autres navires touchés, mais à prendre avec des pincettes.


- phyvette
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Le pont de Crimée a été fermé à la circulation. Le quartier général opérationnel Russe de Crimée n'a pas révélé la raison de cette fermeture.
La Crimée dispose encore de quatre jours de réserves de carburant.
https://twitter.com/SarahAshtonLV/statu ... 33952?s=20
La Crimée dispose encore de quatre jours de réserves de carburant.
https://twitter.com/SarahAshtonLV/statu ... 33952?s=20

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- oxymore
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Comparaison entre un navire de la classe Ropucha et le Minsk (classe Ropucha) après l'attaque du 12-13 septembre 2023 (distances différentes entre les deux images). © Air&Cosmos, Mil.ru, open sources
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Intéressant... Continue cette réflexion à la lumière des événements passés et présentsoxymore a écrit : ↑13 sept. 2023, 12:28Livre à paraitre avec la présentation audio sur France Inter ce matin :
https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... 23-2542735
La grand reporter Marion Van Renterghem était l'invitée de Sonia Devillers ce mercredi matin à l'occasion de la parution de son livre "Le piège Nord Stream" (Les Arènes). Elle explique notamment comment Vladimir Poutine a construit sa stratégie pour rendre l'Europe dépendante à la Russie.
Avec
Marion Van Renterghem Grand reporter
Le livre "Le Piège Nord Stream. Le plan de Poutine était presque parfait" (éd Les Arènes), de la grand reporter Marion Van Renterghem, paraît ce jeudi. Elle y explique le piège tendu par le président russe à l'Europe. Nord Stream est un gazoduc composé de deux paires de gigantesques tuyaux qui traversent la mer Baltique et permettent d'alimenter l'Europe en gaz russe. "C'est un monstre marin, un serpent de mer et un cheval de Troie, un piège très savamment pensé", souligne Marion Van Renterghem.
"Poutine a très vite compris ce rapport de force : la Russie est un paradis d'hydrocarbures alors que l'Europe n'a quasiment rien et en a un très grand besoin", explique la journaliste. Le président russe va alors réussir à convaincre les dirigeants européens de ce projet à 20 milliards d'euros, qui créé une dépendance à la Russie.
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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- Hydrogène
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Re: Le conflit Russo-Ukrainien.
Un point sur la campagne ukrainienne de l'été sur le sud en 2 images (début juin et aujourd'hui):


Une percée d'environ 10-20km. Il y a une année (10 septembre), l'Ukraine créait la surprise au nord avec la reprise de Kupiansk. Il s'était écoulé encore 2 mois avant que les forces russes se retirent de Kherson (mi-novembre).


Une percée d'environ 10-20km. Il y a une année (10 septembre), l'Ukraine créait la surprise au nord avec la reprise de Kupiansk. Il s'était écoulé encore 2 mois avant que les forces russes se retirent de Kherson (mi-novembre).