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Et donc aussi l'expertise pour en installer une au pied de l'athabascaFrancis Déry a écrit :Mais nous avons déjà la technology pour faire des bombes.lionstone a écrit : Les canadiens peuvent aussi éventuellement s’associer avec le Venezuela et l’Iran pour un embargo commun de l’empire ou acquérir la technologie de la bombe en coopérant avec Téhéran car…
Depuis 1944.
L'expertise est à Chalk River, Ontario.
Nos CANDUs ont permit à l'Inde et au Pakistant de développer la bombe nucléaire.
Je ne sais pas si c'est résolu mais le Canada est déjà en guerre avec le Danemark pour une île entre le Groen Land et Ellesmere.cicero a écrit :Ouin... sa sent le roussi dans l'extrême nord...
On va bientôt se battre pour un cap de roche à savoir qui y plantera son drapeau. (comme la grêce et la turcquie y a 2-3 ans en méditéranée). Il est quand même notoire que ses territiores sont et étaient partie intégrante du canadâ... Il est habité par des gens qui on droit de vote au canadâ...non?!
À un moment donné on parlait de pétrole autour de l'île Hans.Schlumpf a écrit :Ah bon ? Et ça peut avoir une influence sur le prix du brut ?le Canada est déjà en guerre avec le Danemark pour une île entre le Groen Land et Ellesmere.
Soit en résumé et en gaulois, les exports canadiens de gaz à destination des USA devraient baisser de 30% d'ici à 2015, ces derniers devraient aussi s'attendre à importer moins de pétrole issus des sables asphaltiques de l'Alberta que prévu.A new report from Canada’s National Energy Board says the U.S. should expect exports of Canadian natural gas to the U.S. to fall approximately 30% between now and 2015. The report from Canada’s energy regulator further warns that, due to rising costs, the U.S. should expect to import less oil from the Alberta oil sands region than previously forecast.
...
Ironically, the drop in expected exports of natural gas from Canada to the U.S. is due in part to increased use of natural gas to separate the tar-like bitumen from the tar sands. That, plus smaller domestic discoveries and other increases in domestic consumption, are expected to cause the major falloff in exports.
Pourquoi mentionner une dépêche dans la langue du chèque expiré ?SuperCarotte a écrit :http://energytechstocks.com.previewmysite.com/wp/?p=540
A new report from Canada’s National Energy Board says the U.S. should expect exports of Canadian natural gas to the U.S. to fall approximately 30% between now and 2015. The report from Canada’s energy regulator further warns that, due to rising costs, the U.S. should expect to import less oil from the Alberta oil sands region than previously forecast.
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Ironically, the drop in expected exports of natural gas from Canada to the U.S. is due in part to increased use of natural gas to separate the tar-like bitumen from the tar sands. That, plus smaller domestic discoveries and other increases in domestic consumption, are expected to cause the major falloff in exports.
C'est beau les Unions économiques....Le Conseil des Canadiens, le plus grand organisme citoyen au Canada, dénonce l’absence de politiques énergétiques au Canada. Ainsi, le 30 janvier prochain, l’organisme exposera des mitaines dépareillées sur la colline parlementaire pour démontrer au gouvernement que ce problème équivaut à envoyer quelqu’un dans le froid avec une mitaine en moins.
Le Conseil explique que le Canada produit actuellement environ 40 % de plus de pétrole qu’il n’en consomme, mais doit tout de même importer du pétrole au prix fort de l’étranger. Ainsi, grâce à l’ALENA, le Canada exporte 70 % du pétrole et 61 % du gaz naturel qu’il produit chaque année aux États-Unis.
"L’ALENA nous empêche de vendre nos ressources énergétiques à un taux plus bas que celui que nous consentons aux États-Unis. Nous ne pouvons non plus réduire la proportion de l’énergie que nous vendons aux États-Unis, même par temps de disette nationale", dénonce le Conseil.
L’événement précédera de deux jours la Journée d’action sur l’énergie qui aura lieu dans tout le pays le 2 février prochain, au cours de laquelle des militants de plus de 30 communautés du Canada tiendront des événements publics et feront des actions politiques destinées à accroître la sensibilisation au caractère non durable de l’approche du Canada en matière de production d’énergie.
Le Canada intègre les biocarburants
Mercredi, la Chambre des Communes du Canada a adopté d'un projet de loi qui fixe une teneur en éthanol de 5% dans l'essence d'ici 2010 et de 2% dans le carburant diesel et le mazout d'ici 2012. Le texte devrait être entériné sans difficulté par le Sénat.
Le projet de loi a été rédigé en 2006, dans le but de créer de nouveaux débouchés pour l'agriculture canadienne, "tout en garantissant de l'air pur et propre pour les générations futures", selon les termes employés par le gouvernement.
"La stratégie de ce gouvernement relative aux biocarburants offre non seulement de nouveaux débouchés pour nos agriculteurs, mais aussi de nouveaux emplois pour nos villes et municipalités et une nouvelle source d'énergie renouvelable plus propre", a affirmé Gerry Ritz, ministre de l'Agriculture.
Selon John Baird, ministre de l'Environnement, "la réduction des émissions de gaz à effet de serre équivaudra au retrait d'un million de voitures de nos routes." Cette stratégie canadienne sur les carburants renouvelables fait partie d'un objectif de réduction globale des émissions de gaz à effet de serre de 20% d'ici 2020.
Le gouvernement espère avant tout que le projet de loi profitera aux 61 000 producteurs de céréales et de graines oléagineuses du pays, ainsi qu'aux personnes impliquées dans la création de la prochaine génération des biocarburants.
Dans un communiqué, le gouvernement rappelle qu'il entend investir 500 millions de dollars (320 millions d'euros) dans les nouvelles technologies permettant de transformer les résidus comme la paille et les copeaux de bois en carburants.
Enerzine
On va creuver de faim...la Chambre des Communes du Canada a adopté d'un projet de loi qui fixe une teneur en éthanol de 5% dans l'essence d'ici 2010 et de 2% dans le carburant diesel et le mazout d'ici 2012
http://www.energybulletin.net/45709.htmlCanadian navy drowning in sky-high fuel prices
Valerie Dufour, Sun News (Canada)
Ballooning fuel prices and recruitment problems kept Canadian navy vessels docked for much of last year, Sun Media has learned.
The 34 vessels deployed on Canada's east and west coasts, on average, spent only 81 days at sea in 2007, according to documents obtained by Sun Media through the Access to Information Act.
Fuel costs for Canada's navy ships jumped 50% last year, the documents revealed, and are expected to rise another 25% this year.
"The rapidly rising price of oil will have dramatic consequences on the 2007-2008 operations budget," said David Statham, a former Canadian naval officer. This increase will also impact on the operational capacity of the Canadian fleet.
(9 June 2008)
Sun Media (qui appartient à Quebecor) couvre un vrai problème : la flotte est vétuste et nécessite un remplacement complet pour être opérationnelle. Trop de pannes surviennent immobilisant les navires au port. Le pire fut l'achat de sous-marins britanniques au diesel bon pour la scrap au lieu de sous-marins à propulsion nucléaire qui auraient pu servir pour les missions polaires. L'achat fut infâme, mais des haut-gradés ont pu bénéficié de retraites anticipés. Le Canada est une colonie britannique.energy_isere a écrit :La flotte militaire du Canada (leur Navy) aussi en difficulté, comme la marine Française, à cause du cout du carburant.
http://www.energybulletin.net/45709.htmlCanadian navy drowning in sky-high fuel prices
Valerie Dufour, Sun News (Canada)
Ballooning fuel prices and recruitment problems kept Canadian navy vessels docked for much of last year, Sun Media has learned.
The 34 vessels deployed on Canada's east and west coasts, on average, spent only 81 days at sea in 2007, according to documents obtained by Sun Media through the Access to Information Act.
Fuel costs for Canada's navy ships jumped 50% last year, the documents revealed, and are expected to rise another 25% this year.
"The rapidly rising price of oil will have dramatic consequences on the 2007-2008 operations budget," said David Statham, a former Canadian naval officer. This increase will also impact on the operational capacity of the Canadian fleet.
(9 June 2008)
Les producteurs canadiens prévoient toujours une forte croissance des productions des sables bitumineux
Le 30 Décembre 2008.
Avec la baisse des cours du pétrole, de très nombreux projets concernant la mise en exploitation des sables bitumineux de l'Alberta ont été, au mieux, mis en attente ou encore tout simplement annulés. Parmi les projets les plus importants ainsi mis en cause on peut citer les décisions d'annulation de StatoilHydro, ou les reports de Suncor, de Shell, de Petro-Canada, etc. Malgré toutes ces vicissitudes, l'Association des Producteurs de Pétrole Canadiens (CAPP) qui est bien placée pour imaginer l'avenir de ces productions pronostique toujours une montée en production des sables bitumineux (FIG.).
Les productions de l'Ouest canadien en 2008 avec 2,38 millions de barils/jour, seront constituées pour moitié de productions traditionnelles et pour moitié de l'exploitation des sables bitumineux (1,22 millions de bl/jour). D'après l'Association, ces productions tirées des sables bitumineux devraient doubler à l'horizon 2015 ou 2016 et atteindre 3,2 millions de bl/jour en 2020. Les parts entre production minière en surface et extraction à chaud par forage seraient à peu près équilibrées.
Bien sûr la réalisation de ces prévisions sera tributaire du rétablissement des circuits normaux de financement des projets par les organismes financiers et de la reprise des cours du baril de pétrole. Mais les professionnels canadiens ne semblent pas démoralisés par les difficultés qui les attendent.
