Vers la fin des guerres (article de Slate)
Publié : 16 août 2009, 13:12
http://www.slate.fr/story/9177/vers-la-fin-des-guerres
Il est vrai que les conflits majeurs on disparu statistiquement parlant par rapport à ce que l'on observait dans la première moitié du 20éme siècle. Ce qui m'intéresse, et la raison du pourquoi je poste cet article ici, est le lien que je m'en fait avec le pétrole abondant et bon marché.
Selon les auteurs 4 cause majeures:
Il n'est pas sorcier que de constater qu'il y a correlation très étroite entre coût de l'énergie, production de cette énergie, évolution du nombre de démocratie, espérance de vie, démographie...
Les auteurs ont l'air de considérer les disparitions des guerres comme une évolution intellectuelle et sociale des être humains (évolution qui ne touche pas encore vraiment un continent comme l'Afrique)... Mais ne faut-il pas y voir cette évolution comme une conséquence d'un monde stabilisé grâce à la disponiblité en énergie et la hausse du bonheur des peuples par conséquence? Si l'énergie est là, le bonheur suit forcément et les démocratie se maintiennent d'autant plus facilement.
Forcément qu'il n'y a plus de guerres, l'énergie est bon marché et l'économie repose sur une énergie bon marché.
Il est vrai que les conflits majeurs on disparu statistiquement parlant par rapport à ce que l'on observait dans la première moitié du 20éme siècle. Ce qui m'intéresse, et la raison du pourquoi je poste cet article ici, est le lien que je m'en fait avec le pétrole abondant et bon marché.
Selon les auteurs 4 cause majeures:
A noter que pour moi, la sécurité intérrieure (force de police efficasse, population globalement satisfaite), l'augmentation de l'espérance de vie (nourriture aondante, pas de famine chez nous, médicaments bon marchés), la mondialisation (plus avantageux de partager et de s'échanger des biens que de se faire concurrence pour des ressources primaires) ne sont possible à l'échelle mondiale que si notre énergie est bon marché. Parailleurs, une démocratie n'est possible que si le peuple est globalement satisfait (si il a l'impression de progresser) si l'énergie devient chère, des contraintent apparaiterons inévitablement et sur le long terme, des démocraties auront du mal à se maintenir par rapport à des idées poplulaire et facil du genre: "c'est la faute aux chinois, indiens..."Cette baisse des conflits, dit-il, est en partie dûe à l'explosion du nombre de démocraties depuis la Seconde Guerre Mondiale - ce chiffre a été multiplié par cinq (même si tout dépend de ce qu'on appelle une démocratie). Ainsi que les démocraties ne se font que très rarement la guerre, on peut s'attendre à ce que le nombre de conflits armés continuent de baisser.
Le psychologue Steven Pinker a identifié plusieurs autres facteurs culturels qui contribueraient au recul récent de la violence : premièrement, la création d'états stables dotés de systèmes juridiques et de forces de police efficaces est venue à bout des querelles constantes qui constituaient un véritable fléau dans nombre de sociétés tribales. Deuxièmement, l'augmentation de notre espérance de vie nous rend moins prêts à prendre des risques en nous engageant dans des conflits armés. Et troisièmement, la mondialisation et l'essor des moyens de communication nous ont rendus de plus en plus interdépendants et développé notre empathie envers ceux qui ne font pas partie de notre « tribu » proche.
Il n'est pas sorcier que de constater qu'il y a correlation très étroite entre coût de l'énergie, production de cette énergie, évolution du nombre de démocratie, espérance de vie, démographie...
Les auteurs ont l'air de considérer les disparitions des guerres comme une évolution intellectuelle et sociale des être humains (évolution qui ne touche pas encore vraiment un continent comme l'Afrique)... Mais ne faut-il pas y voir cette évolution comme une conséquence d'un monde stabilisé grâce à la disponiblité en énergie et la hausse du bonheur des peuples par conséquence? Si l'énergie est là, le bonheur suit forcément et les démocratie se maintiennent d'autant plus facilement.
Forcément qu'il n'y a plus de guerres, l'énergie est bon marché et l'économie repose sur une énergie bon marché.