L i e n
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Un article et un PDF qui nous apprennent un peu sur l'état des réserves pétrolières en Algérie.
On apprend que dans le supergéant d'Hassi Messaoud, 20% du pétrole initialement en place (OOIP)a déja été extrait. Encore qu'à un utre endroit ils disent 16% (dans le même article).
Le PDF, lui, qui n'a que 2 ans, dit 12%. Comme ils n'ont certainement pas extrait 8% de l'OOP en 2 ans, y'a un problème.
Clairement les chiffres ne prennent pas tous en compte les même réserves. Par exemple il y a une streate encore inexploitée.
effet, les techniques les plus modernes d’amélioration des taux de récupération n’ont pas été appliquées sur ce champ.
Hm, tout dépend ce qu'ils appellent les "techniques les plus modernes", mais hassi messaoud est l'objet d'injection soluble de gaz naturel depuis plus de 20 ans.
En tout cas, l'obhjectif de passer hassi messaoud à 600-700 000 b/j est enterré. Il restera aux niveaux actuels (400).
Par ailleurs :
L’agence nationale de valorisation des hydrocarbures Alnaft vient d’accorder son feu vert au développement par Sonatrach seule des champs de Hassi Dzabat , Haoudh Berkaoui , Hassi Tarfa situées sur le pourtour du champ super géant de Hassi Messaoud , a indiqué un responsable du secteur. Ces nouveaux gisements ont été découverts par la compagnie pétrolière nationale au cours de la première moitié de la décennie 2000. Les réserves en place sont estimées à 1,8 milliard de barils. Sonatrach prévoit d’atteindre un plateau de production de 100.000 barils/jour à partir de ces champs.
Soit 2% de déplétion par an. Raisonnable (si 1.8 Gb est bien la quantité récupérable et non l'OOIP).
sinon, mais ça on le sait déjà, plusieurs projet dans le bassin de Berkine, notamment El Merk, qui doit sortir environ 100 000 b/j.
Toujours moins.