L'Algérie

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energy_isere
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Message par energy_isere » 22 mai 2006, 21:44

punaise, on s'est fait doubler économiquement pas les US en Algérie !
Les USA, premier partenaire énergétique de l'Algérie

En 2005, l’Algérie a vendu pour 3,5 milliards de m3 de GNL (Gaz Naturel Liquéfié) aux États-Unis, soit environ 5% des exportations algériennes de gaz. La compagnie nationale Sonatrach a commercialisé en direction de l'Amérique, l'équivalent de 11 milliards de dollars d’hydrocarbures, avec en majorité du pétrole brut ( 450 000 barils / jour ). Les États-Unis reste le premier partenaire économique de l’Algérie. Et l'année 2006 ne fera que renforcer cette tendance. Il suffit de se rappeler du contrat conclu avec la firme US Valeo.

De plus, les géants pétroliers, comme Exxon Mobil et Conoco Philips veulent être les premières compagnies au monde présentes en Algérie. Elles ne cachent plus leurs ambitions d’investir dans l’exploration et le développement de gisements d’hydrocarbures dans le pays.

Pura Vida
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Message par Pura Vida » 22 mai 2006, 22:50

Il y a TRES longtemps quel es Etats-Unis achètent du gaz en Algérie, je crois, plus de 40 ans! Et le partenariat de l'Algérie avec les Etats-Unis est très important et assez ancien, directement en coucurrence avec la France. En plus elle traite beaucoup aussi avec la Russie.

C'est l'une des indications que l' "Europe" est devenue un boulet à trainer qui retarde d'une guerre. Il vaudrait bien mieux un genre de "bureau européen des volontés internationales" BEVI, comme cadre aux réalisations de projet bilatéraux, comme multilatéraux de pays européens et de pays et continents du MONDE ENTIER, plutôt que cette espèce de structure qui n'en est pas une et qui se regarde seulement le nombril...
Pura Vida

franck1968
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Message par franck1968 » 24 mai 2006, 00:44

Je pense que l'Europe va largement moins se regarder le nombril aprés le sommet du G8.
Les Russes n'arrivant pas à négocier avec eux sur les "approvisionnements à long termes". Ou en tout cas avec certains états de l'UE.

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greenchris
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Message par greenchris » 21 juin 2006, 20:40

Nouvelle découverte d'hydrocarbures dans le sud algérien

La compagnie pétrolière publique algérienne Sonatrach a annoncé, mercredi, avoir réalisé une nouvelle découverte de pétrole et de gaz dans le bassin de Berkine, dans l'erg oriental, situé dans le Sahara algérien.

La Sonatrach évoque "l'important potentiel en hydrocarbures dans cette partie du bassin de Berkine qui continuera à faire l'objet d'une intense activité d'exploration et de délinéation au cours de l'année 2006", souligne Sonatrach.

Depuis le début de l'année 2006, la compagnie pétrolière algérienne a réalisé au total six découvertes dans différents bassins pétroliers du Sud algérien. En tout durant cette période, 12 découvertes au total auront été réalisées par la Sonatrach seule ou avec ses associés, contre seulement huit pour toute l'année 2005.

La Sonatrach a tracé pour 2006 un programme global d'exploration, à concrétiser en effort propre et avec ses associés, qui prévoit le forage de 90 puits pour un investissement de 1,2 milliard de dollars dont 700 millions de dollars pour Sonatrach. AP
http://www.boursorama.com/international ... ws=3512504
Le charbon et le gaz prendront sa place (temporairement).
Dans l'ordre, Sobriété, Efficacité et enfin Renouvelables (negawatt).
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Message par dr.watson » 27 juin 2006, 12:40

News: ISRAEL ALGERIE - PETROLE - Israël écarte une firme Russe en raison de ses liens avec l'Algérie

jun 27
Par Dan Assayah
Rubrique: Actualité



Source Israel Valley, Globes et L’Indépendant

– Le gouvernement israélien a décidé d’écarter une soumission de la compagnie pétrolière russe OAO Rosneft , lui reprochant d’être «proche des pays musulmans» et plus particulièrement de l’Algérie.

La compagnie russe avait été retenue il y a plusieurs semaines afin de postuler pour un projet d’acquisition et de développement d’une raffinerie en Israël.

Mais depuis que Rosneft avait conclu des accords avec l’Algérie, les autorités israéliennes ont fait marche arrière, informant la société qu’elle s’était «rapprochée d’une manière embarrassante des pays musulmans».

Le gouvernement israélien a pris sa décision en Conseil des ministres et en avait informé la direction générale de la compagnie russe.

Rosneft était pourtant considérée, dans une évaluation établie par une commission des enchères dépendant du ministère israélien des Finances, comme la compagnie offrant les meilleures garanties financières et de faisabilité pour décrocher le projet de privatisation de la raffinerie de pétrole dans le complexe d’Ashdod, dans le sud d’Israël.

Rosneft avait soumis sa candidature, en partenariat avec la société Financial Levers Ltd, offrant au moins 380 millions de dollars avec la possibilité d’aller jusqu’à 500 millions de dollars à la faveur de la hausse des prix du pétrole.

La raffinerie traite 90 000 barils par jour et Rosneft projetait de porter cette production à 100 millions de barils par an. Selon le ministère israélien des Finances, Rosneft devait détenir 51 des parts du capital du consortium contre 49 pour Financial Levers Ltd.

Cinq autres sociétés avaient également postulé pour acquérir la raffinerie. Il s’agit des compagnies israéliennes Delek Group, Dor Alon Energy, Ampal-American Israel, Paz Oil et Sonol Israel.

Dénonçant cette décision la compagnie rosneft a annoncé qu’elle allait poursuivre en justice l’Etat israélien.

La presse israélienne souligne, pour sa part, que la décision du gouvernement israélien était intervenue après l’annonce par le président de Rosneft , Mikhaïl Goutseriev, en mai dernier, de la participation de son groupe à partir de juin dans une société mixte en Algérie pour le développement d’un gisement pétrolier ainsi que dans plusieurs autres projets d’hydrocarbures en partenariat avec Sonatrach.

En février dernier, Rosneft , en partenariat avec l’autre compagnie russe Stroytransgaz et Sonatrach, avait réalisé une découverte de gaz à condensat dans le bassin d’Illizi.

Rosneft est un groupe composé de 30 entreprises de production pétrolière, de trois raffineries de pétrole et dispose de son propre réseau de distribution via les stations-service qui se trouvent dans les 17 régions de la Russie et de la Communauté des Etats indépendants (CEI).
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Message par thorgal » 30 juin 2006, 08:21

y a du changement dans l'air en Algerie ? le president B. dans son dernier discours a souligne son mecontentement quant aux prefets des regions. Mais il a aussi glisse ceci :
Bouteflika a écrit : il est aujourd’hui de notre devoir de consacrer le droit des générations futures à bénéficier des richesses naturelles (…) Nous sommes parvenus à la conclusion que notre génération n’est pas en mesure de créer une économie alternative au secteur des hydrocarbures
Réaction de Louisa Hanoune (trotskyste) : " le président a pris conscience du danger qui menace la souveraineté nationale et a mesuré l’ampleur des conséquences dévastatrices en cas d’application de cette loi "

Tiens tiens ...

ah oui, source -> http://www.rfi.fr/actufr/articles/078/article_44733.asp
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Message par franck1968 » 04 juil. 2006, 19:04

L'Algérie commande deux sous-marins russes
20:04 | 04/ 07/ 2006

MOSCOU, 4 juillet - RIA Novosti. La Russie doit construire pour le compte de l'Algérie deux sous-marins de classe Kilo (type 636) qui seront mis en chantier respectivement en 2006 et en 2007 aux Chantiers navals de l'Amirauté, à Saint-Pétersbourg, annoncent des médias russes.

Les premières exportations de sous-marins de cette classe datent de 1986. Au milieu des années 1990, les Chantiers navals de l'Amirauté ont lancé la construction de sous-marins du type 636 dotés de moteurs plus puissants, moins bruyants et armés de torpilles électriques téléguidés. Ces submersibles sont également équipés d'une batterie à longue durée de vie et d'un nouveau récepteur radio.

Les sous-marins de classe Kilo sont universels: ils peuvent combattre les sous-marins et les navires de surface en haute mer, mais aussi dans les fjords, à proximité des récifs et dans les bassins difficilement praticables, et ce indépendamment des conditions climatiques. Selon le quotidien Rossiiskaïa Gazeta, un sous-marin de cette classe coûte près de 200 millions de dollars.

En 1980-2005, la Russie a construit 50 sous-marins de classe Kilo, dont 24 pour la marine russe, et trois autres sont en construction.

L'Algérie a acheté ses deux premiers sous-marins soviétiques en 1982-1983. Construits en 1961, ils ont été réformés à la fin des années 1980. En 1987-1988, elle a acquis deux sous-marins de classe Kilo. Fabriqués en 1987, ils ont subi une réparation en 1993-1996 aux Chantiers navals de l'Amirauté.
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Sylvain
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Message par Sylvain » 07 juil. 2006, 05:02

Il n'y a pas qu'en Amérique du Sud. :smt077

La libéralisation des hydrocarbures algériens remise en cause
Les compagnies étrangères devront s'associer à la Sonatrach, la compagnie nationale des hydrocarbures.
6 juin 2006
L'Algérie renonce à la libéralisation totale de ses hydrocarbures : le Conseil du gouvernement a annoncé mardi dernier dans un communiqué que la Sonatrach (compagnie nationale des hydrocarbures) participera systématiquement et d'une manière conséquente aux opérations de recherche et/ou d'exploitation : les compagnies pétrolières étrangères sont obligées de s'associer avec la Sonatrach pour intervenir en Algérie.
La géologie pétrolière se moque de votre envie de conduire une automobile.

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Message par Fish2 » 09 juil. 2006, 14:55

Confirmation dans cet articlede Liberté Algérie.

Quelques extraits :
...l’Exécutif se refuse aujourd’hui d’ouvrir de façon large son domaine minier et d’offrir une part importante de ses réserves pétrolières aux compagnies internationales, c'est-à-dire de céder une part importante de sa rente pétrolière aux multinationales en contrepartie d’investissements et d’apports technologiques.
.../...
Le chef de l’État a, par ailleurs, établi le constat que parvenir à une économie de substitution aux hydrocarbures, en un mot dépendante des fluctuations des prix du brut au cours des cinq dix prochaines années relève de l’utopie. Il observe l’incapacité des générations présentes à utiliser les excédents publics pour réaliser cet objectif, d'où la nécessité de préserver les réserves de pétrole et de gaz pour les générations futures qui sont d’ailleurs non renouvelables.
.../...
De ce fait, le bon sens dit qu’il est plus avantageux de ne pas entamer les réserves avec une intensification de la production et de disposer de ces accumulations lorsque le pétrole se fera rare, c’est dans vingt ans-quarante ans, d’autant que le placement des réserves en devises à l’étranger tirées des exportations d’hydrocarbures ne rapporte pas grand-chose actuellement.
(2% d’intérêt). “Aujourd’hui une production de 1 million de barils/ jour de pétrole avec les prix actuels peut couvrir les besoins du budget (l’Algérie produit 1,4 million de barils/jour de pétrole).”
Par ailleurs, le budget prévoit 20 milliards de dollars d’investissements publics par an, conséquence de ces excédents. Or, l’économie nationale ne peut pas absorber tous ces fonds d’où le risque de gaspillage de l’argent public.
.../...
Les amendements auront ainsi pour incidence de ralentir l’exploration et de freiner l’exploitation intensive des gisements. Dans un souci de préserver le plus longtemps possible la rente pétrolière.
Il y a bien désormais une nouvelle stratégie des pays producteurs, parfaitement conscients de l'approche du pic (même de leur part il n'est jamais mentionné). Au sein de l'OPEP c'est le Vénézuela qui en est l'inspirateur, il faudra suivre aussi ce qui se passe au Koweit où les députés demandent la réévaluation des réserves en vue de limiter la production annuelle à 1% des réserves restantes.

Cette attitude est parfaitement logique de la part des pays producteurs dont le pétrole (ou le gaz) est de loin la principale richesse. Ils ont besoin de temps pour trouver des alternatives. Ils ne craignent plus la perte de parts de marché comme lors des chocs pétroliers précédents, l'OCDE ne découvrira pas de nouvelle mer du Nord, les sables bitumineux ne fourniront jamais un débit concurrentiel.

Pour le gaz, l'Algérie adopte une stratégie commune avec la Russie, j'ai lu qu'il était question de créer une OPEG (dont l'Iran serait d'ailleurs un acteur majeur).

Il est certain que les pays consommateurs vont mal prendre la chose, on voit déjà se profiler des accusations de "nationalisme pétrolier", cf l'édito récent d'Eric Le Boucher dans Le Monde, et tout le débat sur la "sécurité énergétique", nouvel euphémisme à la mode. Accusations largement inspirées par des compagnies qui refusent d'envisager l'hypothèse du pic (Exxon Mobil en tête de file).

Plus le temps passe, plus je suis persuadé que le chemin de la paix passe par la reconnaissance du pic pétrolier au niveau des sphères dirigeantes.
« Sauf événements majeurs, la probabilité est forte que le prix du baril redescende vers 30 dollars l’an prochain. » Thierry Desmaret, Le Figaro, novembre 2004

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Message par MadMax » 15 juil. 2006, 23:31

L'Algérie rembourse par anticipation la totalité de sa dette suisse

L'Algérie a conclu samedi un accord pour le remboursement par anticipation la totalité de sa dette suisse, équivalent à 66 millions de dollars (environ 52 millions d'euros, 82 millions de francs suisses), selon le ministère algérien des Finances.

Les documents de ce remboursement avant terme, qui sera effectué le 31 août 2006, ont été signés par le ministre algérien des Finances Mourad Medelci et par l'ambassadeur de Suisse à Alger, Michel Gottret.

C'est le quatorzième accord bilatéral signé par l'Algérie avec ses créanciers du Club de Paris, dans le cadre du remboursement anticipé de sa dette de 7,9 milliards de dollars (environ 6,4 milliards d'euros). Au total, l'Algérie a déjà remboursé 4,3 milliards de dollars (environ 3,4 milliards d'euros) par anticipation.

Sur les 17 pays créanciers de l'Algérie membres du Club de Paris, il reste à signer des accords similaires avec l'Italie, l'Allemagne et le Japon.

L'accord multilatéral signé en mai dernier entre l'Algérie et le Club de Paris permet aux Etats créanciers de choisir un échéancier de paiement dans la période allant du 31 mai au 30 novembre 2006.

A l'issue du remboursement anticipé de la dette auprès du Club de Paris et de celle prévue avec le Club de Londres, en septembre prochain, ainsi qu'avec les institutions financières multilatérales, le montant de la dette extérieure de l'Algérie devrait ainsi tomber aux alentours de 5 milliards de dollars (environ 3,9 milliards d'euros) à la fin de l'année 2006.

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Message par MadMax » 26 juil. 2006, 11:58

Algérie, made in China

A Alger, Constantine ou Annaba poussent des tours construites pour moitié par des entreprises chinoises. Avec son regard très personnel, le photographe Edouard Caupeil a capté la naissance de ces quartiers où se croisent ouvriers chinois et chômeurs algériens.

Depuis quelques années, les relations commerciales entre la Chine et l'Algérie s'intensifient au point que 50% de ce qui est consommé en Algérie est d'origine chinoise. L'Algérie est d'ailleurs aujourd'hui, le premier partenaire commercial de la Chine. :-k
Outre le secteur de l'énergie, axe primordial de la coopération sino-algérienne, les chinois investissent massivement le secteur de la construction pour répondre aux besoins de logement des algériens. Rappelons que le gouvernement a promis de construire un million de logements. Ainsi donc, à Alger, Constantine ou Annaba, dans les villes nouvelles algériennes, des logements "à la chinoise" fleurissent de partout. Dans la banlieue de Constantine, un entrepreneur chinois a promis de bâtir 1200 logements en 20 mois !
Pour réaliser ces exploits, les entreprises chinoises importent leur main d'œuvre. Ces travailleurs assurent les trois huit, vivent sur place mais n'entretiennent aucun lien avec la population locale. Alors que les chinois investissent, les algériens survivent. Car ce boom de la construction contraste de façon inquiétante avec le taux de chômage et le peu de débouchés offerts à la jeunesse algérienne.
Plus qu’un "choc", les photographies d'Edouard Caupeil nous aident à observer ce qui résulte d’une des formes de la mondialisation et des transferts d’activités qui lui sont corollaires. En prolongement d'une exposition qui s'est tenue à l'espace Confluence en juin dernier, retrouvez quelques unes de ces images qui convergent toutes vers une approche a minima dans le traitement du sujet et évite le stéréotype, la répétition, le genre seul.

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Message par frgo84 » 16 août 2006, 10:05

L'Algérie connaîtrait-elle son pic?

http://omrpublic.iea.org/opecsupplyresu ... mit=Submit

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Message par franck1968 » 18 août 2006, 19:22

L'Algérie va approvisionner l'Inde en énergie et réactiver par la même occasion la plus grande station électrique du pays du nom de « Dabhol ». La compagnie Indienne « Gail » et la compagnie Sonatrach sont arrivés à un accord de principe afin d'alimenter la station d'une capacité de 500 mégawatts en gaz naturel.

L'Algérie rentre ainsi de plein pied dans les plus grands marchés Asiatiques. Elle a conclu des accords avec la Chine et le Vietnam pour un approvisionnement en Pétrole. La Corée du Sud a choisi d'être approvisionnée en gaz par la compagnie nationale algérienne, la Sonatrach. A ceux ci, s'ajoute également le marché nippon !
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L'Algérie en déplétion ?

Message par frgo84 » 28 août 2006, 18:53


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Re: L'Algérie en déplétion ?

Message par energy_isere » 28 août 2006, 20:33

Je ressort la newsletter 41 de l' ASPO de Mai 2004,
et il donnaient le peak pour 2006 :

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