Maroc / énergie - environnement

[energy_isere]

Maroc : Total aurait négocié un immense bloc pétrolier au Sahara occidental

(Agence Ecofin) 01 Dec 2012

La compagnie pétrolière Total aurait signé avec le Maroc un accord de prospection pétrolière au Sahara occidental sur un gigantesque bloc, Anzarane Offshore, de plus de 100 000 km2.

L’information, révélée par Western Sahara Resource Watch (WSRW), semble confirmée par une étude de la banque Mirabaud (Mirabaud Securities à Londres) qui attribue en effet à Total une participation de 75% dans le bloc Anzarane Offshore.
Une autre étude de VSA Capital fait état d’une vaste licence offshore récemment signée avec le Maroc.
« En faisant cela, Total compromet directement les efforts de paix de l'ONU et sabote le droit international. Nous lançons un appel à la société pour reconsidérer immédiatement son implication », a déclaré Erik Hagen, président de Western Sahara Resource Watch.

Selon WSRW, TotalFinaElf avait déjà tenté de se faire attribuer cette licence en 2001 mais s’était alors heurté au Conseil de Sécurité, interpellé par le Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques, Hans Corell.

http://www.agenceecofin.com/investissem ... occidental

[energy_isere]

Maroc : Chevron signe trois blocs offshore au large d'Agadir

Agence Ecofin 24 Janv 2013

C’est maintenant l’américain Chevron qui débarque dans l’offshore marocain avec la signature de trois blocs au large d'Agadir : Cap Rhir Deep, Cap Cantin Deep et Cap Walidia Deep, via sa toute nouvelle filiale Chevron Morocco Exploration Ltd.

« C'est une opportunité pour Chevron d'étendre sa présence déjà forte dans la région, ce qui nous permet d'approfondir nos connaissances sur cette zone émergente dont la géologie est prometteuse », a commenté Ali Moshiri, président de Chevron Africa and Latin America Exploration and Production Company.

L’Etat marocain, à travers l'ONHYM, conservera 25% des parts sur ces trois blocs dont la superficie totale couvrirait 30 000 km2.

http://www.agenceecofin.com/hydrocarbur ... e-d-agadir

[energy_isere]

GDF Suez va développer un parc éolien géant au Maroc (300 MW)

08 Fev 2012 enerzine

Développé dans le cadre d'un partenariat avec la société énergétique marocaine Nareva Holding, GDF Suez a annoncé hier, la construction du plus vaste projet de parc éolien sur le continent africain.

Situé à Tarfaya au Maroc, le parc éolien sera doté d'une puissance de 300 MW. Ce dernier a déjà fait l'objet d'un contrat d'achat d'électricité de 20 ans avec l'Office National de l'Electricité et de l'Eau Potable (ONEE) du Maroc. Sa mise en service complète est prévue fin 2014.

Le projet sera financé en associant fonds propres et endettement local. Les fonds propres seront partagés à 50 / 50 entre GDF Suez et Nareva. Le financement par la dette à hauteur de 4 milliards de dirham (360 millions d'euros**) sera apporté par un consortium de 3 banques marocaines : Attijariwafa Bank, Banque Centrale Populaire et Banque Marocaine du Commerce Extérieur.

"Le projet de Tarfaya est tout a fait en ligne avec la stratégie de développement du Groupe dans les marchés à forte croissance. Nous sommes ravis d'accompagner le Maroc dans son ambition d'augmenter la part des énergies renouvelables. Le projet de Tarfaya va en effet quasiment doubler la capacité éolienne du pays. Plus grand parc éolien jamais construit par GDF suez, il atteste de notre engagement à investir dans les énergies renouvelables et à fournir des infrastructures énergétiques indispensables à l'Afrique" a indiqué Gérard Mestrallet, PDG de GDF Suez.

Tarfaya, qui se situe dans le désert côtier au Sud du Maroc, bénéficie de conditions de vent optimales. Lorsqu'il sera entièrement opérationnel, ce projet de 300 MW devrait atteindre un taux d'utilisation élevé de 45%, ce qui en fera une source d'énergie renouvelable compétitive qui permettra d'éviter l'émission de 900.000 tonnes de CO2 par an. Ce parc représentera environ 40% de la capacité éolienne totale du pays lors de sa mise en service commerciale.

Au Maroc, la demande en électricité augmente en moyenne de 6% par an depuis 1998. Et elle devrait continuer à progresser au cours des 20 prochaines années. Dans ce contexte, Tarfaya marque un tournant décisif dans la stratégie énergétique du Maroc, qui vise un objectif de 42 % de capacités électriques installées fonctionnant à partir de sources renouvelables d'ici à 2020.

http://www.enerzine.com/3/15274+gdf-sue ... 0-mw+.html

[energy_isere]

Maroc : l’ONEE lance la phase II de son programme éolien de 1000 MW

Agence Ecofin 04 Mars 2013

Les techniciens de l'Office marocain de l'électricité et de l'eau potable ont levé le voile sur la seconde phase de leur projet éolien qui se répartira en cinq parcs situés au sud et au nord du pays, y compris au Sahara occidental : Tanger II, Boujdour, Tiskrad, Midelt et Jbel hdid.



Ces projets montés en PPP visent à réunir, d’une part, l'ONEE, la Société d'investissements énergétiques et le Fonds Hassan II pour le développement économique et social, et, d’autre part, un partenaire privé disposant des capacités requises et disposé à opérer un transfert de technologie.
D’ici 2020, le Maroc s’est fixé l’objectif de produire 42% de son électricité par les énergies renouvelables, dont une production éolienne totale de 2000 MW pour un investissement estimé à 2,8 milliards d’euros.

http://www.agenceecofin.com/energies-re ... de-1000-mw

[epe]

Ces éoliennes me paraissent étrangement proches l'une de l'autre. Et les turbulences?

[energy_isere]

Maroc : 5 compagnies internationales vont entamer des forages pour évaluer les réserves en gaz de schiste


Agence Ecofin 18 Mars 2013

L'Office marocain des hydrocarbures et des mines (ONYHM) a autorisé 5 compagnies internationales à commencer les forages d’exploration qui permettront d’évaluer plus précisément les réserves du Maroc en gaz de schiste, rapporte l’agence Xinhua.

« Nous allons développer la production électrique à partir des schistes bitumineux avec une première centrale-pilote qui nous permettra d'évaluer les paramètres techniques et économiques de l'utilisation de ces schistes » a déclaré Amina Benkhadra, directrice générale de l'ONHYM au magazine Eco Plus.

Fouad Douiri, ministre marocain de l'Energie et des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, est allé dans le même sens : « Pour notre pays, et grâce à une géologie favorable, le potentiel en gaz de schiste est très prometteur. Un programme ambitieux de recherche et d' exploration a été lancé au niveau de l' ONYHM pour répondre un double objectif : l' évaluation du potentiel de nos bassins sédimentaires en gaz de schiste et la mise en place de partenariats avec des sociétés disposant de l'expérience et de la technologie indispensables à la valorisation de cette ressource dans les zones où les recherches n' ont été traditionnellement orientées que vers les hydrocarbures conventionnels ».

Les principaux gisements sont le gisement de Timahdit, dans la chaîne du Moyen Atlas à environ 240 km de Rabat, le gisement de Tarfaya qui s' étend sur 2500 km² à l' Est de la ville de Tarfaya, le long de la côte atlantique, à 1200 km au Sud de Rabat et le bloc Doukkala, qui couvre près de 2000 km² le long de la côte atlantique, à environ 125 km de Casablanca.

Les quantités pourraient se révéler très importantes. Rien que le gisement de Timahdit a été évalué à l’équivalent de 15 milliards de barils d'huile en place.　

Récemment, Oisin Fanning, président exécutif de San Leon Energy, déclarait suite à des évaluations de la zone de Tarfaya onshore : « Le Maroc a une des plus grandes réserves de schistes bitumineux dans le monde et des projets tels que Tarfaya aidera le Royaume à répondre à ses besoins énergétiques futurs ».

http://www.agenceecofin.com/gaz-de-schi ... de-schiste

[energy_isere]

Les autorités algériennes s’inquiéteraient de l’émergence d’un riche secteur pétrolier marocain

Agence Ecofin 20 Mars 2013

Le journal espagnol Correo Diplomatico affirme, sur la base d’un rapport français, que les autorités algériennes observent avec inquiétude l’intérêt croissant des grandes compagnies pétrogazières internationales pour l’exploration marocaine, parmi lesquelles Repsol, Total, Anadarko, Cosmos ou encore Chevron.

Toujours selon le Correo Diplomatico, Sonatrach serait allé jusqu’à constituer un réseau d’espionnage financé par une de ses filiales, la Sipex. Des informateurs auraient été recrutés au sein des compagnies pétrolières travaillant au Maroc.

L’annonce de prochains forages marocains sur le gisement de Zag, à la frontière entre l’Algérie, le Maroc et la partie contestée du Sahara occidental, a sans doute contribué à cette montée de fièvre, dans une période où Sonatrach est rongée par une cascade de scandales et traversée de doutes quant à son propre avenir pétrolier à moyen terme .

Plusieurs médias algériens dénoncent une stratégie marocaine qui consisterait à s’associer à des compagnies pétrolières internationales assez puissantes pour influencer les grands décideurs politiques dans le dossier du Sahara occidental.

L’Algérie n’est toutefois pas seule à voir d’un mauvais œil la multiplication des prospections pétrolières marocaines. Le gouverneur des Canaries a récemment menacé d’intervenir auprès de Bruxelles pour contraindre Rabat à renoncer à l’exploitation de certains gisements trop près, selon lui, de l’archipel.

http://www.agenceecofin.com/hydrocarbur ... r-marocain

[energy_isere]

Le milliardaire russe Roman Abramovitch entre dans le secteur pétrolier marocain

Agence Ecofin 04 Avril 2013

Après les compagnies européennes, américaines, australiennes, c’est au tour du russe Roman Abramovitch de faire son entrée dans le secteur pétrolier marocain. Associé à la compagnie irlandaise Circle Oil Plc, l’oligarque russe envisagerait d’investir 20 millions de dollars dans l’exploration d’un premier bloc dans le bassin du Rharb, testé avec succès selon Circle Oil.

Avec une fortune estimée à 10,2 milliards de dollars, Roman Abramovitch, propriétaire du club de football anglais Chelsea FC, fait partie du top 100 des fortunes privées mondiales.

La directrice générale de l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra, confirmait cette semaine, dans une interview accordée au journal Le Matin, que « des similitudes existent entre certains bassins marocains avec des zones productrices notamment dans le Golf du Mexique et au large de Nova Scotia », et que le Maroc regorge de réserves importantes en hydrocarbures non matures et gaz de schistes évaluées à 50 milliards de barils, plaçant ainsi le royaume chérifien au 6eme rang mondial.

http://www.agenceecofin.com/hydrocarbur ... r-marocain

[energy_isere]

suite de ce post viewtopic.php?p=340077#p340077

Maroc : des sociétés espagnoles vont construire la centrale solaire concentrée de 160 MW à Ouarzazate

Agence Ecofin 05 Mai 2013

Le consortium espagnol composé d’Acciona, Sener et de TSK a remporté le contrat pour la construction de la centrale de production indépendante à énergie solaire concentré, a rapporté Le Matin. Il s’agit d’une centrale d’une capacité de 160 MW à Ouarzazate, présentée comme la plus grande centrale CSP à capteurs cylindro-paraboliques d’énergie solaire concentrée au monde.

Le contrat à cet effet a été adjugé, le 29 avril à Rabat, par le groupe ACWA Power Ouarzazate qui avait décroché, presqu’un an auparavant en septembre 2012, l’appel d’offres portant conception, construction et exploitation de la première phase du complexe solaire d’Ouarzazate.

«L’adjudication du contrat EPC est en ligne avec notre planning de développement et devrait nous permettre de respecter l’objectif d’une mise en marche commerciale de la centrale au cours de la seconde moitié de 2015 », a indiqué Paddy Padmanathan (photo), président-directeur général de ACWA Power, dans un communiqué de presse.

A noter également qu’Acwa Power au Maroc, sera dirigé par un Algérien, Badis Derradji, ex-PDG de New Energy Algeria.

http://www.agenceecofin.com/energies-re ... ouarzazate

[energy_isere]

suite du post ci dessus.

Début de la construction de la centrale CSP de Ouarzazate, avec la pose ''de la première pierre'' par le roi Mohammed VI en personne.

Groundbreaking ceremony for Ouarzazate CSP plant in Morocco

13/05/2013

Construction on Morocco’s 160 MW concentrated solar power (CSP) plant in Ouarzazate began on Friday with a symbolic groundbreaking ceremony by King Mohammed VI.

................

http://www.evwind.es/2013/05/13/groundb ... occo/32609

[energy_isere]

Kosmos Energy va forer des puits d’exploration au large des cotes du Maroc

12 juin 2013 Agence Ecofin

La société américaine Kosmos Energy prévoit de forer des puits d’exploration au large des côtes marocaines à partir du deuxième semestre de 2014 à l’aide du semi-submersible Atwood Achiever, rapporte le portail nasdaq.com le 11 juin.

A ce dessein, la compagnie pétrolière présente au Maroc à travers des contrats d’exploration dans quatre blocs offshore en Atlantique, notamment au large d’Essaouira, Agadir et Boujdour, a signé avec la société Atwood Oceanics, un contrat de services de forage de trois ans avec la plateforme Atwood Achiever. La valeur totale de ce contrat comportant tune option de prolongation de 3 années supplémentaires est de 652 millions de dollars.

Actuellement en construction en Corée du Sud, le navire de forage Atwood Achiever devrait être fin prêt en juin 2014. Cette plateforme à positionnement dynamique est capable d’atteindre des profondeurs allant jusqu’à plus de 40 000 pieds (environ 12 000 m).

http://www.agenceecofin.com/hydrocarbur ... s-du-maroc

[energy_isere]

Éolien : Tarfaya, un nouveau souffle pour le Maroc

04 Juillet 2013 Jeuneafrique.com

Ce parc, dont le chantier a démarré en décembre, fournira 6 % de la production électrique nationale.

Ce sera le plus grand parc éolien d'Afrique. Situé dans le désert côtier du sud du Maroc, le site de Tarfaya devrait bénéficier de conditions optimales et donc d'un taux d'utilisation très élevé (45 %, deux fois plus qu'en Europe), pour une capacité de 300 MW. Ce projet a été attribué à Tarfaya Energy Company (Tarec), une coentreprise créée par GDF Suez et le marocain Nareva Holding. « Nous détenons le capital à parts égales avec notre partenaire français », précise Khadija El Hassani, responsable de la communication de Nareva. Si le marocain opère déjà trois parcs éoliens (200 MW), il compte sur l'expérience du français, qui dispose de près de 4 000 MW de capacité d'origine éolienne dans le monde. « C'est aussi un moyen de mutualiser les risques », poursuit la responsable.

Contrat géant

Le projet nécessite 5 milliards de dirhams (environ 450 millions d'euros), dont 1 milliard de fonds propres des deux partenaires et 4 milliards empruntés à un consortium de banques marocaines : Attijariwafa Bank, Banque centrale populaire et BMCE Bank. Lorsque sa mise en service sera complète, en décembre 2014, le parc devrait représenter 40 % de la capacité éolienne du royaume

Tarfaya, Akhfenir, Jbel Khalladi, Foum El Oued, Haouma : les 720 MW en cours de développement s'inscrivent dans le Projet marocain intégré de l'énergie éolienne (PMIEE), pour un investissement estimé à 31,5 milliards de dirhams. Celui-ci permettra en partie au Maroc de porter la puissance électrique installée d'origine éolienne de 480 MW en 2013 à 2 000 MW en 2020. À cette échéance, le royaume s'est fixé un objectif de 42 % de capacité électrique installée fonctionnant à partir de sources renouvelables. Et il s'en donne les moyens.

http://economie.jeuneafrique.com/entrep ... maroc.html

[energy_isere]

Maroc : les cimentiers se mettent aux énergies renouvelables

Agence Ecofin 14 Juillet 2013

Que ce soit le français Lafarge Ciment, le Ciment du Maroc (Cimar) ou Holcim Maroc, la tendance est aux énergies renouvelables, surtout à l’éolienne, pour réduire la facture électrique souvent trop salée.

Lafarge Ciment serait pionnier en investissant en 2005 dans l’éolienne qui lui fournit 32 MW à Tétouan, nord du Maroc près du Détroit de Gibraltar. Mais, le groupe français a innové en optant pour des contrats clé en main d'énergie éolienne pour ses usines près de Casablanca.

Ainsi Maghreb Emergent rapporte que ce premier producteur de ciment dans le royaume chérifien a signé des contrats de fourniture d'électricité avec la Holding Nareva pour son usine de Bouskoura qui a commencé mars dernier à recevoir les premiers KW. Toute la puissance contractuelle sera effective septembre prochain et permettra au cimentier Lafarge de satisfaire à court terme 50% de ses besoins en électricité.

Mais, Ciment du Maroc (Cimar) compte mettre en service début 2014 un parc éolien d’une capacité de 10 MW dans la ville de Safi, au sud de Casablanca, sur l'Océan, rapporte de son côté l'hebdomadaire La Vie Eco. Ceci, pendant que la filiale de l’italien Italcementi examine les possibilités d’installation d’un site supplémentaire.

Même son de cloche chez Holcim Maroc qui a également choisi de recourir à des contrats pour l’achat de son énergie renouvelable. La compagnie compte satisfaire jusqu’à 30% de ses besoins énergétiques à partir de l’énergie éolienne à l'horizon 2014 et se fixe d’atteindre 70% les dix prochaines années.

Au Maroc, la consommation électrique par tonne de ciment a baissé de 35%, passant de 120 à 78 KWh/t de ciment depuis 2003.

http://www.agenceecofin.com/energies-re ... ouvelables

[energy_isere]

Maroc : une production énergétique en hausse de 8,4 % en 2012

[energy_isere]

Maroc: le chinois Sepco III va construire une centrale thermique de 318 MW

Agence Ecofin 01 Aout 2013

L'entreprise énergétique chinoise Sepco III a signé un contrat avec l'Office national marocain de l'électricité et de l'eau potable (ONEE) pour la construction d’une nouvelle centrale électrique thermique dans la ville de Jerada, rapporte Au fait Maroc le 28 juillet.

Ce projet prévoit la construction d'un nouveau groupe thermique de 318 MW fonctionnant au charbon sur le même site qu’une autre centrale thermique de 165 MW déjà service à Jerada, ville toute proche de la frontière algérienne.

Le coût global du projet s’élève à quelque 3 milliards de dirhams (environ 350 millions de dollars), qui seront principalement financés par China Exim Bank. La nouvelle centrale devrait entrer en service à la fin 2016.

Quoi ?

Hein ?

Desé quoi ?

DESERTEC !
Va falloir attendre encre un peu.