Ils l’ont dit
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Au moins, ce type est sérieux, il explique pourquoi le pétrole abiotique reste une théorie confidentielle :
Pétrole abiotique : certains gouvernements saventAlain a écrit :Bref, comme pour les compagnies pétrolières, il est hors de question pour les gouvernements anglo-saxons que le monde apprenne qu'il y a du pétrole en quantité énormes un peu partout sur terre.
- phylippe
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J'ai lu un peu son blog. C'est hallucinant. Je croirais au pétrole abiotique, ce type me ferait douter tellement ces explications n'ont ni queue ni tête.diego a écrit :A la demande de Madmax je mets le lien de l'article ci-dessus:
http://petrole-abiotique.blogspot.com/
C'est un blog, mais le gars qui l'écrit n'a pas renseigné son profil.
J'ai bien ri quand même.

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Je confirme, on se marre sur ce blog :phylippe a écrit :J'ai lu un peu son blog. C'est hallucinant. Je croirais au pétrole abiotique, ce type me ferait douter tellement ces explications n'ont ni queue ni tête.
J'ai bien ri quand même.
Moi je dis, ce blog est un complot des produits laitiers pour dénigrer les légumes en leur prètant des vertues bien plus faibles que le pétroleAlain a écrit :Le pétrole contient en moyenne un peu plus 100 ppm de vanadium.
(...)
Dans les plantes les concentrations de vanadium sont très très inférieures à ces taux. Par exemple, les légumes n'ont que 40 µg/kg de vanadium, soit 0,000004 %, les fruits 23 µg/kg, soit moins de la moitié des légumes.
Donc, il y a 2.500 fois moins de vanadium dans les légumes que dans le pétrole (...) (en gras dans le texte). On peut penser que c'est du même ordre de grandeur en ce qui concerne les arbres.
Donc, il est clair, une fois encore, que le pétrole ne peut pas venir des plantes (...).

- thorgal
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j'ai aussi lu des trucs sur l'origine abiotique du pétrole (hydrocarbures en général), comme quoi y en avait déjà avant et durant la formation des planètes du système solaire. Bon, ça reste une théorie. J'aimerais y croire mais ça servirait à quoi ? si c'était vrai, qu'est-ce qui se passerait ? on brûlerait tout ça comme les gros acros que nous sommes! aucune espèce de réserve, croissance à tout va, soyons 100 milliards sur la planète. Mangeons de la daube synthétique, tant qu'ça a du goût, vivons à poil à l'ombre des cocotiers norvégiens, ou des palmiers sibériens.
Bof ...
Et puis le gars, quel réducteur quand il cause des gens prenant le peak oil au sérieux. Pffff ...
Par contre, il faut qu'il m'explique le comportement de l'entreprise Chevron, d'après son blog, les compagnies pétrolières sont au courant de l'abiotique ... hum ...
Bof ...
Et puis le gars, quel réducteur quand il cause des gens prenant le peak oil au sérieux. Pffff ...
Par contre, il faut qu'il m'explique le comportement de l'entreprise Chevron, d'après son blog, les compagnies pétrolières sont au courant de l'abiotique ... hum ...
- Tiennel
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On a pas mal discuté de http://www.willyoujoinus.com lors de son ouverture sur ce fil
- lionstone
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Le brut américain serait de 57,87 dollars le baril en 2006
LONDRES (Reuters) - Les consommateurs devront payer plus pour le pétrole en 2006 qu'en 2005, une année où il aura pourtant atteint des records, selon une enquête Reuters auprès de spécialistes du secteur.
L'enquête auprès de 30 analystes donne un prix moyen du brut léger américain de 57,87 dollars en 2006 contre 57,40 dollars prévus pour cette année et 41,47 dollars constatés en 2004.
Le prix de 2005 serait déjà le plus élevé depuis qu'existent les transactions sur les futures du Nymex, soit 1983.
A plus long terme, les analystes
anticipent une baisse des prix du brut de plus de 15 dollars sur les cinq prochaines année, avec un prix moyen de 42,65 dollars en 2010 pour le brut américain et de 38,59 dollars pour le Brent.
Le prix moyen du baril de brut américain depuis le début de l'année est de 56,43 dollars, avec un record de 70,85 dollars atteint le 30 août. Pour le Brent, il est de 55,03 dollars et ce brut de la Mer du Nord est attendu à 55,70 dollars le baril en moyenne cette année et à 55,76 dollars en 2006.
Reuters suit les prévisions de prix des analystes, consultants et organismes publics. Voici les projections mises à jour.
LONDRES (Reuters) - Les consommateurs devront payer plus pour le pétrole en 2006 qu'en 2005, une année où il aura pourtant atteint des records, selon une enquête Reuters auprès de spécialistes du secteur.
L'enquête auprès de 30 analystes donne un prix moyen du brut léger américain de 57,87 dollars en 2006 contre 57,40 dollars prévus pour cette année et 41,47 dollars constatés en 2004.
Le prix de 2005 serait déjà le plus élevé depuis qu'existent les transactions sur les futures du Nymex, soit 1983.
A plus long terme, les analystes


Le prix moyen du baril de brut américain depuis le début de l'année est de 56,43 dollars, avec un record de 70,85 dollars atteint le 30 août. Pour le Brent, il est de 55,03 dollars et ce brut de la Mer du Nord est attendu à 55,70 dollars le baril en moyenne cette année et à 55,76 dollars en 2006.
Reuters suit les prévisions de prix des analystes, consultants et organismes publics. Voici les projections mises à jour.
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- MadMax
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Les Echos du 7 décembre 2005
Idées
L'exubérance rationnelle des marchés
PAR PIERRE-ANGEL GAY
Rien ne semble vouloir altérer l'allant des marchés financiers. Ni la hausse persistante des cours du pétrole, revenu flirter avec les 60 dollars. Ni la poursuite inattendue de l'envolée des prix des matières premières industrielles, traditionnellement génératrice d'inflation. Ni le resserrement monétaire, préventif justement, auquel a procédé la Banque centrale européenne, il y a tout juste une semaine, après 30 mois de statu quo. Ni même le départ à la retraite, fin janvier, de « Magic Greenspan », président de la Réserve fédérale américaine et héros des investisseurs financiers depuis dix-huit ans.
Dans une Europe en crise (politique) et en panne (économique), les principaux indices boursiers s'inscrivent depuis le 1er janvier en hausse sensible. Plus de 20 % pour le CAC 40 à Paris, le DAX allemand ou encore l'AEX néerlandais ; plus de 15 % pour le London Stock Exchange et la Bourse de Madrid. Plus de 10 % pour celle de Milan. Pour ne rien dire de son homologue de Zurich, qui caracole au-delà des 30 %. C'est beaucoup plus qu'outre-Atlantique, où Dow Jones et Nasdaq doivent se contenter de quelques pour-cent.
A croire que les marchés boursiers du Vieux Continent défient les lois de la pesanteur. Le calendrier y joue son rôle. Traditionnellement, la fin de l'année est propice au « rallye » boursier, les gérants habillant leur bilan - le « window dressing » des Anglo-Saxons - pour améliorer leurs performances. L'effet rattrapage aussi. L'adage « Les premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers » se vérifie également sur les marchés. Le CAC 40, qui a souffert plus que d'autres de l'éclatement de la bulle Internet, rebondit plus fortement aujourd'hui.
Mais il y a plus fondamental que cela. Les résultats des multinationales européennes, qui font les indices, sont de plus en plus décorrélés de la langueur des économies du Vieux Continent. Les marchés sont ailleurs, les entreprises y font leur croissance et leurs résultats, comme l'a montré le contrat historique signé lundi entre Airbus et la Chine. C'est d'autant plus vrai que l'économie mondiale prospère. 2004 a été l'année de la plus forte croissance économique dans le monde depuis trois décennies. 2005 fera à peine moins bien (4,5 % de croissance, contre 5 %).
Et, aux yeux des marchés financiers, rien ne vient obscurcir l'horizon. Au contraire. Les freins de 2005 s'atténuent à l'aube de 2006. Les cours du pétrole se stabilisent, éloignant les craintes d'une résurgence brutale de l'inflation. Le cycle de hausse des taux, qui a pesé ces derniers mois sur les Bourses américaines, semble s'achever outre-Atlantique. Il n'est jusqu'au Kabuto-Cho japonais qui ne salue la sortie de la déflation décennale de l'empire du Soleil-Levant...
A l'échelle de la planète, les gérants d'actifs financiers gèrent plus de 30.000 milliards de dollars. Pourquoi diable se détourneraient-ils des marchés d'actions ?
- Jéjé
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Ah bon, ils ont aussi des analystes au DoE ? Les pauvres...Elisabeth Studer, dans [url=http://www.leblogfinance.com/2005/12/les_usa_tablent.html]le Blog Finance[/url], a écrit :Le département américain de l'Energie a revu en hausse ses prévisions à long terme pour les cours du pétrole et table désormais sur un baril à 57 dollars en 2030, a-t-il annoncé lundi.
Dernière modification par Jéjé le 14 déc. 2005, 17:08, modifié 1 fois.
- MadMax
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Le baril de pétrole à 50 dollars en moyenne en 2006, selon l'AIE
BERLIN - L'Agence internationale de l'énergie (AIE) table sur un prix moyen du baril de pétrole de 50 dollars en 2006. "Si tout va bien, et seulement dans ce cas", les prix pourront baisser de la sorte, estime son économiste en chef Fatih Birol.
"C'est toujours beaucoup d'argent. Nous ne pouvons donc pas rassurer les consommateurs", indique M. Birol dans un entretien publié mercredi par le quotidien allemand "Berliner Zeitung". Pour le consommateur final, "les prix du gaz sont déjà élevés, mais ils vont vraisemblablement encore grimper", de même que ceux de l'électricité, a-t-il prévenu.
Si tout va bien...
Quelqu'un peut traduire ou c'est définitivement à ranger dans la catégorie "humour"?
BERLIN - L'Agence internationale de l'énergie (AIE) table sur un prix moyen du baril de pétrole de 50 dollars en 2006. "Si tout va bien, et seulement dans ce cas", les prix pourront baisser de la sorte, estime son économiste en chef Fatih Birol.
"C'est toujours beaucoup d'argent. Nous ne pouvons donc pas rassurer les consommateurs", indique M. Birol dans un entretien publié mercredi par le quotidien allemand "Berliner Zeitung". Pour le consommateur final, "les prix du gaz sont déjà élevés, mais ils vont vraisemblablement encore grimper", de même que ceux de l'électricité, a-t-il prévenu.
Si tout va bien...

Quelqu'un peut traduire ou c'est définitivement à ranger dans la catégorie "humour"?

-Il vaut mieux pomper même s'il ne se passe rien que de risquer qu'il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas.
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De Philippe Chalmin(un de mes préférés) avec Corentin de Salle
Dans les années 70 les gens roulaient en R16 aujourd'hui en Scénic, quel bond technologique!
trouvé sur http://www.liberation.fr/page.php?Article=351318Le modèle économique occidental, basé sur des énergies fossiles, construit autour de la voiture individuelle et de la consommation de produits jetables, pourra-t-il fonctionner en Chine ? Et en Inde, dont la population devrait dépasser celle de la Chine en 2031 ? «Tout dépend, dit Philippe Chalmin, professeur d'économie à Paris-Dauphine. Le Worldwatch Institute est dans son rôle lorsqu'il prédit une catastrophe. Mais il commet la même erreur historique que le club de Rome (2) jadis : il raisonne à technologie constante.» Et Chalmin de préciser : «A part le pétrole, dont on sait qu'il sera bientôt épuisé, le monde ne manque pas de matières premières. Prenez la voiture à hydrogène [mue grâce à une pile à combustible] qui fonctionne avec du platine. Si toutes les voitures du monde marchaient ainsi, les réserves de platine seraient épuisées en un an. Mais dans vingt ans on aura peut-être les connaissances pour les faire avancer sans avoir besoin de platine.»
Dans les années 70 les gens roulaient en R16 aujourd'hui en Scénic, quel bond technologique!
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Alors que même Phillipe chalmin reconnait qu'il ne peut pas faire de prédictions sur le prix du pétrole plus précise qu'une fourchette 50-100$.
Trois économistes canadiens s'en donnent à coeur joie et nous gratifient de leurs prévisions.
source La Presse Affaires.
Trois économistes canadiens s'en donnent à coeur joie et nous gratifient de leurs prévisions.
Stéphane Marion (Financière Banque Nationale), Carlos Leitao (Valeurs mobilières Banque Laurentienne) et François Dupuis (Mouvement Desjardins) comparaient hier midi leurs prévisions économiques pour 2006 devant les membres du Cercle Finance, à Québec.
jusque là ça va.Mais après plusieurs années de croissance du produit intérieur brut (PIB) mondial à plus de 4 % par année, il faut prévoir que ce rythme ralentira à 3,7 % au cours de 2006, ce qui atténuera la demande d'hydrocarbures.
Ah?l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) est maintenant capable d'augmenter sa production.
Pas d'ouragans cette année donc?Mais le baril de brut devrait terminer l'année à 45 $US, dit M. Marion, soit au niveau où il était avant les ouragans.
Tout est dans le si.Ce n'est que plus tard, si l'offre augmente, que le prix pourrait se replier vers les 40 à 45 $US.
source La Presse Affaires.
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le baril pourrait revenir vers les 30 dollars dans les trois prochaines années.
Pour Abdallah S. Jum'ha, PDG la compagnie nationale saoudienne, les réserves de pétrole sont assez importantes pour faire face à la hausse de la demande mondiale d'or noir. Il estime que le baril pourrait revenir vers les 30 dollars dans les trois prochaines années.
"There is a lot of oil"... En plein forum de Davos, centré cette année sur les questions d'approvisionnement énergétique, Abdallah S. Jum'ha, CEO (PDG) de la puissante Aramco, la grande compagnie nationale saoudienne, n'est pas passé inaperçue.
"Il y a assez de réserves pour faire face à la hausse de la demande mondiale de pétrole", a-t-il promis, lors d'un débat sur les conséquences de la demande croissante de la Chine et de l'Inde. Si ces deux pays avaient la consommation de pétrole par habitant du Japon, ils épuiseraient toute la production mondiale annuelle...
Le président de l'Aramco a confirmé les projets d'investissement de la compagnie saoudienne pour augmenter sa capacité de production, qui représente entre 1,5 et 2 millions de baril/jour. L'Arabie Saoudite entend porter ses capacités de 10,5 millions de baril jour en 2006 à 12,5 millions de barils en 2009. La hausse sera continue et progressive, de 0,3 million en 2007, de 0,5 million supplémentaires en 2008 et de 1,2 million en 2009.
Ainsi, le prix du pétrole pourrait-il revenir vers les 30 dollars le baril dans les trois prochaines années, a estimé le patron de l'Aramco, sans se hasarder toutefois à faire une prédiction pour cette année.
Pour Abdallah S. Jum'ha, PDG la compagnie nationale saoudienne, les réserves de pétrole sont assez importantes pour faire face à la hausse de la demande mondiale d'or noir. Il estime que le baril pourrait revenir vers les 30 dollars dans les trois prochaines années.
"There is a lot of oil"... En plein forum de Davos, centré cette année sur les questions d'approvisionnement énergétique, Abdallah S. Jum'ha, CEO (PDG) de la puissante Aramco, la grande compagnie nationale saoudienne, n'est pas passé inaperçue.
"Il y a assez de réserves pour faire face à la hausse de la demande mondiale de pétrole", a-t-il promis, lors d'un débat sur les conséquences de la demande croissante de la Chine et de l'Inde. Si ces deux pays avaient la consommation de pétrole par habitant du Japon, ils épuiseraient toute la production mondiale annuelle...
Le président de l'Aramco a confirmé les projets d'investissement de la compagnie saoudienne pour augmenter sa capacité de production, qui représente entre 1,5 et 2 millions de baril/jour. L'Arabie Saoudite entend porter ses capacités de 10,5 millions de baril jour en 2006 à 12,5 millions de barils en 2009. La hausse sera continue et progressive, de 0,3 million en 2007, de 0,5 million supplémentaires en 2008 et de 1,2 million en 2009.
Ainsi, le prix du pétrole pourrait-il revenir vers les 30 dollars le baril dans les trois prochaines années, a estimé le patron de l'Aramco, sans se hasarder toutefois à faire une prédiction pour cette année.
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Les Shadoks
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- Kérogène
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Amusant.epe a écrit :le baril pourrait revenir vers les 30 dollars dans les trois prochaines années.
"Il y a assez de réserves pour faire face à la hausse de la demande mondiale de pétrole", a-t-il promis, lors d'un débat sur les conséquences de la demande croissante de la Chine et de l'Inde. Si ces deux pays avaient la consommation de pétrole par habitant du Japon, ils épuiseraient toute la production mondiale annuelle...

