Moi aussi, je suis fumeur mais j'essaye d'arréter, une fois de plus, mais c'est tendu! C'est quand même une sacrée drogue!Pierre M. Boriliens a écrit :Je suis fumeur (de tabac, je précise, au cas où). Et j'aimerais bien pouvoir trouver des endroits où je peux exercer mon "vice" inutile, une petite clope, en compagnie d'autres, mes ami(e)s qui le partagent, par exemple devant une petite bière. Comme je l'ai toujours fait !
Je trouve que c'est une bonne chose qu'ils aient interdit la clope dans les bars, ca permet de moins fumer et d'aborder plus facilement les filles sur le trottoir.
Fin du hs.
En parlant d'antédiluvianité, je te rappelle que nous sommes constitués biologiquement pour être végétarien. En effet, l'appareil intestinal des herbivores et des carnivores est différent. Court avec un seul intestin pour les carnivores; et long avec deux intestins pour les herbivores.FOWLER a écrit :bon,
pour moi, la viande c'est le plus souvent de l'agneau, au grill ou au four à pain. Chaque fois c'est le plaisir du feu et l'aboutissement du travail de l'elevage partagé, en tous cas bien plus qu'une ration de protéine ou de graisse ou de cholestérol à la noix.
C'est pas la première fois que je le dis, mais il ne faut pas perdre de vue la part de civilisation, la part de nous même, que contient la manière de s'alimenter.
Alors moins de viande, pourquoi pas, mais quels repères met-on en place pour remplacer ce rituel antédiluvien de la viande partagée.
Le régime végétarien te semble ascétique et je pensais la même chose avant.
" - Alors qu'est ce qu'on mange aujourd'hui?
- Des carottes aux épinards!
- Mmm... trop bon!"
Mais en fait, pas du tout, ca t'oblige au contraire à rechercher des aliments délaissés comme les légumineuses, par exemple; et toutes sortes d'épices. Mon alimentation est devenue beaucoup plus variée. Et je t'assure que j'éprouve autant, voir plus de plaisir, à manger végé!
Je précise que je ne suis pas végé intégriste, à l'extérieur je mange comme les autres, et je t'avoue qu'il peut m'arriver de craquer pour quelques cotelettes... d'agneau, à l'occasion.
Pour finir, je dirai que la consommation massive de viande est un luxe/caprice/honte/horreur, dont on pourrait se passer, ou du moins restreindre.
Pour ceux qui souhaite guérir du carnivorisme mais qui n'ont pas encore trouvé le déclic pour se désaliéner, je prescris des vidéos sur l'élevage et l'abattage industriel, à prendre tout les soirs pendant une semaine, juste avant le repas!

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