oleocene.org

Petit débat de 8mn à écouter ici

edit je viens d'écouter complétement.

Barnier semble désemparé...

Ce n'est pas Barnier, c'est Patrick Piro (indiqué comme journaliste à Politis et spécialiste de l’environnement).

Ah oui exact.

Je suis comme Cassandre, je ne connais que Cochet

Il serait opportun de changer le titre.

J'ai écouté : Cochet toujours aussi serein et pédagogique, avec sa voix grave et assurée. Bonne synthèse.

Titre corrigé.

Manque plus de changer aussi dans ton premier message.

J'assume...

Fish2 a écrit :J'ai écouté : Cochet toujours aussi serein et pédagogique, avec sa voix grave et assurée. Bonne synthèse.

Il a quand même oublié de parler du charbon, auquel tout le modne va s'accrocher comme une bouée de sauvetage...

une bouée de sauvetage contre la hausse du baril, tu crois ?

http://www.lesechos.fr/info/energie/4711976.htm

Je sais pas si on peut vraiment parler de débat, les propos de Cochet et Piro vont dans le même sens.

Difficile de comprendre le choix des débatteurs. Pourquoi n'avoir pas invité pour débattre avec cochet un décideur ?

Ils ne sont peut etre pas arrivés à en trouver un qui accepte de venir !

Depuis hier tout le monde est d'accord avec Cochet c'est pour ça.

j'ai écouté la chose. Ce qui m'a fait hausser un sourcil, ce n'est pas le fond du débat mais la fin de l'interview, les dernières paroles de Cochet : on sent l'animal politique derrière tout ça. Je n'ai rien contre lui, c'est son job et il dit des trucs qui doivent être dits par des politiciens, c'est même essentiel pour la suite. Je n'apprécie pas trop, par contre, le vague feeling qu'il suggère en présentant SON parti comme l'alternative "salvatrice" (cf. "Nous sommes prêts"). Ils ne sont pas prêts, personne ne l'est et ce n'est pas à un parti de proposer des solutions mais à tous le spectre politique. En fait, c'est le fonctionnement de l'arène politique qui doit évoluer avec la situation, nous ne pouvons pas nous permettre de rejouer le même jeu, avec les mêmes règles pourries dans l'espoir de sortir d'une situation qui n'existe que parce que le jeu politique est foireux à la base.

Ils ne sont pas prêts, personne ne l'est

Très juste.