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Ah bon ? Tu as par exemple une description de comment les 15 millions d'especes vont reagir ? Quelle classification des especes tu utilises pour l'absorption/relachement de co2 tu fais ? Combien de co2 utilisé pour leur croissance ? Comment sont utilisés les dépouilles, leurs temps de décomposition, les differents composés carbonés produits par chaque espèce ? Comment tu penses que va evoluer ta classification dans le futur ?GillesH38 a écrit : ↑14 oct. 2023, 07:08Le transfert radiatif est très bien expliqué dans la vidéo. Il manque le fait qu'une partie importante du réchauffement est du à des rétroactions, en particulier effectivement l'augmentation de la vapeur d'eau due au réchauffement, et aussi la modification des nuages (qui peuvent jouer dans les deux sens) qui est très compliquée à modéliser et qui n'obéit à aucune équation simple contrairement au transfert radiatif. C'est la principale incertitude des modèles.
bon alors rappelons quelques bases : un modèle climatique ne traite que des transferts thermiques au sein de l'atmosphère en fonction de sa composition et de l'irradiation solaire. Il ne s'occupe pas de ce qui fait changer sa composition, qui doit être spécifié comme une variable d'entrée. Les problèmes que tu soulèves modifient la composition en CO2 de l'atmosphère mais ce n'est pas un résultat modélisé par les modèles climatiques.LeLama a écrit : ↑14 oct. 2023, 10:29Ah bon ? Tu as par exemple une description de comment les 15 millions d'especes vont reagir ? Quelle classification des especes tu utilises pour l'absorption/relachement de co2 tu fais ? Combien de co2 utilisé pour leur croissance ? Comment sont utilisés les dépouilles, leurs temps de décomposition, les differents composés carbonés produits par chaque espèce ? Comment tu penses que va evoluer ta classification dans le futur ?GillesH38 a écrit : ↑14 oct. 2023, 07:08Le transfert radiatif est très bien expliqué dans la vidéo. Il manque le fait qu'une partie importante du réchauffement est du à des rétroactions, en particulier effectivement l'augmentation de la vapeur d'eau due au réchauffement, et aussi la modification des nuages (qui peuvent jouer dans les deux sens) qui est très compliquée à modéliser et qui n'obéit à aucune équation simple contrairement au transfert radiatif. C'est la principale incertitude des modèles.
Ah bon ? Y'a une definition officielle qui dit que les seuls modèles autorisés sont ceux qui ne s'occupent pas des valeurs des variables d'entree ? Je me demande ou ce genre de definition peut bien être écrit...GillesH38 a écrit : ↑14 oct. 2023, 11:10bon alors rappelons quelques bases : un modèle climatique ne traite que des transferts thermiques au sein de l'atmosphère en fonction de sa composition et de l'irradiation solaire. Il ne s'occupe pas de ce qui fait changer sa composition, qui doit être spécifié comme une variable d'entrée. Les problèmes que tu soulèves modifient la composition en CO2 de l'atmosphère mais ce n'est pas un résultat modélisé par les modèles climatiques.
je te parle juste des modèles climatiques utilisés dans la littérature (les modèles de circulation générale ou "GCM" )LeLama a écrit : ↑14 oct. 2023, 11:20Ah bon ? Y'a une definition officielle qui dit que les seuls modèles autorisés sont ceux qui ne s'occupent pas des valeurs des variables d'entree ? Je me demande ou ce genre de definition peut bien être écrit...GillesH38 a écrit : ↑14 oct. 2023, 11:10bon alors rappelons quelques bases : un modèle climatique ne traite que des transferts thermiques au sein de l'atmosphère en fonction de sa composition et de l'irradiation solaire. Il ne s'occupe pas de ce qui fait changer sa composition, qui doit être spécifié comme une variable d'entrée. Les problèmes que tu soulèves modifient la composition en CO2 de l'atmosphère mais ce n'est pas un résultat modélisé par les modèles climatiques.![]()
Mon point est plus général : la couverture végétale change l'albedo mais pas que. Ma terrasse rouge en macadam est bien plus chaude que le couvert noir uniforme d'une terre végétale fraichement désherbée. Penser le pb comme un pb physique sans biologie n'a pas de sens. Dans la terre végétale, il y de l'ordre de 10^9 etre vivants par gramme de sol, et chacun met en place des systemes de regulation divers. La constatation empirique évidente est que la temperature n'est pas seulement fonction de l'albedo, elle est fonction de la nature du systeme vivant implanté sur le sol.
Mais a part troller, tu peux donner un argument ? C'est quoi ton point de vue epistémo qui sépare la bonne science de la pseudo-science ? Et comment tu le déclines dans le cas du RC ?energy_isere a écrit : ↑14 oct. 2023, 11:32ah oui le Lama pinaille sur le fait que les modéles climatiques ne prennent pas en compte le CO2 émis par son chat ou son chien ou des punaises de lit qu'il aura bientôt à la maison, rendrait inopérant toute prévision climatique .
Bravo le Lama t'es un champion comme c'est pas la première fois qu' on le constate.
Associe toi avec Mobar, vous allez faire une bonne paire.
En fait, c'est assez marrant. Je ne sais pas si tu es conscient de ton fonctionnement. Mais en cas de désaccord, nous en avons eu plusieurs tous les deux, tu n'argumentes jamais. Si je me trompe, je veux bien que tu me donnes un exemple. Systematiquement, tu charges la personne en envoyant une caricature pour dénigrer...energy_isere a écrit : ↑14 oct. 2023, 11:32ah oui le Lama pinaille sur le fait que les modéles climatiques ne prennent pas en compte le CO2 émis par son chat ou son chien ou des punaises de lit qu'il aura bientôt à la maison, rendrait inopérant toute prévision climatique .
Bravo le Lama t'es un champion comme c'est pas la première fois qu' on le constate.
Associe toi avec Mobar, vous allez faire une bonne paire.
oui c'est sur, ici le phénomène rafraichissant est celui de l'évapotranspiration de la végétation. Ceci dit l'enthalpie de vaporisation (qui donne un refroidissement local) se retrouve injectée dans l'atmosphère et redonnera de la chaleur ailleurs par condensation, c'est le principe d'un climatiseur. Ca n'entraine pas forcément une différence sensible dans la température moyennée sur le globe; En revanche les modèles sont notoirement assez mauvais pour prédire les températures et les précipitations locales; en fait indépendamment du réchauffement, les valeurs locale (et globales ) des températures diffèrent de plusieurs °C de ce qui est mesuré, avec des incertitudes en général supérieures au réchauffement attendu. c'est pour ça qu'on ne publie que les comparaisons avec les anomalies (les variations de températures) et pas les températures absolues, ça ferait un peu trop douterLeLama a écrit : ↑14 oct. 2023, 11:39Mon point est plus général : la couverture végétale change l'albedo mais pas que. Ma terrasse rouge en macadam est bien plus chaude que le couvert noir uniforme d'une terre végétale fraichement désherbée. Penser le pb comme un pb physique sans biologie n'a pas de sens. Dans la terre végétale, il y de l'ordre de 10^9 etre vivants par gramme de sol, et chacun met en place des systemes de regulation divers. La constatation empirique évidente est que la temperature n'est pas seulement fonction de l'albedo, elle est fonction de la nature du systeme vivant implanté sur le sol.
d'un autre auteur, dont je recommande plus généralement les productions, une vidéo sur le thème du rôle de l'eau :mobar a écrit : ↑14 oct. 2023, 07:51Les différences interactions de nuages entre les périodes de basse température d'il y a 150 ans et la période actuelle sont probablement très marginales, la vapeur d'eau finit par se condenser quand la température baisse et un delta de 1.5°C c'est quelques centaines de mètres d'altitude de condensation supplémentaire
La vrai différence en terme de concentration en GES c'est les 7% de vapeur d'eau en plus par degré, la couverture nuageuse doit être quasiment identique, les précipitations doivent avoir augmenté quasiment en rapport avec l'évaporation