Ce que nous perdons (biodiversité)

Discussions concernant les conséquences sur l'environnement de la course aux ressources.

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 03 oct. 2012, 21:02

Diminution de moitié de la Grande Barrière de corail

La Grande Barrière de corail en Australie a perdu plus de la moitié de ses prairies coralliennes au cours des vingt-sept dernières années sous l'effet des tempêtes, de la prédation d'étoiles de mer du genre Acanthaster et du blanchiment lié au réchauffement climatique, selon une étude de l'AIMS (Australian Institute of Marine Science) et de l'université de Wollongong (État de Nouvelle-Galles du Sud) publiée dans les comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS).

Les cyclones tropicaux de forte intensité - 34 au total depuis 1985 - sont ainsi responsables pour moitié (48 %) de cette dégradation, suivis par l'étoile de mer, également appelée «couronne d'épines», qui dévore les coraux. Enfin, deux épisodes graves de blanchiment en 1998 et 2002 liés au réchauffement des océans ont également eu «un impact néfaste important» sur les portions centrales et septentrionales du récif, note l'étude. Mais il ne représente que 10 % de la dégradation.

Perte d'habitat pour des milliers d'espèces marines

Selon les scientifiques, le récif pourrait continuer à se détériorer dans les mêmes proportions d'ici à 2022 si rien n'est fait pour le protéger. Sachant que la destruction n'est pas partout identique. Les chercheurs qui ont observé quelque 150 récifs différents montrent que ceux qui se trouvent au nord n'ont pas subi trop de dégâts, alors que ceux du sud sont très abîmés. «Ils ont été dévastés au cours de la dernière décennie» en raison des tempêtes, raconte Peter Doherty, l'un des chercheurs de l'AIMS. «Cette perte de la moitié de la couverture corallienne originelle est une source de grande préoccupation, car elle est synonyme de disparition d'habitat pour des dizaines de milliers d'espèces marines», estiment les chercheurs.

Image

Ils font toutefois preuve d'un certain optimisme en affirmant que le corail pourrait se reconstituer. «On ne peut pas empêcher les tempêtes, mais on peut peut-être agir sur les étoiles de mer» commente John Gunn, le directeur de l'institut. L'étude montre en effet qu'en absence du prédateur le corail se reconstitue suffisamment malgré les destructions liées aux tempêtes ou au blanchiment. «Cette reconstitution prend entre 10 et 20 ans. Or, actuellement, les intervalles de temps entre les nuisances sont en général trop courts pour une reconstitution complète et c'est ce qui entraîne les pertes à long terme», ajoute-t-il.

Classée au patrimoine mondial de l'Unesco, la Grande Barrière s'étend sur environ 345.000 km2 le long de la côte est australienne, et constitue le plus vaste ensemble corallien du monde avec 3.000 «systèmes» récifaux et des centaines d'îles tropicales.

Elle abrite 400 espèces de coraux, 1500 espèces de poissons, 4.000 espèces de mollusques et de nombreuses espèces en danger comme le dugong et la grande tortue verte.
http://www.lefigaro.fr/environnement/20 ... corail.php

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Message par energy_isere » 20 nov. 2012, 13:08

Pour préserver les tortues et Iguanes : Dératisation géante aux Galapagos

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Message par energy_isere » 08 janv. 2013, 19:30

Paul Watson fuit Interpol et retrouve les baleines

08/01/2013

Sous le coup d'un mandat d'arrêt, le militant écologiste quitte la présidence de l'ONG Sea Shepherd et le commandement de la flottille qui chasse les «braconniers des mers», mais il ne renonce pas au combat.

...........
lire l' article : http://www.lefigaro.fr/international/20 ... leines.php

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Message par marc0 » 22 mai 2013, 16:12

une petite petition pour sauver ce qui reste de nos ours : http://www.avaaz.org/fr/petition/Petiti ... _Pirineos/

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Message par energy_isere » 23 juil. 2013, 18:18

Les papillons menacés de disparition

23 Juillet 2013 La Croix

La Croix : Pourquoi le nombre de papillons a-t-il chuté en deux décennies ?

Benjamin Bergerot : La plupart des espèces de papillons font les frais de l’activité humaine. Incontestablement, l’agriculture intensive qui dégrade l’habitat naturel des papillons, a contribué à diviser par deux le nombre de ces insectes. Mais plus encore, les papillons souffrent de la fragmentation du paysage, conséquence d’une urbanisation incontrôlée. Certaines espèces de papillons ont vu leurs prairies d’habitation scindées en deux à cause de l’installation d’un parking ou d’une autoroute. Ces constructions les privent d’une partie de leur nourriture, qu’ils puisent sur les « plantes hôtes ». Les papillons, comme les autres insectes, pâtissent de la déstructuration de leur habitat. La situation est inquiétante. Si nous ne parvenons pas à maintenir ces prairies et ces parcs, beaucoup d’espèces de papillons disparaîtront. La population totale de papillons s’est effondrée et les 300 espèces de papillons de jour sont aujourd’hui menacées.

En quoi la disparition des papillons est-elle inquiétante ?

B. B. : D’une part, les papillons sont des espèces qui réagissent très rapidement aux pesticides, un peu comme les abeilles. Ils sont susceptibles de mourir à la moindre inhalation. La qualité des plantes qui s’y trouvent est alors jugée mauvaise. D’autre part, les papillons répondent à la pression de l’urbanisation de manière plus ou moins forte. Ils vont chercher à s’adapter à leur nouvel habitat ou à la nouvelle alimentation fournie par « les plantes hôtes ». Ils sont, en cela, de très bons indicateurs de la biodiversité.

Si le papillon « tiercis », qui évolue dans les parcs des villes disparaît, alors on saura que la situation est particulièrement difficile pour la biodiversité dans les parcs de la ville. Ce papillon est dit « généraliste » c’est-à-dire qu’il se nourrit de plantes variées. Son éventuelle raréfaction signifie que la menace est étendue et concerne davantage de plantes.

Pourquoi les papillons sont-ils essentiels pour nos écosystèmes ?

B. B. : Le rôle des papillons est central pour nos écosystèmes car ce sont des pollinisateurs, de même que les abeilles. Le papillon se nourrit du nectar de pollen et le transporte vers d’autres plantes. Par ailleurs, il constitue une bonne proie et occupe ainsi une position essentielle dans la chaîne alimentaire. Le principal prédateur du papillon, sorte de petite guêpe appelée parasitoïde, va systématiquement se nourrir de la chenille. Il est essentiel car il permet de supplanter l’emploi de pesticides. En Bretagne, où les agriculteurs cultivent en masse le chou, le papillon appelé « piéride du chou » est indispensable pour la nourriture de ces parasitoïdes.
http://www.la-croix.com/Actualite/Franc ... -23-989881

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Message par energy_isere » 28 juil. 2013, 15:17

Paul Watson, le pirate écolo

PORTRAIT - Ils ont marqué notre époque par leur liberté d'esprit et leur comportement décalé ou provocateur. A tel point que leurs contemporains ne savent plus s'il faut les détester ou les aduler. Ce sont les iconoclastes. Cette semaine, potrait de l'homme qui ridiculise Interpol sur toutes les mers.

..................

Paul ­Watson est de ce bois-là ; singulier, bourré de contradictions, agitateur, contestataire, subversif et ouvertement misanthrope: «C'est certain, je ne suis pas un grand fan de l'espèce humaine dans son ensemble, admet-il sans ironie, mes congénères sont des primates arrogants et incontrôlables. Le monde est rempli de foules décérébrées qui vivent dans des univers fantaisistes basés sur la religion ou le divertissement.» De quoi s'attirer quelques inimitiés. Watson ne laisse personne ­indifférent.
..............

En quarante ans de bataille navale, Watson peut se vanter d'un palmarès hors du commun: 11 bateaux coulés (dont le Sierra, un baleinier qui a sombré en plein milieu du port de Lisbonne), 10 navires éperonnés, 3 600 baleines épargnées, sans compter les dizaines de milliers de phoques, dauphins, thons et requins auxquels il a sauvé la peau. Ses méthodes sont musclées, son entêtement légendaire, et rien ne semble ­troubler les activités auxquelles il a lié son destin. Pourtant, ses ennemis historiques sont plus virulents que jamais. Il est devenu «l'écologiste à abattre». En 2010, ­Wikileaks révélait à la presse que des négociations secrètes entre le ­Premier ministre japonais et le secrétaire d'Etat américain, Hillary Clinton, visaient à priver Sea Shepherd de son statut ­caritatif afin de l'affaiblir financièrement.
.............................
http://www.lefigaro.fr/environnement/20 ... -ecolo.php

Paul Watson (Wikipedia en Français)


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Message par energy_isere » 03 oct. 2013, 11:49

Le koala menacé d'extinction à cause du réchauffement climatique

Le Monde.fr avec AFP | 03.10.2013
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... _3216.html
Le koala, une des icônes australiennes, est menacé de disparition par le réchauffement climatique, selon une étude de l'université de Sydney qui met en garde : son extinction pourrait se précipiter si rien n'était fait "en urgence" pour planter à la fois des arbres au feuillage fourni qui le protègent de la canicule durant le jour et des eucalyptus, dont il se nourrit la nuit.
Image
Des résultats d'autant plus inquiétants qu'un quart de la population étudiée a été éradiquée par la canicule de 2009. Ce constat alarmant inquiète les scientifiques "compte tenu de la fréquence grandissante des événements climatiques extrêmes". Le mois de septembre 2013 a en effet été le plus chaud en Australie depuis le début des relevés météorologiques, avec des températures de 2,75 °C supérieures à la moyenne, selon le centre d'études sur le climat Climate Council.

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Message par yvesT » 25 oct. 2013, 16:38

Afrique du Sud : 800 rhinocéros massacrés depuis le début de l'année
AFP 25 octobre 2013 à 14:49





Près de 800 rhinocéros ont déjà été tués par les braconniers en Afrique du Sud depuis le 1er janvier 2013, dénotant une spectaculaire augmentation du rythme du massacre, selon des chiffres publiés vendredi par le ministère de l’Environnement sud-africain.

Sur l’ensemble de l’année 2012, 668 de ces grands herbivores avaient été tués, ce qui constituait déjà un chiffre record. Les rhinos sont abattus pour leur corne, revendue illégalement sur le marché de la médecine asiatique traditionnelle, essentiellement au Vietnam, selon les experts. Souvent, les braconniers les anesthésient et leur arrachent la corne à la hache. L’animal se réveille ensuite et meurt en quelques jours des suites de ses blessures.

Selon les chiffres communiqués vendredi, plus de 100 rhinos ont été tués ces quatre dernières semaines, portant le chiffre officiel à 790 pour l’année. Le célèbre parc national Kruger est la zone la plus touchée par le braconnage, avec 476 de ces animaux tués cette année.

Dès le 31 janvier, le gouvernement sud-africain avait indiqué que 57 rhinocéros avait été tués pour leur corne en un seul mois, soit près de deux par jour. Le rythme s'est donc accéléré au fil de l'année puisqu'il dépasse désormais 2,6 braconnages quotidiens.

Le Kruger est le terrain de chasse de braconniers venus du Mozambique frontalier, où quasiment tous les rhinocéros ont déjà été exterminés. On estime qu’il reste environ 25 000 rhinocéros en liberté dans le monde, toutes sous-espèces confondues, dont 80% se trouvent en Afrique du Sud.
http://www.liberation.fr/terre/2013/10/ ... nee_942338

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Message par energy_isere » 03 nov. 2013, 10:23

Le Pérou se mobilise contre le massacre de milliers de dauphins utilisés comme appâts pour la chasse au requin

LE MONDE | 01.11.2013

Les images sanglantes de pêcheurs tuant des dauphins à coups de bâton après les avoir capturés au harpon provoquent une vague d'indignation au Pérou. « En plus, sur la vidéo, dénonce Liz Rojas, une jeune fonctionnaire de 35 ans, ils semblent encore vivants au moment où ils sont dépecés. » Comme elle, des milliers de Péruviens ont été choqués par le petit film qui a fait le tour des télévisions nationales et des réseaux sociaux, depuis sa première diffusion, le 17 octobre.

Une véritable traînée de poudre : en deux semaines, une pétition mise en ligne « contre la chasse au dauphin sur les côtes péruviennes » a déjà recueilli près de 100 000 signatures. Et des dizaines de sympathisants se bousculent chaque jour à la porte de l'ONG Mundo Azul (« Monde bleu ») qui défend la biodiversité marine, et qui est à l'origine de la vidéo. « Les corps ensanglantés des dauphins sont rejetés à la mer pour attirer les requins », explique le directeur de Mundo Azul, Stefan Austermühle, qui a lui-même filmé les images. La chair de plusieurs variétés de requins, dont le mako, est ensuite exportée légalement vers l'Asie.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html

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Message par yvesT » 03 nov. 2013, 11:04

Et si ça se trouve pour les requins c'est juste les ailerons qui sont gardés ...

Photos assez impressionnantes d'ailerons de requins séchant sur les toits à Honk Kong :
http://english.sina.com/china/p/2013/0103/544355.html

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Message par energy_isere » 16 déc. 2013, 20:43


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Message par energy_isere » 14 janv. 2014, 12:23

La biomasse des grands fonds en fort déclin à l'horizon 2100

14 Janv 2014

Une étude scientifique internationale, à laquelle a participé le Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement**, a quantifié pour la première fois les futures réductions régionales de biomasse dans l'océan profond à l'aide de modèles du climat de dernière génération.

Les travaux montrent que même les écosystèmes les plus inaccessibles de l'océan profond ne sont pas à l'abri des impacts du changement climatique et que leur biomasse devrait connaître une forte diminution. Ces résultats ont été publiés en ligne le 31 décembre 2013 sur le site du Global Change Biology.

...........
..........
http://www.enerzine.com/6/16783+la-biom ... 2100+.html

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Message par energy_isere » 21 janv. 2014, 21:38

Japon : le massacre de dauphins dans la baie de la honte révolte Caroline Kennedy

LeFigaro 21 Janv 2014

Chaque année, plusieurs centaines de dauphins sont massacrés dans la baie de Taiji au Japon. La nouvelle ambassadrice américaine dans l'archipel Caroline Kennedy a fortement critiqué ce rite cruel et fâché le gouvernement japonais.

C'est une triste tradition que le Japon renouvelle chaque année. En janvier, dans la région de Taiji au sud-est du Japon, des centaines de dauphins sont massacrés. La semaine dernière, les pêcheurs ont établi un nouveau record, avec plus de 250 bêtes piégées dans leurs filets.

Grâce à un système d'ultrasons, les pêcheurs sur leurs embarcations précaires, parviennent à réunir des dizaines de dauphins au même endroit. Selon Sea Sheperd, une ONG luttant pour la protection des océans, les pêcheurs utilisent une tige métallique qu'ils enfoncent dans la colonne vertébrale du dauphin pour le tuer. La plupart des animaux agonisent pendant 20 à 30 minutes avant de se noyer. Les dépouilles sont ensuite récupérées par des plongeurs et vendues aux boucheries. Un dauphin mort vaut environ 600 dollars (440 euros).

Les plus beaux spécimens sont quant à eux conservés pour être vendus à des parcs aquatiques. Un animal coûte en moyenne 150.000 dollars (110.600 euros). Parmi les prises de cette année, un bébé dauphin albinos. Plusieurs aquariums ont déjà fait une offre pour obtenir ce dauphin très rare prénommé Shoujo.
.................
Image
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... ennedy.php

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 02 févr. 2014, 12:31

Accrochage entre les bateaux de Sea Shepherd et les baleiniers japonais

L'organisation écologiste Sea Shepherd a accusé, dimanche 2 février, les baleiniers japonais d'avoir volontairement percuté l'un de ses navires dans l'océan Austral lors d'une confrontation « agressive » et « non provoquée ».

« Le Bob Barker a été heurté par le navire-harponneur de la flotte japonaise, le Yushin Maru N°2, au moment où le navire-harponneur a coupé la ligne devant la proue du navire de Sea Shepherd » pour l'empêcher d'approcher le navire-usine Nisshin Maru, a affirmé l'organisation. Sea Shepherd a mobilisé cette année trois navires pour sa campagne contre les baleiniers japonais dans l'Antarctique, le Bob Barker, le Steve Irwin et le Sam Simon.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html

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