La masse de l'eau dans l'atmosphère, c'est 26 000 fois la masse de l'humanité
La masse de CO² dans l'atmosphère, c'est 6 000 fois la masse de l'humanité
Le CO² anthropique annuel 20 fois la masse de l'humanité
ça reste anecdotique!

Modérateurs : Rod, Modérateurs
Encore une fois, prendre des ordres de grandeur ne veut strictement rien dire ! 500 g de toxine botulique servent à tuer l'humanité tout entière, ça représente combien de fois la masse de l'humanité çà ?mobar a écrit : ↑15 oct. 2019, 11:32La masse de couche d'air à la surface, c'est 10 000 000 de fois la masse de l'humanité
La masse de l'eau dans l'atmosphère, c'est 26 000 fois la masse de l'humanité
La masse de CO² dans l'atmosphère, c'est 6 000 fois la masse de l'humanité
Le CO² anthropique annuel 20 fois la masse de l'humanité
ça reste anecdotique!![]()
C'était pour montrer que prendre des ordres de grandeur pour démontrer que quelque chose est "inoffensif" n'est pas valable scientifiquement.
Les calottes polaires se trouvent dans des zones ou l'insolation est limitée et rasante, la diminution de leur surface diminution au nord et expansion au sud n'engendre que des variations d'aldébo marginalesLes calottes polaires et la banquise en Antarctique et dans l’Arctique réfléchissent les rayons du soleil vers l’espace, grâce à leur albédo élevé. Ainsi, une planète sans glaciers est une planète qui absorbe plus d’énergie, et donc qui se réchauffe plus vite
Je ne comprends pas bien où tu veux en venir en contestant cette affirmation "une planète sans glaciers est une planète qui absorbe plus d’énergie, et donc qui se réchauffe plus vite", c'est la vérité. Il n'est pas dit que ça se réchauffe à vitesse maximal mais qu'une planète sans glace se réchauffe plus vite qu'avec glace.mobar a écrit : ↑16 oct. 2019, 07:44Les calottes polaires se trouvent dans des zones ou l'insolation est limitée et rasante, la diminution de leur surface diminution au nord et expansion au sud n'engendre que des variations d'aldébo marginales
Rien à voir avec la couverture nuageuse qui couvre plus de 30% de la surface du globe en toutes saisons et qui elle, quand elle augmente ou diminue à un fort impact sur les températures ressenties en temps réel au niveau du sol
1°C de plus, c'est 7% de vapeur d'eau et de nuages en plus, renouvelés en permanence
Le GIEC ferait mieux de s'intéresser aux millions de km² de nuages et à leur dynamiques de création/dispersion qu'aux hectares de glaces qui n'évoluent qu'a la marge
Mais ça ne doit pas aller dans la ligne de ce qu'ils essaient de démontrer sans succès depuis plus de 30 ans![]()
La surface diminue bien mais pas l'épaisseur de l'inlandsis (en antarctique).mobar a écrit : ↑16 oct. 2019, 13:06Glace qui fond ne veut pas dire surface glacée qui diminue!
Pour l'albédo, ce n'est pas la masse mais la surface qui est importante et encore plus le rayonnement reçu à ce moment là, aux hautes latitudes la quantité de rayonnement est bien plus faible que sous les tropiques
Un nuage sous les tropiques renvoit beaucoup plus de rayonnement solaire dans l'espace que la même surface de glace de l'Antarctique ou de l'Arctique (qui dans la nuit polaire ne renvoi rien du tout, soit presque 6 mois par an)
http://www.astronoo.com/fr/articles/cou ... diale.html
Mobar est un grand physicien et spécialiste des systèmes dynamiques.Paulad a écrit : ↑16 oct. 2019, 10:52Je ne comprends pas bien où tu veux en venir en contestant cette affirmation "une planète sans glaciers est une planète qui absorbe plus d’énergie, et donc qui se réchauffe plus vite", c'est la vérité. Il n'est pas dit que ça se réchauffe à vitesse maximal mais qu'une planète sans glace se réchauffe plus vite qu'avec glace.mobar a écrit : ↑16 oct. 2019, 07:44Les calottes polaires se trouvent dans des zones ou l'insolation est limitée et rasante, la diminution de leur surface diminution au nord et expansion au sud n'engendre que des variations d'aldébo marginales
Rien à voir avec la couverture nuageuse qui couvre plus de 30% de la surface du globe en toutes saisons et qui elle, quand elle augmente ou diminue à un fort impact sur les températures ressenties en temps réel au niveau du sol
1°C de plus, c'est 7% de vapeur d'eau et de nuages en plus, renouvelés en permanence
Le GIEC ferait mieux de s'intéresser aux millions de km² de nuages et à leur dynamiques de création/dispersion qu'aux hectares de glaces qui n'évoluent qu'a la marge
Mais ça ne doit pas aller dans la ligne de ce qu'ils essaient de démontrer sans succès depuis plus de 30 ans![]()
De plus, les millions d'hectares d'extent de glace n'évoluent pas à la marge, ils diminuent fortement. L'arctique perdant beaucoup et l'antarctique restant relativement stable (en extent je parle, sur l'Islandis c'est autre chose, mais qu'il y ait 1 m de glace ou 15 le reflet se fera de la même manière.) https://nsidc.org/arcticseaicenews/
Concernant la couverture nuageuse, elle est étudiée également et va dans le sens de ce que le GIEC essaie de démontrer avec succès (oui soyons sérieux, ce n'est pas parce que tu n'y crois pas que c'est le cas de la majorité.) depuis plus de 30 ans: https://www.pourlascience.fr/sd/climato ... -10070.php . On est bien loin des raisonnement binaires qu'on peut trouver sur ce forum du type "çà réchauffe, plus d'humidité, plus de pluie"