[RC/CC] Climat / Changement climatique et effet de serre

Discussions concernant les conséquences sur l'environnement de la course aux ressources.

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kraveunn
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Message par kraveunn » 22 sept. 2005, 17:35

La canicule de 2003 a réduit la croissance des plantes en Europe

[ mercredi 21 septembre 2005, 21h27 - Reuters ]

© Reuters

LA CANICULE DE 2003 AURAIT ACCÉLÉRÉ LE RÉCHAUFFEMENT DE LA PLANÈTE
LONDRES (Reuters) - La canicule dévastatrice et la sécheresse de l'été 2003 en Europe ont réduit de 30% la croissance des plantes sur le Vieux continent et pourraient avoir contribué en outre à accélérer le réchauffement de la planète, déclarent des scientifiques français.

D'ordinaire, on s'accorde à dire que des températures plus élevées dopent la végétation en prolongeant la période de croissance des plantes.

On pense également qu'elles freinent le rythme des changements climatiques en augmentant la quantité de dioxyde de carbone (CO2) que la végétation et les arbres, appelés "puits de carbone", absorbent dans l'atmopshère.

La sécheresse qui a sévi notamment en Europe de l'Est en 2003 et les températures extrêmement élevées dans l'ouest du continent ont eu pour effet de réduire la croissance des plantes à un point jamais vu ces 100 dernières années. Cela a eu aussi pour conséquence de réduire la quantité de C02 absorbée par les écosystèmes.

"Cela a freiné l'absorption de CO2 par les plantes et en l'espace de quelques semaines les plantes se sont mises, au milieu de l'été, à rejeter du CO2 dans l'atmosphère au lieu, comme elles le font d'habitude, d'en prendre", a expliqué dans une interview Philippe Ciais, expert du cycle du carbone au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE) de Gif-sur-Yvette, dans la Région parisienne.

Ses collègues et lui, dont les conclusions sont publiées par la revue scientifique Nature, ont utilisé des modélisations par ordinateur, étudié les statistiques céréalières ainsi que des photos satellites de la couverture végétale, de même que des mesures du CO2 absorbé par les écosystèmes.

Ces scientifiques en concluent que les sécheresses et canicules à venir pourraient transformer les écosystèmes des climats tempérés en sources de carbone, en dégradant la faculté des plantes à absorber le CO2 dans l'atmosphère.

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Message par lionstone » 27 sept. 2005, 13:13

L’effet de serre aggravé par la vague de chaleur
Mardi 27 septembre 2005

La canicule de 2003 a sensiblement modifié le métabolisme des végétaux européens. Leur développement a été réduit d’un tiers, affirme une équipe internationale de climatologues, sous la direction de Philippe Ciais.

Cette réduction a d’abord eu pour conséquence des récoltes moins importantes que prévu. Mais, en raison du fort ralentissement de la photosynthèse, elle s’est également traduite par une importante libération de gaz carbonique dans l’atmosphère. Avec moins de végétation, les écosystèmes ont en effet absorbé moins de gaz carbonique (un gaz à effet de serre) qu’ils n’en ont relâché. Alors que les météorologues prévoient une multiplication des épisodes caniculaires, ces résultats font craindre que les forêts, considérées jusqu’ici comme des « puits de CO2 » naturel et des régulateurs de climat, n’accélèrent en fait le réchauffement de la planète.

Normalement, la forêt et les espaces cultivés européens absorbent chaque année environ 125 millions de tonnes de CO2. Or, en 2003, pas d’absorption, mais un rejet de 500 millions de tonnes de gaz carbonique, soit la moitié des émissions humaines en Europe.
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Message par Papey » 27 sept. 2005, 13:46

lionstone a écrit : Normalement, la forêt et les espaces cultivés européens absorbent chaque année environ 125 millions de tonnes de CO2. Or, en 2003, pas d’absorption, mais un rejet de 500 millions de tonnes de gaz carbonique, soit la moitié des émissions humaines en Europe.
Jancovici en parlait au colloque sur l'énergie et le climat, hier à Paris. La prise en compte de ces phénomènes dans les modèles climatiques induit une hausse prévisible de la température moyenne de la planète de 15 ou 20 degrés d'ici 200 ans, soit un doublement par rapport aux estimations initiales.
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Message par lionstone » 27 sept. 2005, 14:43

Jancovici en parlait au colloque sur l'énergie et le climat, hier à Paris. La prise en compte de ces phénomènes dans les modèles climatiques induit une hausse prévisible de la température moyenne de la planète de 15 ou 20 degrés d'ici 200 ans, soit un doublement par rapport aux estimations initiales.
Hubert Reeves Scénario Désert X 4…

Le système s’emballe quoi.
Avec une augmentation d’un degré tout les 10 ans on finira tous grillés bientôt.
Bien, ceci étant dit, plus besoin de se préoccuper du PO, puisqu’on sera mort avant que le pétrole est disparu.
Je cours acheter un 4 X 4 et faire le tour du monde en 747, la dernière cigarette du condamné, en quelque sorte…

PS :N’oubliez pas de faire des enfants, ils pourraient louper le spectacle de la fin du monde.
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Message par greenchris » 27 sept. 2005, 14:48

Et oui, lionstone, moi aussi, je suis en train de me dire la même chose, après l'écoute du débat cityen d'hier.
En fait j'hésitait avec le suicide, mais mon coté gaulois reprend le dessus.
Profitons en jusqu'au bout !!!
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Message par lionstone » 27 sept. 2005, 17:53

Avant je vais profiter de ma nouvelle aile achetée d’occase à St Hil, 2 vols à peine, comme neuve !

La semaine dernière dans les Alpes on était bien au-dessus de tout ça. 2 h de vol en dynamique chaque soir aux Aravis à regarder le soleil se coucher et finir en restit.
Elle est pas belle la vie…

Tiens au fait, à la coupe Icare, Xavier Murillot et PP Menegoz ont fait une petite allusion à la décroissance, alors qu’un costumé décollait déguisé en planète terre.
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fabinoo

Message par fabinoo » 27 sept. 2005, 19:15

Bien, ceci étant dit, plus besoin de se préoccuper du PO, puisqu’on sera mort avant que le pétrole est disparu.

Tu es vraiment trop pessimiste !
Non, on va avoir le Pic, et ensuite on aura le réchauffement. Faut y croire :twisted:

n.g
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Message par n.g » 28 sept. 2005, 11:32

Encore faut-il qu'il y ait un lien évident entre le taux de CO2 atmosphérique et la température moyenne de la basse atmosphère, or les observations sont loin de valider cette hypothèse. D'après ce que nous rapporte le climatologue Marcel Leroux,
« la relation entre les variations du taux de CO2 et la courbe globale séculaire reconstituée des températures n'est pas linéaire. De 1918 a 1940 s'est produit un fort réchauffement, du même ordre de grandeur que celui des dernières décennies, mais le taux de CO2 n'a progressé que de 7 ppm. De 40 a 70, la hausse du CO2 a été de 18 ppm mais la température ne s'est pas élevée, bien au contraire, la littérature annonçait alors le retour du petit age glaciaire (certains « scientifiques » qui prévoyaient un refroidissement sont devenus d'aussi fervents partisans du réchauffement!) seule la hausse présumée de température des années 80 coïncide avec une hausse de CO2 (plus de 22 ppm)
Mais cette élévation des dernières décennies, sup. a 0.3 degrés n'est pas confirmée par l'observation satellitale, notamment par les satellites NOAA de janvier 1979 a janvier 2000 qui ne détectent aucune évolution marquante. Des critiques ont été faites par les tenants du global warning contre la validité de ces mesures par satellite (il est vrai « gênantes ») notamment sur la capacité des satellites a rendre compte de l'élévation de la température de surface. Pourtant ces mesures mettent nettement en évidence les cycles solaires et le refroidissement en 1992 lié a l'éruption du Pinatubo et apparaissent difficilement discutables.
Le scénario effet de serre, et notamment la relation entre CO2 et la température, ne résume donc pas l'évolution thermique : d’autres facteurs interviennent dans cette évolution. Ces facteurs sont nombreux mais pas pris en compte par les modèles »

echazare
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Message par echazare » 28 sept. 2005, 11:59

n.g a écrit :Encore faut-il qu'il y ait un lien évident entre le taux de CO2 atmosphérique et la température moyenne de la basse atmosphère, or les observations sont loin de valider cette hypothèse. D'après ce que nous rapporte le climatologue Marcel Leroux,
« la relation entre les variations du taux de CO2 et la courbe globale séculaire reconstituée des températures n'est pas linéaire. De 1918 a 1940 s'est produit un fort réchauffement, du même ordre de grandeur que celui des dernières décennies, mais le taux de CO2 n'a progressé que de 7 ppm. De 40 a 70, la hausse du CO2 a été de 18 ppm mais la température ne s'est pas élevée, bien au contraire, la littérature annonçait alors le retour du petit age glaciaire (certains « scientifiques » qui prévoyaient un refroidissement sont devenus d'aussi fervents partisans du réchauffement!) seule la hausse présumée de température des années 80 coïncide avec une hausse de CO2 (plus de 22 ppm)
Mais cette élévation des dernières décennies, sup. a 0.3 degrés n'est pas confirmée par l'observation satellitale, notamment par les satellites NOAA de janvier 1979 a janvier 2000 qui ne détectent aucune évolution marquante. Des critiques ont été faites par les tenants du global warning contre la validité de ces mesures par satellite (il est vrai « gênantes ») notamment sur la capacité des satellites a rendre compte de l'élévation de la température de surface. Pourtant ces mesures mettent nettement en évidence les cycles solaires et le refroidissement en 1992 lié a l'éruption du Pinatubo et apparaissent difficilement discutables.
Le scénario effet de serre, et notamment la relation entre CO2 et la température, ne résume donc pas l'évolution thermique : d’autres facteurs interviennent dans cette évolution. Ces facteurs sont nombreux mais pas pris en compte par les modèles »
Encore du blabla de Leroux, le fait que sur la periode 1940 1970 il y est une legere diminution (quand on voit la courbe 1860 2000 on pense plutot une stabilisation) ne signifie pas qu'il n'existe pas de relation entre la concentration de CO2 et la temperature atmospherique. Les senarios du GIEC tiennent compte de plusieurs facteurs dans leurs modeles (voir leur rapport), et pas seulement du CO2. Un facteur peu limiter l'impact du CO2, mais qu'aurai été la variation de temperature sur la periode 1940 1970 si il n'y a vait pas eu plus de gaz d'origine anthropique dans l'atmosphere sur cette periode ?
Une plus forte baisse surement...

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Message par kraveunn » 29 sept. 2005, 06:22

[ jeudi 29 septembre 2005, 02h31 - AFP ]
La calotte glaciaire arctique s'est fortement réduite cette année et ce pour le quatrième été consécutif, ont indiqué mercredi des scientifiques américains, selon lesquels ce phénomène, attribué au réchauffement du climat, va probablement s'accélérer.

"Etant donné le bas niveau record des glaces cette année à l'approche de la fin septembre, 2005 va presque certainement surpasser 2002 pour la plus faible superficie de glace dans l'Arctique depuis plus d'un siècle", a déclaré Julienne Stroeve du Centre National des données sur les neiges et glaces (NSIDC).

Ces observations et mesures sont effectuées à l'aide de satellites de la Nasa, l'agence spatiale américaine.

"A ce rythme, l'Arctique n'aura plus de glace pendant la saison d'été bien avant la fin de ce siècle", a-t-elle ajouté.

La zone gelée de l'océan arctique est normalement réduite à son minimum en septembre, à la fin de la fonte d'été. Le 21 septembre 2005, la banquise n'était que de 5,32 millions de km2, soit la plus faible superficie jamais mesurée par les satellites d'observation, ont précisé les scientifiques dans un communiqué.

"Avec quatre années consécutives de faible superficie de la glace arctique, on peut penser avec une assez grande certitude qu'un phénomène de fonte durable est en train de se produire", a expliqué Walt Meier, un autre climatologue du NSIDC.

"Cela indique clairement (...) qu'il ne s'agit pas d'une anomalie de courte durée", a-t-il ajouté.

Les experts du NSIDC ont calculé, en intégrant les dernières mesures de septembre 2005, que la calotte glacière de l'Arctique se réduisait de 8% environ tous les dix ans.

Ils ont également constaté qu'il y avait eu environ 20% de moins de formation de glace durant l'hiver au cours des quatre dernières années comparativement à la période 1978-2000.

Cette réduction de la superficie gelée de l'océan arctique représente approximativement 1,3 million de km2, soit environ l'équivalent de deux fois la France.

La disparition grandissante des glaces arctiques correspond à une hausse des températures au cours des dernières décennies, a souligné le NSIDC.

La température moyenne à la surface de l'océan arctique était entre janvier et août 2005, de 2 à 3 degrés Celsius plus chaude qu'au cours des cinquante dernières années.

Cet été, le passage légendaire du Nord-Ouest dans l'Arctique canadien entre l'Europe et l'Asie était complètement navigable à l'exception d'une bande de 90 Km où flottaient des blocs de glaces.


La route du Nord-Est, au nord de la côte sibérienne, était totalement dépourvue de glace du 15 août au 28 septembre, ont aussi relevé les scientifiques du NSIDC.

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Message par kraveunn » 30 sept. 2005, 21:37

science et avenir
La toundra verdit dangereusement en Alaska

La différence d’albédo est nette entre la végétation de la toundra et la neige en Alaska. (photo Terri Chapin)

Conséquence du réchauffement climatique global, la fonte des neiges intervient de plus en plus tôt sur les terres du Nord de l’Alaska et ce phénomène favorise en retour les changements climatiques, avertissent des chercheurs de l’université de Fairbanks.

Tous les dix ans le printemps gagne 2,5 jours d’avance, explique Terri Chapin et ses collègues dans la revue Science, et le sol noir ainsi exposé au soleil par la fonte de la neige engrange davantage de chaleur qui ensuite se diffuse dans l’atmosphère. Ces changements influencent à leur tour la végétation : les buissons prolifèrent et les végétaux de grande taille en profitent pour s’installer. La toundra de l’Alaska est encore peu colonisée mais la végétation a entamé sa progression vers le nord, soulignent les chercheurs.

Les chercheurs ont combiné des mesures de températures et d’albédo au sol, des données satellites et des observations de terrain de la couverture neigeuse. Ils estiment que l’augmentation des températures en été dans le nord de l’Alaska ne peut pas être attribuée à la fonte des glaces maritimes, à une plus grande couverture nuageuse ou encore à des modèles atmosphériques régionaux. L’explication la plus vraisemblable est l’allongement de la saison sans neige qui favorise le stockage de la chaleur au détriment de la réflexion de la lumière.

Cécile Dumas
(26/09/05)

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Message par greenchris » 30 sept. 2005, 22:22

Kraveun, si tu continue comme ça, tu vas avoir des suicides surla conscience :evil: :evil:
Le charbon et le gaz prendront sa place (temporairement).
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Message par kraveunn » 30 sept. 2005, 22:35

greenchris a écrit :Kraveun, si tu continue comme ça, tu vas avoir des suicides sur la conscience :evil: :evil:
:-D :-D :-D c'est le but ... éliminer la future concurence pour accroitre mes propres chances de survie au peak oil...c'est du darwinisme conpirationniste :twisted:

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Message par lionstone » 01 oct. 2005, 09:10

Ruptures de digues, mer déchaînée qui envahit des rues... Le pire scénario que l'on avait pu échafauder, le plus violent de ces dix dernières années, s'est malheureusement produit.
http://permanent.nouvelobs.com/etranger ... html?1503

Katrina ? Non le cyclone Damrey qui à frappé le nord Vietnam. Nonoooon, non, le climat ne change pas…
:-D
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Message par Roland » 02 oct. 2005, 00:12

lionstone a écrit :Katrina ? Non le cyclone Damrey qui à frappé le nord Vietnam. Nonoooon, non, le climat ne change pas…
:-D
Faut quand même s'en méfier. Pour les cyclones, la NOAA par exemple estime qu'on est au pic d'un cycle de 20 à 30 ans. Etant donné qu'on construit n'importe où de nos jours en ne pensant qu'à court terme, il n'est pas étonnant que les catastrophes naturelles fassent plus de dégâts, sans que ce soit nécessairement lié à un changement climatique.

Un exemple qui m'avait frappé : Vaison-la-romaine. Les maisons détruites avaient été connement construite sur l'ancien lit de la rivière. Les ruines romaines, elles, n'ont pas été touchées à ma connaissance.

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