Ce que nous perdons (biodiversité)

Discussions concernant les conséquences sur l'environnement de la course aux ressources.

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Message par williams » 01 mai 2016, 18:47

C'est horripilant de voir tout ces éléphants qui ont été tués malgré l'interdiction et de plus pour rien de tout :-x

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Message par Remundo » 01 mai 2016, 19:09

peut-être une idée pour le parti socialiste ? Quoiqu'il n'ait plus beaucoup de défenses maintenant... :-$

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Message par mobar » 01 mai 2016, 20:17

williams a écrit :C'est horripilant de voir tout ces éléphants qui ont été tués malgré l'interdiction et de plus pour rien de tout :-x

Williams
Une excellente méthode pour faire monter les cours de l'ivoire :mrgreen:
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
« Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes bien informées et impliquées puisse changer le monde, en fait, ce n'est jamais que comme cela que le monde a changé »

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Message par energy_isere » 27 mai 2016, 12:41

Un drone filme un gigantesque trafic de bois

27 Mai 2016

Un trafic de bois de vène (très précieux en Chine) entre la Casamance et la Gambie détruit les forêts sénégalaises. Une affaire dénoncée par l'ancien ministre sénégalais de l'Environnement, Haïdar El Ali, qui se bat pour la sauvegarde des réserves naturelles du pays.

Des milliers de troncs d'arbres bien alignés, attendant d'être chargés dans des camions, et des dizaines d'ouvriers qui s'affairent à cacher les cargaisons avant qu'elles ne prennent la route pour être vendues à des opérateurs chinois. Voilà les images filmées par un drone d'un immense trafic de bois de vène au Sénégal, entre la Casamance et la Gambie.

Bois de vène : espèce protégée depuis 1998
Haïdar El Ali, ex-ministre de l'Environnement sénégalais, a dévoilé ces images ce jeudi à Dakar. Le bois de vène est très précieux en Chine, où il sert à la fabrication de meubles de luxe. Mais au Sénégal, cette espèce de bois est protégée et interdite d'exportation depuis 1998.

Les troncs que l'on aperçoit sur la vidéo proviennent d'arbres coupés illégalement dans le département du Medina Yoro-Foula, en Casamance, côté sénégalais de la frontière. Haïdar El Ali a expliqué qu'aucune surveillance n'avait été mise en place par le gouvernement à cet endroit.

L'ancien ministre de l'Environnement craint que, sans réaction, les pilleurs transforment le pays en désert. "Les Chinois installés en Gambie pillent et souillent notre pays en installant tranquillement le désert."

Le trafic de bois de vène ne touche pas seulement le Sénégal, toute l'Afrique de l'Ouest est minée par ce fléau. C'est dans cette partie du continent que se servent principalement les trafiquants chinois, qui ne trouvent plus de bois rouges dans les forêts d'Asie.
http://www.ledauphine.com/france-monde/ ... ic-de-bois

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Message par energy_isere » 28 mai 2016, 14:08

Tara Pacific 2016-2018 : sur la piste des secrets du corail

Par Sylvie Rouat lle 15-04-2016
La goélette Tara part le 28 mai de Lorient pour parcourir durant 2 ans l'océan Pacifique afin d'étudier les récifs coralliens, aujourd'hui menacés de disparition, alors que 500 millions de personnes en sont directement dépendants.

Image
...................
http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/ ... orail.html

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Message par energy_isere » 31 mai 2016, 19:59

La maladie de la Grande Barrière de corail est bien réelle en Australie


Le 30/05/2016- Sydney-AFP

Les biologistes australiens persistent et signent : la Grande Barrière de corail est mal en point. Après les résultats de la dernière étude, présentés fin avril, démontrant que 93 % du récif géant sont affectés par le blanchissement, trois universités se regroupent pour publier un communiqué commun et réaffirment les constatations scientifiques, indéniables.

Au moins 35 % des coraux du nord et du centre de la Grande Barrière australienne sont morts ou en train de mourir sous l'effet d'un épisode de blanchissement d'une rare gravité, ont annoncé lundi des scientifiques. Cette évaluation est le résultat de mois de surveillance aérienne et sous-marine de ce joyau classé au patrimoine mondial, qui a considérablement souffert en mars du réchauffement de l'eau. Début avril puis fin avril, Futura-Sciences rapportait les résultats de ces observations (voir notre article sur le blanchissement de la Grande Barrière de corail).

Le professeur Terry Hughes, spécialiste des récifs coralliens à l'université James Cook de Townsville (nord-est de l'Australie), dans l'État du Queensland, a précisé que le réchauffement climatique était en train de faire des ravages sur l'un des sites les plus emblématiques de l'Australie. « Nous avons découvert qu'en moyenne, 35 % des coraux sont morts ou en train de mourir sur 84 récifs que nous avons étudiés sur les sections centre et nord de la Grande Barrière, entre Townsville et la Papouasie-Nouvelle-Guinée », assène-t-il dans un communiqué, cosigné par trois grandes universités.

« C'est la troisième fois en 18 ans que la Grande Barrière de corail traverse un épisode grave de blanchissement lié au réchauffement climatique, et l'épisode actuel est beaucoup plus extrême que ce que nous avions mesuré auparavant. » Il faut compter une décennie pour que la couverture corallienne se remette, « mais cela prendra beaucoup plus de temps pour retrouver les plus grands et plus anciens coraux qui sont morts », ajoutent les scientifiques.

.......................
http://www.futura-sciences.com/magazine ... lie-62975/

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Message par williams » 02 juin 2016, 10:26

L'épisode de blanchissement que la Grande Barrière de corail traverse n'est pas lié au réchauffement climatique mais plus précisément au phénomène El Nino que nous avons connu ces derniers mois. A chaque épisode d'El Nino c'est le cas en étant plus ou moins important suivant l'amplitude du phénomène. Donc ceci n'a rien d'anormal.

Lors de l'intense El Niño de 1982-1983 donc il y a tout de même 33 ans, 70 à 95% des coraux du Costa Rica, Panama, Colombie et des Îles Galápagos sont morts dans ces conditions. Le très bas niveau de la mer du Pacifique ouest a laissé les récifs de corail de Guam, Vanuatu, des Polynésies françaises et des îles Tokelau, exposés à l'air durant le jour. Ce qui montre que le réchauffement de la Terre n'a rien à voir mais que c'est l'ENSO (El Nino ou La Nina) comme ce fut toujours le cas.

Et ce fut le cas il y a bien plus longtemps aussi car les traceurs géochimiques contenus dans ces coraux permettent de nous le prouver comme les carbonates de Calcium la composition isotopique de l’Oxygène de l’aragonite dépend à la fois de la température et de la composition isotopique de l’eau donc des événements ENSO. Et voir d'autres indices. Source CNRS.

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Message par kercoz » 02 juin 2016, 11:33

Ca serait surprenant qu' il n' y ait aucune interaction entre El Nino et un réchauffement.
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

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Message par williams » 02 juin 2016, 13:04

kercoz a écrit :Ca serait surprenant qu' il n' y ait aucune interaction entre El Nino et un réchauffement.
C'est plus compliqué que cela, car de 1983 à 1998 l'El Nino à été de plus en plus importants et l'inverse pour La Nina donc de suite il a été dit que le réchauffement climatique influencerait l'El Nino. Pourtant depuis 1998 c'est La Nina qui a augmenté en nombre et inverse pour L'El Nino. Ceci montre que c'est plus difficile a voir tout ceci. La PDO serrait soit disant l'oscillation multi-décennale qui jouerait un rôle sur l'importance de cette oscillation comme le montrerait les données du passées suivant divers analyses (coraux...).

C'est tout comme les scientifiques nous avaient dit que les cyclones serraient plus nombreux et plus puissant, pourtant depuis 2005 (11 ans déjà) c'est tout l'inverse qui se passe dans l'Atlantique Nord quand vous regardez le nombre de tempêtes et cyclones tropicaux dans cette zone ainsi que leur puissance (indice ACE).

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 17 juin 2016, 14:47

La limule : un animal vieux de 450 millions d’années menacé d’extinction

le 15-06-2016 Sciences et Avenir

Les limules ont connu l'âge de glace, l'asphyxie au carbone, les chutes d'astéroïdes, l'extinction des dinosaures... Et ont survécu. Mais les hommes pourraient aujourd'hui causer la perte de ce fossile vivant...

Image

Après avoir connu cinq périodes d'extinctions massives, la limule pourrait bientôt se retrouver sur la liste rouge des espèces menacées, à cause des hommes. Cet arthropode marin en forme de fer à cheval, apparu il y a 450 millions d’années, et décliné en quatre espèces différentes, se trouve aujourd’hui dans les laboratoires. L’animal, ayant très peu évolué depuis son apparition, fascine les scientifiques pour la composition et les caractéristiques de son sang. Contrairement aux vertébrés, la limule possède un sang bleu, capable de détecter les bactéries. Au contact de celles-ci, le liquide coagule, s’épaissit et créé un caillot protecteur pour ne pas contaminer le reste du corps. Chaque année, plusieurs centaines de milliers de limules sont ainsi prélevées dans l’océan et saignées en laboratoire. Le liquide bleu, contenant une substance appelée LAL, est utilisé depuis les années 60 pour tester la présence de bactéries, et plus particulièrement d’endotoxines, sur l’équipement médical, les implants et tout produit injectable. La protéine LAL présente dans leur sang permet ainsi de détecter les impuretés qui, chez l’humain, peuvent causer des chocs hémorragiques ou autres risques graves pour la santé, jusqu’à entraîner la mort. Le commerce de ces fossiles vivants est devenu un véritable business dans le domaine biomédical où le litre de ce liquide, permettant de sauver des vies, est estimé à 11 000 euros.


Des limules saignées puis relâchées

Le nombre d’animaux récoltés pour l’industrie biomédicale a ainsi bondi de 86% depuis 2004, pour atteindre 545,973 animaux prélevés en 2013. Aucune restriction n’a été établie sur le nombre d’animaux récoltés, puisque les scientifiques les relâchent dans l’océan après avoir prélevé 30% de leur sang. Mais des chercheurs ont découvert un taux significatif de mortalité après la remise à l’eau. En 2015, dans l’étude Changing Global Perspectives on Horseshoe Crab Biology, le scientifique Thomas Novitsky écrivait : « la mortalité des limules saignées (après avoir été relâchées) est plus élevée qu’on ne le pensait (29% contre 15%). Les femelles peuvent avoir une capacité réduite pour cicatriser ; et les crabes saignés deviennent désorientés et affaiblis ». Les femelles peuvent également avoir des difficultés à se reproduire et pondre de nouveau. D’après John Dubczak, directeur des opérations aux laboratoires Charles River à Charleston, 4% des limules capturées meurent avant d’être relâchées. Mais certains écologistes américains estiment à plus de 30% le taux de mortalité en laboratoire.

Une pêche outrancière en Asie

Utilisée comme appât pour la pêche à l’anguille, la limule est désormais protégée dans certains Etats américains, où elle borde les côtes. Mais pour contourner la législation, les Etats-Unis font venir d’Asie des milliers de carcaces de limules, où elles sont chassées et consommées. En 2013, John Tanacredi, un scientifique enseignant à l’université de Long Island, a raconté avoir reçu un appel d’un ami travaillant près de l’aéroport John F. Kennedy, lui envoyant la photographie d’un cargo contenant plus de 600 limules mortes, provenant du Vietnam. Si aucune statistique ne permet d’estimer clairement le nombre total de limules ni l’impact de l’homme sur cette espèce, sa population dans la baie du Delaware, qui est l’un de ces principaux lieux de reproduction, a diminué de 75% depuis les années 80…
http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/ ... ction.html

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 20 juin 2016, 19:38

185 défenseurs de l'environnement tués (2015)

Par Lefigaro.fr avec AFP le 20/06/2016

Au moins 185 personnes sont mortes en 2015 dans 16 pays en défendant leurs terres et leur environnement, soit une augmentation de près de 60% par rapport à l'année précédente, indique aujourd'hui l'ONG britannique Global Witness. Ce chiffre est un record depuis 2002, date à laquelle cette ONG a entrepris de publier un rapport annuel sur ce sujet.


Etats les plus dangereux en 2015: le Brésil et les Philippines, où 50 et 33 personnes ont été tuées, un niveau jamais atteint depuis 14 ans. Mais aussi la Colombie (26 morts), le Pérou (12), le Nicaragua (12), la République démocratique du Congo (11). "Alors que la demande de minerais, de bois et d'huile de palme se maintient, autorités, corporations et bandes armées accaparent les terres au mépris des gens qui y vivent", souligne Bill Kyte, chargé de campagne pour Global Witness, ajoutant que ce bilan est sans doute sous-estimé: "Pour chaque meurtre rapporté, bien d'autres restent sous silence".

(...........)

Vingt victimes luttaient contre des projets liés à l'agrobusiness. Ailleurs, elles résistaient à des exploitants forestiers (15 morts) ou à la construction de barrages hydro-électriques (15). Le rapport souligne en particulier l'extrême vulnérabilité des populations autochtones, souvent isolées: environ 40% des victimes venaient de ces communautés.

La région du Mindanao, aux Philippines, très riche en charbon, nickel et or, et habitée par les Lumad, a ainsi été le théâtre de 25 assassinats en 2015. Dans l'une de ces attaques, le père et le grand-père de la militante Michelle Campos ont ainsi été exécutés en public pour leur opposition à des opérations minières, cite Global Witness.

"Nous connaissons les meurtriers, ils évoluent librement dans notre communauté", explique Mme Campos. Au Brésil, le combat pour la préservation de l'Amazonie devient "de plus en plus un combat contre des bandes criminelles, qui terrorisent les populations locales, à la demande d'exploitants forestiers ou de responsables corrompus", décrit l'ONG. En dépit de l'écho médiatique donné au meurtre de la militante écologiste hondurienne Berta Caceres, cette spirale de violence retient encore peu "l'attention du monde", regrette Global Witness.

L'ONG, qui consigne et dénonce depuis 20 ans l'impact de l'exploitation des ressources naturelles sur les droits de l'Homme et l'environnement, appelle à "agir urgemment". Les gouvernements doivent protéger les activistes, traduire les responsables en justice, mais aussi "reconnaître formellement les droits des communautés sur leurs terres, et s'attaquer à la corruption et aux violations minant le secteur des ressources naturelles", souligne Global Witness. L'ONG en appelle aussi aux investisseurs et aux consommateurs, dont les choix, de l'autre côté du monde, ont un impact direct.

Les premiers consommateurs de bois précieux sont les Etats-Unis, la Chine et l'UE. Dans le bassin de l'Amazonie, des milliers de sites de déboisement frauduleux sont recensés, où acajou, teck, ébène... sont coupés et préparés pour l'export, rappelle Global Witness.

En 2014, un rapport du think tank Chatham House estimait quelque 80% du bois venu du Brésil était d'origine illégale (soit un quart du bois frauduleusement présent sur le marché mondial).
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/ ... t-tues.php

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par marc0 » 21 juin 2016, 14:23

pourquoi il n'y a pas la France dans cette liste : Remi Fraisse a été tué a Sivens...

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par sherpa421 » 21 juin 2016, 15:30

Je crois que c'était en 2014 et que c'est un recensement de 2015. Mais moi non plus, je n'ai pas oublié Rémi Fraisse.
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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 21 juin 2016, 18:58

marc0 a écrit :pourquoi il n'y a pas la France dans cette liste : Remi Fraisse a été tué a Sivens...
en octobre 2014.

Faudrait que vous retrouviez le rapport de cette ONG pour l' année 2014.

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par marc0 » 23 juin 2016, 15:37

energy_isere a écrit : Faudrait que vous retrouviez le rapport de cette ONG pour l' année 2014.
je n'ai pas retrouve des infos comparables mais apparemment en 2014, la France n'est pas apparue dans la liste https://www.globalwitness.org/fr/campai ... many-more/ :evil:

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