rico a écrit :Bah si, en hiver c'est cool.
Tiens, c'est marrant, j'avais jamais remarqué ça :
Chaque fois qu'on brûle un truc, on se réchauffe "sur le moment" ... mais ça augmente aussi de manière quasi indécelable la concentration en CO² dans l'atmosphère, donc le réchauffement global.
Plus on se chauffe, plus il fera chaud l'année prochaine !
energy_isere a écrit :
Dans les 1000 ppm, a vue de pif (en ignorant arbitrairement une exploitation massive du CH4 provenant des hydrates de méthanes)
au rythme actuel il faudrait 300 ans (300 x 2 ppm/an = +600 ppm en plus des 400 ppm actuels)
Ok, en admettant que le rythme soit constant, bien sûr.
Et ça ferait combien en concentration, par rapport aux 0,04% actuels ?
L’air contient aujourd’hui environ 0,04 % de CO2. À partir d’une certaine concentration dans l’air, ce gaz s’avère dangereux voire mortel. La valeur limite d’exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d’autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2 % de CO2 dans l’air, l’amplitude respiratoire augmente. À 4 %, la fréquence respiratoire s’accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. À 15 %, c’est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès.
Voilà des infos intéressantes, merci !