lienLe pétrolier BP indique que sa production de pétrole en Russie, qui représente un quart de la production totale du groupe, ne va pas augmenter pour la deuxième année consécutive en 2008.
Rapportant les propos du directeur général de sa joint-venture russe, Robert Dudley, tenus dans le journal The Financial Times, le groupe britannique ajoute que la reprise de la croissance de sa production n'est pas attendue avant 2009, avec l'entrée en exploitation de plusieurs nouveaux projets.
Elle devrait alors dépasser d'environ 100 000 barils par jour la production attendue cette année de 1,8 millions de barils.
" Les résultats 2007 de BP qui seront publiés le 5 février seront observés et plus particulièrement ses activités en Russie, jugées vitales pour le futur du groupe, après que Moscou ait obligé BP l'année dernière à céder sa participation de 63% dans le vaste champ gazier de Kovykta à Gazprom " déclare le groupe.
[Acteurs] BP
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Re: la compagnie BP
Pour completer l'info postée par energy_isere le 22 Juin 2007 sur ce fil
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Re: la compagnie BP
Le 4 millions jusqu'à 2020 est bien sur une prévision à consommation constante sur la base de la totalité des réserves prouvées. L'article peut donc induire le lecteur en erreur en faisant croire que BP serait encore à 4MBJ en 2020 sans nouvelles découvertes.LONDON (Thomson Financial) - BP can can pump 4 mln barrels of oil a day until 2020, even without new resource finds, its chief executive Tony Hayward said today on the release of BP's strategy update.
BP replaced its annual production by 112 pct in 2012, taking its proved reserves of oil and gas to 17.8 bln barrels. It also added 2.4 bln new barrels to its non-proved resource base which now stands at a further 42.1 bln barrels of oil equivalent.
As part of a streamlining scheme, BP said that it plans to cut senior management jobs by 15 pct and over 2,000 jobs in the downstream sector.
another world is not only possible, she is on her way, on a quiet day i can hear her breathing
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Re: la compagnie BP

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Re: la compagnie BP
Un fonds souverain chinois détient près de 1% de BP
LONDRES/PEKIN (Reuters) - Un fonds souverain chinois a constitué une participation d'un peu moins de 1% dans le groupe pétrolier BP, la première capitalisation boursière britannique, ce qui ravive les questions sur la stratégie de Pékin pour investir ses immenses réserves de changes.
Un porte-parole de BP s'est dit informé de la participation de l'investisseur chinois, d'une valeur d'environ deux milliards de dollars, et a ajouté que tous les investisseurs sont les bienvenus.
Il s'est refusé à préciser l'identité du nouvel actionnaire mais le Daily Telegraph, qui a le premier donné l'information mardi, précise qu'il s'agit du même fonds récemment entré au capital du français Total.
Ce fonds est l'Administration d'Etat des changes (SAFE), une émanation de la banque centrale chinoise qui gère la majeure partie des réserves de changes de la République populaire.
Selon le Financial Times de vendredi dernier, ces réserves de changes atteignent 1.680 milliards de dollars (1.059,4 milliards d'euros) et le fonds SAFE a payé environ 2,8 milliards de dollars (1,76 milliard d'euros) pour constituer une part de 1,6% dans Total.
L'article du Daily Telegraph sur BP coïncide avec une visite à Pékin du chancelier de l'Échiquier Alistair Darling, pour lequel les fonds souverains sont bienvenus en Grande-Bretagne tant que leurs investissements sont motivés par des considérations financières et non politiques.
Le Daily Telegraph précise que le gouvernement britannique a été informé de la prise de participation chinoise dans BP et qu'il surveille l'évolution du dossier.
Alistair Darling devait rencontrer dans la journée le Premier ministre chinois Wen Jiabao, ainsi que Lou Jiwei, ancien vice-ministre des Finances qui dirige China Investment Corp (CIC), autre fonds souverain doté de 200 milliards de dollars créé en septembre par Pékin pour diversifier ses investissements.
RIVALITÉS
Certains universitaires proches du pouvoir chinois estiment que le fonds CIC est dans une position bancale depuis sa mise en place en raison d'une rivalité entre le ministère des Finances et la Banque populaire de Chine sur le contrôle des réserves de changes.
"Le fonds CIC est né des conflits internes au sein du gouvernement", commente un expert qui a requis l'anonymat.
Lou Jiwei a été critiqué pour les maigres performances des premiers investissements du CIC, dans le fonds d'investissement américain Blackstone et dans la banque d'investissement Morgan Stanley.
Le fonds SAFE, qui investit en majeure partie à moindre risque dans des obligations, s'est fait remarquer sur les marchés d'actions en janvier avec la divulgation de ses prises de participation dans Australia and New Zealand Banking Group, Commonwealth Bank of Australia et National Australia Bank.
ANZ a confirmé que le SAFE avait constitué une participation de moins de 1%.
En prenant davantage de risques, le SAFE gagne progressivement du terrain sur le CIC, note Kyle Jaros, du cabinet new-yorkais de consultants Eurasia Group.
"Les dirigeants chinois pourraient avoir l'intention de se servir de cette concurrence pour stimuler les deux agences et les inciter à améliorer leur performance, avant de répartir entre elles dans les années qui viennent les excédents des réserves de changes en fonction de leur succès respectif", écrit-il dans une étude datée du 4 avril.
En termes de choix des investissements, entrer au capital de majors pétrolières comme Total et BP est cohérent pour un pays dont les besoins énergétiques vont grandissants. Le SAFE réduit aussi de cette manière son exposition au dollar faible.
Pour autant, certains analystes s'interrogent sur le calendrier de l'entrée au capital de BP, dans le haut du cycle du marché pétrolier.
Boursoram^
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Re: la compagnie BP
Alors qu' au méme moment Exxon se désengage de l' éthanol au Brésil en revendant à Cosan ses activités.BP: veut investir dans une coentreprise au Brésil.
BP annonce qu'il a l'intention de prendre une participation à hauteur de 50% dans Tropical BioEnergia SA, coentreprise entre les sociétés brésiliennes Santelisa Vale et Maeda Group.
La joint-venture en question construit une raffinerie d'éthanol d'une capacité de 435 millions de litres par an à Edéia, dans l'Etat brésilien de Goias.
Elle a aussi l'intention d'en construire une seconde, investissant ainsi un total de 1,66 milliards de réals (soit 1 milliard de dollars) dans ces deux sites.
Boursoram^
( mon post ici : http://forums.oleocene.org/viewtopic.ph ... 96#p180996 )
Différentes stratégies !

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Re: la compagnie BP
Est-ce que quelqu'un sait quand est-ce que BP publie la mise à jour 2008 de sa Statistical review of world energy?
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Re: la compagnie BP
Je crois que c' est au mois de Juin de chaque année.Fristi a écrit :Est-ce que quelqu'un sait quand est-ce que BP publie la mise à jour 2008 de sa Statistical review of world energy?
Patiente encore un peu.
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Re: la compagnie BP
BP affiche un bon 1er trimestre grâce aux records du pétrole
BP annonce une hausse de 48% de son bénéfice ajusté au premier trimestre, supérieure aux attentes du marché, grâce aux records enchaînés ces derniers mois par les cours du pétrole.
La compagnie pétrolière britannique a réalisé sur les trois premiers mois de l'année un bénéfice ajusté des coûts de remplacement de 6,588 milliards de dollars (4,22 milliards d'euros).
Sans les éléments non opérationnels, qui ont représenté un gain net de 96 millions de dollars, le bénéfice ajusté est ressorti à 6,49 milliards de dollars. Les analystes interrogés par Reuters tablaient sur 5,31 milliards.
BP a engagé un plan de restructuration de ses activités pour simplifier son modèle d'entreprise et réduire ses coûts afin d'améliorer sa rentabilité et d'enrayer la baisse de sa production.
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Re: la compagnie BP
Russie: perquisition de la police au siège moscovite du groupe pétrolier BP
Des enquêteurs de la police russe ont effectué mardi après-midi une perquisition au siège du groupe pétrolier britannique BP à Moscou, a-t-on appris auprès de BP, deux mois après des investigations du même type de la part des services secrets russes.
Le porte-parole du groupe, Vladimir Bouyanov, à qui on demandait si la police effectuait une perquisition, a répondu : "Oui. (...) Je peux confirmer qu'il y a une enquête et que nous coopérons".
"Le travail du bureau n'a pas été interrompu", a-t-il ajouté, se refusant toutefois à fournir plus de détails.
BP et le groupe pétrolier russe TNK-BP, dont il détient 50%, avaient déjà été perquisitionnés par les services secrets russes en mars dernier. Le FSB avait en outre accusé deux Russo-Américains, dont un employé de TNK-BP, d'espionnage industriel au profit de compagnies étrangères.
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de TNK-BP a indiqué mardi que son groupe ne faisait pas l'objet de perquisitions.
TNK-BP et BP se trouvent par ailleurs au coeur d'un conflit judiciaire autour du statut de 148 salariés spécialisés étrangers de BP travaillant ponctuellement pour TNK-BP en Russie.
La société Tetlis, un actionnaire minoritaire de TNK-BP Holding, la principale structure de TNK-BP, a porté plainte au début du mois contre cette dernière au sujet du statut des salariés auprès des tribunaux d'arbitrage de la région de Tioumen (Sibérie) et de Moscou.
TNK-BP, 3ème groupe pétrolier de Russie est détenu pour moitié par BP et pour le reste par trois milliardaires russes.
Il a vu les ennuis, notamment judiciaires, pleuvoir sur lui ces derniers mois. Nombre d'analystes estiment qu'il pourrait s'agir de pressions déguisées pour contraindre le groupe à s'offrir au géant gazier semi-public Gazprom.
Boursoaram^
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Re: la compagnie BP
La volatilité des cours pétroliers due à la production, selon BP
KUALA LUMPUR (Reuters) - L'instabilité des cours du pétrole est la conséquence de la faiblesse de l'approvisionnement du marché et de l'augmentation de la fiscalité dans les pays producteurs, qui n'incite pas à investir dans de nouvelles capacités de production, déclare le directeur général de BP.
"Dans un marché qui fonctionne, où l'offre et la demande sont équilibrées, les prix devraient être stables. Si les prix sont élevés, cela montre que l'offre ne répond pas de manière adéquate à l'accroissement de la demande... et c'est la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui", a dit le directeur général du groupe Tony Hayward lors d'une conférence sur le pétrole et le gaz dans la capitale malaisienne.
Les cours du baril de pétrole ont pris plus de 11 dollars vendredi, leur plus forte hausse jamais enregistrée en une séance et ont touché les 139,12 dollars (88 euros) en raison notamment de la faiblesse du dollar et des inquiétudes concernant un possible conflit entre Israël et l'Iran.
Le brut léger américain perdait lundi matin 1,67 dollars soit 1,21% à 136,96 dollars le baril vers 9h20 GMT.
"Les taxes gouvernementales prélevées sur l'industrie pétrolière et gazière ont continué d'augmenter dans le monde. Je pense qu'une telle évolution n'est pas supportable et qu'elle est contreproductive. Cela signifie que vous avez moins d'argent pour investir dans de nouvelles capacités de production", a déclaré Hayward.
Tony Hayward a également critiqué l'utilisation faite des subventions pour protéger les consommateurs de la flambée des prix, en ajoutant que la baisse de la demande d'essence de ces derniers mois indiquait que les consommateurs réagissaient et que le marché fonctionnait bien.
"Dans un environnement de prix élevés, je ne crois pas que ces subventions puissent être maintenues dans le temps. Non seulement, elles font pression sur les finances publiques mais en plus elles découragent les bonnes mesures d'efficacité énergétique", a dit Hayward.
Ces déclarations font suite à celles, la semaine dernière, de Jeroen van der Veer, directeur général de Royal Dutch Shell qui pense au contraire que la volatilité des cours n'est pas dû au niveau de la production mais plutôt au comportement du marché.
Hayward a déclaré que BP investirait 22 milliards de dollars cette année dans de nouvelles capacités en modernisant des raffineries et en investissant dans des énergies alternatives, ce qui représente une hausse de près de 15% par rapport à 2007.
Boursoram^
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Re: [Acteurs] Résultats BP
il n'ont pas l'air trés confiant pour l'avenir des productions!La production mondiale de pétrole a décliné de 0,2% en 2007 selon BP
LONDRES - La production mondiale de pétrole a décliné de 0,2% en 2007, son premier repli depuis 2002, tandis que la consommation a progressé de 1,1%, en léger retrait par rapport à la croissance moyenne sur dix ans, a annoncé mercredi BP dans son panorama annuel sur l'énergie.
Le déclin de la production mondiale de pétrole, le premier depuis 2002, est dû, selon le groupe pétrolier britannique, à une baisse de la production de l'Opep sur l'année, accompagnée d'une très faible croissance de la production hors-Opep.
"La production de l'Opep a baissé de 350.000 barils par jour, du fait de l'impact cumulé des réductions de production mises en place en novembre 2006 et en février 2007", précise le rapport.
Par ailleurs, "la croissance de la production est restée faible hors-Opep, avec une progression d'un peu plus de 200.000 barils seulement en 2007", ajoute BP. Le groupe pétrolier a observé en particulier une chute de la production chez les pays de l'OCDE "pour la cinquième année d'affilée".
Les réserves mondiales de pétrole sont restées inchangées en 2007, à 1.240 milliards de barils, a par ailleurs estimé BP. "Elles suffisent à produire au niveau actuel pendant 41 ans", précisent les auteurs du rapport.
"Des prix volatils et élevés, reflétant un équilibre serré entre l'offre et la demande, demeurent les caractéristiques marquantes des marchés mondiaux de l'énergie", a souligné Tony Hayward, le directeur général de BP, lors de la présentation de ce rapport.
"Le déclin de la production dans les pays de l'OCDE souligne le fait que, bien que les ressources ne constituent pas une contrainte au niveau mondial, les ressources accessibles à l'investissement privé de sociétés comme BP sont limitées", a insisté M. Hayward.
"Les facteurs politiques, les barrières à l'entrée, une fiscalité élevée, tout cela joue. En d'autres termes, dès lors qu'il s'agit de produire plus de pétrole, les problèmes se situent au-dessus du sol, pas dans le sous-sol. Ils ne sont pas géologiques mais politiques", a-t-il précisé.
(©AFP / 11 juin 2008 12h02)
bon toujours le celebre 41 ans
et les reserves qui sont stables
Mais d'un autre coté ils montre une faiblesse de la production.De la part d'une compagnie c'est pas neutre.
Le panorama annuel est sorti quand?
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Re: [Acteurs] Résultats BP
Pas de spéculation, mais pas de problème de réserves non plus

Pétrole: pas de spéculation (BP)
L'envolée des cours du pétrole est due à la loi de l'offre et de la demande et non à la spéculation, affirme mercredi le directeur exécutif du groupe pétrolier britannique BP, Tony Hayward, dans les colonnes du Financial Times.
Dans une analyse publiée par le Financial Times, M. Hayward estime qu'il y a trois mythes concernant la hausse des cours dans le secteur énergétique: le fait que la spéculation serait derrière l'envolée des cours, que l'offre de pétrole serait en voie d'extinction et que le monde pourrait basculer rapidement vers un modèle économique faiblement consommateur en énergie fossile.
Selon lui, la croissance de la demande mondiale en énergie a été supérieure à la moyenne pour la cinquième année consécutive, et "l'offre a eu du mal à répondre".
Mais cette faiblesse de l'offre par rapport à la demande ne serait pas due à un déclin des réserves, selon Tony Hayward, mais aux technologies et aux méthodes mises en oeuvre pour puiser dans ces réserves: "Les difficultés rencontrées pour augmenter la production ne sont pas tant sous le sol qu'à la surface, elles ne sont pas géologiques mais politiques".
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La magie de BP
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... id=1032882
Pour le groupe BP, l'envolée du prix du pétrole est due à une baisse de la production
Le Monde
Le groupe pétrolier britannique BP a annoncé, mercredi 11 juin, dans son panorama annuel sur l'énergie, que la production mondiale de pétrole a décliné de 0,2 % en 2007. Ce déclin, le premier depuis 2002, est dû, selon la compagnie, à une baisse de la production de l'Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP), accompagnée d'une très faible croissance de la production hors OPEP, de l'ordre de 200 000 barils par jour. "La production de l'OPEP a baissé de 350 000 barils par jour, du fait de l'impact cumulé des réductions de production mises en place en novembre 2006 et en février 2007", précise le rapport.
Le rapport de BP explique que la consommation mondiale de pétrole a continué de croître, mais à un rythme ralenti : elle a progressé de 1,1 % en 2007, soit 1 million de barils par jour, un taux de croissance légèrement inférieur à la moyenne sur dix ans. Dans les pays de l'Organisation de coopération et de défense économiques (OCDE), la demande a, en revanche, décliné de 0,9 %, soit 400 000 barils par jour. Les réserves mondiales de pétrole sont restées inchangées en 2007, à 1 240 milliards de barils, a par ailleurs estimé BP. "Elles suffisent à produire au niveau actuel pendant 41 ans", précise le rapport.
"LES PROBLÈMES NE SONT PAS GÉOLOGIQUES MAIS POLITIQUES"
"Des prix volatils et élevés, reflétant un équilibre serré entre l'offre et la demande, demeurent les caractéristiques marquantes des marchés mondiaux de l'énergie", a souligné Tony Hayward, le directeur général de BP. "Le déclin de la production dans les pays de l'OCDE souligne le fait que, bien que les ressources ne constituent pas une contrainte au niveau mondial, les ressources accessibles à l'investissement privé de sociétés comme BP sont limitées, a insisté M. Hayward. Dès lors qu'il s'agit de produire plus de pétrole, les problèmes se situent au-dessus du sol, pas dans le sous-sol. Ils ne sont pas géologiques mais politiques."
Le secrétaire général de l'OPEP, Abdallah el-Badri, n'est pas de cet avis. Selon lui, il "n'y a pas de problème d'offre" : "la principale raison de la hausse des prix est la spéculation". Une réunion pour examiner les causes de l'envolée des cours du pétrole aura lieu le 22 juin en Arabie saoudite. L'OPEP espère démontrer à cette occasion qu'elle n'est pas responsable de la situation actuelle.

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Re: La magie de BP
Oui, encore ses méchants arabes. D'ailleurs, ils n'en ont pas besoin de pétrole, y a cas aller leur prendre...
Quoi ? L'Irak a couté 6 000 milliards et fait plus d'un million de morts civils !
A ouhais, quand même...
Un plan B ?
Quoi ? L'Irak a couté 6 000 milliards et fait plus d'un million de morts civils !
A ouhais, quand même...
Un plan B ?

Etape n°1 : Les africains nomment le pétrole : la "merde" du diable.
Etape n°2 : Restons cool, le PO arrive...
Etape n°3 : "Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non", Samuel Beckett
Etape n°2 : Restons cool, le PO arrive...
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Re: la compagnie BP
Un peu d' eau au moulin d' Oléocéne :
Le chef de l' exloration et de la production de BP, Mr Andy Inglis déclare que le pic pourrait avoir été passé chez BP.
En cause la difficulté croissante de mise en production des nouveaux gisement, et le manque de personel qualifié ( beaucoup de départ à la retraite !)
Le chef de l' exloration et de la production de BP, Mr Andy Inglis déclare que le pic pourrait avoir été passé chez BP.
En cause la difficulté croissante de mise en production des nouveaux gisement, et le manque de personel qualifié ( beaucoup de départ à la retraite !)
http://www.easybourse.com/bourse-actual ... 591-543649UPDATE: Oil Cos Ability To Tap New Sources May Have Peaked-BP
Friday October 17th, 2008 / 11h06
LONDON -(Dow Jones)
- Oil companies' ability to tap hydrocarbon resources may have peaked because new reserves are found in more challenging environments and the industry is losing skills and know-how as a generation of experienced workers approaches retirement, said BP PLC's (BP) head of exploration and production Andy Inglis.
In a speech delivered at Rice University in Texas on Wednesday and posted on BP's Web site Friday, Inglis said: "I think it's true to say that we may have reached a period of peak capability, at least in the short term."
He said this peaking in the capability of companies to extract oil bears a far closer relation to the facts than peak oil, the theory that the amount of oil the earth is capable of yielding has peaked.
Inglis said there are enough proven oil reserves for 40 years of consumption and enough natural gas for 60 years, but bringing them into production fast enough to meet rising demand is going to be difficult. "Resources are now found in reservoirs which lie at greater water depths, at higher temperatures and pressures and require complex drilling and completion designs," he said.
"The really big strategic issue for all oil and gas companies is matching the earth's resource endowment on the one hand, with the capability - technology, skills and know-how - required to bring those resources to market on the other," he said.
"It will require that capability gap to be filled," he said.
New technology will help, he said, but it is no magic bullet. "Technology is only as good as the people who design and operate it...it is people who make the difference. Turning these resources into reserves and then production is going to require leadership, ingenuity and innovation as well as technology," he said.
Inglis said the big demographic problem in the industry, that a generation of skilled and experienced engineers born in the 1940s and 1950s are soon to retire, is not insoluble. "In our industry, these strategic challenges come and go and we usually conquer them," he said.
The capability gap can be plugged in a number of ways, he said. Companies need to retain talent of their most experienced employees by encouraging them to continue working part-time past retirement age. The industry also needs to make itself more attractive to people in their 20s who are choosing a career path and diversify its workforce by drawing in more people from developing countries, he said.
Company Web site: http://www.bp.com