
[Chiffres] Surveillons les prédictions de l'EIA (agence US)
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Avec les trois scenrios proposés, ils vont avoir du mal à se tromper...
Il n' y a plus qu'à espérer que c'est le scenario "haut" qui va se réaliser, mais je ne vois pas comment le justifier.
D'ic à 2030, il peut se passer des tas de choses.
Un peu de science-fiction ?
Il n' y a plus qu'à espérer que c'est le scenario "haut" qui va se réaliser, mais je ne vois pas comment le justifier.
D'ic à 2030, il peut se passer des tas de choses.
Un peu de science-fiction ?
Trop de mépris entraîne des méprises - Phyvette, ca 2007.
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On parle de prix du pétrole Ecorage, pas de consommation.
Il paraît crédible que plus le pétrole sera cher, moins la consommation sera élevée, tout en maintenant un PIB important, autrement personne n'achèterait.
Un pétrole cher permettrait à d'autres énergies (éventuellement renouvelables, non polluantes, CO2 piégé) de se mettre en place.
C'est pour cet ensemble de raisons que le scénario "haut", c'est-à-dire avec du pétrole cher, est de loin préférable. Le scenario "bas" serait la répétition de la période 90-2000 : zéro progrès.
Mais faut pas rêver : on ne peut pas trouver un Bush à chaque fois.
Les trois scenarios :

Il paraît crédible que plus le pétrole sera cher, moins la consommation sera élevée, tout en maintenant un PIB important, autrement personne n'achèterait.
Un pétrole cher permettrait à d'autres énergies (éventuellement renouvelables, non polluantes, CO2 piégé) de se mettre en place.
C'est pour cet ensemble de raisons que le scénario "haut", c'est-à-dire avec du pétrole cher, est de loin préférable. Le scenario "bas" serait la répétition de la période 90-2000 : zéro progrès.
Mais faut pas rêver : on ne peut pas trouver un Bush à chaque fois.
Les trois scenarios :

Trop de mépris entraîne des méprises - Phyvette, ca 2007.
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Graphique à comparer avec la version 2002, posté par Tiennel sur le topic "Ils l'ont dit":

En 4 ans, le "prix de référence" a doublé et la tendance haute a triplé.

En 4 ans, le "prix de référence" a doublé et la tendance haute a triplé.
- matthieu25
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Le raffinage saturé
au moins jusqu'en 2010
http://permanent.nouvelobs.com/economie ... S1708.html

au moins jusqu'en 2010
http://permanent.nouvelobs.com/economie ... S1708.html
"La saturation des capacités de raffinage ajoutée à la saturation des capacités de production de brut sont les problèmes-clés pour régler la question des prix élevés" du pétrole, a déclaré Claude Mandil, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
"Si tout va bien nous pourrions voir apparaître quelques capacités excédentaires de raffinage début 2010. Je dis 'si tout va bien' car cela reste une interrogation", a-t-il ajouté. "Il y a 66 nouvelles raffineries en projet mais je doute que toutes voient le jour", a expliqué cet expert.

Iliopark, abri de parking à toiture photovoltaïque
http://www.impact-energie.com
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- greenchris
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A remplacer les vielles raffineries qui ne peuvent pas traiter le pétrole de mauvaise qualité dont la part devient de plus en plus importante.echazare a écrit :a quoi ca sert de raffiner plus si on sature en prod...
Et oui, on a surement passé le pic de production du pétrole de bonne qualité.
Le charbon et le gaz prendront sa place (temporairement).
Dans l'ordre, Sobriété, Efficacité et enfin Renouvelables (negawatt).
Attention aux utopies techniques (Global Chance)
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- GillesH38
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Voila la livraison de la rentrée

L'EIA continue a me surprendre. Après une réévaluation des chiffres pour 2007 en juillet, ils ont gardé les mêmes en août, puis ils les rebaissent brutalement en septembre bien en-dessous de ceux d'avant, reprenant une baisse graduelle des prédictions.
Le troisième trimestre est revu un peu en baisse, mais serait le record absolu, battant de peu les chiffres du 2e trimestre 2005 qui tenait la corde depuis plus d'un an (85,1 contre 84,8) . Merci les (non) ouragans! mais attendons quand même les chiffres définitifs de septembre, ca peut encore fluctuer de bien plus que 0,3 Mb/jour.
L'année 2006 est toujours prévue en legere hausse par rapport à 2005, mais de peu :84,9 Mb/jour en moyenne contre 84,5 Mb/jour en 2005, soit un modeste + 0,5 % . C'est de moins en moins sensible, et ca pourrait tres bien se transformer en baisse dans quelques mois....

L'EIA continue a me surprendre. Après une réévaluation des chiffres pour 2007 en juillet, ils ont gardé les mêmes en août, puis ils les rebaissent brutalement en septembre bien en-dessous de ceux d'avant, reprenant une baisse graduelle des prédictions.
Le troisième trimestre est revu un peu en baisse, mais serait le record absolu, battant de peu les chiffres du 2e trimestre 2005 qui tenait la corde depuis plus d'un an (85,1 contre 84,8) . Merci les (non) ouragans! mais attendons quand même les chiffres définitifs de septembre, ca peut encore fluctuer de bien plus que 0,3 Mb/jour.
L'année 2006 est toujours prévue en legere hausse par rapport à 2005, mais de peu :84,9 Mb/jour en moyenne contre 84,5 Mb/jour en 2005, soit un modeste + 0,5 % . C'est de moins en moins sensible, et ca pourrait tres bien se transformer en baisse dans quelques mois....
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
- lionstone
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Comme je ne sais pas où caser ça, allez hop, ici!
Hausse de la dépendance énergétique en 2005 dans l'UE
Capital.fr [21/09/2006 12:14]
http://bourse.lefigaro.fr/actualite/Def ... icle=59451
D'après Eurostat, la quantité totale d’énergie nécessaire pour satisfaire la demande de l'Union Européenne en 2005 est restée stable par rapport à 2004. La consommation d'énergie a diminué dans dix états membres et augmenté dans quatorze autres et représente 1,637 milliard de tonnes équivalent pétrole (une tonne équivalent pétrole est une unité standardisée correspondant à une tonne de pétrole d’un pouvoir calorifique inférieur de 41,868 gigajoules).
La consommation d'énergie varie d'un pays à l'autre car elle dépend du développement économique, du degré d'industrialisation et du climat. Quant à la production d'énergie au sein de l'Union, elle a diminué en 2005 : la production de pétrole brut a reculé de 9,0%, celle de gaz naturel de 5,8%, celle de charbon de 5,7% et celle d’énergie nucléaire de 1,3%.
Concernant la dépendance énergétique, elle est passée de 54% en 2004, à 56% en 2005. D'après un communiqué, "les importations d’énergie ont été dominées par le pétrole et le gaz, qui ont représenté respectivement environ 60% et 25% des importations nettes de l’UE25". Quant aux importations nettes de pétrole brut et de produits pétroliers, elles ont augmenté de 2,9% et celle de gaz de 9,2%.
Hausse de la dépendance énergétique en 2005 dans l'UE
Capital.fr [21/09/2006 12:14]
http://bourse.lefigaro.fr/actualite/Def ... icle=59451
D'après Eurostat, la quantité totale d’énergie nécessaire pour satisfaire la demande de l'Union Européenne en 2005 est restée stable par rapport à 2004. La consommation d'énergie a diminué dans dix états membres et augmenté dans quatorze autres et représente 1,637 milliard de tonnes équivalent pétrole (une tonne équivalent pétrole est une unité standardisée correspondant à une tonne de pétrole d’un pouvoir calorifique inférieur de 41,868 gigajoules).
La consommation d'énergie varie d'un pays à l'autre car elle dépend du développement économique, du degré d'industrialisation et du climat. Quant à la production d'énergie au sein de l'Union, elle a diminué en 2005 : la production de pétrole brut a reculé de 9,0%, celle de gaz naturel de 5,8%, celle de charbon de 5,7% et celle d’énergie nucléaire de 1,3%.
Concernant la dépendance énergétique, elle est passée de 54% en 2004, à 56% en 2005. D'après un communiqué, "les importations d’énergie ont été dominées par le pétrole et le gaz, qui ont représenté respectivement environ 60% et 25% des importations nettes de l’UE25". Quant aux importations nettes de pétrole brut et de produits pétroliers, elles ont augmenté de 2,9% et celle de gaz de 9,2%.
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Pétrole - L'EIA revoit en baisse ses prévisions de demande
WASHINGTON, 10 octobre (Reuters) - L'agence gouvernementale américaine Energy Information Administration a revu en baisse mardi sa prévision de demande mondiale de pétrole au quatrième trimestre, à 87 millions de barils par jour.
Cette nouvelle estimation représente une baisse de 100.000 bpj par rapport à la prévision précédente contenue dans le rapport mensuel de septembre.
Pour le premier trimestre 2007, sa prévision est réduite de 200.000 bpj à 86,4 millions de bpj.
La demande avait été de 85,5 millions au dernier trimestre 2005 et de 85,1 millions au premier trimestre 2006.
L'EIA a par ailleurs estimé à 29,64 millions de bpj la production de l'Opep en septembre, soit une baisse de 280.000 par rapport à août.
Hors Irak, qui est exempté de quota, la production de l'Opep s'est montée à 27,64 millions de bpj, en baisse de 80.000 par rapport au mois précédent.
L'offre mondiale non Opep devrait quant à elle progresser de 1,6 million de bpj au premier trimestre 2007 par rapport à 2006, en hausse de 100.000 bpj par rapport à la précédente prévision de l'EIA./VT
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- GillesH38
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