Et ça redescendsTovi a écrit :On peut pas dire que ça lui ait réussit ce dumping sur le pétrole au petit roi Abdallah.
Et maintenant ça remonte. Donc.
WTI 48,45
Brent 54,16
http://www.oil-price.net/
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Et ça redescendsTovi a écrit :On peut pas dire que ça lui ait réussit ce dumping sur le pétrole au petit roi Abdallah.
Et maintenant ça remonte. Donc.
Pour le moment c'est très volatile. Les stocks sont au plus haut aux USA (d'où une chute des prix mercredi), mais ça a remonté jeudi. Faut comprendre que ces prix concernent les livraisons de mars. Dans ce contexte, c'est donc l'approvisionnement de mars qui va décider des prix. Le marché semble anticiper une réduction de l'offre aux USA (fermetures de plateformes). Si c'est le cas, on pourra au contraire dire que ce dumping a réussi.Tovi a écrit :On peut pas dire que ça lui ait réussit ce dumping sur le pétrole au petit roi Abdallah.
Et maintenant ça remonte. Donc.
http://www.romandie.com/news/Le-petrole ... 565691.romLe pétrole grimpe, aidé par les espoirs d'un resserrement de l'offre
Londres 13 février 2015
Les cours du pétrole poursuivaient leur rebond vendredi en fin d'échanges européens, restant confortablement au dessus de la barre des 60 dollars pour le Brent, aidés par les coupes budgétaires des producteurs qui pourraient resserrer l'offre à long terme, et une baisse de la production en Irak.
Vers 17H00 GMT (18H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril valait 61,19 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,89 dollar par rapport à la clôture de jeudi.
Les cours du Brent sont repassés au dessus de la barre des 60 dollars le baril vers 08H30 GMT, pour la première fois depuis fin décembre 2014.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars gagnait 1,49 dollar, à 52,70 dollars.
Le marché du pétrole est soutenu par le resserrement de l'offre perçu et actuel, notaient les analystes de PVM.
Les géants pétroliers, comme Total, BP et Royal Dutch Shell, ont annoncé tour à tour des diminutions de leurs budgets d'investissement et d'exploration. Total a d'ailleurs fait état jeudi de coupes drastiques de ses coûts d'investissements et une baisse de 30% de son budget d'exploration.
Pour les opérateurs pariant sur une remontée des prix de l'or noir, la baisse des investissements des producteurs pourrait être synonyme d'un nouveau déficit d'offre sur le marché.
Une vue confortée par les propos de Ben van Beurden, directeur de Shell, pour qui le niveau actuel des prix devrait mettre en péril le développement de futurs projets et ne permettra pas à l'offre de suivre le rythme de la demande.
Si les bonnes prévisions pour les perspectives économiques (mondiales) deviennent une réalité, le marché pourrait se resserrer et cela pourrait se traduire par des prix du pétrole plus élevés, a souligné le directeur de la major lors de la semaine internationale du pétrole, à Londres.
Les opérateurs de marché attendaient également vendredi le décompte des plateformes de forage en activité hebdomadaire du spécialiste du forage américain Baker Hughes.
Nous continuons de penser que le nombre de puits de forage va poursuivre sa baisse aux États-Unis, notaient les analystes de Capital Economics.
Les analystes s'attendaient également à ce que de nouvelles réductions budgétaires soient annoncées chez les gros producteurs dans les prochains mois, alors qu'un nombre croissant de puits de forage arrivent à la fin de leur cycle de production.
Cela devrait éventuellement se traduire par une baisse de la production de pétrole de schiste aux États-Unis, ajoutait-on chez Capital Economics.
De façon plus ponctuelle, des perturbations inattendues du côté de l'offre aidaient également les cours.
Les exportations de pétrole irakiennes ont baissé de 400.000 barils par jour en janvier, atteignant 2,5 millions de barils par jour (mbj), ont souligné les analystes de PVM. Et une mauvaise météo a retardé les chargements de brut en Irak et au Koweït en février, toujours selon les analystes.
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C'est un peu ce mot qui tracasse, "espoir". Ce resserrement de l'offre semble venir principalement du pétrole de schiste américain, qui réduit le nombre de derrick en fonctionnement, réduit les projets de nouveaux forages, licencie à tour de bras. Mais l'avis général est que leur offre ne va pas être réduite à court terme. Ils réduisent juste leurs charges, mais vont continuer à produire ce qui était prévu pour les prochains mois. Cette réduction de l'offre va probablement être ressentie à l'automne, faute d'investissement actuels, mais ne va pas concerner les livraisons de mars. J'ai l'impression que les prix actuels reflète un petite bulle qui va s'éclater quand la production réelle sera plus élevée qu'attendue par les investisseurs.Le pétrole grimpe, aidé par les espoirs d'un resserrement de l'offre
Les cours (WTI et Brent) concernent des contrats futures. Là, ça passe justement d'avril à mai. On a donc toujours un décalage. C'est l'augmentation de février qui se traduit à la pompe actuellement.rico a écrit :Bizarrement les prix à la pompe augmentent.
Face à la géopolitique, le pétrole monte, oubliant une hausse des stocks aux USA
Les cours du pétrole ont nettement monté mercredi à New York, le marché faisant passer au second plan une nouvelle hausse des stocks américains pour se concentrer sur les conséquences des troubles au Moyen-Orient, notamment au Yémen.
Le prix du baril de light sweet crude WTI) pour livraison en mai a pris 1,70 dollar à 49,21 dollars à la clôture sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), se rapprochant du seuil des 50 dollars sous lequel il était passé une quinzaine de jours plus tôt.
Alors que le marché semblait redouter depuis plusieurs séances une nouvelle hausse des réserves américaines, il a finalement bien encaissé l'annonce par le département de l'Energie (DoE) d'une progression encore plus importante que prévu, de plus de huit millions de baril.
De là a penser que l'Arabie-Saoudite engage une opération militaire au Yémen pour soutenir les prix du brut ? Mais non, ils le font pour rétablir le pouvoir légitime.mobar a écrit :Ce que le KSA fait au Yémen, fera t'il grimper le baril