Beau slogan! Faudrait se faire faire des casquettes et des gaminet (MADE IN CHINA)... tandis qu'on le peut encore...MadMax a écrit :"PO : j'y étais !"

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Tu vois quand tu veux...GillesH38 a écrit :Ceci dit, ce n'est pas tant la forme de la courbe qui est intrigante que la conjonction d'une flambée des prix jointe à un ralentissement de la production, alors qu'on s'attendrait à l'inverse si il n'y a pas de . Ce serait interessant de construire un indicateur sur la corrélation entre la dérivée du prix et la dérivée de la production par exemple, ou un truc dans ce genre...
Assez d'accord c'est la tendence sur le long terme qui nous le dira. Et on ne sera certains que lorsque la déplétion se fera sentir.GillesH38 a écrit :E2100, il y a un indicateur : la production journalière de pétrole, représenté par ce graphique.
Comme E2100 je pense pas que le prix puisse être un bon élément pour construire un indicateur. Il est trop déconnecter de la réalité physique, l'argent est une chose virtuelle qui n'a pas bcp de sens. Je ne crois pas vraiement a un indice pour ce genre de problème. C'est comme une élection on regarde la tendance et on peut dire «oui ça y est» ou «non pas encore» qu'en observant sur le long terme jusqu'à un moment où il ne peut plus y avoir de doute. Il faudra être patient et attendre.GillesH38 a écrit :Ce serait interessant de construire un indicateur sur la corrélation entre la dérivée du prix et la dérivée de la production par exemple, ou un truc dans ce genre...
justement dans Enerzine aujourd' hui :Tiennel a écrit :Est-ce que le ralentissement constaté ne s'explique pas tout simplement par le fait que l'Irak produit beaucoup moins depuis que l'invasion de 2003 ?
Au vu des réserves irakiennes, ce pic irakien n'est certainement pas celui de Hubbert (l'ASPO le place en 2025).
L'Irak a perdu des milliards de revenus pétroliers
L'Irak a perdu en trois ans, 24,7 milliards de dollars (19,1 milliards d'euros) de revenus pétroliers indique aujourd'hui l'observatoire du pétrole irakien.
Actuellement au bord de la guerre civile, le pays connaît trop d'instabilité politique et économique pour tirer profit au maximum de sa rente issue des hydrocarbures.
Les retards accumulés dans la production de pétrole seraient également liés "tant aux sanctions économiques imposées par les Nations Unies et la gestion chaotique sous le régime de Saddam Hussein qu'au regain de violence constaté dans le pays depuis l'intervention militaire américaine en mars 2003".
Des milliards de dollars doivent désormais être injectés pour développer le secteur, préconise le rapport réalisé par des services d'inspection du ministère irakien du Pétrole.
L'Irak possède les troisièmes réserves de pétrole les plus importantes au monde. Sur les 80 champs pétrolifères du pays, à peine 17 sont exploités. Seuls 1 600 des 2 300 puits d'exploitation dans le pays fonctionnent.