
Vache, pourtant il était encore jeune

Inspecteur des Finances, il est aussi l'auteur du roman de politique-fiction "Le jour où la France a fait faillite" (2006).

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Guudrath a écrit :l'express a écrit :LExpansion.com du 5 septembre 2007
Toutefois, il exclut pour le moment de s'offrir des actifs dans ce domaine, tels ceux d'Areva.
PARIS - L'Iran veut "reconsidérer" un très important projet gazier avec le groupe pétrolier français Total portant sur une usine de liquéfaction de gaz à South Pars, dans le Golfe, a indiqué le ministre iranien du Pétrole cité lundi par le Financial Times.
Le projet portant sur plusieurs milliards de dollars doit "être reconsidéré", a assuré Gholam Hossein Nozari expliquant que les prix que Total veut pratiquer pour la vente du GNL (gaz naturel liquéfié) qui sortira de l'usine sont trop élevés.
Les prix proposés à Téhéran par Total vont forcer l'Iran "à étudier la faisabilité d'un nouveau plan", a-t-il ajouté selon le quotidien économique.
Le pétrolier français a refusé de commenter les propos de M. Nozari.
"Pour l'instant, nous n'avons pu prendre de décision finale d'investissements, parce que nous sommes en train de réétudier le projet et les coûts, mais je n'ai pas de commentaire à faire sur ce qu'a dit M. Nozari", a indiqué à l'AFP une porte-parole du groupe.
Le ministre iranien a également remis en cause une des clauses prévue dans le projet, selon le FT, selon laquelle Total récupèrerait pour lui-même 5 millions de tonnes de GNL.
Ceux-ci "doivent être remis sur le marché" et ne pas aller au pétrolier français, a estimé le ministre.
L'Iran avait donné jusqu'à juillet à Total pour faire une nouvelle proposition de prix pour pouvoir finaliser ce projet, selon le FT.
Total de son côté a fait valoir que les investissements nécessaires avaient considérablement augmenté depuis les premières négociations. "Le coût de ce projet a beaucoup augmenté, et on est train de revoir la copie pour faire baisser les coûts", a expliqué la porte-parole.
Par ailleurs, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a affirmé dimanche que Paris avait "demandé" à de grandes entreprises françaises dont Total, de ne "pas répondre aux appels d'offres" en Iran en raison de la crise autour du programme nucléaire de ce pays.
Interrogée à ce sujet, la porte-parole de Total n'a pas souhaité non plus faire de commentaires, affirmant toutefois que "pour prendre une décision d'investissement, on prendra en compte la situation internationale".
L'Iran avait annoncé en février 2006 qu'il allait signer des contrats avec le géant anglo-néerlandais Shell, le français Total et l'espagnol Repsol pour développer des projets à Pars.
Total: entrée en production du champ gazier Snøhvit.
Total a annoncé l'entrée en production du champ gazier Snøhvit en mer de Barents. Le groupe pétrolier, qui détient une participation de 18,4 % dans ce projet opéré par Statoil (33,53 %), a des partenaires tels que Petoro (30 %), Gaz de France (12 %), Hess (3,26 %) et RWE-DEA (2,81 %).
Selon les accords, les premières livraisons de GNL devraient avoir lieu au quatrième trimestre de 2007. La production plateau de l'usine de Melkøya devrait être atteinte en 2008 avec près de 5,7 milliards de mètres cubes par an (550 millions de pieds cubes par jour) de gaz naturel et également près de 23 000 barils par jour de condensats et de gaz de pétrole liquéfié (GPL).
En outre, le groupe pétrolier indique que le projet Snøhvit est le premier développement gazier en mer de Barents. Il a nécessité la construction de la première usine de GNL en conditions arctiques.
Boursorama
TOTAL restera en Birmanie
"Total ne se retirera pas de Birmanie", a confirmé Christophe de Margerie, le PDG de Total dans une interview accordée au "Monde" daté du samedi. Christophe de Margerie a "entendu le message du chef de l'Etat". "Investir dans ce pays aujourd'hui, ce serait une provocation", a-t-il cependant concédé. Le PDG souligne que "l'opposition birmane n'a pas demandé le retrait de Total lorsqu'elle a été reçue par M. Sarkozy". L'ancien chef de l'Exploration-Production a réaffirmé qu'il n'y a pas de travail forcé sur nos installations".
"Dans le passé, nous sommes intervenus lourdement auprès de la junte pour éviter les dérapages", a-t-il ajouté.
Christophe de Margerie a réfuté tout soutien indirect à la junte au pouvoir : "Alors à chaque fois que nous payons des impôts dans un pays, nous soutenons son régime et sa politique ! A travers les impôts, le pays perçoit sa part des profits du gaz. Ces impôts sont payés par Total (pour 30 %), mais aussi ses trois partenaires Chevron, PTTEP (Thaïlande) et la compagnie nationale birmane. De plus, nous avons des règles strictes en matière de transparence financière".
Nous nous engageons à ce que l'argent du pétrole aille bien dans les caisses de l'Etat birman, sur des comptes officiels en Birmanie". Le champ gazier aurait rapporté 350 millions d'euros à l'Etat en 2006. "Ces revenus seraient acquis à l'Etat birman que l'actionnaire soit Total ou une compagnie chinoise, indienne, thaïlandaise ou sud-coréenne".
Au sujet de l'Iran et du projet Pars LNG, le PDG a indiqué : "il faut le revoir, ses coûts ont explosé. Il est clair qu'avant de nous lancer, nous tiendrons compte du contexte politique et de la crise nucléaire. Aujourd'hui, la question ne se pose pas, le contrat n'existe pas".
Boursorama
Pas de bol pour le groupe *****, mais lisez plutôt ceciPARIS - Le patron de Total, Christophe de Margerie, a déclaré mercredi qu'il ne "pleurait plus sur les résultats" des sociétés de services pétroliers, dénonçant la "dérive des coûts" de ces activités.
"Je ne pleure plus sur les résultats des contracteurs (...) à condition qu'ils s'arrêtent", a affirmé M. Margerie lors d'une conférence sur les activités parapétrolières.
Le patron de Total a dénoncé la "dérive des coûts" de ces activités de géophysique, forage, de construction d'équipements et d'ingénierie, qui s'est traduite, pour son groupe, par une hausse des coûts des projets en mer de 16% par an depuis trois ans.
En rapportant ces coûts à l'industrie nucléaire, M. de Margerie a estimé qu'il ne "voyait aucune société française capable d'y faire face".
Dans les contrats passés avec ces sociétés, il y a "toute une marge qui n'est pas liée à la hausse des coûts mais qui fait partie de choses liées à l'incertitude", a-t-il affirmé.
TOTAL
LUSAKA - Le gouvernement zambien a accusé mardi le groupe pétrolier français Total de causer d'importantes pénuries de carburant dans le pays.
Total Zambia "a dit qu'elle n'allait plus importer de brut après notre refus d'ajuster les prix à la pompe de 25% comme proposé par la compagnie", a déclaré le ministre des Finances Ngandu Magande, lors d'un point-presse.
Le gouvernement a dû se procurer 60.000 tonnes de brut grâce à une banque locale pour éviter une crise immédiate. Mais les stocks ne dureront que jusqu'au 10 novembre et le pays a besoin de 90.000 tonnes supplémentaires pour éviter la crise, a-t-il précisé.
NEW YORK, 25 octobre (Reuters) - Le pétrolier américain Chevron a annoncé jeudi le report d'environ 1 an de Tahiti, un projet pétrolier géant de plusieurs milliards de dollars dans les eaux profondes du Golfe du Mexique, en raison de défauts dans les chaînes d'amarrages de l'infrastructure.
Le groupe entend désormais débuter la production de ce projet Tahiti d'ici le troisième trimestre 2009, alors qu'il visait la mi-2008 auparavant, avec une production estimée à terme à 125.000 barils de brut par jour.
Chevron est opérateur du projet avec 58% de la structure d'exploitation, contre 25% pour le norvégien Statoil et 17% pour le français Total.
Chevron avait annoncé ce problème technique en juin.
Le baril, pas assez cher !
Bon. Retour au pétrole. A quand le baril à 100 dollars ? «Malgré les réserves, on ne peut augmenter la production. Un puits ne peut donner qu'un certain nombre de barils par jour, et il n'y a pas de capacités excédentaires.» Comme la demande continue de croître, le prix monte, «les fondamentaux sont durablement à des prix élevés». En tripotant son noeud de cravate, il ajoute, sûr de son effet : «Nous n'avons toujours pas testé l'élasticité de l'offre et de la demande.» En clair, le pétrole n'est pas encore assez cher pour déclencher un vrai changement de comportement. Pas assez cher ! «Sur le moyen terme, le pétrole a augmenté moins vite que le parfum ou l'eau. On s'était habitué à un baril pas cher.» Margerie a déjà une bonne demi-heure de retard à son prochain rendez-vous. On ne saura pas quand le baril sera à 100 dollars.
excellent :Total boss on why oil production will never top 100 mb/d
.... De Margerie claimed these were not only his views, but widespread in the industry, or at least “the view of those who like to speak clearly, honestly, and not just trying to please people....
Tu peut revenir maintenant , avec le bbl à 96$ on est revenu au fondamentaux .Le 02/09 , epe a écrit :
Je continue de lire le forum à peu près tous les jours, pour les sujets qui m'intéressent. Pour le reste, je n'ai pas encore changé d'avis. Trop d'intégrismes, absence de respect des opinions d'autrui et trop d'interventions réchauffement climatique qui ont dénaturé le forum.