[Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

[Angelus68]

Si tu comprend pas ce que je veux dire par la, je peut rien faire, mais moi je voudrais bien avoir des réponses pour mes questions.

[luciferon]

y a pas de prix normal

on veux tjrs le moins cher possible (gratuit .......le must )
qd le baril etait a 10 $ on n'etait pas aussi tres content a faire le plein...... (ptain fais chier je dois payer 11 euros le plein.......)

et maintenant tjrs le mm refrain .......mais en ralant plus fort.....(ptain je dois payer 90 euros le plein = 10 % du SMIC)

j'aime bien cette image

[luciferon]

http://fr.news.yahoo.com/delize/2008052 ... e9230.html

[GillesH38]

http://fr.biz.yahoo.com/20062008/202/op ... onnel.html

Opep: augmenter la production de pétrole serait "illogique et irrationnel"

on se demande pourquoi ils ont été illogiques et irrationnels aussi longtemps alors !

je pense que l'argument suivant serait un bon candidat pour le Grand Prix de la Mauvaise Foi

"Va-t-on demander aux pays qui produisent des voitures, des ordinateurs, des panneaux solaires ou des turbines à gaz d'augmenter leurs productions sous prétexte que ces prix sont très élevés?", s'est interrogé le ministre, en rejetant de nouveau la thèse des pays consommateurs selon laquelle l'augmentation des prix du pétrole est due à une baisse de la production ?

ah bon parce que ça n'augmente pas, la production de voiture, d'ordinateurs et de panneaux solaires, quand la demande augmente?

[energy_isere]

Pétrole: l'Opep ne table pas sur une baisse des prix

Les dirigeants de l'Opep, conviés mardi à une rencontre annuelle avec l'UE, ont rejeté à nouveau la demande des pays consommateurs d'une hausse de la production, tout en estimant que les prix du pétrole n'allaient "pas baisser".

"L'Opep a déjà fait ce qu'elle peut faire et les prix ne vont pas baisser", a dit le président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ministre algérien de l'Energie Chakib Khelil.

Il a néanmoins souligné que les prix du pétrole dans les mois à venir "dépendraient de l'évolution du dollar", au cours d'un point de presse après la fin de la réunion.

"Je pense que le marché attend probablement de voir comment le dollar va évoluer en juillet, comment la situation géopolitique va évoluer, avec les menaces faites sur l'Iran", a-t-il dit.

"Nous ne voulons pas accroître la production", a pour sa part confirmé le secrétaire général de l'organisation, le Libyen Abdallah el-Badri. "Il n'y a pas de pénurie", a-t-il jugé.

Dimanche, lors d'une réunion internationale à Djeddah (Arabie Saoudite), les principaux pays producteurs et consommateurs de pétrole ont recommandé des mesures techniques pour tenter de stabiliser le marché pétrolier, mais ils n'ont annoncé aucune nouvelle hausse de la production.

L'Opep s'est prononcée contre toute hausse de la production dans l'immédiat, se démarquant de son chef de file, l'Arabie saoudite, qui a annoncé une hausse de 200.000 barils de sa production quotidienne.

Mardi, à Bruxelles, les pays producteurs ont persisté à juger que l'offre était suffisante, malgré des prix du brut qui ont doublé en un an, et dépassaient les 137 dollars mardi.

"Il y a plein de pétrole sur le marché", a insisté M. el-Badri, pointant du doigt "d'autres facteurs" explicatifs, comme la spéculation.

Pour Chakib Khelil, l'origine des prix élevés du pétrole est à chercher tout d'abord dans "la crise des crédits hypothécaires à risque aux Etats-Unis".

"C'est là que tout a commencé", a-t-il jugé, mettant en cause également "la baisse du dollar" et "l'afflux de fonds qui cherchaient de bons retours sur investissements", ainsi que "la dégradation de la situation géopolitique" dans certaines régions.

Les Européens, eux, ont continué à considérer que le principal problème résidait dans l'insuffisance de l'offre, comme il l'avaient fait à Djeddah.

Le commissaire européen à l'Energie Andris Piebalgs a réitéré sa demande d'un accroissement de la production pétrolière.

"Il n'y a pas de raison de conserver des plafonds de production", a-t-il commenté, en jugeant que la spéculation sur les marchés ne jouait pas "un rôle majeur" dans la hausse des prix.

La situation des prix du pétrole est "globalement extrêmement préoccupante pour tout le monde", pour les producteurs comme pour les pays consommateurs, a commenté pour sa part le ministre français de l'Energie Jean-Louis Borloo, dont le pays prendra la présidence de l'UE en juillet.

"Il n'y a pas d'un côté les producteurs et de l'autre côté les consommateurs. On est rentrés dans une période où il faut absolument que l'on passe un pacte énergétique mondial parce que nos intérêts sont évidemment liés", a-t-il ajouté.

Les Européens, tout comme les représentants de l'Opep, se sont d'ailleurs félicités de la poursuite de leur dialogue.

"Le monde traverse une période difficile", mais "le dialogue s'est noué, et il se poursuit", a déclaré le vice-président de l'Opep, l'Angolais Desidério da Graça Verissimo da Costa.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=5632089

[pascal47]

Opep : baril entre 150 et 170 USD cet été
Source : AFP
26/06/2008 | Mise à jour : 13:19 | .
Le prix du baril du pétrole va atteindre 150 à 170 dollars "durant cet été", a prédit aujourd'hui le président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole Chakib Khelil, sur France 24.

[narach]

Opep : baril entre 150 et 170 USD cet été
Source : AFP
26/06/2008 | Mise à jour : 13:19 | .
Le prix du baril du pétrole va atteindre 150 à 170 dollars "durant cet été", a prédit aujourd'hui le président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole Chakib Khelil, sur France 24.

Si le prix passe entre 150 et 170$ et l'euro continue à monté la bourses va vraiment faire la gueul....

Le prix du baril de pétrole devrait atteindre 150 à 170 dollars cet été en raison de la possible hausse des taux par la Banque centrale européenne, des pressions diplomatiques sur l'Iran, et de la hausse de la demande américaine, estime le président de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole).

Le prix du baril est actuellement de 135 dollars sur les marchés. Sa hausse constante pèse sur les économies occidentales et a provoqué des troubles sociaux, car il amène aussi une hausse générale des autres prix, notamment alimentaires.

"Je prévois probablement des prix de 150 à 170 dollars cet été. Cela va peut-être décliner un peu avant la fin de l'année", dit Chakib Khelil, ministre de l'énergie algérien et président de l'organisation de grand pays producteurs, dans un entretien à France 24.

"Comme vous le savez, le pétrole et surtout le prix du pétrole est fonction des problèmes économiques qui se posent aux Etats-Unis, de la dévaluation du dollar et de un peu de tout ce qu'il se passe sur le plan de la politique monétaire américaine", ajoute-t-il.

La dévaluation du dollar est selon lui le premier responsable de la hausse des prix du pétrole.

Quand la BCE va décider d'augmenter ses taux, comme sa direction l'a laissé entendre dernièrement, le prix du baril va augmenter, dit-il. Il ne pense cependant pas que le prix atteindra les 200 dollars car selon lui la dévaluation du dollar par rapport à l'euro, sera "peut-être de 1 ou 2%", si tout se passe comme il le pense,.

Ce scénario générerait probablement de son point de vue huit dollars d'augmentation sur le prix du pétrole.

Le deuxième responsable après le dollar est à chercher dans "les menaces que nous avons sur l'Iran qui est un des plus grands producteurs", estime-t-il.

UN BARIL À 400 DOLLARS ?

L'Union européenne a pris lundi dernier de nouvelles sanctions économiques contre le régime de Téhéran, en raison de son refus de renoncer à l'enrichissement d'uranium dans ce qu'il présente comme un projet nucléaire civil.

"Si la crise arrive à arrêter la production de l'Iran, par exemple, on aurait vraiment une grave situation sur les bras car aucun autre pays dans le monde ne pourrait remplacer la production iranienne", dit-il.

Dans ce cas de figure, selon lui, "personne ne peut dire" jusqu'où pourrait monter le prix du baril et un prix de "300 ou 400 dollars" serait possible à ses yeux.

La spéculation sur les marchés internationaux ne joue qu'un rôle incident pour lui dans la hausse des prix. "Nous soutenons que c'est la crise économique aux Etats-Unis qui a démarré le processus, que ce sont les spéculateurs qui sont venus après pour faire augmenter les prix", dit-il.

En septembre prochain , les pays de l'Opep reverront la situation et réexamineront leur position actuelle où ils refusent d'augmenter leur production pour faire baisser les prix, dit Chakib Khelil.

"S'il y a une demande réelle sur le marché, l'OPE prendra les mesures nécessaires pour satisfaire cette demande", dit-il.

Il rappelle toutefois que les pays de l'Opep ne représentent que 40% de la production mondiale et insiste sur leur vocation statutaire. "Le but de l'Opep n'est pas de contrôler les prix mais de satisfaire le marché lorsqu'il y a une demande", dit-il.

Il souligne également que les pays consommateurs reçoivent quatre fois plus de revenus que les pays producteurs à travers les taxes. "Il ne doit pas y avoir de panique. les gouvernements doivent prendre des mesures pour traiter les problèmes des plus défavorisés, comme le fait tout le monde et passer le cap car c'en est un", dit-il.

Une hausse de la demande des Etats Unis ???

Je n'y crois pas ou alors c'est que ces Américain s'en foutent du prix élevé à la pompe

[thorgal]

Je pense que ce qu'on ne dit pas explicitement, c'est qu'on a une demande croissante de pétrole bon marché.

[fredoka]

Les réserves en pétrole seront suffisantes pour les décennies à venir, selon l'OPEP

VIENNE (AP) - Les besoins de la planète en énergie vont grimper de plus de 50% d'ici 2030 mais les réserves pétrolières et les nouvelles méthodes de récupération permettront de faire face à la demande, a déclaré jeudi l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Dans son rapport sur les perspectives pétrolières mondiales 2008, l'OPEP suggère également que des décennies de bas prix ont mené au sous-investissement, préparant mal l'industrie à satisfaire la demande accrue de brut générée par la forte croissance économique. "Les prix bas" ont été "mauvais pour l'industrie pétrolière" et "sur le plus long terme, ils ont aussi été mauvais pour le consommateur", peut-on lire dans le résumé du document de 214 pages. Dans le même temps, "il y a assez de pétrole pour répondre aux besoins du monde dans un avenir prévisible". Selon les projections de l'OPEP, la demande de pétrole devrait passer à 113 millions de barils par jour en 2030. Une grande partie de la demande sera satisfaite grâce à de nouvelles procédures de production et de récupération, ce qui signifie que la demande totale de "brut conventionnel" -du pétrole pompé à partir de puits et d'autres méthodes basées sur la technologie actuelle- ne dépassera pas 82 millions de barils par jour en 2030, précise l'OPEP dans un rapport au ton généralement optimiste. A titre de comparaison, l'OPEP avait déclaré le mois dernier qu'elle s'attendait à ce que la consommation de pétrole atteigne cette année une moyenne de 86,9 millions de barils par jour. AP cr/v344

Oui mais bien sur

[Rod]

J'ose meme pas imaginer l'état de la planète dans 50 ans si c'était vrai.
Je crois que rico a raison, on est tous perdu d'une façon ou d'une autre .

[Saratoga Elensar]

OPEC to Say Demand for its Crude to Fall in 2009, MEES Reports

July 14 (Bloomberg) -- The Organization of Petroleum Exporting Countries will tomorrow say demand for its own crude oil in 2009 will be less than its forecast for 2008, the Middle East Economic Survey reported, without saying where it got the information.

The 13-member OPEC will say in its July 15 Monthly Oil Market Report that the call on its crude next year will be 500,000 barrels a day less than the corresponding figure for 2008, the Cyprus-based newsletter said today.

The forecast will have an impact on any discussions about possible production increases at OPEC's scheduled ministerial meeting in Vienna on Sept. 9, MEES said.

Keeping OPEC's production at the current level of 32.2 million barrels a day would increase global crude inventories at a rate of 800,000 barrels a day in 2009, according to MEES.

http://www.bloomberg.com/apps/news?pid= ... fer=energy

[narach]

Pourquoi elle n'augmentera pas ?

Ils disent 800 000 barrils de + en 2009

[Saratoga Elensar]

Pourquoi elle n'augmentera pas ?

Ils disent 800 000 barrils de + en 2009

Oui, petite précipitation de ma part, je n'ai pas tout lu...

[narach]

C'est pas grave.

[Ron]

July 30 (Bloomberg) OPEC President Chakib Khelil said yesterday in Jakarta should the dollar strengthen and political tensions in the Middle East ease, then the long-term oil price will be about $70 to $80 a barrel.

http://video.google.fr/videosearch?q=kh ... ch=#q=opep
Il me semble qu'il prévoyait le baril à 150$-170$!!! il y a quelques jours a la télé française. Est-ce qu'il nous prend pour tes cons ou est-ce qu'il est tout simplement un mauvais menteur? D'ailleurs, il est intéressant de noter que dans cette entrevue, a 3min45 il dit que si l'Iran voit sa production de 3 millions de barils par jour interrompue par la guerre, l'Opep n'a PAS la capacité de remplacer cette production. Vous avez bien compris!! L'OPEP n'as pas une capacité supplémentaire de 3 millions. J'aurais tellement aimé être a la place des interviewers pour demander ensuite comment il vont répondre a la demande de plus de 100 millions de barils dans quelques années. Sans le vouloir, le masque du mensonge est tombé l'instant de cette déclaration, et Khelil nous confirme clairement qu'il est a bout de souffle. Dans ce contexte, pourquoi vendre le baril a $70??? et stimuler la demande lorsque l'offre ne peut suivre?