pas du tout ! !navidad a écrit :OPEP d'opérette
28€ le baril....
41.55 $ le baril au Nymex.
http://321energy.com/
Aerobarfilm se saisit de cette actualité brulante. http://aerobarfilms.over-blog.com/article-25898300.html
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pas du tout ! !navidad a écrit :OPEP d'opérette
28€ le baril....
29€ si si...energy_isere a écrit :pas du tout ! !navidad a écrit :OPEP d'opérette
28€ le baril....
41.55 $ le baril au Nymex.
http://321energy.com/
Aerobarfilm se saisit de cette actualité brulante. http://aerobarfilms.over-blog.com/article-25898300.html
Tout dépend la durée de chaque partie du cycle. Ce qui comptera ce sera le prix moyen sur une durée de 4-5 ans. Et ça on en a pas une idée précise.GillesH38 a écrit :Le cycle qu"on vient de vivre va sans doute se répéter de nombreuses fois, et ça a des conséquences énormes : toutes les "alternatives" censées etre rentables à un prix élevé n'auront aucune garantie justement de la durabilité de ce prix élevé, et ont toutes les chances de ne jamais etre développées massivement.
Oui, lisez ou relisez ce qui se passe pour les sables bitumineux, en particulier ce dernier post : http://forums.oleocene.org/viewtopic.ph ... 10#p223410nemo a écrit : Mais c'est vrai que l'incertitude ne convient pas du tout aux investisseurs. C'est là ou les états peuvent agir de façon déterminante.
Ajoutons un retard sur investissement qd ça va remonter , on risque une situation de "résonance" .phyvette a écrit :Le scénario des années 86/2000 recommence, avec l'OPEP toujours en retard d'une baisse de production.
Pas sûr du tout, si une industrie ne peut pas être taxée d'avoir une vision courtermiste, c'est bien le secteur énergétique. Il se pourrait qu'ils retardent quelques projets de quelques mois, mais pour une autre cause que la baisse des prix du brut.kercoz a écrit : Ajoutons un retard sur investissement qd ça va remonter , on risque une situation de "résonance".
L'OPEP envisage d'organiser une réunion extraordinaire en février, selon l'Iran
La télévision d'Etat iranienne a annoncé lundi que les Etats membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) avaient décidé de tenir une réunion extraordinaire sur la chute des prix du pétrole au Koweït au mois de février.
La télévision a cité le gouverneur iranien à l'OPEP, Mohammed Ali Khatibi, selon lequel l'organisation envisageait d'organiser une réunion habituelle en mars. Mais il a précisé que la tendance en matière de prix du pétrole nécessitait la tenue d'une réunion un mois plus tôt. M. Khatibi a expliqué que la date exacte de la réunion n'avait pas été arrêtée et que les membres de l'OPEP n'avaient pas encore reçu d'invitation.
L'Iran soutient une réduction de la production de pétrole pour augmenter les prix. Le tarif du brut a plongé de 147 dollars le baril en juillet aux alentours de 40 dollars. AP
http://www.leblogenergie.com/2009/02/le ... tions.htmlLes productions de pétrole de l'OPEP seraient assez fidèles aux quotas, ce qui semble surprendre
L'Opep va encore réduire sa prévision de la demande 2009 :
DOHA (Reuters) - L'Opep va réduire d'un million de barils par jour sa prévision de la demande pétrolière mondiale en 2009, indique le secrétaire général du cartel.
La révision sera officialisée ce mois-ci lors du prochain rapport mensuel de l'organisation, a ajouté Abdullah al Badri, qui s'exprimait devant des journalistes en marge d'une conférence au Qatar.
La consommation de pétrole a diminué en 2009 pour la deuxième année consécutive face au ralentissement économique mondial. Les derniers rapports de l'Opep prévoient que la demande mondiale diminuera de 580.000 barils par jour en 2009 pour atteindre 85,13 millions de barils par jour.
L'Opep produit plus du tiers du pétrole mondial et s'est engagé depuis septembre à réduire sa production de 4,2 millions de barils par jour, soit 5% de la demande mondiale.
La demande en pétrole produit par les membres de l'Opep a baissé de 1,9 million de barils par jour par rapport à ses niveaux de l'an dernier, a dit Abdullah al Badri.
La contraction de la demande du fait de la crise économique mondiale va continuer à peser sur les cours, a-t-il ajouté, et toutes les options seront sur la table lors de la prochaine réunion de l'Opep le 15 mars.
Le niveau actuel des cours n'est "pas vraiment acceptable" pour l'Opep mais n'est pas si négatif étant donné l'état de l'activité économique dans le monde, a remarqué Badri, en réaffirmant que les baisses de production mises en place depuis septembre ont permis de stabiliser les cours.
Les cours du brut US ont perdu plus de 100 dollars depuis leur plus haut de juillet 2008 et atteignent désormais 46 dollars. Ce niveau est bien trop faible pour encourager les investissements nécessaires aux demandes futures, a estimé Badri.
L'Arabie saoudite, premier pays exportateur et membre le plus influent de l'Opep, n'a pas encore fait connaître sa position dans la perspective de la réunion du cartel prévue dimanche.
En janvier, Riyad avait annoncé que sa production serait inférieure à l'objectif fixé par l'Opep et que tout serait fait pour rééquilibrer le marché. Le roi Abdallah avait indiqué l'an dernier que 75 dollars le baril lui semblait un niveau correct pour les cours du pétrole.
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