[Chiffres] Surveillons les prédictions de l'EIA (agence US)
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- GillesH38
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bonne question, on voit sur Oildrum que l'IEA et l'EIA ne sont pas non plus strictement d'accord. Il doit y avoir des subtiles différences dans les non conventionnels, peut etre effectivement les liquides tirés du charbon, a moins que ce soit des incertitudes de quelques % dans les quantités déclarées.
(PS aux dernieres nouvelles, le "bon" chiffre de l'IEA pour avril 06 qui en aurait fait un nouveau record a été revu à la baisse, il rentre dans le rang et s'aligne sur le plateau : 84,55 au lieu de 85,1)
(PS aux dernieres nouvelles, le "bon" chiffre de l'IEA pour avril 06 qui en aurait fait un nouveau record a été revu à la baisse, il rentre dans le rang et s'aligne sur le plateau : 84,55 au lieu de 85,1)
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
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- Charbon
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La différence pourrait être due au fait que CTL + GTL (Gaz naturel to liquids et non liquides de gaz naturel) + gains de raffinage + biocarburants ne sont pas comptabilisés.
C'est ce qui fait le problème soulevé dans un débat récent sur theoildrum : il y a certainement de bonnes raisons pour ne pas comptabiliser ces sources dans l'évaluation du pic, mais du point de vue du consommateur, ce sont des carburants ou des combustibles comme les autres.
C'est ce qui fait le problème soulevé dans un débat récent sur theoildrum : il y a certainement de bonnes raisons pour ne pas comptabiliser ces sources dans l'évaluation du pic, mais du point de vue du consommateur, ce sont des carburants ou des combustibles comme les autres.
- Mathieu G.
- Brut lourd
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Les chiffres de l'EIA tiennent compte de tous les liquides
Et pas BP
source: http://www.theoildrum.com/story/2006/6/14/25151/9885Stuart Staniford a écrit :First of all these data (nda: EIA data) are for "all liquids". As well as crude oil, this includes natural gas liquids and condensate, ethanol, production from tar sands and Orinoco bitumen, coal-to-liquids production, and refinery gains (heavy oils cracked in the refinery increase in volume).
Et pas BP
BP a écrit :Includes crude oil, shale oil, oil sands and NGLs (natural gas liquids - the liquid content of natural gas where this is recovered separately). Excludes liquid fuels from other sources such as coal derivatives
- metamec
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ok merci pour l'info.
Les chiffres de l'EIA sont à rapprocher du modèle de Laherrere lien, dont le pic est estimé pour 2015 à environ 92mb/j
donc pour le pic de pétrole, il faut prendre les chiffres bp
pour le pic tous carburants liquide les chiffres de l'EIA
Les chiffres de l'EIA sont à rapprocher du modèle de Laherrere lien, dont le pic est estimé pour 2015 à environ 92mb/j
donc pour le pic de pétrole, il faut prendre les chiffres bp
pour le pic tous carburants liquide les chiffres de l'EIA
Je vous enseigne le surhumain. L'homme n'existe que pour être dépassé. Qu'avez-vous fait pour le dépasser ?
Friedrich Nietzsche
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- GillesH38
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de toutes façons, on voit bien que "le pic" ne veut pas dire grand chose. On est actuellement dans une situation floue, plus ou moins l'amorce du "plateau ondulé". En regardant les courbes de Staniford, on est deja pas loin de 18 mois de stagnation. Bien sur, il y a deja eu des periodes de baisse dans le passsé, mais il fait remarquer que les conditions n'etaient pas les memes : soit un evemenement politique menant a une rupture d'approvisionnement (73, 80), soit une surproduction "régulée" par une baisse se manifestant par une baisse du baril AVANT la baisse de production.
EN ce moment, ni l'un ni l'autre, pas de grosse rupture, les prix explosent, et pourtant la production stagne...
qand est ce qu'on se lance dans le jeu : quelle sera l'année ayant le record absolu de la production pétrolière, tous liquides confondus? 2006 ?
EN ce moment, ni l'un ni l'autre, pas de grosse rupture, les prix explosent, et pourtant la production stagne...
qand est ce qu'on se lance dans le jeu : quelle sera l'année ayant le record absolu de la production pétrolière, tous liquides confondus? 2006 ?
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- energy_isere
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une press release de l ' EIA ici : http://www.eia.doe.gov/neic/press/press271.html
Strong Growth in World Energy Demand is Projected Through 2030
- energy_isere
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et International Energy Outlook 2006 de l 'EIA est sorti.
Pour les dévoreurs de chiffres, ca fait 202 pages de .pdf (Bien plus épais que le BP report 2006 paru ce mois ci aussi).
Ca ne pése que 1.1 Mo
le document complet : http://www.eia.doe.gov/oiaf/ieo/pdf/0484(2006).pdf
sinon la page d' acceuil : http://www.eia.doe.gov/oiaf/ieo/index.html

Pour les dévoreurs de chiffres, ca fait 202 pages de .pdf (Bien plus épais que le BP report 2006 paru ce mois ci aussi).
Ca ne pése que 1.1 Mo
le document complet : http://www.eia.doe.gov/oiaf/ieo/pdf/0484(2006).pdf
sinon la page d' acceuil : http://www.eia.doe.gov/oiaf/ieo/index.html

- GillesH38
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Il y en a deja une critique (saignante) sur Oildrum par Staniford.
La partie sur le pétrole de la Mer du Nord est savoureuse. La Norvège est censée piquer en 2006 a 3,6 Mb/jour, et la GB produire 2.2 Mb/jour en 2010 et 1,4 Mb/jour en 2030, alors que les productions sont DEJA bien en dessous de ces chiffres !
http://www.theoildrum.com/uploads/12/north_sea_bp.png
Et quelques decryptages interessants.Il fait aussi le travail de comparaisons des predictions, mais d'une année sur l'autre : moralité : la part de l'OPEP baisse, celle des pétroles non conventionnels monte. Meme si au total la croissance jusqu'en 2030 n'est pas remise en question, le message subliminal est : ne comptez plus trop sur l'OPEP, et les prix du barils vont rester assez élevés pour justifier les investissements dans le non conventionnel !
La partie sur le pétrole de la Mer du Nord est savoureuse. La Norvège est censée piquer en 2006 a 3,6 Mb/jour, et la GB produire 2.2 Mb/jour en 2010 et 1,4 Mb/jour en 2030, alors que les productions sont DEJA bien en dessous de ces chiffres !

http://www.theoildrum.com/uploads/12/north_sea_bp.png
Et quelques decryptages interessants.Il fait aussi le travail de comparaisons des predictions, mais d'une année sur l'autre : moralité : la part de l'OPEP baisse, celle des pétroles non conventionnels monte. Meme si au total la croissance jusqu'en 2030 n'est pas remise en question, le message subliminal est : ne comptez plus trop sur l'OPEP, et les prix du barils vont rester assez élevés pour justifier les investissements dans le non conventionnel !
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- Tiennel
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Energie/climat: l'AIE exhorte le G8 à miser sur la technologie
L'Agence internationale de l'énergie (AIE), chargée l'an dernier par le G8 de faire des propositions en matière de stratégies énergétiques à long terme, a mis l'accent dans un rapport publié jeudi sur les gains à attendre de technologies plus pointues et adaptées.
"Les technologies peuvent faire une différence", a souligné le directeur exécutif de l'AIE, Claude Mandil lors d'un point presse de présentation du rapport baptisé "Les perspectives de technologie dans l'industrie: scénarios et stratégies d'ici à 2050", qui détaille plusieurs scénarios.
"Un avenir énergétique durable est possible, mais seulement à condition que nous agissions de manière urgente et décisive pour promouvoir, développer et déployer une série complète de technologies énergétiques", a-t-il dit. "La tâche est urgente", a-t-il insisté.
A cet égard, les principales technologies sont l'amélioration de l'efficacité énergétique, la capture du CO2, les énergies renouvelables et le nucléaire lorsque c'est possible. "Nous avons les moyens, à présent il nous faut la volonté", a-t-il souligné.
Les chefs d'Etat et de gouvernement des pays membres du G8 (Allemagne, Grande-Bretagne, Etats-Unis, Japon, France, Italie, Etats-Unis et Russie) s'étaient engagés lors de leur dernière rencontre en juillet 2005 à Gleneagles (Royaume-Uni) à réduire les émissions de gaz à effet de serre, améliorer la sécurité et réduire la pollution atmosphérique.
Ils avaient chargé à la même occasion l'AIE de proposer des "scénarios énergétiques et des stratégies alternatifs ayant pour objectif un futur propre, intelligent et compétitif".
Le rapport publié jeudi est une partie de la réponse à cette demande, a expliqué M. Mandil, qui a toutefois refusé de "spéculer" sur les résultats politiques à attendre de la prochaine réunion du G8, prévue du 15 au 17 juillet, à Saint-Pétersbourg.
L'efficacité énergétique est ainsi considérée comme un élément à la fois "indispensable" et "disponible immédiatement", souligne le rapport. A lui seul il permettrait d'ici 2050 de réduire la demande énergétique d'un montant équivalent à presque la moitié de la consommation mondiale actuelle.
Les technologies permettant la capture et le stockage du dioxyde de carbone émis par les centrales thermiques ou l'industrie doivent aussi être prioritaires, sous peine de quoi le coût des réductions d'émissions de CO2 sera bien plus élevé, souligne l'AIE.
Enfin pour ce qui est du transport, les bio-carburants et l'emploi de véhicules plus efficaces pourraient permettre de réduire de près de 50% la croissance de la demande de carburant attendue d'ici 2050 selon le rapport.
Méfiez-vous des biais cognitifs
- Cheb
- Charbon
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Tiennel a écrit : L'efficacité énergétique est ainsi considérée comme un élément à la fois "indispensable" et "disponible immédiatement", souligne le rapport. A lui seul il permettrait d'ici 2050 de réduire la demande énergétique d'un montant équivalent à presque la moitié de la consommation mondiale actuelle.

Et ça c'est pour tomber pilpoil sur le profil de production énergétique mondial de 2050 ?
"Si vous n'aimez pas mes idées, ce n'est pas grave, j'en ai d'autres" (Marshall Mc Luhan)
- MadMax
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Pétrole: l'AIE prévoit une croissance de la demande de 1,8% en 2007
L'Agence internationale de l'énergie prévoit une croissance de la demande de pétrole en 2007 de 1,8% à 86,4 millions de barils par jour (mbj) dans son rapport mensuel de juillet.
La demande de pétrole devrait progresser de 1,6 mbj en 2007, grâce à des perspectives économiques mondiales "toujours solides" et un rebond de la demande des pays nord-américains et des pays non-OCDE en Asie, explique l'AIE.
Cette prévision n'atteint cependant pas le niveau de croissance de la demande en 2004 qui était de 4%, rappelle l'agence, chargée de conseiller les pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) en matière de sécurité énergétique.
L'AIE prévoit une croissance du Produit intérieur brut légèrement moins forte en 2007, en raison d'une modération de la croissance américaine.
Pour 2006, l'AIE a quasiment maintenu inchangée sa prévision de croissance de la demande de pétrole à 1,4%, soit 84,8 mbj, contre une prévision de 1,5% il y a un mois à 84,9 mbj.
"La faible consommation des pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) au deuxième trimestre a été compensée par une forte demande chinoise", explique l'AIE.
Du côté de l'offre, l'AIE relève qu'elle a progressé de 315.000 barils par jour en juin par rapport à mai à 85,2 mbj.
La production de brut des pays de l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole) a augmenté en juin de 200.000 barils pour frôler la barre des 30 millions de barils par jour, à 29,8 mbj, grâce à la reprise des exportations de l'Irak vers le Sri Lanka.
Les stocks de pétrole des pays de l'OCDE ont diminué en mai de 7 millions de barils (par rapport à mai 2005) à 2,673 milliards de barils, ajoute l'AIE.
- GillesH38
- Hydrogène
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Dernière livraison du Short Term Outlook de l'EIA , qui donne une image un peu différente :

Première chose bizarre : une réévaluation des chiffres de 2005 (entre 18 mois et 6 mois auparavant quand même) de presque 0,4 Mb/jour pratiquement toute l'année (la courbe en rouge plein est la derniere, nettement au dessus des précédentes).
(Rappel, le tableau le plus récent est consultable ici)
A l'inspection des tableaux, cette réévaluation ne porte que sur les chiffres de l'OPEP, et plus particulierement sur la partie "liquides non conventionnels". Plus précisément la production totale de l'OPEP a été réévaluée, alors que la partie "crude oil" est inchangé.
En revenant en arrière, on s'aperçoit que ces chiffres fluctuent meme apres que la période soit passée. Ainsi le premier trimestre 05 etait évalué en janvier a 83.8, puis a été réévalué régulièrement jusqu'à 84.1 dans les tableaux de juillet a septembre 05, puis 84.2 dans les tableaux d'octobre a decembre, puis est redescendu a 83.9, puis a 83.8 de de mai a juin 06 , pour remonter brutalement a 84.2 ce mois ci (un an et demi apres donc).
Bref je ne sais pas ce qu'ils fabriquent avec leurs chiffres, mais ça fluctue facilement de +- 0.4 Mb/jour.
La réévaluation de tout 2005 se fait sans changement notable des prédictions 2006/2007, ce qui accentue l'impression de "plateau". Techniquement, notons que le premier semestre 2006 est évalué avec une moyenne de 84,45 Mb/jour alors que le premier semestre 2005 est évalué à 84,5 Mb/jour. en moyenne sur 6 mois (oou en production cumulée ce qui revient au meme), 2006 est donc bien legerement inférieure (disons égale aux incertitudes pres) a 2005. L'EIA n'a pas l'air de croire a un mois de mai pharamineux, mais il ne donne que la moyenne trimestrielle.
Neanmoins, ils continuent impertubablement a prevoir une hausse sensible des 3e et 4e trimestre 2006, ce qui effectivement conduirait a une augmentation de 2006 par rapport à 2005. Le taux de croissance esperé d'ici le printemps 2007 est de l'ordre de + 5% par an, alors que comme je l'ai dit plus haut il est en moyenne nul depuis un an.
Wait and see....

Première chose bizarre : une réévaluation des chiffres de 2005 (entre 18 mois et 6 mois auparavant quand même) de presque 0,4 Mb/jour pratiquement toute l'année (la courbe en rouge plein est la derniere, nettement au dessus des précédentes).
(Rappel, le tableau le plus récent est consultable ici)
A l'inspection des tableaux, cette réévaluation ne porte que sur les chiffres de l'OPEP, et plus particulierement sur la partie "liquides non conventionnels". Plus précisément la production totale de l'OPEP a été réévaluée, alors que la partie "crude oil" est inchangé.
En revenant en arrière, on s'aperçoit que ces chiffres fluctuent meme apres que la période soit passée. Ainsi le premier trimestre 05 etait évalué en janvier a 83.8, puis a été réévalué régulièrement jusqu'à 84.1 dans les tableaux de juillet a septembre 05, puis 84.2 dans les tableaux d'octobre a decembre, puis est redescendu a 83.9, puis a 83.8 de de mai a juin 06 , pour remonter brutalement a 84.2 ce mois ci (un an et demi apres donc).
Bref je ne sais pas ce qu'ils fabriquent avec leurs chiffres, mais ça fluctue facilement de +- 0.4 Mb/jour.
La réévaluation de tout 2005 se fait sans changement notable des prédictions 2006/2007, ce qui accentue l'impression de "plateau". Techniquement, notons que le premier semestre 2006 est évalué avec une moyenne de 84,45 Mb/jour alors que le premier semestre 2005 est évalué à 84,5 Mb/jour. en moyenne sur 6 mois (oou en production cumulée ce qui revient au meme), 2006 est donc bien legerement inférieure (disons égale aux incertitudes pres) a 2005. L'EIA n'a pas l'air de croire a un mois de mai pharamineux, mais il ne donne que la moyenne trimestrielle.
Neanmoins, ils continuent impertubablement a prevoir une hausse sensible des 3e et 4e trimestre 2006, ce qui effectivement conduirait a une augmentation de 2006 par rapport à 2005. Le taux de croissance esperé d'ici le printemps 2007 est de l'ordre de + 5% par an, alors que comme je l'ai dit plus haut il est en moyenne nul depuis un an.
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- Gaz naturel
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- Tiennel
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Tiens, en relisant ce post, je m'aperçois que je ne suis pas le seul à confondre EIA (Energy Information Administration) et IEA (International Energy Agency). La première dépend du Department of Energy états-unien, la deuxième de l'OCDE... Pas tout à fait la même chose !
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- GillesH38
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Oui, on l'a deja précisé, mais une petite piquouse de rappel n'est pas inutile effectivement Tiennel
.
Je parle bien de l'EIA américaine, Madmax parlait de l'AIE qui est l'acronyme français de l'IEA (Agence Internationale pour l'Energie).

Je parle bien de l'EIA américaine, Madmax parlait de l'AIE qui est l'acronyme français de l'IEA (Agence Internationale pour l'Energie).
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