[Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

[tom]

L'Opep ne réduira pas sa production si la demande se maintient
lun. avr. 17, 2006 3:06



par Will Rasmussen et Ghaida Ghantous

DOHA/DOUBAI (Reuters) - L'Opep produit du pétrole presque à capacité maximale pour maîtriser des prix qu'elle juge trop élevés et les stocks et les capacités non exploitées sont suffisamment importants pour parer à toute baisse de l'offre inattendue, ont dit des responsables de l'organisation lundi.

Malgré les efforts de l'Opep, les prix du brut montent à nouveau car la demande reste forte et que l'approvisionnement de certains pays tels que l'Iran et le Nigeria fait souci pour des raisons de géopolitique.

Le ministre du Pétrole qatari Abdullah al-Attiyah et un délégué de l'Opep, organisation qui représente plus de la moitié des exportations de pétrole mondiales, ont dit que celle-ci ne réduirait sans doute pas sa production de toute l'année 2006 si la demande se maintient à son rythme actuel, et avec un baril de brut qui évolue autour des 70 dollars.

"Je pense que les prix du pétrole sont trop élevés mais nous ne pouvons rien y faire", a dit Attiyah à Reuters, en marge d'un forum économique à Doha. "Nous produisons déjà à capacité maximale". "Avec une telle demande, je pense que nous garderons la même production toute l'année", a-t-il déclaré, ajoutant qu'il n'y avait pas de pénurie de l'offre.

Le baril de brut léger américain a atteint lundi les 70 dollars pour la première fois depuis sept mois et demi, tandis que le Brent de la Mer du Nord évolue lui au-dessus des 71 dollars.

Les prix ont augmenté de plus de 20% depuis la mi-février malgré des stocks de brut américains considérables. Plusieurs éléments expliquent cet état de fait: la confrontation entre l'Iran et l'Occident sur les ambitions nucléaires du premier, les craintes que les USA ne puissent satisfaire la demande d'essence estivale et enfin la perte d'un quart de la production nigériane en raison de troubles intérieurs.

A quoi il faut ajouter le contentieux entre le Tchad et la Banque mondiale portant sur l'exploitation du gisement pétrolier de Doba, encore que N'Djamena ait accepté une médiation américaine, repoussant de deux semaines la menace de fermer les robinets pétroliers.

INQUIÉTUDES POLITIQUES

Les stocks d'essence américains ont diminué de 3,9 millions de barils la semaine dernière, soit plus que prévu en raison d'un lourd programme de maintenance des raffineries.

"Deux choses expliquent vraiment que les prix soient élevés, ce qui ne plaît pas à l'Opep: les stocks d'essence aux Etats-Unis et la situation politique en Iran, Irak et aussi au Nigeria", a dit le délégué de l'Opep.

Ce dernier a ajouté que les marchés pétroliers mondiaux étaient bien équilibrés et devraient le rester pour le restant de 2006. "Le marché ne demande pas plus de brut", a-t-il dit. "En termes d'offre, c'est bien équilibré et en fait, il y a un excédent des stocks mondial, qui sont plus élevés que la normale pour ce qui concerne le brut", a poursuivi le délégué.

"Il y a suffisamment de pétrole dans les stocks et suffisamment de capacités inexploitées pour satisfaire toute hausse inattendue de la demande ou pénurie de l'offre cette année".

Attiyah a précisé que les ministre de l'Opep se consulteraient de façon officieuse cette semaine à l'occasion du Forum international de l'énergie qui se tiendra le 22 avril à Doha et qu'il était peu probable que cela se traduise par des actes. La prochaine réunion officielle de l'Opep est prévue le 1er juin.

La plupart des pays membres de l'Opep ont presque atteint leur capacité de production maximale et le cartel n'arrive pas à tenir son objectif d'une production de 28 millions de barils par jour (bpj) depuis le début de l'année, en raison surtout du Nigeria.

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) estime que la demande de pétrole de l'Opep sera de 29,4 millions bpj cette année et juge donc que le cartel devra produire plus que prévu pour satisfaire une demande mondiale croissante et couvrir les carences d'autres producteurs.

L'Arabie saoudite, premier exportateur mondial, a dit que la demande des raffineurs pour les bruts lourds et moyens, qui représentent l'essentiel de ses capacités inexploitées, n'était pas suffisante.

Prié de dire si les prix du pétrole, en leur état actuel, étaient préjudiciables à l'économie mondiale, Attiyah a répondu: "Lorsqu'on dépasse 60 dollars, je commence à m'inquiéter".

L'Opep souhaite voir le pétrole évoluer entre 50 et 60 dollars.

[energy_isere]

http://www.boursorama.com/international ... ws=3383968

Le marché pétrolier "bien approvisionné" malgré les cours, répète l'Opep

Le marché pétrolier est "bien approvisionné" malgré le niveau record des cours, a répété mardi l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui fournit environ 40% de la production mondiale.

Le cartel avait prévu de longue date de se retrouver de manière "consultative" dimanche 23 avril en marge d'un forum consommateurs/producteurs sur l'énergie, le Forum international de l'énergie. Cette rencontre ne peut pas être avancée, a indiqué depuis Vienne à l'AFP Omar Farouk Ibrahim, chef de la communication de l'Opep.

Toutefois, les 11 ministres des pays membres se consultent de "manière quasi constante depuis deux semaines", a-t-il souligné, alors que les cours du brut volent de record en record, au-dessus de la barre des 70 dollars le baril.

"La conférence (des ministres) prendra toute mesure nécessaire pour calmer les marchés. Nous sommes très préoccupés", a-t-il noté.

"Mais l'élément-clé est que ces évolutions ne sont pas le résultat d'une pénurie de pétrole sur le marché", a-t-il souligné. "Si le marché n'était pas bien approvisionné, il se pourrait que l'Opep doive pomper davantage pour calmer les marchés mais tout le monde vous dira que les marchés sont bien approvisionnés", a-t-il ajouté.

"Les ministres vont se réunir et voir ce qui doit être fait pour calmer davantage les marchés", a-t-il dit.

Le 10è Forum international de l'énergie, sur lequel vient se greffer cette réunion de l'Opep, doit rassembler à Doha (Qatar) plusieurs dizaines de ministres, hauts responsables et patrons du secteur énergétique du 21 au 25 avril. Ce forum, qui a lieu tous les deux ans, vise à approfondir le dialogue énergétique entre producteurs et consommateurs.

"Je pense qu'étant donnée la situation à présent, tout le monde va discuter à fond du problème et voir comment on peut la résoudre, de préférence sur le long terme, pas juste dans l'immédiat", a remarqué M. Ibrahim.

Les ministres de l'énergie des 11 pays de l'Opep (Arabie saoudite, Koweït, Algérie, Emirats Arabes Unis, Libye, Venezuela, Nigeria, Irak, Iran, Indonésie et Qatar) devraient tous être présents à la réunion. Ils devraient également profiter de l'occasion pour tenir une série de réunions bilatérales, a-t-il dit.

Le cours du pétrole "light sweet crude" à New York a atteint mardi un nouveau record historique, à 70,86 dollars le baril, porté notamment par la crainte d'une escalade de tensions entre les Etats-Unis et l'Iran. Il s'agit de son plus haut niveau depuis le début de sa cotation à New York en 1983.

10iéme forum international de l'énergie, faudra suivre cela.

[Cheb]

Oui c'est là que vont surement se nouer beaucoup de choses ...
Une espèce de Davos de l'énergie ?

[energy_isere]

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=3396089

L'Opep s'estime impuissante face à la flambée du pétrole

par Peg Mackey et Janet McBride

DOHA, Qatar (Reuters) - Les ministres du pétrole de l'Opep réunis à Doha se sont estimés impuissants face à la flambée des cours du brut et ont décidé de ne pas relever leur plafond de production, fixé à 28 millions de barils par jour.

L'annonce officielle du statu quo a été faite par le ministre vénézuélien du Pétrole, Rafael Ramirez.

Le ministère saoudien du pétrole, Ali al-Naimi, a expliqué qu'aux yeux de l'Opep, le marché était le seul responsable des nouveaux cours records touchés par l'or noir la semaine dernière.

"Le marché détermine le prix du pétrole", a déclaré le ministre à la presse, lors de son arrivée au Forum international de l'énergie à Doha où les ministres de l'Opep s'étaient réunis de façon informelle en marge d'un forum international de trois jours entre pays consommateurs et pays producteurs.

"Vous savez comme moi que la raison pour laquelle les prix se situent là où ils sont n'est pas celle d'un manque d'approvisionnements. Les stocks sont à leur plus haut niveau, les fondamentaux sont donc solides", a-t-il dit.

Le brut léger américain a franchi la barre symbolique des 75 dollars le baril vendredi alors que la tension reste très vive sur le dossier nucléaire iranien. L'Iran, quatrième exportateur mondial de brut, est accusé par la communauté internationale de chercher à se doter de l'arme nucléaire. Téhéran déclare de son côté que son programme d'enrichissement d'uranium n'est destiné qu'à des fins civiles.

"On ne peut rien y faire. Tant que cette tension ne retombe pas, les prix resteront hauts", a déclaré al-Naimi, la voix la plus influente au sein de l'Opep.

LA PROPOSITION KOWEITIENNE ECARTEE

Dimanche, un haut responsable pétrolier libyen a estimé que les craintes de frappes américaines sur l'Iran représentaient 10 à 15 dollars de hausse sur le baril. Le ministre du Pétrole du Koweit estime que sept dollars supplémentaires doivent être mis sur le compte du sentiment de vulnérabilité des pays consommateurs.

Les cours du pétrole sont également soutenus par la situation au Nigeria, où des attaques de rebelles ont paralysé un quart de la production pétrolière. Enfin, la production irakienne, autrefois très importante, est en crise.

Les ministres de l'Opep n'ont donc pas donné suite lundi à la proposition du Koweit de faire usage de la capacité totale non utilisée du cartel, soit deux millions de bpj supplémentaires, comme en septembre dernier, quand les cours pétroliers avaient dépassé les 70 dollars.

A ce moment-là, comme actuellement, un manque d'essence aux Etats-Unis, qui consomment plus de 40% de l'essence mondiale, expliquait en partie la hausse des prix. A l'époque, les ouragans avaient endommagé des raffineries américaines.

Actuellement, l'introduction d'une essence plus propre aux Etats-Unis pourrait désorganiser l'offre à court terme, a déclaré le secrétaire à l'Energie, Sam Bodman.

Les investisseurs s'accordent pour dire que l'Opep, qui fournit un tiers du pétrole mondial, ne peut rien faire pour faire redescendre les cours pétroliers, qui se situent à leur plus haut niveau en termes réels depuis 1980, l'année qui a suivi la révolution iranienne.

"L'Opep ne peut rien contre cette hausse. Elle ne dispose plus de beaucoup de marge de manoeuvre", estime Michael Coleman, directeur du hedge fund Aisling Analytics.

[mrlargo]

Source

Sudan says OPEC invites it to join oil cartel
2006-05-25 06:04
Organisation of the Petroleum Exporting Countries, OPEC, invited Sudan to become a full member of the oil cartel on Wednesday, reports Reuters.

Sudan is a small oil producer, with output currently around 500,000 barrels per day, but it has attended meetings of the 11-member cartel for more than five years as an observer and production is rising steadily.

The invitation was made in a letter from Nigerian President Olusegun Obasanjo, who holds the rotating presidency of the Organisation of the Petroleum Exporting Countries, OPEC, to Sudanese President Omar Hassan al-Bashir.

"President al-Bashir expressed appreciation to the Nigerian president and promised to study the invitation and respond to it in the future," the SUNA agency website reported.

OPEC is due to hold its next ministerial conference to discuss output policy on June 1 in Caracas, Venezuela.

Si quelqu'un peut m'expliquer ce que cela implique...

[phylippe]

141st Extraordinary Meeting of the OPEC et Third OPEC International Seminar: “OPEC in a New Energy Era: Challenges and Opportunities”
Et le premier juin, c'est après-demain. Pour les Anglophone, il y a un lien pour la video en Streaming et un autre pour poser des question ici.

[toto]

Avec les prieres, ca va s'arranger.

« Il n’y a pas de signe significatif d’un effet des prix actuels du pétrole sur la croissance », a affirmé hier le secrétaire général de l’Opep, Mohammed Barkindo, à la veille d’une réunion ministérielle du cartel à Caracas.
Interrogé pour savoir quel niveau de prix pourrait devenir préoccupant, M. Barkindo, a déclaré que l’organisation était « inquiète de tout prix qui place le pétrole en concurrence avec les énergies alternatives ».
« Nous aimerions que la croissance continue et que les consommateurs continuent de choisir le pétrole », a-t-il ajouté, soulignant que pour le mo-ment la croissance reste forte dans les pays de l’OCDE.
Concernant les inquiétudes géopolitiques, il a indique : « Nous nous joi-gnons aux appels à l’adresse des leaders mondiaux pour qu’ils prêtent davantage d’attention à l’influence des tensions géopolitiques sur les prix ».
A propos de la prochaine saison des cyclones et son impact éventuel sur la production du golfe du Mexique, M. Barkindo a déclaré que le cartel « espère et prie pour que les prévisions météorologiques soient erronées ».

Il doit bien savoir que ce n'est pas demain que les energies alternatives vont prendre le pas sur le petrole, ce serait bien de l'intox.

[Tiennel]

Dieu n'aime pas le pétrole : le confort matériel apporté par les hydrocarbures permet à l'humanité de se passer d'opium spirituel

[GillesH38]

Très curieusement, a chaque fois que l'OPEP parle de son plafond de production, elle dit que finalement, tout compte fait, elle ne va pas le baisser. Comme si c'est ça qu'on attendait ! les prix explosent, la production stagne, et l'OPEP etudie l'option de BAISSER ses plafonds, jamais de les augmenter!

[greenchris]

Ils sont à l'agonie, ils ne maîtrisent plus rien, ils pompent, c'est tout ce qu'ils peuvent faire maintenant.

[kouack]

...

[GillesH38]

avant de faire savoir que les membres de l'OPEP avaient augmenté la production de quatre millions de baril par jour depuis 2002.

Tout l'humoir froid et sophistiqué (comme dirait Gotlib) de cette phrase peut etre apprécié en regardant la courbe de production de l'OPEP depuis 2002 sur le post de Sylvain ici (bas de la page )

[Jorkar]

L'OPEP recrute!!!! Pour cacher ses difficultés à produire plus de pétrole?! M'étonnerait pas!

Voici un article paru ici

je cite:

L'Opep veut s'agrandir pour préserver son influence
Par La Tribune
lun 05 jui, 10h00

L'Opep a discuté de l'intégration de l'Angola, du Soudan et de l'Équateur. Les capacités de production excédentaire augmentent rapidement.

Dans un contexte de forte tension sur les capacités de production, les poids lourds de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) sont favorables à de nouvelles adhésions. La question a été sérieusement discutée en fin de semaine dernière au sommet de Caracas. Le Nigeria, qui assure la présidence de l'Opep, a remis fin mai une lettre au Soudan et à l'Angola en ce sens. Le président vénézuélien pousse pour sa part en faveur de l'entrée de l'Équateur.

"Bienvenue à tout pays producteur et exportateur qui souhaite se joindre à l'Opep", a déclaré le puissant ministre du Pétrole saoudien, Ali al-Naouimi. Le cartel pourrait "diversifier sa production", serait "plus fort" et ses décisions auraient "plus de poids", a renchéri le ministre algérien de l'Énergie, Chekib Khelil. Des délégués ont indiqué que l'entrée de l'Angola et du Soudan était prise davantage au sérieux que celle de l'Équateur (535.000 barils par jour), sponsorisé par le Venezuela, seul pays latino-américain membre de l'Opep. Mais aucun des deux pays africains n'a encore envoyé de demande formelle d'adhésion. Le ministre angolais Desiderio da Costa, observateur à Caracas, a précisé que son pays l'"envi- sageait", mais que le sujet devait être débattu par le gouvernement.

L'Opep cherche "désespérément" à recruter des membres "parce que son contrôle sur le marché et son prestige s'estompent" face aux producteurs non Opep comme la Russie, estime Phil Flynn, analyste dans la firme américaine Alaron Trading. En quelques années, la Russie est redevenue le deuxième producteur mondial de pétrole, au coude-à-coude avec l'Arabie Saoudite. L'Opep, qui assurait plus de 60 % de la production mondiale de pétrole à la veille du premier choc pétrolier, n'en représente plus que 40 %. L'entrée des trois pays ferait grimper la part de l'Opep à 43 %.

Mise en garde. L'Opep souhaite se renforcer, alors que tous ses membres produisent à pleine capacité. "Mais la donne évolue rapidement, met en garde Pierre Terzian, directeur de la rédaction de Pétrostratégies. La production évolue désormais plus vite que la demande." En 2005, les capacités de production excédentaire ne dépassaient pas un demi-million de barils. Mais la flambée des cours du pétrole aidant, les compagnies pétrolières mettent en production de nouveaux champs de pétrole. "Les capacités excédentaires s'élèvent aujourd'hui à 2 millions de barils et devraient atteindre 4 millions de barils début 2007", estime ce spécialiste, qui ajoute que certaines compagnies réfléchissent déjà aux conséquences d'une rechute des cours.

Xavier Harel

Vous y croyez vous à une future capacité excédentaire de 4 millions de barils? et à une rechute des cours?

60 voire 50 dollars je veux bien mais en -dessous ça m'étonnerait.

[epe]

En 2005, les capacités de production excédentaire ne dépassaient pas un demi-million de barils. Mais la flambée des cours du pétrole aidant, les compagnies pétrolières mettent en production de nouveaux champs de pétrole. "Les capacités excédentaires s'élèvent aujourd'hui à 2 millions de barils et devraient atteindre 4 millions de barils début 2007", estime ce spécialiste,

Compte-tenu de l'inertie de l'industrie pétrolière (pour des raisons techniques et logistiques), j'ai beaucoup de mal à croire à une augmentation des capacités excédentaires de près de 3,5 Mb/j en à peine plus d'un an, surtout qu'il faut toujours compenser la déplétion. Ou alors c'est que la demande s'effondre complètement, ce que je n'ai lu nulle part.

[energy_isere]

popur completer le post de Jorkar :

Le Soudan devrait prochainement adhérer à l'OPEP


Le Soudan devrait bientôt devenir un membre à part entière de l'Organisation des pays exporteurs du pétrole (OPEP). Le président actuel de l'OPEP, Edmund Daukoru qui est également le ministre d'Etat nigérian pour les ressources pétrolières, a révélé que le Soudan était intéressé par une entrée prochaine dans l'OPEP.

Il a ainsi déclaré : " Nous aidons des discussions à cet égard avec les autorités soudanaises " ; " L'OPEP a invité la semaine dernière le Soudan à adhérer à l'OPEP pour lui permettre de profiter de ses ressources pétrolières " a-t-il précisé.

Rappelons que le Soudan possède une capacité de production de plus de 500 000 barils de brut par jour.

source enerzine : http://www.enerzine.com/10/528+Le-Souda ... OPEP+.html