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Oil Prices /March 2, 2022/
Apparence trompeuse: c’est le brent qui explique cette variation de signal dans urals-brent. Probablement que les contrats sont moins liquides.
Non pas vraiment, j'ai un pote ds la banque, et clairement acheter du pétrole russe devient pénible, pour pleins de raisons, et certains commencent à vouloir officialiser le fait que l'on en achète plus (Hollande vient de le dire)
…n’est-ce pas la définition même de « moins liquide »? Pas sur de comprendre en quoi ton point n’est pas vraiment celui que je faisais. Peut-être un quiproquo avec le terme « expliquer »? Je l’utilisais au sens statistique (le signal brent explique/corrèle le signal urals - brent mieux que le signal urals) et non au sens logique/causal (il y a un mécanisme par lequel les variations du brent causent un decouplage avec les variations de l’urals).
Ca depend de ce que tu appelle "moins liquide", si tu fais référence aux marchés financier, je pense pas qu'il y ait une grande différence (surtout avant les sanctions), par contre toute l'infrastructure physique de livraison du pétrole Russe est beaucoup orientée actuellement vers l'Europe que l'Asie :Jeudi a écrit : ↑03 mars 2022, 14:43…n’est-ce pas la définition même de « moins liquide »? Pas sur de comprendre en quoi ton point n’est pas vraiment celui que je faisais. Peut-être un quiproquo avec le terme « expliquer »? Je l’utilisais au sens statistique (le signal brent explique/corrèle le signal urals - brent mieux que le signal urals) et non au sens logique/causal (il y a un mécanisme par lequel les variations du brent causent un decouplage avec les variations de l’urals).
Hollande, tu parles de l’ancien président français? Il s’est recyclé dans le pétrole russe?
Si l'inde et la chine peuvent le prendre (et que l'on prend ce qui est libéré de leurs parts de l'AS) ça n'est pas évident !
Je parle de liquide au sens financier après les sanctions.
Ok. Détrompe moi au besoin, mais je ne crois pas que sa voix soit particulièrement influente ou prédictive. Surtout, pas sur que l’Allemagne puisse se permettre de s’en passer à court terme.
Conclusions :
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72.
https://www.connaissancedesenergies.org ... 008-220304Pétrole: le baril de Brent clôture à 118,11 dollars, nouveau plus haut depuis 2008
AFPparue le 04 mars 2022
Le baril de Brent de la mer du Nord a clôturé vendredi à 118,11 dollars, un niveau qu'il n'avait plus atteint depuis août 2008, galvanisé par l'arrêt, de facto, des exportations russes.
Le prix du baril de cette variété de pétrole pour livraison en mai, le plus échangé à Londres, a encore gagné 6,92% sur la séance de vendredi.
Depuis le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie il y a huit jours, le Brent a pris 21,9%.
A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) avec échéance en avril, a lui fait un bond de 7,43% vendredi, pour terminer à 115,68 dollars, une première depuis septembre 2008.
"Tant que la guerre se poursuit, qu'il y a autant d'incertitude et la crainte de voir les barils russes retirés du marché, les prix vont rester élevés", a commenté Matt Smith, responsable de l'analyse pétrole chez Kpler.
Selon plusieurs médias, la compagnie Shell a acheté vendredi une cargaison de 100.000 tonnes de brut russe avec une décote de 28,5 dollars le baril par rapport au prix de référence, du jamais vu.
"Il y a des cargaisons qui se traitent, en mer Noire, avec des rabais de 20 dollars (le baril) et qui ne trouvent pas preneur", a expliqué, mercredi, la PDG de la compagnie maritime de pétroliers International Seaways, Lois Zabrocky.
Vendredi, la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, a indiqué que le gouvernement Biden étudiait les "options" possibles "pour réduire (la) consommation d'énergie russe" par les Etats-Unis.
Elle a néanmoins prévenu que la Maison Blanche se préoccupait aussi de minimiser l'impact pour les consommateurs.
Les prix à la pompe ne cessent d'augmenter aux Etats-Unis, et le prix du gallon (3,78 litres) d'essence ordinaire en Californie a franchi vendredi les 5 dollars pour la première fois.
"Il va falloir trouver ailleurs les barils que la Russie ne fournit plus", a expliqué Matt Smith.
"Dans les semaines à venir, vous allez probablement voir des barils venus des Etats-Unis, d'Afrique ou du Moyen-Orient pour alimenter l'Europe", a-t-il anticipé, "si la situation n'évolue pas" en Ukraine.
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72. Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72. https://oilprice.com/Energy/Oil-Prices/ ... n-Oil.htmlOil Prices Break $130 As EU And U.S. Allies Consider Ban On Russian Crude
By Michael Kern - Mar 06, 2022
The United States has confirmed that it is in talks with European allies to potentially sanction Russian crude oil in response to Moscow's ongoing aggression in Ukraine, sending oil prices briefly above $130.
US Secretary of State Antony Blinken noted on Sunday during the NBC talk show Meet the Press on Sunday, “We are now in very active discussions with our European partners about banning the import of Russian oil to our countries, while of course at the same time maintaining a steady global supply of oil."
The latest considerations follow a stream of sanctions that have already had a significant impact on the Russian economy but have not yet been able to halt Putin's advance into Ukraine.
European Commission President Ursula von Der Leyen has yet not fully supported the idea as of yet, though she has expressed that one of their primary goals in the sanctions that have been levied thus far is to cut Putin's funding streams.
The European Commission President noted on CNN, “The goal is to isolate Russia and to make it impossible for Putin to finance his wars,” adding “For us, there is a strong strategy now to say we have to get rid of the dependency of fossil fuels from Russia.”
The move, if agreed upon, has long been considered the "nuclear option" as a ban on Russian oil could weigh on global supply in an already tight market.
Bank of America analysts noted that if Russia's oil is cut off, the market could face a 5 million barrel shortfall which could push oil prices to $200 per barrel.
The situation is compacted by stalling talks with Iran over a potential new nuclear deal.
Amrita Sen, the co-founder of Energy Aspects, a think tank, explained, "Iran was the only real bearish factor hanging over the market but if now the Iranian deal gets delayed, we could get to tank bottoms a lot quicker especially if Russian barrels remain off the market for long."
https://www.connaissancedesenergies.org ... olu-220307Pétrole: le baril de Brent frôle les 140 dollars, proche du record absolu
AFP le 07 mars 2022
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, l'une des deux variétés de référence du marché, a frôlé dimanche 140 dollars, proche de son record absolu, dopé par l'aggravation du conflit en Ukraine et l'arrêt quasi-total des exportations de pétrole russe.
Peu après l'ouverture des échanges électroniques, vers 23H00 GMT, le Brent pour échéance en mai, contrat de référence, est monté jusqu'à 139,13 dollars, à portée du record absolu, soit 147,50 dollars, qui date de juillet 2008.
Le prix s'est ensuite replié, mais vers 00H30 GMT, il était encore en hausse de 9,02%, à 128,77 dollars.
Depuis le lancement de l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes, le Brent a pris 33%.
L'autre référence du marché, le baril de West Texas Intermediate (WTI), principale variété américaine, pour échéance en avril, est lui grimpé dimanche jusqu'à 130,50 dollars.
Vers 00H30 GMT, il s'inscrivait en hause de 8,18% à 125,15 dollars.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré diimanche que les Etats-Unis et l'Union européenne discutaient "très activement" de la possibilité d'interdire les importations de pétrole en réponse à l'invasion de l'Ukraine.
Même si le pétrole est, en théorie, exempté pour l'instant de sanctions, les exportations russes ne trouvent plus preneur, Shell étant l'un des seuls à s'y être risqué cette semaine.
"Arrêtez d'acheter du pétrole russe", a plaidé dimanche, sur la chaîne CNN, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, en réaction à l'acquisition par Shell de 100.000 tonnes de pétrole russe.