[Acteurs] La compagnie TOTAL
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- Goudron
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[Acteurs] La compagnie TOTAL
Résultats trimestriels communiqués jeudi matin par Total :
Au deuxième trimestre 2005, la production d'hydrocarbures du groupe a diminué de 3,7% à 2,506 milliers de barils équivalent pétrole par jour.
Cette baisse "s'expliquerait" par l'impact de la hausse des prix du brut, et les effets résiduels de l'ouragan Ivan dans le Golfe du Mexique.
Au deuxième trimestre 2005, la production d'hydrocarbures du groupe a diminué de 3,7% à 2,506 milliers de barils équivalent pétrole par jour.
Cette baisse "s'expliquerait" par l'impact de la hausse des prix du brut, et les effets résiduels de l'ouragan Ivan dans le Golfe du Mexique.
- lionstone
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L'achat de Deer Creek Energy par la française Total SA pourrait lancer une vague d'offres publiques d'achats chez les sociétés qui ont des activités dans les sables bitumineux albertains.
Selon le Globe and Mail, Total se prépare à dépenser pas moins de 15G$ en Alberta au cours des dix prochaines années, ce qui incluerait une autre acquisition majeure.
D'autres joueurs d'importance au niveau mondial, comme la société CNOOC, contrôlée par le gouvernement chinois, pourraient suivre la société française en Alberta, selon divers analystes.
CNOOC pourrait se montrer particulièrement agressive à la suite de son désistement visant l'acquisition de l'américaine Unocal pour 18,5G$. Les analystes estiment que des sociétés énergétiques aux États-Unis aimeraient bien, elles aussi, mettre la main sur le pétrole canadien, ce qui pourrait faire grimper les enchères.
Total commence à racler les fonds de tiroir, pardon les sables bitumeux. Bah, quand on ne trouve plus rien d’autre…
Selon le Globe and Mail, Total se prépare à dépenser pas moins de 15G$ en Alberta au cours des dix prochaines années, ce qui incluerait une autre acquisition majeure.
D'autres joueurs d'importance au niveau mondial, comme la société CNOOC, contrôlée par le gouvernement chinois, pourraient suivre la société française en Alberta, selon divers analystes.
CNOOC pourrait se montrer particulièrement agressive à la suite de son désistement visant l'acquisition de l'américaine Unocal pour 18,5G$. Les analystes estiment que des sociétés énergétiques aux États-Unis aimeraient bien, elles aussi, mettre la main sur le pétrole canadien, ce qui pourrait faire grimper les enchères.
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Moderacene: le site de la moderation brut
- matthieu25
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Tant qu'il y a de l'argent à faire...
Tant qu'on sera assez couillon pour acheter du pétrole...Total fera des énormes bénéfices
- Sylvain
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Ah ! Les joies de l'ultra-libéralisme !lionstone a écrit :des sociétés énergétiques aux États-Unis aimeraient bien, elles aussi, mettre la main sur le pétrole canadien,

Les Canadiens devraient le garder pour eux, ce foutu pétrole. Ils pourraient faire comme leurs voisins états-uniens, qui hurlent au scandale lorsque des étrangers essaient d'acquérir une compagnie pétrolière état-unienne (voir la tentative d'acquisition d'Unocoal par groupe chinois CNOOC).
La géologie pétrolière se moque de votre envie de conduire une automobile.
- mahiahi
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N'avaient-ils pas signé un accord mettant leur pétrole (ainsi que leur bois) à disposition des entreprises US?
http://www.energybulletin.net/3470.html
http://www.energybulletin.net/3470.html
- Sylvain
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Toujours sur le sujet, un article nous parle d'un projet de Deer Creek Energy Limited : le Projet Joslyn (au Canada).lionstone a écrit :Total commence à racler les fonds de tiroir, pardon les sables bitumeux. Bah, quand on ne trouve plus rien d’autre…
L'exploitation « pétrolière » canadienne en image :[dont] la majeure partie des ressources sera produite grâce à des techniques de mine à ciel ouvert.

Et pour finir :
Efectivement, quand on ne trouve plus rien d’autre …Total est déjà un acteur majeur dans l’extraction et la transformation d’huiles lourdes grâce à sa participation de 47 % dans le projet Sincor, au Venezuela, l’un des plus importants projets de production de bruts lourds au monde, qui produit plus de 200 000 barils par jour.
La géologie pétrolière se moque de votre envie de conduire une automobile.
- energy_isere
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A propos de TOTAL :
http://www.liberation.com/page.php?Article=315766
Total sous la loupe de l'éthique norvégienne
Un gros fonds d'investissement scandinave enquête sur sa présence en Birmanie.
Par Olivier TRUC
samedi 06 août 2005 (Liberation - 06:00)
Oslo envoyé spécial
Riche mais éthique. C'est l'équation qu'aimerait bien résoudre la Norvège, qui croule sous les pétrodollars grâce à l'envolée du prix du baril (lire ci-contre). Après Kerr-McGee au Sahara-Occidental, c'est au tour de Total d'être dans le collimateur des spécialistes norvégiens de l'éthique, à cause de sa présence en Birmanie. Cette tendance est assez neuve en Norvège.
Troisième exportateur mondial de pétrole, la Norvège a fait fortune et dépose, depuis une dizaine d'années, les revenus de l'or noir sur un Fonds du pétrole placé en actions et obligations sur les marchés mondiaux. A ce jour, le fonds atteint 140 milliards d'euros.
Première victime. «Le Fonds du pétrole est en passe de devenir le plus gros fonds au monde, d'ici deux ou trois ans peut-être, note Kaj-Martin Georgsen, conseiller politique au ministère des Finances. Et la pression politique est de plus en plus forte en Norvège pour que cet argent soit placé d'une façon politiquement correcte.» Depuis le 1er janvier, le ministère des Finances, responsable du fonds géré par la Banque de Norvège, a ainsi mis en place un conseil d'éthique présidé par la juriste Gro Nystuen. A la tête d'une petite équipe, elle est chargée de veiller à ce que les 3 200 compagnies où le Fonds du pétrole a investi respectent leurs règles éthiques, faute de quoi la Banque de Norvège se retirera du capital. Sa première victime a été la compagnie pétrolière américaine Kerr-McGee, présente au Sahara-Occidental, revendiqué par le Maroc.
«Nous avons estimé que travailler dans cette région pouvait être considéré comme une manière de renforcer la demande du gouvernement marocain sur la souveraineté du Sahara-Occidental. Or ce conflit n'est pas résolu», explique Gro Nystuen. Début avril, le ministère des Finances a tranché en décidant de se retirer du capital de Kerr-McGee, où il avait investi 42,8 millions d'euros. La décision n'a été rendue publique que le 6 juin, une fois les actions et obligations vendues.
D'autres compagnies sont en cours d'investigation, dont Total. Début avril, le ministère des Finances a été saisi par trois associations norvégiennes de défense des droits de l'homme, réclamant que le fonds se retire de Total à cause de sa présence en Birmanie. Sujet sensible et important pour les Norvégiens, qui ont décerné en 1991 le prix Nobel de la paix à Aung San Suu Kyi. Un gros morceau aussi car, avec 720 millions d'euros, Total est le plus gros investissement du fonds dans une entreprise.
Les Norvégiens sont pour l'instant extrêmement discrets sur l'enquête en cours. «Nous sommes en contact avec des gens en Birmanie, note Gro Nystuen, et nous travaillons beaucoup à partir de sources ouvertes.» Chez Total, on se montre confiant. «Nous sommes convaincus qu'en Birmanie, dans un contexte difficile, nous travaillons de façon éthique, comme le montrent plusieurs rapports d'associations, explique Jean-François Lassalle, directeur des relations extérieures de Total pour l'exploration et la production. Mais si, dans l'avenir, on ne peut travailler que dans les démocraties reconnues, ça sera difficile. Le bon Dieu n'a malheureusement pas mis le pétrole dans les pays de l'OCDE.» Réponse attendue cet automne.
http://www.liberation.com/page.php?Article=315766
Total sous la loupe de l'éthique norvégienne
Un gros fonds d'investissement scandinave enquête sur sa présence en Birmanie.
Par Olivier TRUC
samedi 06 août 2005 (Liberation - 06:00)
Oslo envoyé spécial
Riche mais éthique. C'est l'équation qu'aimerait bien résoudre la Norvège, qui croule sous les pétrodollars grâce à l'envolée du prix du baril (lire ci-contre). Après Kerr-McGee au Sahara-Occidental, c'est au tour de Total d'être dans le collimateur des spécialistes norvégiens de l'éthique, à cause de sa présence en Birmanie. Cette tendance est assez neuve en Norvège.
Troisième exportateur mondial de pétrole, la Norvège a fait fortune et dépose, depuis une dizaine d'années, les revenus de l'or noir sur un Fonds du pétrole placé en actions et obligations sur les marchés mondiaux. A ce jour, le fonds atteint 140 milliards d'euros.
Première victime. «Le Fonds du pétrole est en passe de devenir le plus gros fonds au monde, d'ici deux ou trois ans peut-être, note Kaj-Martin Georgsen, conseiller politique au ministère des Finances. Et la pression politique est de plus en plus forte en Norvège pour que cet argent soit placé d'une façon politiquement correcte.» Depuis le 1er janvier, le ministère des Finances, responsable du fonds géré par la Banque de Norvège, a ainsi mis en place un conseil d'éthique présidé par la juriste Gro Nystuen. A la tête d'une petite équipe, elle est chargée de veiller à ce que les 3 200 compagnies où le Fonds du pétrole a investi respectent leurs règles éthiques, faute de quoi la Banque de Norvège se retirera du capital. Sa première victime a été la compagnie pétrolière américaine Kerr-McGee, présente au Sahara-Occidental, revendiqué par le Maroc.
«Nous avons estimé que travailler dans cette région pouvait être considéré comme une manière de renforcer la demande du gouvernement marocain sur la souveraineté du Sahara-Occidental. Or ce conflit n'est pas résolu», explique Gro Nystuen. Début avril, le ministère des Finances a tranché en décidant de se retirer du capital de Kerr-McGee, où il avait investi 42,8 millions d'euros. La décision n'a été rendue publique que le 6 juin, une fois les actions et obligations vendues.
D'autres compagnies sont en cours d'investigation, dont Total. Début avril, le ministère des Finances a été saisi par trois associations norvégiennes de défense des droits de l'homme, réclamant que le fonds se retire de Total à cause de sa présence en Birmanie. Sujet sensible et important pour les Norvégiens, qui ont décerné en 1991 le prix Nobel de la paix à Aung San Suu Kyi. Un gros morceau aussi car, avec 720 millions d'euros, Total est le plus gros investissement du fonds dans une entreprise.
Les Norvégiens sont pour l'instant extrêmement discrets sur l'enquête en cours. «Nous sommes en contact avec des gens en Birmanie, note Gro Nystuen, et nous travaillons beaucoup à partir de sources ouvertes.» Chez Total, on se montre confiant. «Nous sommes convaincus qu'en Birmanie, dans un contexte difficile, nous travaillons de façon éthique, comme le montrent plusieurs rapports d'associations, explique Jean-François Lassalle, directeur des relations extérieures de Total pour l'exploration et la production. Mais si, dans l'avenir, on ne peut travailler que dans les démocraties reconnues, ça sera difficile. Le bon Dieu n'a malheureusement pas mis le pétrole dans les pays de l'OCDE.» Réponse attendue cet automne.
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- Gaz naturel
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Et le gaz necessaire a l'exploitation de ses sables bitumineux, il le trouve ou ?lionstone a écrit :L'achat de Deer Creek Energy par la française Total SA pourrait lancer une vague d'offres publiques d'achats chez les sociétés qui ont des activités dans les sables bitumineux albertains.
Selon le Globe and Mail, Total se prépare à dépenser pas moins de 15G$ en Alberta au cours des dix prochaines années, ce qui incluerait une autre acquisition majeure.
D'autres joueurs d'importance au niveau mondial, comme la société CNOOC, contrôlée par le gouvernement chinois, pourraient suivre la société française en Alberta, selon divers analystes.
CNOOC pourrait se montrer particulièrement agressive à la suite de son désistement visant l'acquisition de l'américaine Unocal pour 18,5G$. Les analystes estiment que des sociétés énergétiques aux États-Unis aimeraient bien, elles aussi, mettre la main sur le pétrole canadien, ce qui pourrait faire grimper les enchères.
Total commence à racler les fonds de tiroir, pardon les sables bitumeux. Bah, quand on ne trouve plus rien d’autre…
Et la "flotte" pour l'extraction, il la pompe dans la mer ?
- Sylvain
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Rabat-joie !echazare a écrit :Et le gaz necessaire a l'exploitation de ses sables bitumineux, il le trouve ou ?
Et la "flotte" pour l'extraction, il la pompe dans la mer ?

Tu ne ferais pas parti d'une secte annonçant la fin du pétrole bon marché par hasard ?

La géologie pétrolière se moque de votre envie de conduire une automobile.
- guino
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L'UFC veut taxer de 5 milliards d'€ les bénéfices de Total
L'UFC veut taxer de 5 milliards d'euros les bénéfices de Total
Reuters 13.12.2005 - 13:22
PARIS (Reuters) - UFC-Que Choisir a lancé une campagne visant à l'instauration d'une taxe exceptionnelle de cinq milliards d'euros sur les bénéfices 2005 du groupe pétrolier, qui sont estimés à quelque 13 milliards d'euros par l'association de consommateurs.
Dans un communiqué, UFC-Que Choisir juge que sur cette somme de quelque 13 milliards d'euros, corroborée par les prévisions des analystes financiers, sept milliards correspondent à ce que l'association qualifie de "surprofits", c'est-à-dire mécaniquement liée à la hausse des cours du baril brut.
"L'UFC-Que Choisir demande qu'à l'occasion de la prochaine loi de finance rectificative, les parlementaires suivent l'exemple de la Grande-Bretagne qui vient de doubler la taxation des profits pétroliers de la Mer du Nord", souligne l'association.
Lors d'une conférence de presse téléphonique, Alain Bazot, président de l'association, a également fait référence aux critiques formulées par Judd Gregg, le président - républicain - de la commission du budget au Sénat américain à l'encontre des profits records des compagnies pétrolières et à sa proposition d'instaurer une taxe exceptionnelle de 10% sur ceux-ci.
"Il n'y a plus d'utilité sociale et collective dans cette démesure des profits (...) il ne s'agit pas de faire perdre à Total de la force musculaire, simplement de la surcharge pondérale", a souligné Alain Bazot.
Ni Total, ni le ministère des Finances n'ont voulu commenter dans l'immédiat la campagne lancée par l'association, qui se traduira notamment par des encarts publicitaires dans la presse écrite à partir de la semaine prochaine.
Avec la somme collectée par la taxe exceptionnelle, UFC-Que Choisir propose d'une part d'affecter 3,7 milliards d'euros à des investissements dans les réseaux de transports collectifs de proximité (hors grandes lignes, donc).
L'association suggère, d'autre part, d'accorder un mois de gratuité des transports collectifs dans toute la France "afin d'amortir l'impact de la hausse de l'essence supportée en 2005 par les consommateurs".
"Un mois de transports collectifs gratuit, cela représente 1,3 milliard d'euros. Outre le coup de pouce en termes de pouvoir d'achat, il s'agit également d'inciter les gens à se réapproprier l'usage du mode de transport collectif", a poursuivi Alain Bazot.
Reuters 13.12.2005 - 13:22
PARIS (Reuters) - UFC-Que Choisir a lancé une campagne visant à l'instauration d'une taxe exceptionnelle de cinq milliards d'euros sur les bénéfices 2005 du groupe pétrolier, qui sont estimés à quelque 13 milliards d'euros par l'association de consommateurs.
Dans un communiqué, UFC-Que Choisir juge que sur cette somme de quelque 13 milliards d'euros, corroborée par les prévisions des analystes financiers, sept milliards correspondent à ce que l'association qualifie de "surprofits", c'est-à-dire mécaniquement liée à la hausse des cours du baril brut.
"L'UFC-Que Choisir demande qu'à l'occasion de la prochaine loi de finance rectificative, les parlementaires suivent l'exemple de la Grande-Bretagne qui vient de doubler la taxation des profits pétroliers de la Mer du Nord", souligne l'association.
Lors d'une conférence de presse téléphonique, Alain Bazot, président de l'association, a également fait référence aux critiques formulées par Judd Gregg, le président - républicain - de la commission du budget au Sénat américain à l'encontre des profits records des compagnies pétrolières et à sa proposition d'instaurer une taxe exceptionnelle de 10% sur ceux-ci.
"Il n'y a plus d'utilité sociale et collective dans cette démesure des profits (...) il ne s'agit pas de faire perdre à Total de la force musculaire, simplement de la surcharge pondérale", a souligné Alain Bazot.
Ni Total, ni le ministère des Finances n'ont voulu commenter dans l'immédiat la campagne lancée par l'association, qui se traduira notamment par des encarts publicitaires dans la presse écrite à partir de la semaine prochaine.
Avec la somme collectée par la taxe exceptionnelle, UFC-Que Choisir propose d'une part d'affecter 3,7 milliards d'euros à des investissements dans les réseaux de transports collectifs de proximité (hors grandes lignes, donc).
L'association suggère, d'autre part, d'accorder un mois de gratuité des transports collectifs dans toute la France "afin d'amortir l'impact de la hausse de l'essence supportée en 2005 par les consommateurs".
"Un mois de transports collectifs gratuit, cela représente 1,3 milliard d'euros. Outre le coup de pouce en termes de pouvoir d'achat, il s'agit également d'inciter les gens à se réapproprier l'usage du mode de transport collectif", a poursuivi Alain Bazot.
mai 2010. je passais de moins en moins, j'ai acheté mon terrain, commencé à le travailler. L'ambiance sur oléocène se dégrade d'une façon alarmante, peu réjouissant quant à la capacité de l'humanité à réagir à des crises.Je ne me sens plus à ma place ici.
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- Goudron
- Messages : 108
- Inscription : 11 juil. 2005, 18:14
- Localisation : Drôme
C'est quand même plus diplomate que "le dégraissage de mamouth" de Caude Allègre à propos de l'E.N...(...) il ne s'agit pas de faire perdre à Total de la force musculaire, simplement de la surcharge pondérale"

J'ai aussi entendu sur France Info que l'UFC espérait également que cela tempérerait indirectement les augmentations de prix du carburant à la pompe... Pas sûr...
En tout cas je doute qu'un mois de gratuité des transports en commun incite beaucoup de gens à abandonner la voiture ne serait ce que pour le trajet domicile-travail.

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- Kérogène
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- Inscription : 23 avr. 2005, 23:47
ça répond en partie à la question que je me posais, sur les méga profits à venir des compagnies pétrolières.
En effet, comment accepter qu'elles e fassent de l'argent sur une pénurie qui touchera tout le monde? Comment accepter que des compagnies vendent du pétrole à 100 dollars le baril, si le cout de revient n'est que de 20 euros? (situation tout à fait probable , selon les exploitations).
A un moment, cela sera trop indigeste pour tout le monde...
leur seule excuse (et qu'on risque d'entendre beaucoup je pense), c'est que ces mega profits seront réinvestis dans l'exploration et la recherche pour améliorer le taux d'extraction des puits en service, et aussi dans les énergies renouvelables.
m'ai avis que certains gouvernements seront tentés de reprendre le contrôle des compagnies nationales, pour éviter de laisser partir cet argent.
C'est bien tenté de la part de l'UFC, mais ils rèvent...ce n'est pas le gouvernement actuel qui ira piocher dans les bénèfs de compagnies privés, ça a toutefois le mérite de poser la question!
En effet, comment accepter qu'elles e fassent de l'argent sur une pénurie qui touchera tout le monde? Comment accepter que des compagnies vendent du pétrole à 100 dollars le baril, si le cout de revient n'est que de 20 euros? (situation tout à fait probable , selon les exploitations).
A un moment, cela sera trop indigeste pour tout le monde...
leur seule excuse (et qu'on risque d'entendre beaucoup je pense), c'est que ces mega profits seront réinvestis dans l'exploration et la recherche pour améliorer le taux d'extraction des puits en service, et aussi dans les énergies renouvelables.
m'ai avis que certains gouvernements seront tentés de reprendre le contrôle des compagnies nationales, pour éviter de laisser partir cet argent.
C'est bien tenté de la part de l'UFC, mais ils rèvent...ce n'est pas le gouvernement actuel qui ira piocher dans les bénèfs de compagnies privés, ça a toutefois le mérite de poser la question!
- MadMax
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- Localisation : Dans un cul-de-sac gazier
La compagnie TOTAL
Total cède 2 champs d'hydrocarbures à XTO Energy
NEW YORK/PARIS (Reuters) - La compagnie américaine XTO Energy annonce le rachat de 2 champs d'hydrocarbures à Total E&P USA, filiale de Total, pour 300 millions de dollars.
XTO explique que les 2 champs, situés à Bethany, au Texas, et Maben, au Mississippi, représentent des réserves estimées à 120 milliards de pieds cubes (3,4 milliards de mètres cubes environ) d'équivalent gaz et qu'ils lui permettront d'augmenter sa production de 15 millions de pieds cubes (425.000 m3) par jour.
A Paris, Total a précisé que la cession devrait être finalisée dans le courant du mois.
La compagnie française dit concentrer ses projets d'exploration-production aux Etats-Unis dans l'offshore du golfe du Mexique.
Dernière modification par MadMax le 13 mai 2006, 15:20, modifié 1 fois.